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Pour sortir de terre une telle infrastructure, cela supposait respecter à la virgule près une contrainte économique. De la pure logique, en cette période de rare complexité au niveau des marchés. Pour autant, le résultat est à la hauteur des espérances. Après une si longue attente de près d’une décennie ! Le nouveau gymnase du collège Albert Camus à Auxerre, d’un montant global d’1,8 million d’euros, est l’œuvre du cabinet ATRIA Architectes…

 

AUXERRE: Benoît BAZEROLLES s’est fait très discret en demeurant un peu en retrait des opérations inaugurales mardi après-midi. Dommage ! Il n’a pas été convié dans le cadre du protocole officiel à pouvoir s’exprimer lors de cette inauguration où la fine fleur de la vie institutionnelle et politique de notre territoire était pourtant bien représentée. Tant au niveau du public de suiveurs qui ne boudait pas son plaisir de profiter de chauds rayons de l’astre diurne quasi à son apogée que derrière le pupitre où se sont multipliées les interventions orales au micro.

Pourtant, avec son collaborateur au sein du cabinet ATRIA Romain PIERSON, l’architecte auxerrois n’en reste pas moins le lucide concepteur créatif de ce complexe sportif financé conjointement par le Département et la Ville d’Auxerre, à hauteur d’1,1 million d’euros. Un ouvrage qui aura mis, tout de même, près de dix ans à sortir de terre (à lire les autres articles à venir sur le sujet).

Mais, la patience a été récompensée. La livraison de ce gymnase flambant neuf permet d’augurer de belles perspectives au sein de ce collège qui n’en a pas encore terminé avec les améliorations structurelles. Il est prévu notamment la réfection et l’agrandissement des demi-pensions dans les mois à venir. Les études doivent être rendues par les maîtres d’ouvrage, courant septembre.

 

L’ajout d’un mur d’escalade : une idée non prévue initialement…

Particularisme qui a séduit les visiteurs de ce site : le mur d’escalade. Toutefois, ce détail sportif ne s’inscrivait pas dans le schéma originel de la construction.

« En fait, explique Benoît BAZEROLLES, à qui nous avons donné la parole, le mur d’escalade ne représentait qu’une option à l’origine de ce projet. Le budget ne permettait pas son installation. Mais, la consultation d’entreprises s’étant avéré fructueuse et ayant pu dégager des économies, nous avons réussi à le rajouter parmi les éléments à construire ! ».

Un choix qu’approuve également le conseiller départemental Yves VECTEN, présent lors de cette cérémonie, pour qui ce « mur était indispensable au vu du faible coût à rajouter dans l’enveloppe budgétaire ». Idée que partage le président Patrick GENDRAUD qui s'est essayé à gravir quelques plots pour le fun.

 

 

Quant au chantier, il s’est déroulé dans le respect du cahier des charges. A l’exception d’une dizaine de jours du fait de la pandémie. Le gymnase a été livré dans les délais requis. Un an après la pose de la première pierre.

Eriger un gymnase n’était pas une découverte pour l’architecte auxerrois. L’associé du regretté Jean-Pierre BOSQUET (il ne faut pas omettre Annick WOROBEL pour compléter ce judicieux trio) s’était déjà fait les dents au début des années 2000 sur le gymnase du collège Mallarmé de Sens.

 

La quête actuelle : la recherche de projets structurants…  

 

La réhabilitation est devenue l’une des ressources intellectuelles essentielles sur lesquels Benoît BAZEROLLES et ses équipes d’architectes (ils sont au nombre de huit) interviennent à l’heure actuelle.

D’ailleurs, beaucoup d’études sont en cours de réalisation. Entre réflexion énergétique sur des bâtiments et aménagement de futurs vestiaires destinés à équiper des complexes sportifs, comme à Héry, à titre d’exemple. Mais, ce n’est pas tout. ATRIA planche aussi sur de nouvelles réalisations au centre hospitalier ou travaille à l’installation d’une salle destinée aux résidents de la maison de retraite de Vézelay.

Moins conventionnel et peu enclin à la légèreté : le cabinet auxerrois réfléchit à la conception d’une maison funéraire à Corbigny, dotée d’un environnement commercial.

La recherche de dossiers structurants demeure toutefois la priorité absolue de l’entrepreneur qui a maintenu ses équipes durant la période de crise. La relance s’amorce : chacun semble être affûté à dégainer aussi vite que son ombre dans les starting-blocks.

