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Forcément, il s’attendait à une réunion quelque peu conflictuelle, voire houleuse avec les élus de l’Yonne. Le président de la Commission transports et mobilité de la Région BFC Michel NEUGNOT le sait très bien : dès que l’on aborde le délicat problème de la mobilité – surtout quand celle-ci se décline sous son aspect ferroviaire ! -, on touche du doigt le nerf à vif du problème. « C’est comme si on s’attaquait à la montagne mais avec des points de vue différents, confiait-il au terme d’un long exposé à Auxerre. Une montagne qui a accouché d’une souris selon ses opposants ?

 

AUXERRE : Il n’aura cessé de le marteler durant toute son intervention face à une assistance parfois hostile, à l’écoute patiente dans l’hémicycle de l’hôtel du Département où il proposait cette rencontre informative sur le nouveau cadencement des trains dans l’Yonne : la Région Bourgogne Franche-Comté traite de manière globale le sujet des mobilités. L’un de ses nombreux domaines de compétences, par ailleurs.

Effectuant le déplacement depuis Dijon, le vice-président de l’organe institutionnel régional et président de la Commission des transports et des mobilités n’est donc pas venu en terre icaunaise pour y rencontrer les édiles concernés par le devenir des liaisons ferroviaires les mains vides.

« Nous avons une réponse à apporter sur le territoire septentrional de la Bourgogne parce que la desserte nord de l’Yonne n’est pas satisfaisante dans son mode de fonctionnement actuel. C’est d’ailleurs la seule que l’on n’ait pas encore travaillé sur notre territoire, non pas par manque de volonté mais parce qu’elle est en lien direct avec l’Ile-de-France… ».

 

 

Un accord historique avec l’Ile-de-France et voté unanimement à la Région…

 

 

Une desserte spécifique et plus complexe qui représente bon an mal an dix mille voyages (l’équivalent de cinq mille usagers effectuant des allers/retours entre l’Yonne et la capitale) alors que la région francilienne traite dix millions de passagers.

En avril 2021, le Conseil régional statuait par un scrutin l’accord historique porté par Marie-Guite DUFAY, présidente de l’exécutif BFC, et son homologue, Valérie PECRESSE, à la tête de l’Ile-de-France.

« Un vote qui est revenu unanime de la part des élus de l’assemblée régionale, souligne avec malice Michel NEUGNOT, même si certains contestent aujourd’hui le contenu de cet accord alors qu’ils l’ont voté ! »

De quoi provoquer quelques éruptions cutanées et verbales lors de la séance explicative où Michel NEUGNOT ne se sera pas privé de tancer le président du groupe régional du Rassemblement National, Julien ODOUL, opposé au projet évoqué par l’élu socialiste.

Pédagogue, prenant le temps de dérouler tout le cheminement de la mobilité nécessaire à sa compréhension en l’expliquant, Michel NEUGNOT et l’équipe de techniciens qui l’accompagnaient se seront parfois heurtés à l’impatience manifeste de certains élus icaunais, pressés d’en savoir davantage sur les phases évolutives et concrètes de cet épineux dossier.

 

Des budgets conséquents pour améliorer les dessertes…

 

« Il était nécessaire de dévoiler les différentes étapes qui ont mené à ce processus depuis quatre ans, renchérit Michel NEUGNOT, un travail réalisé en concertation avec les services de SNCF Réseau et d’Ile-de-France Mobilités, des structures qui ont œuvré d’arrache-pied pour arriver au dispositif qui a été présenté ce jour… ».

Et le vice-président de la Région d’ajouter sur ce qu’il considère comme un travail « colossal » : « aucune région qui jouxte l’Ile-de-France n’a essayé de travailler le sujet comme nous le faisons ! »

Partant du simple postulat que la régularité des trains – du matériel à la limite de la vétusté – est mauvaise et peu adaptée aux flux actuels, la Région a donc décidé de mettre les pieds dans le plat en rectifiant tout cela. Injectant au passage une enveloppe de 300 millions d’euros à l’achat de matériel roulant de nouvelle génération. Dont un train six caisses qui sera doublé en deux unités et qui offrira une capacité optimale pour accueillir davantage de passagers pour treize millions d’euros.

 

 

Pas de perte de temps malgré les ruptures de charge…

 

L’idée d’accroître le nombre de trains sur cette desserte est devenue une évidence pour les services techniques de la Région. Un bénéfice pour le nord de l’Yonne, c’est-à-dire le Sénonais, mais pas que puisque la capitale départementale, Auxerre, sera impactée par cette stratégie. Légitime pour Michel NEUGNOT qui tresse des lauriers à la nouvelle cité de l’hydrogène…

S’inspirant du modèle suisse – Michel NEUGNOT participait encore à une réunion à Neufchâtel il y a quarante-huit heures -, l’élu régional en a tiré les enseignements nécessaires en se référant à la méthode des ruptures de charge.

