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Quelle sera la configuration opératoire pour l’Europe de demain et ses institutions ? A l’aune d’une future échéance électorale, la seule de l’année 2019, mais déjà qualifiée de très importante par l’ensemble des observateurs de la chose politique, le MODEM et la République en Marche de l’Yonne ont posé des jalons étroits pour une réflexion commune auprès de leurs militants et sympathisants. Face à une conjoncture mouvementée et complexe, le dialogue et l’échange d’idées demeurent l’une des priorités essentielles pour tenter de résoudre l’ensemble des problématiques actuelles. Mieux entendre et écouter l’autre, c’est aussi apporter du grain à moudre à la compréhension et à la réflexion à l’heure des choix…Surtout quand les messages explicatifs sont véhiculés par des exégètes en la matière…

AUXERRE : Débattre autour de l’Europe, sur ses forces et ses faiblesses, sur ses atouts et ses défauts, sur les attentes qu’en ont les citoyens. Ces initiatives où le dialogue et la concertation priment avant tout sur tout autre chose, devraient se déployer à un rythme plus soutenu au cours de ces prochaines semaines sur le territoire. Les antennes départementales du MODEM et de La République en Marche (LAREM) en ont fourni la preuve tangible il y a peu dans la capitale du département.

En organisant un rendez-vous liminaire sur ce thème, où les deux formations qui feront liste commune aux Européennes, ont voulu éclairer de leurs lumières, et en s’appuyant sur des intervenants de qualité, nos concitoyens sur les paramètres fondamentaux, qui découlent de ce scrutin, loin d’être anodin pour notre avenir.

La question de l'Europe ne peut se balayer d'un simple revers de la main...

C’est en substance ce que les organisateurs de la soirée ont pu affirmer en préambule de cette conférence articulée autour de trois orateurs de belle envergure : Elodie RISENTHAL, consultante et spécialiste des questions européennes, Marcel GRIGNARD, président de « Confrontations Europe », organisme qui s'active sur des groupes de travail (investissement de long terme et financement de l'économie, numérique, énergie et transition bas carbone, économie circulaire, Europe compétitive et sociale, insertion professionnelle des jeunes)- il est chargé de mission auprès de la Ministre du Travail, et Jean KASPAR.

Ce dernier, apprenti dès l’âge de 14 ans, a succédé à Edmond MAIRE, en tant que secrétaire général de la CFDT en 1988. Il y sera l'initiateur de la « stratégie des convergences », destinée à rapprocher les organisations syndicales réformistes en France.

Vice-président de l'Observatoire social international liant « Entreprise et Personnel », Jean KASPAR est très sollicité par ailleurs. Il intervient au CNAM, à Sciences Po Paris, à l’IAE de Paris, à l’Université de Haute-Alsace et à Marne-La-Vallée. Nommé en 2012, président de la Commission du Grand Dialogue de La Poste, il est actuellement conseiller municipal d'opposition à Villeneuve sur Yonne.

Devant un auditoire attentif, les trois conférenciers livreront leurs visions de l’Europe en fonction de leurs appétences techniques et structurelles. Ouvrant le ban, Elodie RISENTHAL proposa un retour aux fondements de l’Europe. Avec une analyse fine des traités originels. Quand l’Europe n’en était encore qu’à l’état embryonnaire et balbutiait ses premières décisions au sortir de l’Après-Guerre, avant de prendre davantage de volume dans les années 1950.

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Et pêle-mêle de faire référence à la liberté des échanges avec la reconnaissance des diplômes, à la libre concurrence et à la libre circulation des citoyens et des travailleurs.

« Quatre millions de personnes franchissent chaque jour une frontière grâce aux accords de Schengen, précisa-t-elle. Indéniablement, l’Europe a facilité les flux et le commerce. Tout en préservant le contrôle des frontières… ».

Et de rappeler le poids de l’agence FRONTEX (et ses 250 millions d’euros de budget) qui permettent d’assurer un rôle de coordination et de contrôle des états membres.

Toutefois, malgré les moyens mis en œuvre par les états membres, cela n’empêchera pas, dès 2005, l’afflux important de migrants (un million de déplacés). Les demandes d’asile devenant plus élevée dans les pays d’entrée à l’instar de la Grèce (82 %) et l’Italie (15 %).

« Aujourd’hui, continua l’oratrice, l’Italie agite le drapeau rouge en disant que sa quote-part a été atteinte. Le responsable de l’exécutif, SALVINI, interdit tous les bateaux (200 000 migrants en afflux) qui se dirigent désormais vers les côtes de l’Espagne. Dans le domaine de la solidarité à ces personnes : il reste beaucoup à faire… ».

