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Sa prestation sur scène tirera d’un trait définitif la première édition des « Misters Class en Zone rurale », un évènement se déroulant du 03 au 06 novembre à Châtel-Censoir en présence de SMAIN et concocté par TRIODARTS. Incarnant un aristocrate loufoque, décalé et si précieux, l’excellent comédien Amaury de GONZAGUE narrera à sa manière sa « journée du patrimoine ». Vécue en version « sa race » où le public peut donc s’attendre au pire !

 

CHATEL-CENSOIR : Ce spectacle à la verve délicate et à l’humour décapant servira donc de point d’orgue à ce grand rendez-vous porté par l’excellente association TRIODARTS – elle vient de commémorer son cinquième anniversaire – à la campagne. Une représentation satirique de la noblesse et de l’aristocratie qui est confrontée à l’ouverture de ces édifices patrimoniaux faisant le fleuron de l’Hexagone : ses châteaux !

Une journée du patrimoine très particulière attend donc le personnage interprété par l’imprévisible Amaury de GONZAGUE – on peut y ajouter les noms de CHARDON QUIQUETTE au patronyme ! - qui nous fera part durant plus d’une heure de ses états d’âme et de sa réelle situation dans ce monde actuel qui semble être aux antipodes de ses préoccupations.

D’ailleurs, s’il ne comprend rien à rien à l’époque dans laquelle il se meut, notre « châtelain » qui appartient à une espèce en voie de disparition s’interroge avec pertinence sur le sens de son existence. Le tout servi avec un langage fort bien choisi !

C’est drôle, souvent savoureux, et très cocasse. Le parcours de cet aristocrate ruiné et haut en couleur se découvre avec délectation grâce à cette succession de sketchs ubuesques dont on s’abreuve sans relâche avec le même bonheur. Une histoire qui prend pour cadre un camping municipal, bien loin des fastes de la vie à la cour royale !

Après des essais dans l’imitation et la chanson, l’artiste s’est reconverti avec malice dans le milieu des cabarets et de l’humour dans la capitale. On aura pu l’applaudir dans de célèbres maisons : « Le Don Camilo », « La Main au panier » ou encore « Le César Palace ».

 

 

En savoir plus :

Spectacle « Ma Journée du patrimoine sa race »

Avec Amaury de GONZAGUE

A la salle des fêtes de Châtel-Censoir à 15 heures

Le dimanche 06 novembre 2022

Prix d’entrée : 10 euros.

Réservation auprès de TRIODARTS au 06.37.35.37.50.

 

Thierry BRET

 

 


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La voix du personnage est connue de beaucoup. Il est vrai que cet homme-orchestre de l’économie et de la presse – il possède les statuts d’éditorialiste, de journaliste, de chroniqueur audiovisuel, d’écrivain, de chef d’entreprise et de facto de conférencier ! – s’est imposé au fil des années comme un touche-à-tout expert de notre société et de ses maux. Le 26 janvier à l’occasion de la cérémonie des vœux délivrés au monde économique, Pascal PERRI se présentera face au public sur l’estrade de la Maison de l’Entreprise à Auxerre. Invité par Claude VAUCOULOUX…

 

AUXERRE : C’est le rendez-vous incontournable de tous les aficionados de la vie économique de notre territoire. Une excellente manière de laisser derrière soi la sempiternelle trêve des confiseurs, identifiée par les fêtes de Noël et du Nouvel An, et de plonger la tête la première dans l’allégresse enthousiasmante du futur exercice de douze mois qui débute, à force de grandes résolutions.

La Maison de l’Entreprise de l’Yonne, via les instances syndicales patronales qui l’habitent (UIMM, MEDEF), est devenue au fil de l’eau qui coule sous les ponts une esthète en la matière, côté évènementiel qui passionne les foules. En priorité, celles des décideurs !

 

Le mouvement vert : le refuge des nouvelles causes de l’antitout ?