Concrètement, les voyageurs passent d’un moyen de transport à un autre. C’est ce qui va être proposé dans la nouvelle configuration ferroviaire déclinée dans l’Yonne avec des nœuds d’interconnexion entre plusieurs trains depuis les gares de Sens et de Laroche-Migennes.

Des changements pour les usagers qui ne grèveraient pas trop leur timing parfois serré – cinq minutes de battement pour embarquer dans le nouveau train après l’échange – et qui permettrait in fine de se rendre avec plus de rapidité vers Dijon et Lyon pour la partie sud.

Un travail lent et de fourmi qui commence, selon Michel NEUGNOT. Un travail où toute la lumière n’avait pu se faire jusque-là faute d’avoir réuni l’ensemble des éléments informatifs. Du pur réalisme, aux yeux de l’élu régional, qui évoquera ensuite les transports par car – et non par « bus » puisque ce terme ne s’emploie uniquement pour le transport collectif urbain ! – en version interurbaine, faisant office en parallèle de transport scolaire.

« Nous nous sommes aperçus que sur les trois lignes qui étaient soumises à la nouvelle concurrence, il n’y avait que des scolaires dedans, hormis deux à trois passagers supplémentaires. On s’est dit qu’il valait mieux privilégier le tout scolaire dans ces cars et que l’on remette uniquement du car en correspondance avec les gares, notamment sur Sens, sur Avallon et sur Tonnerre. Pour faire en sorte que des voyageurs puissent prendre le car, ensuite le train le matin et le soir. Chose qui n’était pas possible auparavant… ».

En effet, les temps de parcours de ces lignes adaptées aux circuits scolaires étaient très consommatrices en temps. A titre d’exemple, pour effectuer un trajet de 55 kilomètres, il fallait compter près de deux heures de transport ! Pas étonnant qu’il n’y avait plus un passager à bord de ces cars serpentant la contrée icaunaise !

 

 

L’élu régional n’est pas venu annoncer la suppression de trains…

 

Puis, s’intéressant à la fréquentation actuelle, les équipes techniques de la Région se sont penchées sur la question. Qu’ont-ils constaté ? Réponse de Michel NEUGNOT :

« On a des trains qui sont omnibus sur l’Ile-de-France où l’essentiel des utilisateurs à 90 % voyagent dans la région francilienne. Ca semblait intelligent de les laisser en Ile-de-France et de procéder à une rupture de charge à Montereau (Seine-et-Marne), dans un temps maîtrisé et avec du nouveau matériel aux capacités de vitesse plus performantes pour les autres… ».

Evidemment, l’aspect financier fut abordé par le représentant de l’exécutif régional.

« Quand on parle de tarifs, cela permettra avec ce nouveau système que les usagers aient des avantages financiers, ajoute l’orateur, parce qu’ils auront un temps très court de frais de transport sur la partie Bourgogne Franche-Comté, avec le Pass Navigo qu’ils ont déjà en possession, et cela réduira d’environ 150 euros la facture ! ».

Tout reposera sur le degré de temps que l’on souhaitera consacrer à son transport. Un vrai compromis au niveau du choix, comme l’a qualifié Michel NEUGNOT.

« Ceux qui veulent aller plus vite bénéficieront de davantage de trains mais ils auront un coût supplémentaire, le coût actuel. Et puis, ceux qui veulent bien prendre dix minutes et changer de train en pratiquant cette rupture de charge, pourront économiser de 150 ou 180 euros suivant la distance qu'ils parcourent…. ».

Jamais à court de pirouettes humoristiques – « Quand Michel NEUGNOT vient dans l’Yonne, c’est pour annoncer la suppression des trains ! » -, l’élu régional aura au contraire confirmé le maintien des dessertes de l’Avallonnais, celles de Clamecy ou de Corbigny. Un vrai soulagement pour certains élus de ce secteur présents dans la salle du Conseil départemental.

« Nous ne demandons pas aux élus que nous rencontrons d’être d’accord ou pas sur ces prises de décision, on demande simplement aux élus qu’ils nous comprennent ! On expliquera, on innovera, on se trompera et on rectifiera ! C’est ça le projet démocratique que nous portons, Marie-Guite DUFAY et moi-même par délégation. L’essentiel est d’expliquer comment on doit travailler ensemble… ».

Au vu des réactions des élus de l’opposition régionale (à découvrir dans un prochain article) au terme de cette explication de texte, il n’est pas si sûr que ces représentants politiques aient envie de le faire et suivre les décisions à la lettre de la Région sur ce très lourd dossier. Une « montagne à multiples facettes », en somme, qui aurait seulement accouché d’une souris après cette rencontre côté conviction ?

