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Voici le second volet de cette tribune, consacrée à l’instauration possible d’un nouveau Plan inspiré du modèle de 1945 pour sauver l’Europe de la catastrophe économique dès que la pandémie le permettra. La stratégie inavouée est peu rassurante quant aux intentions. Bien sûr, il faut saluer le courage des soldats américains venus libérer l’Europe du nazisme et rendre hommage, à tous ceux qui sont morts pour nous avoir aidés à retrouver notre liberté ! Pour autant, ne soyons pas dupes sur le faux altruisme de l’oncle Sam !

TRIBUNE: Un peu d’histoire pour se remémorer les faits. Du 01er au 22 juillet 1944, lors de la conférence de Bretton Woods, l’Amérique impose à l’Europe le dollar comme monnaie internationale. Avec une parité sur l’or.

Les Etats-Unis détiennent à eux seuls les deux tiers des réserves d’or de la planète et imposent un nouveau règlement des échanges monétaires. Rappelons que la guerre n’est pas encore terminée et que nous venons à peine d’achever le débarquement des soldats sur les pages de Normandie ! Deuxième acte : il faut à tout prix contrer le développement du communisme en Europe. C’est cela le prix du Débarquement !

En conséquence, il est indispensable que l’Europe relève la tête sur le terrain économique. Le 3 janvier 1948, le plan Marshall propose (et impose) une aide économique de 13 milliards de dollars, dont 1,6 milliard pour la France.

Objectif : la reconstruction des appareils productifs et des infrastructures détruits par la guerre. Encore mieux, les pays soutenus doivent acheter tous les biens nécessaires à leur reconstruction aux Etats-Unis ! Ce qui a fait dire à beaucoup que le plan Marshall était un blanc-seing pour sauver l’économie américaine…

Bretton Woods et le plan Marshal représentent la donne importante d’un impérialisme américain qui ne s’achèvera qu’avec le coût de la guerre du Vietnam en 1971, puis 1976 avec les accords de la Jamaïque et la fin de la parité or pour le dollar !

Alors aujourd’hui, on évoque de nouveau l’opportunité d’un plan Marshall bis, mais pourquoi faire ? La relance de la politique de l’offre en accordant de grandes largesses aux entreprises avec la diminution de la fiscalité et des charges sociales passe par là. Il faut obtenir des subventions mais surtout soutenir l’investissement par le crédit !

 

Relancer l’économie par l’offre : revoilà les bonnes vieilles recettes

 

Elles sont basées sur les théories de Say (1767/1832) et de Keynes (années 1930). Du néolibéralisme pur jus, cher à Emmanuel Macron !

Mais, pour acheter quoi au juste ? Du matériel, des matières premières, de l’outil de production…Justement de quoi aggraver un peu plus les déficits de la balance commerciale avec l’inflation en prime. Puisque cette dernière semble inéluctable, qui va acheter ?

Alors, faut-il une politique de l’offre ? C'est-à-dire, réduire les impôts, augmenter les salaires, améliorer par tous les moyens possibles le pouvoir d’achat des consommateurs. Dans le contexte actuel, c’est inimaginable. Relancer l’offre et la demande : c’est la quadrature du cercle !

On l’a compris tout cela va lourdement peser sur la fin des investissements pour l’amélioration de la qualité de l’environnement. Nous avons hélas oublié que c’est la façon de produire qui est à l’origine de nos maladies et du coronavirus ! On marche sur la tête…

La patronne de la BCE, Christine LAGARDE, tente de nous rassurer. Les entreprises, les banques et les états seront sécurisés par plus de 1 000 milliards d’euros de capital, que la Banque Centrale Européenne pourra injecter ! De qui se moque-t-on ?

Si l’Etat veut soutenir les entreprises et les banques, il faudra éviter de renouveler les erreurs commises en 2008 et qu’il prenne une part du capital des entreprises aidées en rendant le partage des richesses plus équitable.

 

Et pourquoi pas la souscription d’emprunts ?

 

Alors, emprunter, oui mais à quelles conditions ? « M’sieur le poète financier » pourriez-vous émettre des emprunts qu’on ne rembourserait que lorsqu’on peut, quand on veut et dont les intérêts ne seraient versés que si on fait des bénéfices ? Ne rêve pas, « petit scarabée » !

Mais bien sûr que si ! Cette dette perpétuelle a pris la forme, surtout dans les années 80 de TSDI (Titres Subordonnés à Durée Indéterminée). On peut tout chez les saltimbanques de la finance. La souscription de tels emprunts devra être imposée aux plus riches, entreprises et particuliers (et pourquoi pas à la BCE ?).