 

Après Luc FERRY, Jean-Michel APATHIE, Yves THREARD, Nicolas BOUZOU  ou Philippe DESSERTINE – cet économiste hors pair reviendra d’ailleurs de nouveau sur le territoire de l’Yonne le 04 novembre prochain pour y évoquer « le monde de demain » lors de l’assemblée générale de CERFRANCE à Auxerre -, c’est au tour d’un autre de ces « spécimens » passionnants de l’intellectualisme parisien qui viendra nous présenter sa vision de la société et de ses illogismes.

Pascal PERRI a publié en 2021 son dernier ouvrage, « Le Péril Vert » aux éditions de l’Archipel. Un opus de belle facture qui s’inscrit dans la veine épistolaire que ses précédents écrits qui eurent de bons échos dans le sérail des informés. On peut citer pour mémoire : « Les impôts pour les nuls » (2014), « L’écologie contre la démocratie » (2016) ou « Retraites, la dernière chance : la réforme ou le chaos » (2018).

Que dit ce livre ? L’auteur nous interpelle sur ce mouvement vert qui constitue en définitive une sorte de refuge pour les nouvelles causes : anti-spécisme, féminisme intersectionnel, combats anti-OGM, anti-chasse, anti-nucléaire, anti-transport aérien… bref, antitout et surtout anticapitalisme !

 

 

 

« Nos libertés sont-elles menacées par les radicaux de l’écologie ? »…

 

Pour Pascal PERRI, « le progrès, pour certains de ces militants, est une idéologie pernicieuse. Tous ont en commun de dénoncer l’économie de marché. Tous considèrent que l’homme est coupable de piller les ressources de la Terre. Tous défendent le sur-place, voire la décroissance et le repli. En cela, le « péril vert » n’est pas un fantasme. Les dirigeants écologistes français entendent imposer, y compris par la contrainte, des comportements conformes aux intérêts supérieurs de la nature. Mais sur quelles preuves scientifiques se fondent-ils ? Et s’ils arrivaient au pouvoir ? À quoi ressemblerait la société du rationnement qu’ils mettraient en place au nom d’objectifs utopiques et contestables ? Nos libertés sont-elles déjà menacées par les radicaux de l’écologie ? Et que dire de celle d’entreprendre ? Le sujet paraît en tout cas bien trop grave pour qu’on le laisse à la seule main de cette « écologie-là »… ».

On l’aura compris, au détour des questionnements de l’homme de presse, le conférencier devrait mettre en lumière devant un public attentif les aberrations écologiques actuelles tout en réaffirmant que le monde a grandement besoin, sans conteste d’écologie, mais aussi des sciences, des technologies, de la recherche et de l’innovation ; le tout mis au service d’une politique environnementale éducative, non punitive et socialement acceptable par tous.

Rendez-vous est d’ores et déjà pris le 26 janvier 2023 en fin d’après-midi à la Maison de l’Entreprise à Auxerre…

 

En savoir plus :

Cérémonie des vœux au monde économique de l’Yonne.

Le 26 janvier 2023 à la Maison de l’Entreprise à Auxerre à 18 heures.

 

Thierry BRET

 

 


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Connu pour son implication environnementale et la réalisation de plusieurs documentaires en format reportage sur cet item capital pour le devenir de la planète, le réalisateur icaunais Pascal DELAGNEAU est intervenu auprès des élèves des classes de 6ème et 5ème du collège de Saint-Joseph-la-Salle, option nature et développement durable, afin d’y évoquer son dernier opus, « Chemin de Terre et d’Eau ». La sensibilisation des enfants (et de leurs parents) expliquait sa présence…

 

AUXERRE : C’est un exercice inhabituel que celui vécu il y a peu par le réalisateur icaunais Pascal DELAGNEAU. Un chantre de la défense environnementale et de la protection de la planète. D’ailleurs, sa dernière livraison, une commande assurée par plusieurs associations coproductrices dont « Yonne Nature Environnement » et l’ADENY qui devait aussi recevoir le soutien du Conseil départemental de l’Yonne et d’autres mécènes, ne cesse de circuler aux quatre coins de notre territoire depuis sa sortie pour y être projetée.