Faire progresser l’Europe vers davantage de droits sociaux…

L’évocation de l’Europe sociale incomba à Marcel GRIGNARD. Pour lui, il est nécessaire de tirer l’Europe vers le plus haut niveau des conditions de travail.

« Cette Europe sociale, elle existe, dit-il, nulle part ailleurs, autant de pays ont pris de l’intérêt à résoudre cette question sociale. Mais, c’est évident : elle peut mieux faire ; d’autant que l’élargissement avec les nations de l’Europe centrale, survenu dans les années 2000, a fait tout dérailler… ».

Depuis, la compétition économique entre les pays de l’Union est devenue récurrente. Avec son lot de tricheries autour des règles et des salaires, la présence d’une concurrence sociale violente ou la prolifération de travailleurs détachés.

Mal gérée au niveau social, l’Union européenne n’est pas à la hauteur des attentes de ses habitants, victimes de dégradations sociales. 

Pourtant, certains européens convaincus disent qu’il est grand temps de stopper cela. Et de proposer un salaire égal pour un travail égal.

« Créer un socle social européen (avec une série de droits nouveaux autour de la famille et parental) a été salué par tous, ajoute Marcel GRIGNARD, mais, ce socle qui est intéressant est renvoyé à l’appréciation de chaque état membre… ».

Il est difficile aujourd’hui d’harmoniser les décisions européennes. Même si le continent a progressé en développant des éléments sociaux en commun, l’essentiel de ces décisions demeure nationale.

Quant à la situation de l’emploi, à travers l’Europe, elle est bancale et inappropriée aux besoins des peuples qui y habitent.

Nonobstant, et les trois interlocuteurs devaient se rejoindre sur le dernier volet de leur causerie, en insistant sur cette envie unanime d’Europe.

« On a besoin d’une Europe qui nous permettre de traiter la délicate question du climat et celle du bien-être de l’humanité, de bénéficier d’une nourriture saine et de l’eau en abondance, de vivre sur des territoires où règnent la concorde, la cohésion sociale et l’égalité. De mutualiser nos énergies. Cette Europe qui nous unit doit pouvoir agir sur tous les problèmes sérieux qui dépassent la simple gestion d’un état : cela concerne la protection des données numériques, la sécurité face au terrorisme, le paiement des impôts visant les grandes multinationales. Nous avons un destin commun, c’est celui de construire ensemble notre propre avenir, avec des valeurs et aspirations parfois identiques mais aussi éloignées les unes des autres. Il nous faut faire un effort considérable pour comprendre les autres…. ».

Etre capable de l’expliquer aux Européens (et aux Français) pourrait apporter du mieux au quotidien. Voilà à quoi vont s’employer les représentants du MODEM et de LAREM de notre territoire d’ici le jour J de ce vote capital…

 


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La structure associative milite pour l’accès au micro-crédit pour tous les porteurs de projets. Elle vient de proposer ses services à l’une de ses bénéficiaires dans le cadre de son centième financement d’entreprise. Gérante de la nouvelle boutique, « SHOPPING ENTRE NOUS », Sandrine LECLERCQ profite de ce subside qui l’autorise à tenter l’aventure de l’entrepreneuriat et de devenir son propre patron…

SENS : Malgré un contexte conjoncturel délicat, exacerbé par une rude concurrence-celle entre autres de zones commerciales en périphérie de la ville, Sandrine LECLERC fait montre de combativité.

Sa démarche pugnace a su convaincre les responsables régionaux de l’Association pour le droit à l’initiative économique (ADIE). L’entité qui délivre des micro-crédits.

Ceux qui ont examiné avec grand intérêt sa requête n’ont pas hésité à lui fournir les moyens financiers nécessaires à l’accompagnement de son projet. Celui de devenir une commerçante…

Ayant vécu moult expériences professionnelles, Sandrine envisage de franchir un cap supplémentaire dans sa carrière. Son désir le plus fou ? Ouvrir une élégante boutique de dépôt-vente, spécialisée en vêtements, chaussures et bijoux.

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Un ancrage territorial favorable aux relations de proximité…

Le choix de l’emplacement s’avère primordial, dit-on dans le commerce. Sandrine LECLERCQ trouve son bonheur en installant sa vitrine dans une rue très fréquentée du cœur de ville. Depuis dix mois, son enseigne, « SHOPPING ENTRE NOUS », propose de belles griffes qui satisfont les consommatrices.

