« L’amour du travail bien fait ». C’est la définition retenue par Jean-Claude DESNOS, maire de Courson les Carrières qui caractérise le mieux le parcours professionnel de cet homme âgé de 60 ans qui a fait valoir ses droits il y a peu à une retraite méritée et qui recevait en ce samedi 10 mars devant un parterre de personnalités politiques et institutionnelles la médaille Grand Or du travail. Une récompense honorifique qui salue les quarante-et-une années d’expériences professionnelles vécues aux côtés de la famille de Françoise et René FAUCHEUX, exploitants agricoles céréaliers…
COURSON LES CARRIERES : De l’émotion mais aussi une extrême convivialité résument les principaux traits caractéristiques de cette cérémonie protocolaire organisée en ce 10 mars au matin dans la grande salle de réception de la mairie de cette commune de Forterre.
Les milieux agricoles, en force parmi l’assistance, n’auraient voulu manquer sous aucun prétexte ce rendez-vous solennel où l’un de leurs pairs, Didier BOIVIN, recevait la médaille Grand Or du travail, une distinction haute en symbole qui traduit la fidélité sans faille d’un employé modèle et sérieux au sein d’une entreprise.
Un joli pied de nez au destin…
Garçon de l’assistance publique, travailleur et courageux, Didier BOIVIN n’a pas ergoté sur les moyens et sur sa réelle motivation pour rejoindre très tôt, dès l’âge de 18 ans, la vie active. C’est muni d’une mobylette qu’il se présentera un jour de l’année 1976 au domaine agricole de Françoise et René FAUCHEUX, exploitants céréaliers à Courson.
Surpris par cette pittoresque rencontre et aussi par la volonté exprimée par ce jeune homme empli d’audace, le couple se décide de lui tendre la main et de lui accorder sa chance professionnelle malgré la situation très délicate vécue par la filière en cette année de sécheresse exceptionnelle. Le frère de René, Luc, venant de s’installer dans une ferme voisine, Didier BOIVIN mutualisera les travaux agricoles au gré des besoins, se partageant sur les deux exploitations familiales. Un joli pied de nez pour ce garçon, n’ayant pas de famille et qui tiendra sa revanche sur la vie en intégrant ce nouvel environnement…
Perfectionniste, ne lésinant pas sur la découverte de techniques nouvelles par le biais de la formation et des stages, Didier suivra tour à des tours des séances pédagogiques poussées, lui permettant de gagner en facilité au niveau de la soudure, de l’électricité, mais aussi de la prévention.
Cette appétence pour le volet technique, Didier BOIVIN les mettra à profit dans la structure agricole qui l’emploie. Adepte du matériel dernier cri, ce professionnel enjoué lorsqu’il se rendait sur les salons corporatistes maniera avec aisance l’utilisation des technologies numériques embarquées à bord des tracteurs, pourvus de système GPS afin d’optimiser les performances.
Les honneurs même au niveau national…
Confidence de René FAUCHEUX distillée lors de son allocution : « Didier a aussi contribué au développement de nos projets professionnels de notre exploitation. Y compris en installant le photovoltaïque, récemment… ».
Poursuivant cette fructueuse collaboration avec Emmanuel, le fils de Françoise et de René, Didier BOIVIN demeure un parfait bricoleur, ce touche-à-tout de génie vers qui on se réfère et qui sait faire ce qu’il veut de ses dix doigts dès que le besoin l’emporte.
Cet ouvrier modèle aura même eu les honneurs de notre confrère, « France Agricole », publiant une photographie le mettant à son avantage sur les bienfaits d’un nouveau matériel de semis direct. Il recevra également une distinction honorifique de la part de la société HORSCH pour avoir apporté sa plus-value et sa matière grise dans l’amélioration d’un outillage innovant.
Il était légitime que Didier BOIVIN reçoive les congratulations de la filière agricole qui n’oubliera jamais ses bons et loyaux services exercés dans la même structure durant 41 ans !