 

Thierry BRET

 

 


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Le dossier est kafkaïen à souhait. Aussi complexe à résoudre que de trouver une minuscule aiguille acérée dans une botte de foin en période de moisson un soir d’été ! Pourtant, il faudra le solutionner tôt ou tard. Ne serait-ce que pour être, enfin, conforme avec la législation ! Depuis près de vingt ans, l’aire de grand passage destiné à accueillir les gens du voyage sur l’Auxerrois se fait attendre. Au grand dam des habitants qui en subissent parfois les préjudices. Mais, aussi du vice-président de l’Agglomération en charge de cet épineux sujet, Dominique CHAMBENOIT…

 

CHEVANNES : Voilà un thème de l’actualité qui connaît son flux de récurrences selon les saisons de l’année. Notamment à l’approche des fêtes religieuses qui ponctuent notre calendrier, de la période estivale et de l’époque des récoltes. Un sujet dont se plaignent de plus en plus de nombreux habitants de la capitale de l’Yonne qui en vivent les désagréments. Nuisances sonores à l’appui. Mais, pas que. Certains de ces riverains en ces malheureuses circonstances pointent du doigt l’insécurité. L’insalubrité, aussi.

Bref, faire cohabiter de manière inappropriée sur un même périmètre les caravanes des gens du voyage et les résidents sédentaires, durablement installés dans leurs propriétés, n’est pas chose facile en termes de voisinage et de qualité de vie. D’autant que les choses se reproduisent assez fréquemment au cours d’une année civile. Malgré leur bonne volonté, les Auxerrois ne veulent plus de cela. Le vice-président de l’Agglomération qui a pris à cœur la gestion de cet ubuesque dossier depuis qu’il a été élu, non plus !

 

Prendre le pouls des gens du voyage de manière régulière…

 

Il ne se passe pas une journée sans que Dominique CHAMBENOIT, puisque c’est de lui dont il s’agit, ne se rende sur le théâtre des opérations dispatché parfois à plusieurs endroits de la ville pour y rencontrer les représentants des gens du voyage afin d’améliorer leur qualité d’accueil sur notre territoire. Un parcours du combattant qui se transforme certaines fois en chemin de croix !

A l’écoute, affable, prenant très au sérieux sa mission quasi régalienne à ses yeux qui lui a été confiée en acceptant ce mandat, le maire de Chevannes, toujours accompagné du fidèle Lahcen EZHANI, responsable de la gestion de l’aire de moyen passage de Toucy, aime prendre le pouls de ces gens du voyage, aux origines diverses et aux familles éclectiques.  

 

 

Des interlocuteurs à l’écoute des doléances des riverains excédés…

 

L’édile a su en faire de même, la semaine dernière, en recevant dans les locaux de sa mairie une petite délégation de résidents auxerrois, excédés par cette promiscuité dont ils ne veulent plus subir les effets réguliers. Pour poser toutes les cartes de la transparence sur la table, il n’était pas seul. L’élu avait convié pour la circonstance les deux  conseillers départementaux du canton, le chef de file du MoDem de l’Yonne Pascal HENRIAT et la locale de l’étape, puisque vivant à Chevannes, Delphine BILLON.

Autre personnage clé de ces discussions proposées à bâton rompu : l’adjoint de la Ville d’Auxerre, Sébastien DOLOZILEK, qui a pour vocation à gérer la tranquillité des espaces publics et la sécurité. Autant dire l’homme idoine de la situation pour apporter tous les éléments informatifs à cette petite poignée de résidents insatisfaits par la tournure des évènements.

L’échange entre les participants donna lieu à un inventaire à la Prévert non exhaustif où doléances et exemples de nuisances nocturnes tinrent le haut du panier. Courtois au début de la réunion, il devint un peu plus véhément et revendicatif par la suite, c’est-à-dire près de deux heures plus tard. Sans pour autant qu’une réelle solution soit apportée pour résoudre le problème. Un casse-tête chinois à plusieurs tiroirs…

Au sommet desquels se situe le nœud gordien de toute la problématique : la création d’une aire de grand passage, permettant d’accueillir le maximum de caravanes en transit sur l’Auxerrois.  Une aire de grand passage, réclamée également par les personnes concernées !

 

 

 

Une aire de grand passage : mais qu’est-ce que c’est ?

 

Or, a contrario d’Avallon ou de Sens, Auxerre ne dispose toujours pas de ce fameux terrain comme l’oblige pourtant la loi depuis deux décennies ! Selon la DIHAL (Délégation interministérielle à l’Hébergement et à l’Accès au Logement), l’objectif de cette aire de grand passage est de « répondre aux besoins des gens du voyage en fixant des conditions minimales d’accueil tout en laissant aux communes et EPCI le soin d’adapter ces dispositions aux réalités locales ». Sachant que la mise en place de ces aires dans les grandes villes de l’Hexagone a été rendue obligatoire… au 01er janvier 2022 !

