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La dernière réunion publique se déroulait ce vendredi soir dans la salle polyvalente. Avec en filigrane, une date à retenir. Celle du chiffre 13. Superstitieux, s’abstenir ! Ce n’est pas le cas du chef de file de la liste « Union pour CHEVANNES » Dominique CHAMBENOIT, qui a eu tout le loisir de profiter de ces circonstances oratoires face à une assistance pour définir les contours stratégiques de sa vision politique qu’il souhaite mettre en exergue en cas de succès dimanche…

CHEVANNES : « Une nouvelle énergie pour notre commune ! ». Le slogan caractérise à la perfection Dominique CHAMBENOIT, prétendant à la succession de l’ancien édile, Jacques CHANARD.  

Ancien serviteur de l’Etat au sein du Ministère de l’Intérieur, l’ex-adjoint au maire (période 2008/2014) a fait acte de candidature en s’appuyant sur une liste paritaire et apolitique.

Entouré de sortants mais aussi de nouveaux venus, ce résident de CHEVANNES depuis 1979 explique dans sa profession de foi que « cette équipe porte en elle un dynamisme, de la proximité, avec un fort potentiel et une envie de travailler ensemble. Et surtout une réelle volonté de s’engager ».

D’une moyenne d’âge est de cinquante ans, « Union pour Chevannes » se veut porteuse de valeurs prenant leur source dans la transparence, le respect de la parité et l’égalité.

Parmi les propositions novatrices qu’elle véhicule, citons l’organisation de réunions thématiques par hameau afin d’informer et d’écouter les citoyens ou l’implantation de solutions de développement durable dans la commune.

Les candidats soutiennent également le tissu associatif et les commerces de proximité, ainsi que les aînés et la jeunesse. Tout en maintenant la réflexion sur les dossiers déjà en cours.

Le programme s’inscrit également dans une dynamique internationale via des partenariats d’échanges culturels vers l’Italie et les Etats-Unis. Originaire des différents territoires de la commune (Chevannes, Orgy, Serein, La Villotte), la liste offre ainsi, grâce à ce prisme éclectique, une vue d’ensemble des différentes problématiques que peuvent rencontrer les habitants.

Dominique CHAMBENOIT souhaite, s’il est élu, développer harmonieusement la localité en renforçant le bien- vivre ensemble et le respect des convictions de chacun. Bref : dans un pur esprit de citoyenneté participative…

 


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Ecourtée pour laisser la place par écran cathodique au président Emmanuel MACRON qui intervenait à vingt heures, la prise de parole de Guy FEREZ candidat à sa propre succession n’en demeura pas moins dense et énergique. Face à un auditoire bien garni (plus de quatre cents personnes) qui avait bravé leur peur du coronavirus, le maire-président de l’Agglo fit un exercice oratoire de synthèse sans aucune note où il énonça toutefois plusieurs de ses grands chantiers à mener pour le bien-vivre à Auxerre. En conspuant l’ignorance et l’amateurisme de ses adversaires qu’il ne daigna point nommer…

AUXERRE : La pendule et la sécurité. Deux aspects essentiels qui sont à retenir au point de vue de la logistique de cet ultime rendez-vous avec les électeurs, vécu ce jeudi soir.

Pas un supporter de l’édile auxerrois n’aura pu échapper à la sagacité et aux contrôles sanitaires mis en place à l’entrée de la salle VAULABELLE qui accueillait ce tour de piste d’avant scrutin. Le coronavirus n’était pas invité à y rentrer. Par conséquent, et dans un esprit bon enfant, chacune et chacun des sympathisants se prêta volontiers au jeu du nettoyage des mains réglementaire. Avec discipline et bonhomie.   