Ainsi que celles des représentants politiques à l’instar du conseiller départemental Yves VECTEN qui félicitera l’heureux récipiendaire de cette médaille (celle de la passion du métier) et du député de la circonscription, Guillaume LARRIVE, rendant hommage aux professionnels de l’agriculture, segment économique qui nourrit la France et le monde entier…
Depuis le 01er mars, l’antenne départementale de la Fédération française du Bâtiment dispose d’un nouvel accès à la communication digitale afin de relayer pléthore d’informations pratiques et juridiques auprès de ses adhérents. Consultables grâce à une application destinée aux possesseurs de smartphones et autres appareils de la téléphonie mobile, ces données fournies par le national mais aussi par la structure icaunaise traduisent le nouveau tournant pris par le puissant organisme corporatiste. En choisissant ce cap, celui-ci souhaite aller plus en avant pour pallier une carence d’image en agrégeant modernisme et transparence dans sa quête communicative…
AUXERRE : Les choses évoluent au sein de la Fédération française du Bâtiment de l’Yonne. Notamment en matière de communication. Celle-ci a d’ailleurs été renforcée depuis quelques jours grâce à un dispositif usuel pratique et moderne : une application destinée aux nombreux utilisateurs d’objets connectés et d’appareils androïdes.
Soucieux de résoudre la récurrente problématique de son défaut de visibilité, mais aussi désireux de fournir dans des délais optimums une kyrielle de renseignements utiles à l’ensemble des artisans fédérés en son sein, la FFB de l’Yonne a pris soin de se doter de ce nouvel instrument qui manquait encore à sa panoplie fonctionnelle.
Une application qui vient se greffer à la naissance d’une commission communication…
Apparue depuis le début du mois de mars, l’application a pour objectif de soutenir les entreprises de la filière d’en leur vision stratégique à moyen terme. En leur octroyant de précieuses informations jugées pragmatiques par les responsables de l’antenne de l’Yonne. Le contenu informatif de ce nouveau référent ne se cantonne pas à de simples flashes sur la filière du bâtiment. Il englobe un périmètre élargi de données précises sur l’ensemble de ce secteur d’activité.
La FFB de l’Yonne a fait appel aux services d’une structure professionnelle basée à Toucy pour la réalisation de ce média. Les dirigeants de BAT IMPULSE ont su gérer le besoin de leur client avec sérieux et efficacité. Donnant le résultat que chacun peut découvrir désormais en téléchargeant la nouvelle application.
Un bonheur ne venant jamais seul, et sous l’impulsion volontariste de son président Xavier PAPIN, la structure fédéraliste a décidé de s’octroyer les services d’une cellule de communication interne, composée de cinq membres, qui se réunira dès la semaine prochaine afin de fixer les lignes prioritaires de son projet de développement. Cet organe travaillera en parfaite symbiose avec le président PAPIN et le secrétaire général de la FFB 89, Christian DUCHET, en poste depuis maintenant deux exercices au sein de cette vénérable institution.
Un programme chargé d’ici la fin de l’exercice…
Plusieurs événementiels serviront de trames de référence pour le démarrage effectif de cette commission. A commencer par la tenue de la traditionnelle assemblée générale qui se déroulera le 15 juin dans les locaux de la fédération. Un moment fort pour le président Xavier PAPIN qui dévoilera alors les perspectives de son nouveau mandat à horizon 2018/2019 après avoir brossé le bilan de l’année écoulée. Il sera question également de la fameuse opération ouverte aux collégiens et futurs apprentis de la filière, les Coulisses du Bâtiment. Cette dernière devant avoir lieu durant la seconde semaine d’octobre à Auxerre. La date n’est pas encore arrêtée de manière définitive. Ni le lieu d’accueil de cette animation qui draine en règle générale plusieurs centaines de collégiens en quête de pistes favorables à leur orientation.