Inévitablement, la relance passera aussi par des menaces coercitives. Ne serait-ce que pour le rapatriement des fonds placés à l’étranger sur les comptes offshores des fraudeurs de tout poil.

La solidarité oui. Mais, il faut placer l’équité avant l’égalité. Un plan Marshall, pourquoi pas ! Mais, s’il est nécessaire de développer un Plan Marshall qui soit équitable, alors il faut proposer un plan Marshall par personne !

Jean-Paul ALLOU

 


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Ce jeudi s’est tenue par le biais d’une audioconférence la première réunion du Comité du bâtiment, des travaux publics et de la construction sous l’égide de la préfecture de l’Yonne. Un rendez-vous essentiel car il a permis d’évaluer quels étaient les chantiers privés et publics pouvant être potentiellement relancés à brève échéance…

AUXERRE : La mobilisation des acteurs publics et économiques de notre département est totale. Elle sert à optimiser la reprise des chantiers après plusieurs semaines d’interruption liées au coronavirus.

Ce jeudi a eu lieu la première séance de travail souhaitée par la préfecture de l’Yonne pour faire toute la lumière sur ce qu’il était possible d’envisager dans les meilleurs délais.

Les principaux acteurs de la filière ont été invités à s’exprimer avec le représentant de l’Etat, Henri PREVOST, pour identifier les chantiers prioritaires, publics et privés, qui pourraient reprendre à court terme. Dans le respect des gestes barrières et des recommandations sanitaires du moment, il va de soi.

 

 

Participaient également à cet échange par liaison téléphonique les représentants des principaux maîtres d’ouvrage et ceux de l’UD-DIRECCTE.

Le recensement des principaux chantiers qui ont été interrompus a débuté en date du 04 avril.

Précisons qu’un guide des bonnes pratiques a été validé pour ce secteur il y a peu. Il émane de la concertation nationale entre le gouvernement et les organisations professionnelles des entreprises du bâtiment et des travaux publics.

Ce document rappelle les mesures urgentes et spécifiques à mettre en œuvre pour assurer les conditions sanitaires adéquates afin de protéger les personnels de la filière.

 

En savoir plus :

http://www.yonne.gouv.fr/Actualites/COVID-19-information-et-soutien-aux-entreprises

https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/covid19-conseilsbtp.pdf

 


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Alors que la quasi-totalité des unités de production sont à l’arrêt partout en Europe, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, appelle au redémarrage progressif de l’activité. Un sursaut vital pour l’industrie automobile dont les usines pourraient reprendre petit à petit leur fonctionnement.

PARIS : Si l’est un des secteurs économiques qui ne sort pas indemne de la crise sanitaire actuelle, c’est bien celui de l’automobile. L’effondrement du marché est abyssal. En l’espace d’un mois, celui de mars, la production s’est délitée à hauteur de - 72,2 % dans l’Hexagone. Soit une chute de - 34 % en moyenne établie au cours du premier trimestre 2020. Son appareil industriel est à l’arrêt à 85 % ! Du jamais vu…

Le phénomène contagieux du coronavirus ne pouvait pas plus mal tomber pour ce pan essentiel de l’économie mondiale. Depuis la fin 2019, le secteur de l’automobile est en proie à un retournement de cycle avec une baisse du marché qui avoisinait déjà 6 % avant le début de la pandémie. 

Une reprise d’activité, même modeste soit-elle, fait déjà figure de grande nécessité pour les spécialistes. Ceux, entre autres, du Comité stratégique de la filière qui était réuni il y a peu par audioconférence pour examiner l’étendue du désastre. Une réunion numérisée qui accueillait la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER.

L’amorce du retour au travail est dans le viseur. Sachant que toutes les entreprises de la corporation sont désormais mobilisées pour mettre en application dans leurs usines et bureaux des protocoles sanitaires très stricts permettant d’assurer la sécurité des salariés. Certaines profiteront du retour d’expérience des dispositions qui ont été adoptées sur les sites industriels de Chine. Là-bas, le redémarrage s’est effectué avec réalisme et succès.

Hormis les unités de production, les professionnels du secteur entendent protéger les activités de logistique, livraison et ventes. Des travaux de mise en place de mesures de protection, auprès des collaborateurs comme de la clientèle, sont en cours.

 

 

Un signal fort des pouvoirs publics est attendu…

 

Attentive aux propos de ses interlocuteurs, Agnès PANNIER-RUNACHER a rappelé que le gouvernement ferait en sorte de créer progressivement les conditions indispensables au redémarrage du secteur via les autorisations de circulation des véhicules de transport, y compris au niveau des différents pays européens.