La montre était elle aussi partie prenante de ces futurs échanges entre les orateurs et le public. En maître de cérémonie avisé pour garantir la vérification temporelle de l’exercice : Marc  PICOT (directeur du cabinet du maire) positionné aux avant-postes de la tribune. Il devait le répéter à maintes reprises à qui voulait l’entendre : les allocutions seront raccourcies pour suivre l’intervention télévisée du chef de l’Etat devant s’exprimer à 20 heures tapantes sur les mesures à prendre pour juguler la propagation invasive du virus inquiétant.

Directrice de l’école des Rosoirs et colistière de l’équipe « Un nouvel équilibre », Sophie FEVRE eut le privilège d’ouvrir le bal afin d’expliquer les motivations de son engagement. Elle insista lourdement sur le fait que « d’égrener des rêves utopiques auprès des Auxerrois sans les avoir budgétés au préalable ne constituaient pas les bases d’un programme pérenne et sérieux… ».

 

 

 

Placer la jeunesse et l’intelligence en orbite…

 

Puis, nimbé par la lumière de projecteurs blafards, arrive sur la scène un Guy FEREZ prenant possession du pupitre comme à son habitude. Pas de notes, et une maîtrise mémorielle qui lui permet de débiter le flux de ses pensées avec aisance…

D’abord, il remercie. Puis congratule ses colistiers. Ses fidèles, aussi. Ainsi que toutes ces voix anonymes qui apporteront leurs suffrages. Se faisant le prêcheur d’une grande fraternité où « les uns vivent avec les autres dans le respect et l’altruisme qui correspond à la règle d’or de son engagement dans la vie politique… ».

Viennent ensuite les espérances. Liées au renouveau incarné par ce printemps. Toutefois, elles ne dépendent pas de lui, tout seul. Le maire d’Auxerre s’en remet aux autres pour qu’il représente ce nouvel équilibre dont il est l’ardent défenseur. Une alchimie que puise son creuset d’idées et de dynamisme via la jeunesse qui l’accompagne dans l’aventure. Il faut aussi de l’audace. « Nous en aurons besoin demain et après-demain, clame-t-il haut et fort.

 

 

Curieusement, Guy FEREZ s’épanche. Un peu plus que de coutume. Pas sur son sort, non, mais sur l’image et le bilan qu’il pourrait laisser un peu plus tard. Une fois l’heure du retrait en politique venu. « Le plus loin possible, plaisante-t-il afin de rassurer ses troupes.

« Je ne veux pas être enfermé dans la nostalgie et le regret, confie-t-il, je veux simplement être un passeur : celui d’une nouvelle génération intelligente, brillante, qui œuvre au service de notre ville… ».    

Du petit lait à siroter voluptueusement pour les composantes trentenaires et quadragénaires de la liste. N’est-ce pas Mathieu DEBAIN ? N’est-ce pas Mani CAMBEFORT ? N’est-ce pas celles  et ceux  qui pourraient se révéler dans le futur mandat en cas de victoire ?

 

 

  

Le refus de l’amateurisme et de l’ignorance

 

Quant aux adversaires dont il prendra le soin de ne pas les nommer même s’il les a étrillés, l’édile en place se dit stupéfait, « voire estomaqué par trop de voix qui portent les stigmates de l’amateurisme et de l’ignorance ».

Puis, décochant une nouvelle flèche, « ce sont des voix suffisantes qui ont du mal à cacher leurs insuffisances ».

Appelant à opposer le front de l’expérience et des compétences à celui de l’amateurisme, Guy FEREZ insista ensuite sur la vision nécessaire que se doit de posséder un prétendant au précieux sésame municipal dans la future gouvernance.

Rejetant l’idée de répertorier l’ensemble du programme, l’orateur ponctua de quelques exemples bien saillants ses faits d’arme pour le prochain mandat.

« Demain, je veux conduire au même rythme les projets et le renouvellement urbain de nos quartiers, qu’il s’agisse des Rosoirs, de Sainte-Geneviève ou du cœur de ville. J’y tiens ! Au nom de l’unité de la ville, il est stupéfiant de penser que nous souhaiterions dresser tel quartier contre un autre ou telle catégorie de la population à une autre ! ».