Enfin, la tâche ne sera totalement accomplie cette année pour la FFB 89, une fois les Rubans du Patrimoine organisés. La structure aura le privilège de porter cette animation, née de l’initiative de la Fondation du Patrimoine de France, aux côtés de plusieurs partenaires (Association des maires de l’Yonne, Caisse d’Epargne…) et autour de deux projets Icaunais qui obtiendront des récompenses : la ville de Tonnerre pour l’édification d’un kiosque à musique et la commune de CLAIRIMOIS, ayant procédé aux travaux de rénovation de son église.
Bref, on le constate : 2018 sera une année avec du pain sur la planche assuré pour la jeune commission de la communication de la fédération ; et des informations garanties qui seront destinées à alimenter la nouvelle application digitale.
A 52 ans, le chef de cuisine du fameux club AIRBUS, établissement spécifique accueillant des VIP de la planète entière en transit dans la région de Toulouse, et piloté par le prince de la gastronomie Michel SARRAN, double étoilé au Michelin, n’hésite pas à prendre des risques. Et à se remettre en cause, lui et son tour de main magique, avec beaucoup d’élégance et un sens profond de l’humilité. Le 21 mars, ce professionnel au parcours jalonné d’expériences riches et enthousiasmantes (Le CRILLON, La BARBACANE…) relèvera le défi imposé par les organisateurs ingénieux de l’IRON COOK 2018 lors de la seconde édition de cette épreuve à la renommée nationale. Portrait…
AUXERRE : Titulaire d’un CAP de cuisine, obtenu en 1983, au lycée professionnel de Saint-Martin d’Amiens dans la Somme, Thierry LAMBERT n’entre pas dans la catégorie particulière des spécialistes de concours gastronomique. Certes, il s’est déjà essayé à quelques-uns d’entre eux, « sur le tard », comme il aime le préciser. Non pas, par manque de conviction, mais parce que la passion de son métier telle qu’il l’exerce aujourd’hui aux côtés de Michel SARRAN à mitonner les recettes les plus insolites et représentatives du terroir français, monopolise le temps nécessaire aux préparatifs d’usage.
Donner le maximum pour ce défi d’exception
Ce personnage universaliste ouvert aux cuisines du monde (Brésil, Tunisie, Egypte, Dubaï…), féru de stages de perfectionnement afin de connaître la subtile quintessence de cet art culinaire qui lui procure tant de plaisir, a, en cette année 2018, tourné casaque à sa litote habituelle. Celle de consacrer beaucoup aux autres, en oubliant parfois de s’intéresser à lui-même…
Logique, en suivant ce raisonnement volontariste, de retrouver in fine Thierry LAMBERT parmi la vingtaine de postulants initiaux au fameux défi institutionnalisé par le CIFA de l’Yonne depuis deux rendez-vous.
« L’âge n’y est absolument pour rien, concède-t-il, ni le fait de me confronter à d’autres chefs de grande valeur. Simplement, j’ai eu envie de relever ce challenge marathon si spécifique en adressant ma candidature parce que la passion du travail bien fait et le fait d’être capable de se mobiliser à tout instant me sont apparus les arguments les plus forts… ».
Par chance, le chef de Castelmaurou (Haute-Garonne) franchira sans encombre les étapes successives d’une dure sélection. Son dossier interpellera les membres du premier jury qui ont composé le futur casting de cet événement printanier. Pris au jeu de la sélection en phase de succès (l’une des quatre places de finaliste lui revenant de facto après le verdict rendu par le comité exécutif), le chef ne fera pas de la figuration le jour J lors de sa venue en Bourgogne.