Limpides comme de l’eau de roche, les images captées par le réalisateur qui a jadis œuvré dans les équipes de la célèbre émission de Nicolas HULOT (« Ushuaia ») représentent une pertinente initiation pour mieux appréhender les enjeux actuels qui planent autour de l’élément aquatique qui est si cher à notre survie. Et vu le contexte actuel en matière de réchauffement climatique et de fulgurantes hausses des températures – plus de trente degrés observés à la mi-octobre dans le Sud-Ouest de l’Hexagone ! – ce n’est pas peu dire…

Ces prises de vues, agrémentées de leurs judicieux commentaires, les élèves des classes de 6ème et 5ème de l’établissement privé de la capitale de l’Yonne les ont visionnées. Logique, car ces jeunes apprenants ont choisi de suivre l’option « nature et développement durable » afin de mieux s’imprégner de la réalité environnementale de l’instant.

 

Le pouvoir des images pour mieux comprendre la bio…

 

Comprendre la bio, l’origine de l’eau et son acheminement, le potentiel économique que ce liquide indispensable à notre survie représente s’inscrivent parmi les axes prioritaires de ce cursus original que le groupe scolaire lassalien a développé depuis plusieurs saisons. Histoire d’être à la page et en connexion directe avec ce monde extérieur qui entoure la jeune génération, le plus souvent (et fort heureusement parfois) éloignée des vicissitudes de la planète. Et pas nécessairement épargnée par la cruauté des hommes.

Alors, pouvoir disserter plus d’une heure durant avec un cinéaste qui n’a pas le melon et qui croit au pouvoir de l’image afin de véhiculer des messages écologiques forts auprès de la population, cela ne pouvait qu’interpeller les jeunes têtes blondes (ou brunes !) de ce public encore dans l’âge de l’innocence.

Au-delà des informations fournies par l’orateur du jour, les élèves, plutôt attentifs et non dissipés, eurent tout le loisir de questionner un Pascal DELAGNEAU très pédagogue sur les ficelles de ce métier de réalisateur, faisant parfois rêver celles et ceux de ces jeunes gens enclins à s’émerveiller devant la toile d’un grand écran au cinéma.

 

 

Un documentaire à réaliser sur l’activité apiculture de l’établissement…

 

Derrière cette causerie, ces jeunes pousses ont la volonté, avec le concours de leurs enseignants, de concevoir leur propre documentaire sur les ruches qui sont accueillies par leur établissement scolaire et gérées par un professionnel de l’apiculture.

Un exercice technique et visuel devant leur permettre à terme de mieux sensibiliser (leurs amis, leurs parents ?) au respect des équilibres naturels et à l’importance des insectes ou la tenue de petits gestes utiles, afin d’endiguer les problématiques inhérentes au dérèglement climatique…

Profitant de cette intervention, Pascal DELAGNEAU tint à rendre hommage à son oncle, Jean-Michel DELAGNEAU, éleveur de métier, aujourd’hui disparu – il est décédé le 02 juin dernier -, qui fut un militant de la première heure en faveur de la bio et de la sauvegarde de l’environnement en France. Cette rencontre avec ces collégiens et la transmission de messages capitaux fut une excellente manière d’honorer sa mémoire…

 

Thierry BRET

 


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Il possède incontestablement l’art et la maîtrise de l’oralité, le responsable de la fondation qui porte aujourd’hui son patronyme. Voire de la répartie, non dénuée d’un zeste d’humour, lorsqu’il est prié de donner sa définition de l’art contemporain, répondant à une question décalée du public ! Mais, il ne faut pas se fier aux apparences. Même s’il affirme tout de go avoir achevé sa mission, le projet polyvalent qui s’esquisse avec davantage de certitudes au domaine de l’Abbaye de Pontigny portera durablement sa griffe…

 

PONTIGNY : Il sait manier le verbe et la parole, François SCHNEIDER ! Et surtout donner un sens profond aux arguments qu’il égrène face à un public qui écoute attentif le moindre des mots édictés. Portant beau, scrutant avec intérêt ses interlocuteurs qui lui posent des questions directes au terme d’une conférence de presse qui n’en est pas véritablement une, au vu de l’aéropage conséquent de personnalités politiques et institutionnelles présentes (!), le personnage originaire de Joigny veut faire toute la lumière sur un dossier qui aura suscité bon nombre de polémiques dans le microcosme de l’Yonne : la cession du domaine de l’Abbaye de Pontigny.