Dans l’absolu, à quoi ressemble un tel terrain ? La surface des aires a été fixée à au moins quatre hectares sous certaines conditions pouvant être dérogées par la préfecture. Le terrain doit disposer d’un sol stabilisé et adapté à la saison d’utilisation définie par le schéma départemental, il est également carrossable par temps de pluie et autres intempéries.

D’un point de vue sécuritaire, l’aire doit comprendre au moins un accès routier facilitant la circulation appropriée et l’intervention des secours, une desserte interne, une installation accessible d’alimentation en eau potable, une installation d’alimentation électrique sécurisée et un éclairage public à proximité.

Conformément à l’article 149 de la loi relative à l’égalité et à la citoyenneté, l’aménagement des aires de grand passage est une obligation pour les collectivités de plus de cinq mille habitants.

Or, dès 2018, à l’instar des accès facilitant la mobilité des personnes handicapées dans les villes, la France accusait déjà un retard considérable avec seulement 170 des 348 aires initialement prévues aménagées !

D’ailleurs, Dominique CHAMBENOIT a même placé le curseur bien en deçà des exigences requises, réclamant idéalement pour les gens du voyage l’ouverture d’une aire de grand passage et celle de deux aires de moyen passage sur le secteur géographique dont il a la compétence.

« J’espère qu’avant le terme de ce mandat, lâchera-t-il péremptoire, je puisse obtenir ce que j’ai demandé ! ».

 

  

Diplomatie, tolérance et sérénité pour résoudre le problème : est-ce suffisant ?

 

Ce ne sera pas sans avoir essayé ! L’élu communautaire partisan du principe tripartite de la diplomatie, de la tolérance et de la sérénité pour résoudre l’énigme a constitué une liste de potentialités foncières en se rapprochant de certains de ses homologues de l’Auxerrois qui ont proposé ainsi lesdits terrains. A date, un projet d’aménagement concernant une aire de grand passage et deux terrains de moyen passage est à l’heure actuelle à l’étude au sein de l’Agglomération, sans que l’on connaisse avec exactitude les communes ayant proposé ces surfaces d’accueil.

Avec beaucoup de réserve tout de même quant à l’acceptation définitive des riverains qui ne tarderont pas dès qu’ils l’apprendront à multiplier les pétitions pour faire capoter le projet !

Une chose est évidente dans ce dossier sans réelle réponse concrète pour l’heure : rares sont les habitants des 29 communes que compte l’agglomération qui souhaitent l’implantation d’une aire de grand passage dans leur commune.

Même localisée à plusieurs centaines de mètres de la première habitation ! Pourtant, il faudra bien s’y résoudre : ne serait-ce que pour respecter la loi…

 

Thierry BRET

 

 


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Serait-ce un nouveau déplacement à risques pour les protégés de Jean-Marc FURLAN avec cette immersion en terre bretonne ? Disputée ce dimanche à partir de 17 heures, la rencontre opposant l’AJ Auxerre au Stade Rennais sent le piège à plein nez, après la semaine des « olympiques » qui s’est soldée par deux défaites de rang, face à Lyon (1-2) et Marseille (0-2). Le numéro sept de la ligne d’attaque, Gauthier HEIN, est de cet avis. Forcément, ce sera compliqué…

 

AUXERRE : « On va essayer de réaliser le meilleur match possible ! ». Soumis à l’exercice oratoire de la traditionnelle conférence de presse, le joueur offensif de l’AJ Auxerre, à la chevelure bleutée et à la volonté farouche devant les cages adverses, sait pertinemment que la rencontre face au Stade Rennais disputée dans l’antre des Bretons ce dimanche 11 septembre pour le compte de la septième journée de Ligue 1 est piégeuse à plus d’un titre.

Surtout, comme devait le reconnaître un peu plus tard le coach Jean-Marc FURLAN, que « Rennes reste une équipe très compliquée à pratiquer, surtout à domicile… ». Une formation qui était l’une des plus véloces et efficaces du championnat lors de l’édition précédente.

Mais, de tout cela, Gauthier HEIN, même s’il respecte l’adversaire, n’en a cure. « On effectue ce déplacement avec de réelles intentions de jeu, pour montrer ce que l’on vaut ». Et il a bien raison.

Car après deux rendez-vous costauds, la semaine dernière, les confrontations contre l’Olympique Lyonnais et quelques jours plus tard à l’Abbé Deschamps face à l’Olympique de Marseille, Auxerre se coltine, hasard du calendrier de ce début de saison, son troisième cador successif avec lequel il faudra se montrer particulièrement vigilant. Voire réaliste.