« Je sais que je donnerai le maximum pour remporter ce challenge, explique-t-il, dans ce métier, on ne peut progresser sans aller le plus loin possible et en relevant au quotidien des défis supplémentaires. Et puis, quelque part, je me réjouis que les personnes présentes ce soir-là, soit les 36 VIP du jury de notation des mets, auront la chance de pouvoir déguster ma cuisine. Etant un cercle très hermétique, le Club AIRBUS ne reçoit que des personnalités et des VIP du monde entier quel que soient leurs cultures et religions. D’où une diversité éclectique de la gastronomie à leur proposer. A contrario, ce cadre n’est pas ouvert au grand public et ma cuisine demeure méconnue… ».
Se sublimer pour contrer la crise de la cinquantaine…
Près de Toulouse, Thierry LAMBERT sait pourtant faire des miracles au fond de l’assiette, aux côtés de ses équipes, à faire pâmer les épicuriens les plus insensibles à la gastronomie de référence.
« Je me suis toujours donné à fond à la cause culinaire, conçoit-il, aujourd’hui, j’ose l’avouer je ne crains pas les jeunes chefs qui exercent leur vision de notre corporation avec élan et générosité. Personnellement, j’aime mon métier. Et quand on aime on peut aller très loin. Mon objectif, en participant à ce défi original, est de m’assurer que j’aurai essayé. Je ne viens pas à cette épreuve avec une crainte particulière. La seule peut-être est celle de laisser mes équipes à Toulouse durant cette semaine d’absence… ».
Perfectionniste jusqu’au bout des ongles, le chef de la Haute-Garonne ! Lui qui considère que la cuisine correspond à une somme de valeurs à partager autour de soi. Thierry LAMBERT aborde ce défi avec un réel sens de l’abnégation. Face à la crise de la cinquantaine qui le pousse parfois à se sublimer en réalisant de nouvelles prouesses techniques.
S’attaquer à la difficile scénographie imposée par cette épreuve complexe (concevoir un menu complet comme s’il exerçait son activité dans un restaurant) ne contrarie nullement le chef toulousain.
Mieux cela le stimule et lui intime l’ordre de conjuguer le plaisir au devoir accompli. En procurant la satisfaction à celles et ceux qui se délecteront de sa cuisine savoureuse et typique au soir de ce rendez-vous qualitatif, même si le menu y est sérié dans le cadre précis d’un challenge national.
AUXERRE : Image inhabituelle ce lundi 05 mars vue dans la grande salle de réunion du centre de formation de l’AJ Auxerre ! Un représentant de l’Armée de Terre, en l’occurrence l’adjudant-chef Bruno NIRLO, responsable du CIRFA (Centre d’information et de recrutement des forces armées) avait investi ces lieux pédagogiques réservés aux futurs professionnels du pensionnaire footballistique de Ligue 2.
Non pas pour évoquer les vertus bénéfiques d’un recrutement de quelques mois parmi un régiment d’élite basé en France ou à l’étranger, mais bel et bien pour échanger autour d’une thématique qui se rapprochait des valeurs vertueuses de la chose sportive : le respect et la tolérance envers l’autre !
Pédagogue, illustrant ses arguties avec humilité et discernement, le militaire de carrière se fit parfaitement entendre, et comprendre, de la vingtaine de jeunes gens, plus habitués à discourir d’ordinaire sur les tactiques occasionnées par une rencontre sportive que d’évoquer l’éthique, la tolérance, le civisme et la citoyenneté au quotidien.
Nonobstant, les jeunes apprentis footballeurs ont bien retenu la leçon proposée dans le cadre de ces rencontres pédagogiques animées par le sous-officier Icaunais. Le dépassement de soi et le respect ne possèdent-ils pas des sources communes entre la pratique d’une discipline aussi exigeante que peut l’être le football de haut niveau et la rigueur impétueuse et le sens du devoir et de la perfection que tout militaire de carrière doit posséder en lui pour mieux servir la Patrie ?