 

Thierry BRET

 

 


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Il a apprécié l’excellent cru de l’édition 2021 de la « Rencontre des Entrepreneurs de France », le délégué général du MEDEF et de l’UIMM de l’Yonne, Claude VAUCOULOUX. Une ex-université d’été des entrepreneurs qui a bien des égards sera passionnante à l’amorce de la rentrée. Honorée par la présence des membres du gouvernement, Bruno LE MAIRE, en tête…et par une explication de texte sur la situation afghane…

 

TRIBUNE : Ce matin, devant la page blanche, enfin, plus exactement devant l’écran de mon cher ordi, je m’interroge sur la meilleure façon de partager avec vous, en un texte court (et je sais d’avance que le mien sera trop long !), toutes les impressions qui forcément, se bousculent dans mon esprit, après trois journées passées sur les pelouses de l’hippodrome de Longchamp pour cette REF 21.

Rendez-vous annuel du MEDEF, autrefois appelé « Université d’été », et aujourd’hui re-marketé en « Rencontre des Entrepreneurs de France », cette édition 2021, à bien des égards, aura constitué un excellent cru !

Comme ce n’est pas mon métier, je ne vais donc pas me lancer dans un pseudo travail journalistique se voulant un résumé le plus complet possible de ce qui se sera passé durant cette manifestation. Non, j’adopte le parti-pris (et peut être un peu le risque), d’essayer de traduire certains de mes ressentis et sentiments, un peu à la manière d’un récit de « choses vues et entendues » et sous un format billet d’humeur qui devrait bien s’y prêter. Du moins je l’espère…

Une REF21 sous-titrée « A l’air libre » et dont Geoffroy ROUX DE BEZIEUX a tout de suite précisé qu’il ne s’agissait pas de souligner le fait qu’elle se déroule en plein air, mais bien qu’elle allait traiter et sous bien des angles, de la liberté !

Et d’ajouter que « la liberté n’appartient à aucun camp et que la liberté politique est toujours allée de pair avec la liberté économique et la liberté d’entreprendre qui nous est si chère ! ».

 

La marque des grands évènements avec son lot d’émotion…

 

Un thème choisi aussi parce que cette idée de liberté est depuis des mois, trop souvent pervertie par ceux qui s’en réclament, sans hélas en assumer les exigences ! « La liberté signifie la responsabilité. C’est pourquoi la plupart des hommes la craignent », disait George Bernard SHAW, prix Nobel de littérature. Le ton était donné !

Nous n’allions assurément pas assister à un évènement convenu, sans aspérités, sans âme et sans exigence ! Non ! Et bien au contraire. Ces Journées d’échanges, de rencontres et de réflexion, allaient donc nous interpeler, nous interroger, nous faire sortir d’un entre soi dans lequel il est tellement confortable de se complaire en de pareils moments. Elles allaient même nous bousculer, nous déranger et puis nous émouvoir ! Et c’est bien là, la marque des grands évènements ! Allez, j’ose me lancer dans le superlatif ! Des moments d’exception ! Et cette REF 21, par certains aspects, en fut un.

 

 

La fin annoncée du « quoi qu’il en coûte »…

 

Parce que la REF, ce n’est pas qu’un rendez-vous « corporate » et marketing. Même si elle accorde forcément une place de choix au décorum et aux moments de convivialité qui en font le charme ! Elle est aussi, il faut bien le dire, « the place to be » en cette fin d’été. D’ailleurs, même le soleil ne s’y est pas trompé, puisqu’il a fait le choix d’être de la partie trois jours d’affilée et presque sans défaillance ! C’est dire !  

La REF, c’est également un défilé de limousines cocardées et de cortèges officiels qui pinponnent et qui giropharisent ! Les ministres viennent y faire leur rentrée. Ils se sont encore succédés, nombreux cette année. Certains d’entre eux, à l’instar de Bruno LE MAIRE, en ont profité pour faire des annonces majeures, confère son intervention au cours de laquelle il a confirmé la fin du « quoi qu’il en coûte ».

Comme le demandait d’ailleurs le MEDEF, parce qu’on n’est pas entrepreneur pour vivre indéfiniment avec les aides de l’Etat ! En la matière, la question n’est pas de savoir si l’Etat devait ou non soutenir l’économie, mais bien, comment on en sort. La France ne peut pas vivre ad vitam aeternam avec des finances publiques à ce point dégradées et chacun comprend bien que, lorsque l’on est endetté comme l’est notre pays, on finit inéluctablement par ne plus être libre ! On y revient…

 

 

Des débats à décoller la pulpe du fond de la bouteille…

 

 

Et puis la REF, c’est aussi un rendez-vous de gens qui pensent. Philosophes, universitaires, économistes, stratèges, écrivains… porte-paroles de tous les courants de pensée. Parce que le débat, s’il n’est pas contradictoire, n’a pas beaucoup d’intérêt lorsqu’il s’agit de le pousser dans ses derniers retranchements. Et là, je peux vous le dire. Ça décolle la pulpe dans le fond de la bouteille. Ça sollicite les neurones et ça ouvre le champ des possibles. Quelle délectation que d’écouter des brillants esprits, même lorsque l’on ne partage pas forcément leur thèse d’ailleurs.