Elle est devenue la centième responsable de société à profiter d’un micro-crédit. Le centième proposé par les services de l’ADIE sur le département de l’Yonne.

Comptant un conseiller et sept bénévoles, très impliqués dans la vie locale, l’antenne de l’ADIE Yonne a débuté ses activités en 2012.

On est aujourd’hui loin des 37 prêts délivrés la première année d’existence. Le cap des cent dossiers d’autoentrepreneurs financés a été atteint fin 2018. L’organisme ne pense pas en rester là ! Ses collaborateurs ont déjà entamé la nouvelle année avec espoir de concrétiser très vite de nouveaux financements.


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Visible jusqu’au 30 avril, la première exposition des métiers d’art est accueillie à la Maison du Tourisme de l’Yonne. Elle sublime l’or et la dextérité que possèdent dans leurs mains une demi-douzaine d’artisans du terroir. Céramistes, ébéniste, maroquinier, sculpteur sur bois, créateurs de bijoux ont répondu à l’invitation de la Chambre départementale des Métiers et de l’Artisanat, de l’Office du Tourisme de l’Auxerrois et de l’Agence de développement Yonne Tourisme pour honorer ce rendez-vous. L’initiative devrait interpeller touristes et résidents par la qualité et l’éclectisme des objets présentés…

AUXERRE : Créer, transformer, concevoir, épurer, magnifier. Ces mêmes mots reviennent en boucle et sont prononcés par des interlocuteurs pourtant différents dans la maîtrise de leur travail. Des artisans d’art qui vivent aujourd’hui du fruit de leur passion. Une caste à part mais ô combien importante de l’artisanat qui illumine néanmoins de leurs talentueuses réalisations la créativité et l’imaginaire.

Installée dans le vaste hall d’accueil de la Maison du tourisme départementale, l’exposition, ouverte au public, témoigne de ce savoir-faire à l’état pur qui coule dans les veines de ces créateurs à l’inventivité débordante.

Point d’anachronisme entre ces divins artistes et ce site qui vante les qualités touristiques de notre patrimoine. Ces deux éléments représentent les valeurs attractives de notre territoire. Auprès de touristes, en goguette sur notre zone géographique de prédilection. Mais, aussi auprès de celles et ceux qui accordent leurs violons d’Ingres à la contemplation chronique de l’art sous toutes ses formes.

Encouragée par la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et le Département, la présentation mérite amplement le coup d’œil.

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Créer des circuits touristiques autour de l’artisanat d’art…

Au-delà de cette présentation insolite, les organisateurs de l’évènement se sont déjà accordés pour adapter à l’avenir une offre touristique mettant à l’honneur les professionnels des métiers d’art, un vecteur valorisant le territoire. Cette promotion engendrerait des retombées économiques indéniables pour l’ensemble de ces acteurs.

Présentée par la présidente de l’agence de développement Yonne Tourisme, Anne JERUSALEM, l’exposition accueille Julien CORDIER, ébéniste et créateur de meubles à Irancy, Muriel BERLINGHI DOMINGO, MU Maroquinerie à Auxerre, la céramique Leba CONDON à Pontigny, Charlie O Plumes avec Charlotte BLANZY, créatrice de bijoux à Druyes-les-Belles-Fontaines, l’atelier de François GUEUTIN, sculpture sur bois et création de bijoux à Auxerre et l’atelier de poterie, Christelle DAVID, céramiste à Saint-Fargeau.

On notait à ce vernissage la présence d’Odile BORDAT, du Conseil départemental de l’Yonne, Tristan TREBOUTA, de la Communauté de l'Auxerrois, Nathalie METIERS, de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, Cloé TOYE, de l’Office de Tourisme de l'Auxerrois, Céline LEBRUN, présidente de l’association « Au Bonheur des Chutes » et Françoise BARBIER, présidente de l’Association des Artisans d'Art de l'Yonne.


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Tant sur la forme que sur le fond, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté s’oppose à la décision prise de manière unilatérale de supprimer un trajet aller-retour sur la ligne ferroviaire empruntée par le TGV LYRIA, entre Paris et Lausanne. D’autant que cette suppression impacte directement les trois dessertes de Dijon, Dole et Frasnes (Doubs).

DIJON (Côte d’Or) : Trois gares de Bourgogne Franche-Comté ne seront peut-être plus desservies à brève échéance par un trajet aller-retour entre Paris et Lausanne, assuré par le TGV LYRIA.

La filiale partagée entre la SNCF et la CFF (Chemins de fer fédéraux helvètes) envisage en effet la suppression de ce trajet qui desservait jusque-là la capitale régionale mais également les gares de Dole et de Frasne au profit d’une nouvelle infrastructure TGV. Celle-ci devrait être opérationnelle en décembre 2019.