Un feuilleton, digne des séries à suspense – mais en moins horrifique fort heureusement ! – que propose les plateformes numériques actuelles, ayant tenu en haleine depuis plus de deux ans les suiveurs de l’actualité du landerneau septentrional de la Bourgogne. Avec en toile de fond un édifice cistercien, fleuron du patrimoine régional de plus de neuf cents ans comme vedette !

Vendu ? Plus vendu ? A quelles conditions ? Sans occulter les prises de position régulières d’une congrégation religieuse qui avait elle-aussi des visées sur ce complexe séculaire universel. Bref, un dossier qui ne ressemblait nullement à la « vie est un long fleuve tranquille » dans son traitement usuel. Rattrapé comme tant d’autre par les vicissitudes de la crise sanitaire, ce qui augurait de sombres perspectives quant à l’issue définitive de ce projet…

 

 

Un projet polymorphe à dix ans, vecteur de rayonnement…

 

Le projet, parlons-en ! Il est polymorphe, tentaculaire, multiple. Rien d’étonnant qu’il surprenne en vérité par sa physionomie et son ambition car des concepts similaires, il n’en existe pas légion à l’heure actuelle dans l’Hexagone. Pays qui connaît la crise économique et sociale profonde – un peu mieux maîtrisé que dans le reste de l’Union européenne -, mais qui est parfois en déliquescence intellectuelle complète au niveau de l’imaginaire et de la créativité…

Alors, vu de l’Yonne, c’est sûr : un tel concept entrepreneurial gargantuesque qui mélange astucieusement l’ouverture d’une infrastructure hôtelière de niveau quatre étoiles, assorti à un restaurant supposé gastronomique, la présence physique d’une boutique où s’écouleraient les produits à l’estampille du domaine (miel, pain, biscuits, liqueurs…) et la culture de produits du terroir en concertation avec des spécialistes des filières agricoles et bio, cela peut faire peur dans les chaumières !

Surtout avec à sa tête une fondation originaire d’Alsace, apparue dans le paysage de l’initiative et la prise de risque en décembre 2000 – elle est depuis 2005 reconnue d’utilité publique – et qui possède déjà à son actif un certain nombre de réussites, à commencer par le Centre d’Art Contemporain, accueilli dans la jolie bourgade alsacienne de Wattwiller.

Un site qui propose plus de 2 500 mètres carrés d’espaces d’exposition consacrés au thème de l’eau. Un outil structurel altruiste, ayant aussi la volonté d’aider les lycéens défavorisés soucieux de suivre un parcours pédagogique dans l’enseignement supérieur avec des bourses.

 

 

La fibre touristique pour permettre à Pontigny de retrouver son universalisme…

 

Au-delà de l’encouragement artistique et du prosélytisme éducatif, la Fondation SCHNEIDER vise encore plus grand avec l’acquisition du domaine de l’abbaye cistercienne icaunaise. Pour la rondelette somme d’1,8 million d’euros à remettre via virement à la Région Bourgogne Franche-Comté, jusque-là propriétaire de l’endroit.

Cela a été confirmé officiellement lors de ce rendez-vous avec les médias (et surtout les nombreuses personnalités !) dans la salle des convers in situ par le maître de cérémonie, François SCHNEIDER lui-même.

L’entité ajoute dans son escarcelle un autre item à sa panoplie déjà éclectique : le développement du tourisme patrimonial. Grâce à ses six mille mètres carrés de bâtiments dont certains seront à réhabiliter et à agencer sur les neuf hectares que compte le domaine, verdoyant et boisé.