Alors, oui, il le réaffirmera tout de go : il construira le nouveau parking de Saint-Vigile, il aménagera l’Arquebuse et la place des Cordeliers. En bâtisseur dont il se définit.

« Je ferai ce qui a été annoncé, car nous sommes des élus bâtisseurs ! Nous avons besoin de logements sociaux, et bien nous les érigerons ! Je m’insurge aussi quand on dit que je ne favorise pas l’investissement privé… ».

Preuve à l’appui avec les quarante nouveaux logements qui seront bientôt disponibles en centre-ville.

 

 

 

 

Le volet économique ne fut pas oublié de ce discours. « Quelle ignorance de dire que le dynamisme n’est pas au rendez-vous alors que l’Agglomération de l’Auxerrois englobe 18 % des habitants de notre territoire et qu’elle est porteuse de 30 % des emplois ! ».

Se rapprocher de l’Ile-de-France pour y développer des axes de travail autour du développement économique figure déjà dans les coursives depuis deux ans. Grâce à une symbiose maîtrisée avec l’intervention de Nicolas SORET (président du PETR Nord) et de l’Etat.

Quant à la finalisation du contournement sud de la ville, il intègre les futurs projets du programme, en étant d’ores et déjà budgété.

« Je pourrai évoquer la culture, la solidarité à l’égard de celles et ceux qui sont dans la précarité, le commerce, l’accessibilité aux personnes âgées et en situation de handicap, le tourisme, l’écologie…Mais au-delà de la servitude qui existe à assumer la gouvernance d’une ville (et je l’assume pleinement), ce que je sais, c’est que j’ai en moi la ferme volonté de poursuivre le chemin et d’inciter les Auxerrois à ne pas prendre le risque d’une période aventureuse en empruntant une autre voie… ».

En terme clair, et pour résumé, dans un environnement anxiogène, serait-il convenable de se dispenser de repères faits de compétences et de solidité pour Auxerre ?

La réponse sera dans les urnes dès le premier tour ce dimanche…

 

 

 


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La première des deux manifestations commerciales concoctées traditionnellement par le spécialiste de collants « fantaisie » de l’Yonne a été maintenue malgré la menace pernicieuse du fameux virus. Si le nombre de visiteurs faisait déjà exploser les compteurs dès la soirée de lancement ce jeudi, que dire de la participation virtuelle des internautes qui ont convergé en masse sur le site de la PME dès le lendemain…

MIGENNES : Chaque année à pareille époque, le retour de la période printanière se manifeste par une animation populaire que pour rien au monde ne viendrait manquer la gent féminine de notre département. Voire d’ailleurs !

Pas même la menace insidieuse de ce coronavirus, venu de nulle part, à l’origine de la plus grave crise sanitaire qu’ait connu notre planète depuis un siècle.

Aussi, à la question posée bien en amont de savoir si les traditionnelles portes ouvertes du spécialiste de la distribution de collants « fantaisie » allait subir les fourches caudines de l’annulation, il fut répondu par la direction de la PME qui exporte ses produits à l’international que « tout se déroulerait en bonne et due forme malgré des circonstances particulières... ».

Bien sûr, plusieurs précautions furent adoptées. A commencer par la présence de ces fameux flacons de gel hydro-alcoolique et de rouleaux de papier pour s’essuyer les mains, proposés à l’entrée du show-room, largement ventilé.

Principe de précaution légitime auquel se soumirent sans renâcler les nombreuses participantes à ce grand raout de la fête du maillot de bain bigarré et de la paire de collants « tendance » et coquette.

C’est simple : la soirée de lancement de l’opération qui se déroulait la veille a vu sa fréquentation dépasser de 15 % celle de la saison dernière !