Mais la compréhension de leur point de vue, participe à l’éclairage de notre pensée et nous aide à conforter ou  forger nos propres opinions. Et c’est bien là une des grandes qualités de ces rencontres qui érigent le pluralisme en principe de base. Il serait pourtant là aussi, tellement commode de rester dans un convenu bien veillant, n’est-ce pas ! Eh bien non ! Même pas peur les patrons !

Et puis enfin, il y parfois ce que je vais appeler des instants de grâce, même si en l’occurrence, concernant la séquence que je vais maintenant relater, le mot grâce ne soit pas forcément le plus adapté, tant les évènements auxquels elle se rapporte sont tragiques !

Je veux ici faire écho à une table ronde intitulée « Femmes libérées » et qui accueillait notamment Chékéba HACHEMI, présidente et fondatrice de l’association, Afghanistan Libre.

 

 

Autant vous le dire d’emblée, je crois que sur les 2 ou 3 000 personnes qui ont écouté son témoignage, ils ne devaient pas être nombreux, ceux qui n’ont pas été touchés par ses mots simples, francs, lucides et tellement vrais, dans leur description d’une situation afghane où le drame le dispute au scandale ! Vous avez dit liberté ? 

Au regard de cette situation, qui se compare difficilement à une autre, on a pu mesurer, s’il en était vraiment besoin, combien il est malheureusement aisé de pervertir l’idée de liberté. Parce que là, la privation de liberté, je peux vous dire que pour ceux qui ne savaient pas de quoi on parle, c’est à dire la majorité d’entre nous finalement et c’est tant mieux, eh bien, nous avons pu la mesurer !

Et pas sur des considérations de petites libertés individuelles, dont certains pensent que leur somme constitue la liberté collective ! Non ! Là, on nous a parlé, de la liberté élémentaire de vivre pour des êtres humains ! Oh ! Pas question de pass sanitaire, d’obligation vaccinale, ou de respect de règles sans lesquelles il n’est pourtant pas pensable de vivre en communauté. Non ! On nous a parlé du droit ou non de vivre, dans un pays où l’on peut être lapidé parce que l’on est une femme, qu’on a mis un peu de rouge à lèvres, écouté de la musique, voire esquissé un pas de danse !

 

L’innommable situation de l’Afghanistan s’invite dans les témoignages…

 

Le témoignage de Madame HACHEMI remet drôlement les choses à leurs places ! Pouvons-nous encore supporter l’indécence des hurlements de celles et ceux qui se radicalisent autour de l’idée que la France est devenue une dictature, tout en oubliant qu’ils sont libres de le faire chaque week-end dans les rues de nos villes ?

Pensez-vous que Chékéba HACHEMI et ses sœurs afghanes peuvent le comprendre ? Non bien sûr et c’est pourtant bien ce qu’il se passe ! « Se vouloir libre, c’est aussi vouloir les autres libres » a écrit Simone de BEAUVOIR. Alors, pouvons-nous véritablement nous affranchir de ce qu’il se passe en ce moment à quelques heures d’avion de chez nous, sauf à être d’un égoïsme crasse qui nous déshonorerait ?

Je ne le crois pas et c’est pourquoi je pense que, ce que nous devons à minima à ces femmes en particulier et à ce peuple en général que nous allons abandonner une fois de plus à un destin terrifiant, c’est déjà la décence d’une particule d’honnêteté intellectuelle qui doit nous appeler à la modération dans nos propos et nos actes, sauf s’il s’agit de mettre en lumière le sort qui leur est malheureusement réservé.

Et oui. C’est aussi ça la REF ! Et c’est ce qui me rend tellement fier d’appartenir à ce Mouvement des Entrepreneurs de France. Fier qu’il sache s’engager comme il le fait, y compris dans des causes dont on pourrait penser qu’elles ne sont pas les siennes, si l’on devait s’arrêter à la simple mesure du potentiel des affaires que les entreprises françaises pourraient réaliser en Afghanistan d’ici aux dix prochaines années !