Souhaitant interpeller Elisabeth BORNE, la ministre des Transports, Marie-Guite DUFAY a décidé de monter au créneau et devrait rappeler à l’intéressée ministérielle que « cette prise de décision qui contredit la loi favorable à un nouveau pacte ferroviaire récemment votée, ne se justifie pas ».

La responsable de l’exécutif régional procèdera le plus rapidement possible à l’audition des représentants de LYRIA. Ces derniers devront argumenter leurs choix de parcours, qui évite notre territoire, au profit de la nouvelle gare TGV de Genève.


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S’inscrivant dans une stratégie de diversification, le spécialiste des fruits à coque haut de gamme de l’Yonne a englobé depuis plusieurs mois l’une des structures professionnelles nationales, positionnée sur un créneau similaire : Le GRAND NOYER. Pour se faire, FRUITS SECS DU WEB a racheté le fonds de commerce, la marque, le matériel et le portefeuille de clientèle de cette entité vieille de sept ans. Au premier semestre, fleurira via les réseaux distributeurs des épiceries fines et des grands magasins une nouvelle gamme de produits apéritifs au mélange et à la saveur insolites…

SAINT-JULIEN-DU-SAULT : Nouvelle année et nouveaux objectifs très ciblés pour le dirigeant de la société FRUITS SECS DU WEB, Benoît CHAIX ! Depuis le rachat du GRAND NOYER, une structure francilienne qui a développé une méthode de torréfaction unique permettant de conserver le goût naturel des fruits à coque sans ajout de matière grasse, l’entrepreneur de l’Yonne ne compte pas ses heures.

Normal, car le premier semestre sera très chargé.

De nouvelles recettes de produits apéritifs…

Avec le lancement d’une nouvelle variante de produits de très belle facture. Destinées à alimenter les rayons d’épiceries fines et de grands magasins (Galeries LAFAYETTE, BON MARCHE…), les cinq recettes de produits apéritifs devraient satisfaire les gourmands, férus de retrouvailles conviviales autour d’un verre. On les retrouvera également dans certains établissements hôteliers, servis au bar.

La particularité de ces recettes réside à leurs ingrédients, des fruits à coque traditionnels (amandes, noix, noix de cajou, noisettes, noix de macadamia, pistache…), bénéficiant d’un ajout subtil d’épices aux saveurs agréables. Le résultat est étonnant en bouche !

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« Les préparations sont légères, très agréables au palais, explique le dirigeant de la société, le côté goûteux de ce mélange iconoclaste accentue la saveur des fruits à coque, tout en préservant leur authenticité… ».

L’origine des produits reste, quant à elle, de provenance idéale. Les noix de macadamia viennent d’Espagne. Les pistaches de Sicile. Bref, des ingrédients d’une qualité exceptionnelle.

Des investissements indispensables à la transformation des produits…

Sur son site de Saint-Julien-du-Sault, FRUITS SECS DU WEB assure le mélange de fruits torréfiés et des préparations savamment concoctées. Justifiant ainsi l’achat d’une chambre de refroidissement et celle d’une machine destinée à conditionner sous vide. Soit une enveloppe budgétaire qui s’est élevée à 60 000 euros.   

« Nous envisageons de torréfier les fruits à coque sur place, ajoute Benoît CHAIX, stratégiquement, nous souhaitons réduire le risque inhérent à la volatilité des cours en rajoutant de la marge… ».

Plusieurs conditionnements sont d’ores et déjà proposés. Avec des sachets sous vide alors que le travail de packaging, assuré par un designer, se décline sous la forme de codes de couleur distincts.

Le coloris « jaune » sera employé pour les produits torréfiés. La gamme bio fera référence à une estampille verte naturelle. Tandis que la couleur marron servirait à identifier les ingrédients vendus en premium à l’instar de la pistache et du pignon du Portugal.

D’ici 2021, Benoît CHAIX espère réaliser un volume d’affaires de 500 000 euros grâce à cette savoureuse gamme de produits.

L’objectif est simple aujourd’hui pour la structure de l’Yonne : l’entreprise recherche des marchés à forte valeur ajoutée et des niches spécifiques pour y positionner ses produits.

Pesant 500 000 euros de chiffre d’affaires en 2018, FRUITS SECS DU WEB a également obtenu le label ECOCERT Bio. La structure a enregistré la saison dernière une hausse de 30 % de son tonnage de produits traités.


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