Se poursuivant jusqu’à ce samedi en début de soirée, on imagine aisément ce que devrait être le bilan de l’animation commerciale à son terme. Une probable réussite !

Les internautes de leur côté ne sont pas restés de marbre face à cette avalanche de produits déclinés sous diverses variantes de taille et de couleurs pour parachever le succès physique de ce rendez-vous.

Plus de quinze mille d’entre eux ont « liké » l’information qu’ils ont consultée sur la toile, ramifiant ainsi le plus largement possible les tenants et aboutissants de cette vente exceptionnelle.

Celle-ci nous reviendra, peut-on l’espérer sous un tout autre climat, un peu moins anxiogène, à l’automne prochain. D’ici là, les affaires continuent chez DIVINE !

 

 

 

 

 


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Fidèle à ses méthodes usuelles, c’est-à-dire casser les codes de l’orthodoxie routinière en matière de communication, le candidat de la droite et du centre à la mairie d’Auxerre a réuni ses aficionados lors d’un ultime tour de piste d’envergure, salle Vaulabelle, jeudi soir. Devant quelques quatre cents supporters, acquis à sa cause, l’entrepreneur-candidat s’est glissé dans les habits d’un « Monsieur Loyal », qui a assuré l’animation et la scénographie participatives de ce show ayant pour objectif de rassembler. Un meeting choral où plusieurs de ses équipiers purent également s’exprimer…

AUXERRE : Il ne manquait que les light-shows et la présence des « pom-pom girls » pour que la fête soit complète dans cet univers un tantinet vétuste qu’est la salle municipale.

Au centre de celle-ci, départageant deux allées de chaises très vite garnies de leurs occupants, un vaste tapis couleur bleu sombre. Avant même que les choses ne débutent, on subodorait déjà que ce meeting, seul et unique rendez-vous de cette importance avant le premier tour des municipales, engendrerait son lot de surprises. A défaut, toutefois, d’être un vrai spectacle politique comme savent si bien l’exécuter les Américains !

Quant au pupitre, positionné en contrebas de l’estrade, il ne fera office que de lieu de prise de parole introductive et conclusive. Bref, sans doute peu habitué à ce type de rendez-vous, plutôt original sur sa forme, le public dut tourner la tête à maintes reprises pour suivre sur le long ruban bleu du revêtement au sol la déambulation des orateurs successifs qui allaient dérouler le programme du challenger au maire sortant.

Pour autant, la soirée ne pouvait s’enclencher sans qu’il n’y ait eu la moindre allusion à celui dont la mémoire vivace raviva tous les esprits. L’ombre du regretté Jean-Pierre BOSQUET, source d’inspiration et de réflexion du candidat en lice, planait très nettement au-dessus de l’assistance. Un hommage légitime lui fut rendu. Le temps que passe un ange. Celui de la vie éternelle ?

 

 

Ne pas être le maire d’une ville musée !

 

Puis, les choses s’accélèrent. Après la phase d’introduction réservée à Elisabeth GERARD-BILLEBAULT, le quadragénaire fédérateur des forces de la droite républicaine et modérée développa dans une longue intervention, ponctuée de salves d’encouragement, ses propos.

Il ne fallut pas attendre très longtemps pour que ne tombe une première banderille de l’orateur destinée à l’adversaire clairement identifié à battre.

« L’équipe sortante a beau essayer de faire l’autruche, nous sommes parmi les plus mauvais élèves des villes moyennes ! Sur 203 villes étudiées par le Commissariat général à l’égalité des territoires, Auxerre est classée parmi les villes les plus vulnérables… ».

 

 

Dès lors, les arguments fusèrent, les bons mots faisant réagir le public s’intensifièrent : « Je veux être le maire d’une ville qui ne sera pas un musée ! ».