Dès que le contexte sera favorable, les livraisons de véhicules pour alimenter les réseaux de concessionnaires reprendront. Avant que ne rouvrent enfin lesdites vitrines commerciales qui accueilleront de nouveau la clientèle dans le respect des exigences sanitaires voulues par l’Etat.

 

 

 


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Silencieux depuis plusieurs semaines, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME) s’est accordé du temps. Un espace nécessaire pour mûrir sa réflexion avant de prendre la plume et de s’adresser à ses adhérents par lettre interposée. Voici les morceaux choisis de ce message qui vient du cœur et qui exprime ce désir fou de reprendre le sens de l’existence là où on l’avait laissée avant le début de cette pandémie, digne du pire des scénarii de films de science-fiction de seconde zone…

AUXERRE : Hormis une opération solidaire qui lui aura permis de montrer le bout de son nez lors d’une distribution de solutions hydro-alcooliques concoctée avec le concours de la FFB et du restaurant « BBY » il y a quelques semaines, on n’était depuis sans nouvelle du charismatique responsable de la CPME de l’Yonne.

Suspendu aux décisions gouvernementales et à l’évolution de l’épidémie qui ne cesse de se propager dans l’Hexagone, le chef d’entreprise à la tête d’un domaine viticole à Chablis s’est enfin décidé à rompre le silence. De la manière la plus directe qu’il soit, c’est-à-dire scripturale.

Il vient en effet de transmettre un long courrier à ses adhérents afin de les réconforter et de les saluer face aux épreuves qu’ils traversent. Et surtout qui les empêchent de se voir et de travailler ensemble.

« Dans ce contexte compliqué, écrit-il, comment réagir alors que beaucoup de chefs d’entreprise ont dit à leurs collaborateurs qu’ils pouvaient travailler de chez eux avec leur téléphone et leur ordinateur tandis que d’autres seraient en chômage partiel… ».

Rester positif tout en s’assurant de la sécurité inconditionnelle de ses collaborateurs et sans perdre de vue que l’entreprise doit rester prospère est devenu un problème kafkaïen quasi insurmontable.

« C’est là tout le paradoxe, poursuit Olivier TRICON, être confiné pour se protéger de toutes les personnes qui nous entourent au quotidien tout en continuant le travail pour faire fonctionner l’économie relève de la magie ! Même si tout doit être mis en œuvre en termes de barrière sanitaire… ».

Le président du syndicat patronal des TPE et PME pense que s’il y a un bénéfice à cette crise, « ce serait celui de la prise de conscience de nos concitoyens à l’égard de ces entreprises qui produisent des biens indispensables à leur consommation, créent de la richesse et de la valeur, sans omettre l’emploi… ».

Bref : sans l’engagement et l’audace de ces personnes, l’engrenage vertueux de l’économie s’arrêterait immédiatement. Comme c’est le cas, du moins partiellement  en France, depuis la mi-mars.

 

Une indemnisation de 1 250 euros aux indépendants, commerçants et artisans…

 

Réagissant aux prises de position de son président national, François ASSELIN, le chef de file de la CPME de l’Yonne rappelle que ce dernier défend auprès du gouvernement une vision du travail basée sur la sécurité des collaborateurs, des entrepreneurs et des entreprises, personne morale.

« Oui, expose-t-il, la sécurité est une priorité absolue. Nous voulons faire travailler nos salariés mais en étant sûr que nous ne mettons pas en péril leur santé et pas au prix de charges supplémentaires disproportionnées pour nos entreprises… ».

La situation est, on ne peut plus claire. Quant à la sécurisation des dirigeants, il souligne que les instances nationales de la CPME souhaitent que soit reconnue une obligation de moyen, et non de résultat en matière de santé et de sécurité.

 

 

« Notre syndicat a réfléchi à l’indemnisation des chefs d’entreprise. Nous avons obtenu une somme de 1 250 euros qui vont être versés aux indépendants, commerçants et artisans, hors charges sociales et fiscales… ».

Toutefois, Olivier TRICON précise qu’il est aussi indispensable de travailler à la protection de la personne morale.

« Nous nous battons aujourd’hui pour que des outils soient mis à la disposition des entrepreneurs afin de les aider à surmonter la crise. Nos revendications portent également sur l’annulation des charges sociales et fiscales… ».

Un axe stratégique plus favorable qu’un simple report qui favoriserait le retour opérationnel des entreprises dans de bonnes conditions.