 

« On progresse collectivement, cela va finir par payer au niveau offensif… »

 

Pourtant, au vu des deux dernières prestations, les Auxerrois n’ont pas à rougir de leurs défaites. Il n’aura pas fallu grand-chose à Lyon. Quant à la physionomie de la rencontre face à Marseille, elle aurait pu être toute autre si la réussite avait été au rendez-vous sur deux belles actions favorables aux attaquants bourguignons.

Toutefois, le natif de Thionville est bien conscient du temps d’adaptation qu’il est nécessaire d’avoir pour rivaliser avec les meilleurs de Ligue 1. Un championnat où le niveau d’exigence est supérieur.

 

 

« On essaie de faire le boulot, ajoute le garçon, afin de trouver le bon équilibre. C’est vrai, il y a quelques petits ajustements à avoir entre nous pour que cela fonctionne… ».

Confiant, Gauthier HEIN compte également sur le collectif pour mieux briller individuellement. « On progresse ensemble, match après match, insiste-t-il, donc forcément, cela va finir pas payer au niveau offensif ».

Créer des liens entre les nouveaux partenaires de club – huit joueurs découvrent pour la première fois la culture du football à la sauce auxerroise avec cette nouvelle saison – et intégrer les protocoles d’actions défendus par Jean-Marc FURLAN constituent la ligne directrice de l’équipe qui espère obtenir très vite des résultats positifs au compteur.

 

Un contrat qui a été prorogé jusqu’en 2025…

 

S’il reconnaît à juste titre que le niveau technique de la Ligue 1 est supérieur à la division inférieure qu’il a côtoyée durant sept saisons, l’attaquant de l’AJA estime qu’il est nécessaire d’être plus malin par rapport à l’adversaire. Une malice sur laquelle il compte s’appuyer dès ce dimanche en fin d’après-midi pour faire la nique aux défenseurs bretons !

Ayant prolongé son contrat jusqu’en 2025, Gauthier HEIN qui, en l’espace de deux saisons à jouer 75 rencontres pour un bilan des plus honorables avec seize réalisations concrétisées au fond des filets et une dizaine de passes décisives, s’est même fait tatouer une croix de Malte, preuve de son attachement à son nouveau club de cœur.

 

Thierry BRET

 

 


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« Le vingt-et-unième siècle sera numérique ou il ne sera pas dans les entreprises ! ». Ressuscité de l’au-delà, le grand André MALRAUX aurait pu prononcer cette phrase s’il était encore parmi nous aujourd’hui en visionnaire prophétique qu’il était ! En effet, se refuser à aborder la transition numérique est suicidaire pour les dirigeants de sociétés encore incultes sur ce sujet. C’est pourquoi l’UIMM, le MEDEF et NUMYCO prônent la carte de la sensibilisation à tout crin. En conviant quatorze esthètes en la matière ce mercredi à la Maison de l’Entreprise à Auxerre…

 

AUXERRE : C’est l’endroit où tout bon dirigeant icaunais qui se respecte doit être ce mercredi 08 septembre ! La Maison de l’Entreprise de l’Yonne, et ce dès l’ouverture de ses portes, à partir de 09 heures.

L’évènement est de taille. Il lance véritablement la rentrée économique qui patine entre l’inflation galopante à ne plus savoir à quels saints se vouer au niveau budgétaire et les robinets énergétiques qui sont en grippe du côté de l’Europe de l’Est.

Bref, il sera question de toute autre chose durant ce séminaire articulé sur la journée, entrecoupé de visites de stands business et de conférences au profil passionnant. Un évènementiel que savent porter de manière régulière les hôtes de cette maison consacrée à la cause entrepreneuriale : l’UIMM, le MEDEF et le petit dernier, NUMYCO, structure associative spécialiste du numérique sur le territoire septentrional de la Bourgogne.

 

 

 

Le numérique : un secteur qui ne connaît pas la crise !

 

La thématique du jour n’est pas une surprise. Après s’être attaqués à des items aussi importants que la mobilité électrique en 2020 et la RSE, l’année suivante, les délégations départementales de l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) et du MEDEF se devaient tôt ou tard de réfléchir à l’impact du digital sur les acteurs économiques de notre département.

Avec un prisme évident sur le volet des PME/PMI. Un impact qui frise désormais l’insolence – on peut justement parler de révolution numérique tant les enjeux sont capitaux pour le devenir des sociétés-, voire l’omniprésence.

Or, mésestimer le poids de cette technologie pour un entrepreneur, un artisan ou un commerçant serait préjudiciable à plus d’un titre pour le bien-fondé de son outil de travail.