Petit à petit, Crescent MARAULT se décontracta à la tribune, gagnant en facilité avant d’aborder deux sujets majeurs et structurants de son programme : la déviation Sud et la liaison ferroviaire, un dossier qui ressemble à s’y méprendre à une véritable arlésienne dans le landerneau. Puisqu’il n’est toujours pas résolu.

Au sujet de la déviation Sud : Crescent MARAULT s’interroge. « Comment peut-on dire sérieusement qu’on veut faire cette déviation et dans le même temps ne pas l’anticiper dans un document budgétaire alors que son coût est de l’ordre de 120 millions d’euros ? ».

 

 

Pratiquer une politique différente de celle des autres candidats…

 

Deuxième item intéressant : la liaison ferroviaire avec l’accès au plus grand pôle économique européen (l’Ile-de-France) dont il fait l’une de ses priorités.

« Ne nous mentons pas, Auxerre a déjà raté plusieurs trains dont celui de l’électrification de la ligne TER ! Le projet était programmé mais il a été abandonné par le maire sortant. Mais, faisons plutôt le pari d’attirer de nouveaux talents et les potentiels venus des métropoles par chez nous… ».

Sa rencontre, récente, avec la présidente de la Région francilienne, Valérie PECRESSE, dont il fera écho, s’inscrit dans ce cheval de bataille participatif.

Evoquant ensuite le taux de vacance commerciale qui atteint localement 19 % (soit six points de plus que d’autres villes de même taille), le candidat à l’estampille des Républicains, de l’UDI et du MoDem, s’engage à réamorcer la pompe pour sauver le centre-ville dès qu’il détiendra les pleins pouvoirs.

 

 

« Encourageons les propriétaires à rénover leurs façades avec des mesures incitatives, clama-t-il, déployons une stratégie commerciale faisant du cœur de ville une locomotive, pour tous les quartiers et même de l’ensemble du bassin ! ».

Critiquant le projet de construction d’un nouvelle zone de stationnement en hyper-centre, le porte-voix de la liste « Auxerre au Cœur » s’est attelé à donner sa vision personnelle qu’il se fait de la multi-modalité.

« Les quartiers de la gare Saint-Gervais et du port méritent d’être amplifiés, et surtout transformés. Il y a aujourd’hui près de deux kilomètres de distance entre la gare ferroviaire et la prétendue gare multimodale des Migraines qui soit dit en passant a coûté trois millions d’euros ! ».

 

 

Le logement social apparut ensuite dans le viseur du candidat. « Arrêtons d’en construire, souligna Crescent MARAULT, Auxerre compte aujourd’hui 35 % de logements sociaux alors que l’obligation légale s’élève à 25 % ! Ayons plutôt le courage de rééquilibrer le marché du logement auxerrois ! ».

S’arguant de vouloir pratiquer une politique singulièrement différente de ses opposants, le candidat de la droite et du centre énuméra quatre premières actions qu’il pourrait réaliser à court terme en cas de succès au soir du 22 mars.

Dans ce panorama applicatif, citons pêle-mêle la première heure de gratuité pour le stationnement en centre-ville, le renfort des effectifs de la police municipale qui ne compte pour l’heure que cinq personnes, la tenue d’une assemblée citoyenne sur des sujets économiques et sociaux ; enfin, le recrutement d’un manager de centre-ville. Ce dernier devra combiner trois domaines de compétence : le savoir-faire en matière d’urbanisme, la gestion du budget et la communication, pour mieux vendre le cœur de ville.

Pour conclure, Crescent MARAULT brossa un succinct portrait de lui-même. Mettant en exergue ses valeurs de chef d’entreprise « qui ne craint pas les responsabilités ». Et désireux de placer l’écologie en évidence parmi toutes les strates de son programme.

 

 

« L’économie circulaire et l’économie verte peuvent apporter ce qui est indispensable à notre ville : des emplois pérennes qui ne seront jamais délocalisés… ».

Considérant son engagement politique comme une mission ponctuelle, l’orateur précisa qu’il s’engageait à ne pas effectuer plus de deux mandats.