L’objectif est simple : rendre son universalisme et sa magnificence à ce joyau de l’art roman. Comment ? Une fois les études préliminaires et les sondages archéologiques réalisés – un delta temporel d’une année, voire peut-être d’un peu plus sera néanmoins nécessaire pour analyser la topographie des lieux -, la Fondation se plongera alors la tête la première dans l’avenir, en aménagement les bâtiments selon le schéma initial requis. Certes, les aficionados du lieu devront s’armer de patience avant de découvrir la configuration définitive, une vertu cardinale de la spiritualité !

Si tout se présente bien, c’est durant la saison 2026/2027 que devraient être opérationnels le Centre d’Art contemporain, accueillant les artistes se reconnaissant pour tels, ainsi que la partie inhérente liée à la production agricole locale. Parallèlement, les visiteurs – des touristes cosmopolites en quête de retraites patrimoniales et spirituelles mais pas que – profiteront du cadre confortable du complexe hôtelier grand standing, tout en se sustentant de recettes sympathiques élaborées dans le restaurant haut de gamme.

 

 

Un budget estimé à 20 millions d’euros et une centaine d’emplois…

 

Sur le plan comptable, la Fondation SCHNEIDER injectera l’équivalent estimatif de vingt millions d’euros à la réalisation de ce concept. Un projet gradué qui s’échelonnera sur une décennie, selon les prévisions fournies par son porte-parole éponyme.

Une dizaine de millions d’euros seront affectés à la rénovation des bâtiments devant trouver une nouvelle existence dans le projet. Le complexe hôtelier comprenant une cinquantaine de chambres englobera à lui seul huit millions d’euros. Deux autres millions serviront à l’agencement de la partie restauration.

Se voulant rassurant à une interrogation posée par le président départemental de la Fédération Française du Bâtiment Didier MICHEL – les entreprises de ce secteur artisanal de l’Yonne seront-elles sollicitées pour la réalisation de ces travaux -, François SCHNEIDER a répondu catégorique que « les entreprises de l’Yonne seraient retenues lors de l’appel d’offres, à condition qu’elles soient compétentes selon le cahier des charges requis à respecter et qu’elles ne pratiquent pas des tarifications exagérées… ».

Un clin d’œil, pour le moins amusant, de l’homme d’affaires qui fut naguère industriel et propriétaire de la source d’eau minérale Wattwiller.

Quant aux perspectives d’emploi, générées par ce projet, elles furent également évoquées en conclusion de ce rendez-vous très intéressant : une centaine de postes seront créés dans un intervalle de huit à dix ans sur le site.

De quoi réjouir la classe politique, présente aux premières loges de cette conférence. Y compris la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY suiveuse de l’évènement en visioconférence. Et de lever ainsi les doutes et les craintes sur les réelles intentions de la Fondation SCHNEIDER qui s’engage à redonner vie à ce site séculaire hors du temps…

 

Thierry BRET

 


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Le nom de code de ce projet novateur est finalement très simple à retenir. Du moins pour le moment puisque le concept devrait se délocaliser courant 2023 dans des locaux situés sur le cours Chambonas à quelques encablures de là. Dans l’absolu, la nouvelle « Maison de l’Habitat du Grand Sénonais », portée sur les fonts baptismaux par l’édile de Sens Paul-Antoine de CARVILLE, prend ses quartiers au 14 Boulevard du 14 Juillet. Un bâtiment administratif connu de tous. L’idéal pour découvrir ce lieu d’accueil se muant en guichet unique du logement…

 

SENS : Précurseur, le Grand Sénonais ? Sous la forme actuelle des choses, concernant ce projet de guichet unique dédié à l’univers de l’habitat et du logement, on ne peut répondre que par l’affirmative ! Au même titre que le dispositif qui a été mis en place un peu plus tôt, du côté de Joigny et de son bassin d’influence. 