D’ailleurs, le secteur ne connaît pas la crise ! En l’espace de quinze ans, 700 000 emplois ont ainsi été créés sur ce segment d’activité qui génère des chiffres record en matière d’investissements : 140 milliards d’euros ont été injectés par les industriels européens pour financer le principe de l’usine du futur.

Moyennant quoi, comment peut-on décemment encore ignorer un secteur qui représente 5,5 % du produit intérieur brut hexagonal ?! Une part qui pourrait doubler dans les prochaines années selon les observateurs…

 

 

L’univers du bio mimétisme pour débuter l’après-midi…

  

Dans le concret, les organisateurs de ce rendez-vous mêlant sens de l’analyse et sensibilité à de nouvelles pistes de prospective intellectuelle ont saucissonné la journée en plusieurs moments phares.

Entre conférences, plutôt pointues (le métavers comme mise en bouche matinale avec Agathe MALINAS du cabinet SIA PARTNERS dès 09 heures) et des tables rondes, où l’on parlera sans retenue des technologies numériques au cœur des process. Mais, aussi, un peu plus tard dans la matinée, des mutations profondes qui sont liées à cette technologie de pointe et à ses impacts.  

D’ailleurs, pour ne pas perdre la main, ni trop de temps sur une programmation très serrée, les participants auront tout le loisir une fois extirpés du cocktail faisant office de déjeuner de plonger dès 13h30 dans l’univers du « bio mimétisme », avec Kalina RASKIN, dirigeante du CEEBIOS, le Centre d’études et d’expertises dédié au déploiement du bio mimétisme en France.

En parallèle, quatorze experts éclaireront de leurs lumières un public parfois de béotiens qui ne manquera pas de les solliciter pendant les débats initiés par les tables rondes ou lors du cocktail plus festif, avec un canapé dans la main et un verre de Chablis dans l’autre !

Une rentrée économique qui se présente sous d’excellents auspices avec comme leitmotiv « Numériquez-vous ou pas ! ».

 

 

       

En savoir plus :

 

Rentrée économique de l’UIMM, du MEDEF et de NUMYCO dans l’Yonne

« Numériquez-vous ou pas ! »

A la Maison de l’Entreprise à Auxerre

De 09 h à 15 heures

Sur inscription obligatoire,

Entrée gratuite

Les renseignements sur www.numeriquez-vous.fr

 

 

Thierry BRET

 


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Bon ! Soyons clairs et ne versons pas dans une forme de modestie aussi vaine que fausse ! La REF, soit la « Rencontre des Entrepreneurs de France » millésime 2022, aura une fois encore été l’évènement majeur de cette rentrée. Outre le succès « populaire » qu’elle aura rencontré avec plus de 10 000 participants sur les deux journées, elle aura vu se succéder aux différentes tribunes ouvertes sur les pelouses de l’hippodrome de Longchamp, une pléiade de personnalités de tous horizons, de tous bords et de tous pays !

 

TRIBUNE : Rien que du beau monde, garanti « authentique et sincère » - on n’est pas naïfs non plus ! - avec des chefs d’Etats, des chefs de gouvernements, des ministres (presque tous !), des parlementaires, des universitaires, des scientifiques, des philosophes, des sportifs, des gens qui ont des choses à dire et même d’autres parfois qui n’ont rien à dire du tout mais qui le disent quand même ! Bref, tous les ingrédients nécessaires à faire de ce rendez-vous un incontournable que beaucoup, disais-je, n’auront pas contourné ! Et moi le premier !

Vous me direz que j’y étais pour faire le job et qu’à ce titre je n’ai pas vraiment de mérite ! Pas tout à fait faux, en soi. Mais, permettez-moi tout de même de vous dire que, bien que j’y fut pour participer à la représentation de notre cher MEDEF Yonne, ce n’est pas pour autant que je me suis interdit d’ouvrir mes yeux et mes oreilles en grand et de demander à ma cervelle, un minimum d’effort de compréhension et d’analyse.

Car si le lieu est vraiment très agréable, que les gens ont bonne mine au retour des vacances et que tout ceci fleure bon l’envie de flâner de stand en stand à un rythme de sénateur, les échanges et débats sont d’un niveau exceptionnel et ils font du bien à l’intellect ! Allez, on plonge dans la REF 22 pour quelques morceaux choisis, avec pour commencer la séquence émotion !

 

 

Une ouverture de poids avec le discours de Volodymir ZELENSKI…

 

 

Avant même l’ouverture officielle par Geoffroy ROUX DE BEZIEUX, la première journée a vu apparaître sur les écrans géants, le Président de la République d’Ukraine, Volodymir ZELENSKY himself, en direct de Kiev !