« Je vous conseille aussi d’utiliser toutes les opportunités possibles pour maintenir la trésorerie, ajoute-t-il en faisant allusion aux aides consenties par l’Etat, la Région, les réseaux bancaires, BPI France, etc. ».

Toutefois, le président de la CPME insiste auprès de son lectorat : « Si j’ai une demande à vous faire, et vous savez que c’est assez rare de ma part, c’est celle de payer vos factures afin de ne pas mettre en difficulté vos fournisseurs… ».

 

Des liens étroits noués au niveau local…

 

Au plan départemental, la CPME travaille de concert avec les différentes institutions ayant attrait à l’économie. Ainsi, elle fait entendre sa voix auprès de l’URSSAF, la DIRECCTE, la préfecture, la Région, les communes.

« Cette concertation se fait en lien avec des spécialistes qui nous accompagnent : experts comptables, avocats, assureurs, les chambres consulaires. Le but étant de vous écouter, de vous informer et de vous accompagner dans toutes vos démarches… ».

Une fois sortie de ses épreuves, Olivier TRICON qui aura l’immense plaisir à retrouver tous ses adhérents, espère un monde entrepreneurial plus solidaire et  plus fort après tant d’adversités. Un désir à partager par tous…

 


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Attristé depuis l’annonce de cette tragique disparition, celle du président national des Chambres de Métiers et de l’Artisanat emporté le jour de Pâques par le coronavirus, Jean-François LEMAITRE côtoyait depuis quatre ans l’homme aux moustaches si singulières dans les hautes sphères de la corporation. Au sein de l’Assemblée permanente des chambres de métiers (APCM), le président de la chambre consulaire de l’Yonne avait noué des liens indéfectibles avec ce personnage charismatique et haut en couleur devenu le symbole de toute une filière…

SENS : Un guide. Peut-être même un mentor. En tout cas, celui qui vient de disparaître incarnait à ses yeux la force d’airain d’une filière qui souhaitait se battre jusqu’au bout pour ne pas souffrir durablement des conséquences de cette ignoble « saloperie ». Ce coronavirus qui a eu gain de cause de lui finalement.

Depuis vingt-quatre heures, l’existence de Jean-François LEMAITRE est tourneboulée. Et une étrange sensation au goût d’amertume est apparue en lui, entre la colère noire de l’injustice et le dépit de ce départ précipité de l’un des siens.

Un proche dans la vie professionnelle ; presque un parent tant cette grande famille des artisans se sent soudée comme un seul homme face aux aléas de l’adversité.

Et Dieu sait qu’ils en avaient essuyé des avis de tempête et des grains à faire tomber les voiles de l’esquif artisanal depuis les longs mois de secousses névralgiques qui secouaient la France entre les manifestations à répétition et réforme de l’apprentissage.

Alors quand l’épisode du coronavirus a fait son apparition dans le viseur, nul n’aurait pu entrevoir une fin aussi tragique pour l’un des ardents défenseurs de la cause de l’entrepreneuriat en France. A ses côtés, en l’espace de quatre ans à siéger parmi les instances nationales, l’entrepreneur et représentant de la chambre consulaire de l’Yonne en a appris des choses. « Des années de pur bonheur avec Bernard…glisse Jean-François LEMAITRE, avec émotion.

 

 

Un souvenir éternel dans la mémoire…

 

Ce deuil cruel le renvoie plusieurs années en arrière. Au décès de son propre père. A celui de son frère. Telle une cicatrice profonde et inacceptable qui reviendrait titiller le derme à fleur de peau de l’existence.

« Bernard intégrait la catégorie des grands hommes, de ceux qui engendrent le respect et l’admiration sans borne. Même s’il se rappelait de ses origines et restait humble (Bernard STATLER était entré en communion avec le milieu de la coiffure à l’âge de 14 ans), il aurait pu clore sa brillante carrière de chef d’entreprise et de politique (conseiller régional en Alsace) en occupant un maroquin gouvernemental… ».

Lui qui travaillait au quotidien pour la protection des intérêts et la défense des droits des artisans dans des rencontres menées tambour battant avec Bruno LE MAIRE ou Muriel PENICAUD comme interlocuteurs. Pragmatique, jovial, perfectionniste : tel était Bernard STATLER. Il laissera un souvenir éternel dans la mémoire de celui qui fut un « apprenti » à ses côtés. Un garçon nommé Jean-François LEMAITRE qui aujourd’hui est endolori par tant de bons souvenirs qui émergent à la surface. Cruauté de la vie…

 

 

 


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