 

 

Interpelée par l’animateur du plateau, qui lui avouait qu’il se sentait impuissant face à la situation, Chékéba HACHEMI lui a répondu que personne n’est impuissant et que chacun peut, ne serait-ce que par la dénonciation et l’indignation, apporter au moins du soutien et du réconfort à ce peuple afghan qui va en avoir tant besoin. Et Geoffroy ROUX de BEZIEUX, visiblement bouleversé par ses propos, lui a alors dit en substance, que le MEDEF et les Entrepreneurs de France, même si, à cet instant précis, il n’était bien sûr pas capable d’en préciser le contenu, sauraient déployer une ou des actions concrètes et agir pour lui apporter le plus grand soutien possible !

Alors vraiment, oui, c’est pour tout cela qu’il fallait être à la REF 21 ! Le MEDEF est une grande organisation dont nous pouvons être fiers et que je vous invite à rejoindre.

Et puis dès maintenant, je vous donne rendez-vous pour la REF 22 qui, elle aussi soyez-en absolument sûrs, nous réservera encore de ces moments si importants, qui font du bien et qui nous font grandir. Car ils savent mettre en lumière ce qu’il y a de meilleur en nous…

 

Claude VAUCOULOUX

Délégué général MEDEF et UIMM de l’Yonne

 

 


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L’évènement devrait se dérouler dans l’Yonne courant 2022. A Auxerre ou à Chablis, d’après son organisateur, le président de l’antenne auxerroise de l’association Lune d’Afrique Dieusmonde TADE. Ce mariage subtil du chocolat et du vin, décliné à la sauce franco-africaine, possède en la mathématicienne ivoirienne et première femme agrégée de la discipline, Joséphine GUIDY WANDJA, sa meilleure ambassadrice universelle…

 

DAKAR (Sénégal) : Lune d’Afrique lance officiellement la campagne de communication de son futur évènementiel international, le Festival Choco Vins, depuis la capitale sénégalaise.

La première manifestation devant célébrer les noces subtiles entre le chocolat et le vin, côté gustatif, est prévue dans l’Yonne, courant 2022. Un évènement qui pourrait être accueilli sans doute à Auxerre, voire à Chablis où il pourrait y avoir une extension de l’animation. Pour l’heure, la date de l’opération gastronomique n’a pas encore été arrêtée.

 

 

 

 

Mais, pour son instigateur, le journaliste ivoirien Dieusmonde TADE, président de l’antenne auxerroise de Lune d’Afrique, les trois coups de ce futur projet ont été donnés à l’aéroport Blaise DIAGNE de Dakar où la marraine de la manifestation, présidente d’honneur de Lune d’Afrique et première femme agrégée en mathématiques, la professeur Joséphine GUIDY WANDJA (une sommité scientifique international) a été accueillie par la responsable de la délégation sénégalaise de Lune d’Afrique, Fatou NDOYE, à son arrivée. Les deux femmes ont pris soin d’échanger longuement sur la déclinaison de cet évènement qui se présentera sous la forme d’échanges internationaux entre les producteurs de cacao (Côte d’Ivoire, Ghana, Cameroun…) et de vins français.

 

 

Seraient prévus au programme des conférences, séances de dégustation, ateliers démonstratifs et autres rencontres à vocation commerciale. Des artistes de culture francophone devraient égayer cet évènement dont les contours se dessinent avec davantage de précision.

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’initiative a pour vocation de se pérenniser dans le futur. D’ailleurs, le MEDEF, à l’origine de ce rendez-vous, et ses partenaires francophones ont décidé la mise en place d’un comité d’organisation ayant pour objectif de préparer les prochaines retrouvailles annuelles. Un grand pas pour le développement de l’économie entre les pays francophones ?

 

PARIS : La francophonie ne se borne pas à de simples rencontres d’amitié entre folklore et coutumes séculaires ! L’économie et le développement des affaires y trouvent pleinement leur place d’autant que cette même francophonie pèse à ce jour 18 % de produit intérieur brut ! Son taux de croissance y avoisine les 7 %.

En inaugurant ces premières Rencontres des Entrepreneurs Francophones (REF), concoctées par le MEDEF lors de ses universités estivales, le secrétaire d’Etat en charge du Tourisme et de la Francophonie, Jean-Baptiste LEMOYNE, a montré l’intérêt que porte le gouvernement à ces travaux qui sont porteurs de promesses économiques et d’échanges multilatéraux.