Dès le début des réjouissances, c’était donc du très lourd ! Bien sûr, il n’aura pas manqué de rappeler combien la situation de son pays est dramatique et combien il en appelle aux démocraties de l’Occident et d’ailleurs, de lui venir en aide, voire d’œuvrer pour que cesse cette guerre d’un autre temps, aussi stupide qu’injuste.

Mais le message qu’il souhaitait avant tout faire passer aux patrons Français, c’est bien celui des perspectives d’une reconstruction de son pays, qui finira bien par arriver et dont il souhaite qu’ils soient des acteurs majeurs ! Et si jamais ses accents de sincérité ne suffisaient pas à les convaincre, il n’aura pas manqué l’occasion de rappeler que l’évaluation faite aujourd’hui du coût de cette reconstruction, atteint des niveaux astronomiques de l’ordre de 600 à 800 milliards de dollars !

 

 

De l’anxiogène, de la sobriété et du superfétatoire : bonjour, l’angoisse !

 

Et puis, il y eut le grand discours d’ouverture du Président du MEDEF. Lancé tous haut-parleurs hurlants sur les accords et les paroles de la chanson du groupe Téléphone «  Un autre monde », tout un symbole, Geoffroy ROUX DE BEZIEUX s’est livré à l’exercice consistant à dresser le panorama quasi exhaustif d’une actualité pour le moins riche, tout autant que complexe et dramatique à bien des égards.

Et dans le domaine, il faut noter qu’il aura réussi le tour de force de ne jamais verser dans quelque forme de pessimisme, de défaitisme ou d’abattement que ce soit. Il y aurait pourtant eu de quoi, lorsque l’on songe que parmi les sujets abordés, on trouve pêle-mêle : la sobriété énergétique, la souveraineté énergétique et industrielle, la sobriété budgétaire (rien que du « sobre » !).

Mais aussi, la guerre en Ukraine, le coût de l’énergie, l’inflation, la situation économique de la France, la décarbonation (rien que de l’anxiogène !).

Sans oublier : assurance chômage, retraites et fiscalité, (rien que du qui fâche !). Et puis, comme s’il en fallait encore un peu : les superprofits, les jets privés et même le barbecue (rien que du symbole superfétatoire !).

Chapeau l’artiste ! De la belle ouvrage en somme et il faut bien le souligner, un talent certain d’orateur qui aura considérablement contrasté avec la performance, disons moins flamboyante, en tout cas sur la forme, de celle qu’il l’aura suivi à la tribune, je veux bien sûr parler d’Elisabeth BORNE, notre Première Ministre.

 

La sobriété des entreprises : de la menace ou de l’incitation ?

 

Alors évacuons tout de suite la question de la prouesse oratoire. Pour paraphraser une réplique célèbre, disons qu’elle n’a pas intérêt à tout miser dessus !

Mais, occupons-nous plutôt du fond, parce que là, on relève des sujets qui nous intéressent et nous touchent bigrement. Des sujets qu’elle aura abordés en prenant bien soin de ne pas uniquement caresser le patronat dans le sens du poil !

Car après avoir salué tout le monde, remercier aimablement le Président du MEDEF pour son invitation et rappelé le soutien indéfectible de la France envers l’Ukraine, elle n’aura pas mis longtemps à mettre sur la table la question ultrasensible de l’énergie et des perspectives de pénurie qui guettent notre pays.

Et là, soyons clairs, les entreprises ont intérêt à se mettre en coupe rangée, derrière le plan de sobriété énergétique préparé par le gouvernement, sinon gare à elles ! Et difficile de dire si tout ceci a été prononcé sur le ton de la menace, ou bien sur celui de l’incitation forte, le phrasé monocorde omniprésent permettant difficilement de trancher !

 

 

« En cas de coupures, les entreprises seraient les premières touchées ! »…

 

Frissons et émoi dans les gradins ! Les nuques se sont raidies et les poils se sont dressés sur les échines lorsque la maîtresse d’école a parlé !

Car certes, si elle a bien pris le soin de faire la démonstration avec force pédagogie des raisons multifactorielles qui pourraient nous amener à une situation de pénurie de gaz et d’électricité cet hiver, la phrase a claqué comme une porte dans un courant d’air : « si on devait arriver aux coupures, les entreprises seraient les premières touchées ! ».

Et puis, un peu plus tard, après avoir expliqué que les entreprises devaient faire le maximum d’économies : « il faut préférer les économies choisies plutôt que les coupures subies ! ».

Menace ou incitation forte, vous disais-je ? « That is the question » et chacun se fera son idée. Mais quoi qu’il en soit tout ceci nous interpelle. Alors bien sûr, Bruno LE MAIRE, dès le lendemain, aura tenu des propos beaucoup plus nuancés sur le sujet. Mais, nous le savons bien. Il n’y a pas de fumée sans feu et nous devons rester sur nos gardes. Prenons juste ici un peu de temps pour décortiquer tout ça.