L’heure et demie de discussions et d’échanges avec la salle se poursuivit par les interventions thématisées, et plus ou moins minutées (!), de plusieurs de ses co-équipiers (Emmanuelle MIREDIN, Isabelle JOAQUINA, Carole CRESSON, Céline BAHR, Nordine BOUCHROU et Pascal HENRIAT…).

Avant que ne se lève le voile sur ces nouveaux visages de la droite et du centre auxerrois qui composent la liste, réunie au pied de l’estrade. Et les conclusions sous forme de synthèse du député de la première circonscription, Guillaume LARRIVE, qui s’est dit « très enthousiaste devant pareilles retrouvailles… ».

L’heure de l’ultime round de ce combat des chefs a donc sonné. Entre doutes et certitudes, on y verra un peu plus clair au terme de la journée dominicale qui pointe à l’horizon…

 

 


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A l’heure où la campagne pour les élections municipales bat son plein, il nous semble important de rappeler le rôle de l’économie de proximité, et plus particulièrement de l’artisanat, dans la vie économique et sociale de nos territoires. Quelles soient urbaines ou rurales, nos communes ne sauraient se passer de leurs artisans…

TRIBUNE : L’artisanat est l’un des rares acteurs économiques à être présent sur chaque ville et chaque village de notre région. Quand nos concitoyens regrettent, à juste titre, la délocalisation des services publics et la déshumanisation des relations, les artisans demeurent dans de nombreux cas les derniers liens de proximité pour la population locale.

Il est vital que les candidats, et plus tard ceux qui seront aux responsabilités, se donnent les moyens de favoriser le développement de l’artisanat sur leur commune.

Qu’elle soit installée en zone rurale ou dans un quartier urbain, une entreprise artisanale trace autour d’elle un cercle vertueux. Elle propose des services et des produits à la population locale. Elle permet à des jeunes d’apprendre un métier grâce à l’apprentissage. Elle offre des perspectives d’emplois non délocalisables. Elle tisse du lien entre les habitants pour qui le commerce local demeure parfois l’unique lieu de rencontre sur la commune.

Encore faut-il que les communes soient en capacité de conserver leur tissu artisanal local et qu’elles mettent en œuvre des politiques pour favoriser l’implantation de nouvelles entreprises. Ces initiatives sont complexes et nécessitent à la fois une connaissance pointue de l’environnement économique local et une expertise dans l’accompagnement des entreprises.

 

 

Les promesses doivent être suivies d’actions…

 

Pour les aider dans la définition de leur politique économique, les Chambres de Métiers et de l’Artisanat mettent à la disposition des candidats et des futures équipes municipales un Livre Blanc qui recense des actions couronnées de succès à travers toute la France.

Ce recueil démontre que les partenariats entre les communes, plus largement avec les EPCI et le Conseil Régional, et les chambres consulaires conduisent à des résultats concrets et bénéfiques pour les territoires.

Les initiatives sont multiples : favoriser la transition écologique des entreprises, diagnostiquer les besoins d’un territoire, aider à l’installation de nouvelles activités, permettre la transmission des entreprises, redynamiser un centre-ville, inciter les habitants à consommer local, accompagner les entreprises locales dans l’accès à la commande publique… une soixantaine d’exemples sont présentés. De quoi nourrir de nombreux projets pour nos communes.

Nous en sommes convaincus, l’artisanat ne sera pas oublié dans les promesses des candidats. Mais, plus important encore, il faut que ces promesses soient suivies d’actions une fois que les équipes seront en place.

Les 56 000 entreprises artisanales de Bourgogne Franche-Comté, leurs 4 400 apprentis, leurs 87 000 salariés sont une chance pour notre région. A vous, à nous de leur donner les moyens d’exprimer la pleine mesure de leur talent !

 

Emmanuel POYEN et Jean-François LEMAITRE

 


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