 

 

Le continent africain était fortement représenté au cours de ces deux journées de sommet. Sur les 456 patrons de 31 nationalités inscrits, 380 provenaient d’une quinzaine de pays d’Afrique, dont l'Algérie, le Cameroun, le Congo-Brazzaville, la République Démocratique du Congo, la Côte d'Ivoire, Maurice, le Maroc, le Sénégal, le Togo ou encore la Tunisie.

Près d’une trentaine d’organisations patronales nationales avaient confirmé leur déplacement à Paris, saluant l'importance de cette première pour le MEDEF.

Outre l’Afrique, des entrepreneurs venus d’Asie et d’Amérique ont profité aussi de ces rencontres pour optimiser leur carnet d’adresse et contacts intercontinentaux. Au-delà de ce premier rendez-vous se tisse la possibilité d’avoir des débouchés en matière de savoir-faire professionnel et de financements. Surtout si l’on crée des millions d'emplois par la suite dans ses diverses parties du globe…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Près de 4 millions de nos concitoyens éprouvent une passion sans borne pour les véhicules de loisirs. C’est un segment de l’économie qui se porte bien, y compris après la série de confinements qui a donné du vague à l’âme à bon nombre de leurs utilisateurs. Qu’il s’agisse de camping-cars, vans, fourgons aménagés, caravanes, remorques, mobil-home : ce salon est fait pour celles et ceux qui sont accro à la mobilité différente !

 

PARIS : Deux ans d’absence, certes. Mais, le plaisir demeure intact pour les aficionados de cette typologie de véhicules qui connaît un engouement sans précédent en Europe.

Du 25 septembre au 03 octobre, le Parc des expositions du Bourget, près de la capitale, accueillera ce fameux salon, fort de ses cent mille visiteurs et deux cents exposants.

Sur deux cents mille mètres carrés de surface, quatre halls de présentation et un espace extérieur, les fanas de camping-cars, vans et autres fourgons aménagés se délecteront parmi les travées de ce vaste complexe à la découverte des nouveautés. Le cap de la cinquantaine d’éditions a été franchi. Preuve que ces engins motorisés, synonymes d’évasion et de grands voyages au fil de l’asphalte, sont au cœur des préoccupations d’une large frange de la population. Et pas uniquement celle des seniors.

En 2018, le nombre d’immatriculations avait progressé de 12 % dans l’Hexagone sur les véhicules neufs et de 5 % pour les occasions. Car, le marché de la seconde main intéresse également celles et ceux qui veulent s’initier à cet hédonisme de la route, bouger et choisir sa destination en toute liberté. Quant au prix de vente moyen de ces véhicules, il s’élève à 60 000 euros…

 

 

Une application de géolocalisation du salon pour anticiper sa visite…

 

Pour ces retrouvailles avec un public en provenance des quatre coins de France, y compris de Bourgogne Franche-Comté, l’évènement dévoilera un certain nombre de nouveautés.

Que l’on pourra tester sur le centre d’essais avec le véhicule de son choix parmi le catalogue de produits à l’estampille des constructeurs automobiles présents dont Fiat, Ford ou Mercedes. C’est une expérience insolite qui allie l’envie de découverte des modèles les plus récents et le plaisir de conduire dans un tel environnement.

 

 

 

Eclectique dans ses prestations, le salon des véhicules de loisirs réunit tous les acteurs de la filière. Outre les constructeurs dont certains sont localisés dans l’Ouest de la France (on pense à RAPIDO en Mayenne, PILOTE en Loire-Atlantique ou encore GLENAN Concept dans le Finistère), le public retrouvera aussi parmi les nombreux stands les fournisseurs d'équipements et d'accessoires, la presse spécialisée, les associations d'utilisateurs, les voyagistes, les sociétés de services, les organisations professionnelles et même les organismes de crédit et d'assurance qui anticiperont peut-être les futurs achats réalisés in situ !

Celles et ceux qui désirent anticiper leur venue (la découverte d’un salon aussi vaste se prépare méthodiquement) pourront télécharger une application ad hoc. Il suffit de scanner le QR code disponible sur le salon, sur le guide de visites distribuée à l’entrée ou sur le site web pour bénéficier de cette technologie dynamique favorisant la géolocalisation. Idéal pour trouver plus facilement les stands à visiter en priorité !

Neuf jours durant, la plus grande vitrine européenne de ce secteur d’activités donnera l’envie à celles et à ceux qui souhaitent vivre à fond l’expérience de l’essayer. Pourquoi pas vous ?

 

 

En savoir plus :

Salon des véhicules de loisirs

Du 25 septembre au 03 octobre 2021

Parc des Expositions du Bourget, près de Paris

Tarifs de 5 à 12 euros.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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