 

 

Un recyclage évident avec les « ambassadeurs de la sobriété en entreprise »…

 

Tout d’abord, les chefs d’entreprises n’ont pas attendu Madame BORNE pour faire des économies ! Et oui, ils prendront toute leur part dans le plan de sobriété voulu par le Président de la République.

Reste encore à en connaître toutes les modalités et pour ça, il faudra sans doute attendre le 01er octobre. Tout bon patron qui se respecte regarde son compte d’exploitation et sait bien sur quels leviers il doit et peut agir lorsqu’il constate de la dérive budgétaire !

En matière de coût de l’énergie, nous avons atteint de tels niveaux au cours de ces derniers mois (et ce n’est pas fini, hélas !), que des mesures drastiques ont déjà été mises en place partout où c’était possible afin de réduire les consommations, faute de pouvoir jouer sur les prix.

Mais, il reste cependant bien évident que lorsque qu’il s’agit de faire fonctionner l’outil de production, il est rarement possible d’imaginer, du jour au lendemain, une situation alternative au gaz ou à l’électricité. Et ce n’est pas la création des « ambassadeurs de la sobriété en entreprise », forme de recyclage, des ambassadeurs COVID (et même si le recyclage, c’est dans l’air du temps !) qui changera fondamentalement la donne, aussi généreuse que soit l’idée.

Soyons lucides ! La Première Ministre l’a d’ailleurs rappelé : « nous avons besoin d’une transition énergétique radicale pour sortir des énergies fossiles ». Mais, une telle transformation, pour ne pas dire révolution, va demander des moyens considérables et une temporalité incompatible avec le court terme !

En outre, une récente analyse montre que pour faire aboutir la décarbonation de l’économie, nous aurons un besoin massif de capital. D’ici à 2030, les entreprises devront investir au bas mot 40 milliards d’euros par an pour réduire les émissions de CO2 de moitié. Cela représente 20 % d’investissements supplémentaires par an. C’est dire si nous avons besoin qu’elles soient performantes et profitables pour atteindre de tels niveaux.

Alors de grâce, Madame BORNE, ne commençons pas par leur couper les pattes en leur coupant le gaz et l’électricité !

 

Il faudra compter sur les entrepreneurs de France qui ne sont pas des parasites !

 

Il est cependant rassurant de constater que dans son esprit, «  radical » ne veut pas dire violent, subi ou décroissant, car dixit : « la décroissance n’est pas la solution. Elle attaquerait notre niveau de vie, elle mettrait en péril le financement de notre modèle social, elle braquerait nos concitoyens et nous empêcherait d’avancer ».

Et d’ajouter que : « la solution viendra d’une croissance nouvelle, réorientée, car la transition écologique est une opportunité qui permettra d’innover, de transformer les filières existantes, d’en créer des nouvelles, de renforcer notre souveraineté et de créer de nouveaux emplois ».

Alors là, nous disons chiche, Madame BORNE ! Et si quelqu’un en doute encore, tout ceci ne pourra se faire qu’avec les entrepreneurs de France qui ne sont pas, malgré les thèses de certains, que des parasites, n’est-ce pas ?!

Bien au contraire, ils sont la solution et ils détiennent, notamment par leur capacité d’innovation, leur prise de risque et leur engagement, les clés qui permettront au pays d’aller vers cette transition dont nous savons qu’elle est incontournable !

C’est aussi de cela dont on parle dans les allées de la REF ! Quiconque s’y est rendu l’aura constaté et en sera ressorti convaincu. Car le MEDEF est un formidable catalyseur qui sait comme personne donner l’élan nécessaire et mettre en ordre de marche les énergies et les bonnes volontés indispensables à une telle ambition.

Alors pour conclure, Geoffroy ROUX DE BEZIEUX a indiqué qu’il regrettait que notre monde, en cette rentrée 2022, « ne soit pas au regard des circonstances, celui dont nous avions pu rêver en 1984 avec le groupe Téléphone ».

Et force est de constater que, si tous ignorent si c’est la fin de l’insouciance, les patrons n’ont jamais vraiment été insouciants. En tout cas, ils savent que ceci les oblige et ils ont bien conscience qu’ils devront apporter des réponses et trouver des solutions.

C’est aussi pour ça qu’ils étaient à la REF et c’est pour ça qu’ils y seront de nouveau en 2023 et au-delà ! Alors à l’année prochaine pour la REF 23 ! Et vive le MEDEF et vive les entrepreneurs de France !

 

Claude VAUCOULOUX

 

Délégué général du MEDEF de l’Yonne 

 


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