Quant à la notion d’engagement, c’est une valeur commune à ces deux mondes parallèles (le sport et l’armée) qui, une fois n’est pas coutume, se sont croisés idéalement à l’intersection des possibles…
Entre la société de création d’évènementiels de l’Hérault et la capitale de l’Yonne, c’est une vieille histoire d’amour. Elle se décline sous la forme de salons annuels, notamment sur le registre de l’habitat et de l’immobilier, qui offrent un panorama exhaustif de l’actualité design, pratique et technique de ce segment fondamental de l’activité économique. Trois journées durant, le parc des expositions d’Auxerre a accueilli un panel éclectique de visiteurs, interpellés par la présentation de ces nouveautés qui font florès à l’amorce du printemps, période propice pour repenser à son intérieur et à envisager un nouveau lieu d’habitation…
AUXERRE : Sur le circuit des manifestations événementielles grand public depuis vingt-deux ans, France EXPO est devenu au fil de ces expériences professionnelles captivantes l’un des acteurs clés de ce segment d’activité dans le paysage national.
Une fois l’an, l’entreprise dont le siège social est installé à CANDILLARGUES dans le département de l’Hérault, pose ses jalons dans l’Yonne au moment du traditionnel Salon de l’Habitat et de l’Immobilier qui ouvre ses portes trois journées durant pour accueillir le public local.
Mais, France Expo ne se cantonne pas aujourd’hui aux seuls rendez-vous concoctés au service des exposants (ils étaient quatre-vingts à AUXERREXPO) le week-end dernier. La structure a su diversifier ses prestations, prenant en charge l’organisation de speeds meetings, de rendez-vous d’affaires, de conférences, d’ateliers thématiques…Bref, l’ensemble du panel s’articulant autour de la communication événementielle.
Une appétence pour le domaine professionnel de la construction et de l’habitat
La société héraultaise a su se forger une solide réputation aux quatre coins de l’hexagone. Ouvrant plusieurs vitrines commerciales, au passage. Soignant sa stratégie de communication, France EXPO a gagné ses galons au fil du temps de spécialiste des secteurs de l’immobilier et de l’habitat, exerçant son savoir-faire auprès des professionnels de ce secteur qu’il s’agisse de promoteurs, d’agents immobiliers, de gestionnaires de patrimoine, d’organismes de conseil…La structure a intégré il y a quelques années son propre studio graphique en son sein, une stratégie qui s’est avérée très vite payante et qui a été conforté par la suite avec l’apport d’autres additifs indispensables servant à son expansion : une cellule de conception de stand (le nerf de la guerre pour une entreprise qui organise de nombreux salons aux quatre coins du pays) et le pôle dédié à l’impression numérique.
Cette politique de gestion globale d’un événement est devenue la griffe de l’entreprise, une indéniable force de frappe qui aujourd’hui lui permet de faire la différence sur de nombreux projets où elle peut être mise en concurrence.
Cet aspect clé en main qui caractérise les interventions de France EXPO lui a ouvert de nombreuses portes. Dont celles des sociétés successives ayant eu à gérer les animations événementielles du parc des expositions auxerrois.
Le décorum insolite de certains stands en guise de pôle de convergence…
Pour cette édition 2018 de ce énième salon de l’habitat et de l’immobilier concocté par la société du Languedoc à Auxerre, les visiteurs (plutôt en nombre de l’avis de l’organisation même si aucune méthodologie statistique n’a pu corroborer les chiffres officiels de la fréquentation) ont apprécié les univers explicites de ces exposants, issus des grandes filières ayant trait avec l’habitat.
Si les professionnels du bien-être aquatique et de la balnéothérapie domestique devaient recevoir leurs flux coutumiers de chalands, les spécialistes de la fermeture et de l’huisserie convergeaient en nombre sur cet événement avec un tiers d’enseignes présentes. Le secteur bancaire, a contrario, était un peu en deçà des autres années hormis le corner insolite et richement décoré du Crédit agricole Champagne Bourgogne, baptisé astucieusement le « Bar à projets ». Ce concept original permit à beaucoup d’agrémenter convivialité et pédagogie sur les pratiques bancaires…