Pour autant, tous les acteurs réunis à la conférence de presse de lancement de cette « Maison de l’Habitat » sont formels : le Sénonais innove en la matière, au service de sa population, celle qui est encline à concevoir des travaux de rénovation de son patrimoine immobilier.

Forcément, avoir des projets de travaux à réaliser et disposer dorénavant d’un espace d’accueil dédié où convergeront les grands faiseurs de cette thématique si importante pour les Français que l’on pourra consulter à loisir ou presque (uniquement sur rendez-vous) apparaît comme capital en termes d’attractivité foncière pour le nord de notre département. Un secteur qui flirte de très près avec l’Ile-de-France limitrophe et qui a vu sa démographie progresser cette année encore alors que le reste du territoire icaunais est en perte de vitesse. A l’instar de la Bourgogne Franche-Comté, par ailleurs.

 

Faire du neuf avec de l’ancien…

 

Alors, Sens et son agglomération innovent. En ciblant dans le mille pour accompagner du mieux possible celles et ceux de ses habitants qui auraient des velléités de remise à neuf de leurs appartements et maisons. A l’heure où les émissions de l’inéluctable Stéphane PLAZZA cartonnent sur les antennes de M6, c’est certain : le succès devrait donc être au rendez-vous !

Nos concitoyens ont profité des vagues successives de confinements pour bricoler et se doter d’intérieurs plus cocooning qu’autrefois, revalorisant de facto leurs habitations même les plus anciennes.

Dans les tuyaux depuis un moment, cette entité très explicite quant à son appellation – la Maison de l’Habitat – fait figure de réponse appropriée de la part de l’institution communautaire pour inciter les résidents, propriétaires, à chercher les solutions les plus adéquates afin de mieux isoler leurs logements, les rendre plus confortables, leur apporter un moyen de chauffage plus en phase avec la transition énergétique, viabiliser l’existant et presque faire du neuf avec de l’ancien !

 

 

Déjà un dossier constitué avant l’inauguration officielle !

 

Cerise sur le gâteau : tous les organismes dont le quidam a résolument besoin pour faire progresser son dossier personnel seront donc réunis sous le même toit. Ce qui est plutôt agréable lorsque l’on parle d’habitat !

Dans les faits, sont associés à ce projet pour le moins novateur, des structures comme SOLIHA (Solidaires pour l’Habitat), le CAUE 89 (Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement) ou encore l’ADIL 89, l’incontournable Agence Départementale d’Information sur le Logement, très précieuse au niveau de ses renseignements juridiques et énergétiques.

On l’aura compris la présence de tous ces spécialistes n’est pas anodine dans le dispositif. Elle permettra de mieux articuler le concept autour de l’expertise, du diagnostic, de l’aide financière et de l’expérience en matière de conseils et préconisations utiles.

Un sérieux plus, côté argumentations, d’autant que tous les services proposés le seront de manière gracieuse. Preuve que le système se veut déjà pertinent, avant l’heure : un dossier a déjà été préparé de façon officielle en amont, avant même que le nouveau dispositif ne soit opérationnel. Si ce n’est pas un signe d’exemplarité, cela en a tout l’air !

Quant aux chiffres avancés par Paul-Antoine de CARVILLE et le vice-président de la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais, Lionel TERRASSON, en charge de l’habitat, du logement, du renouvellement urbain, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire, ils ont le mérite d’être clairs pour quantifier l’ambition de l’institution communautaire. L’opération qui s’intègre parmi le dispositif « Action Cœur de Ville » espère deux mille habitations rénovées dans l’intervalle de ces cinq prochaines années.

Forcément avec de très belles retombées économiques qui devraient ruisseler sur les artisans du secteur bâtiment du cru qui profiteront de la manne financière. Celle-ci est estimée à hauteur de onze millions d’euros par le successeur de la regrettée Marie-Louise FORT, dont trois millions seront pris en charge par l’organe communautaire. La Maison de l’Habitat ? Un accompagnement utile à bien des égards, assurément, pour rendre attractif le patrimoine immobilier du Sénonais…

 

Thierry BRET

 


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