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Premiers jours de départ vers les stations de sports d’hiver. La mobilisation des forces de l’ordre aura été maximale aux abords des autoroutes et routes de notre département. Objectif : contenir les envies excessives des automobilistes de brûler les étapes. Celle, de la vitesse. Qui se traduit par un gain de temps précieux selon les adeptes de la glisse, pressés d’en découdre sur la poudreuse. Oui mais voilà : le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a quelque peu bouleversé leur style de conduite lors de l’opération initiale de sécurisation du réseau. Entre prévention et prise de conscience…      

MONETEAU : Le survol de l’hélicoptère au-dessus du ruban autoroutier de l’A6 n’était pas pour le « fun ». Juste pour constater qu’en cette heure tardive de la journée, un vendredi en fin d’après-midi de début de vacances pour les Franciliens, la densité de la circulation virait déjà presque au rouge.

Alors, à peine descendu de l’appareil qui lui aura permis de faire ce tour de reconnaissance avec un soleil tombant, Henri PREVOST a voulu se montrer pédagogue pour expliquer un tel déploiement des forces de l’ordre sur la zone de péage de la bretelle Auxerre-Nord.

« Sécuriser les départs de vacances des Parisiens et Franciliens n’a d’autres vocations que de rappeler à ces automobilistes qu’ils doivent arriver à bon port sans encombre. On le sait : ce jour-là, l’excitation et la fatigue, après une journée de travail, sont à leur paroxysme. Or, déployer en les cachant pas les forces de l’ordre rappelle à toutes et à tous qu’au volant, il est bon d’adopter un comportement responsable. Beaucoup d’éléments distracteurs (en particulier le téléphone) créent de la gêne à une conduite apaisante. Si l’on respecte les fondamentaux évoqués par le Code de la Route (une vitesse maîtrisée, l’observation de pauses régulières toutes les deux heures, s’arrêter au moindre signe d’endormissement…), les déplacements s’effectuent alors dans la sérénité. Il ne faut jamais regretter le kilomètre de trop car les accidents surviennent à cause d’une somme de conjonctions multiples… ».

Et c’est vrai qu’en matière accidentologie et prévention, le haut-fonctionnaire a eu largement le temps de faire ses gammes avant qu’il n’endosse la vêture de préfet. Durant plusieurs années parmi le staff décisionnel de la Sécurité routière nationale.

 

 

 

Le préfet ne baissera pas la garde pour gagner ce combat…

 

 

Est-ce à dire que son appétence pour cette thématique va le conforter à accentuer les contrôles sur le département de l’Yonne, l’un des plus meurtriers de l’Hexagone ?

Henri PREVOST ne baissera pas la garde tant qu’il sera à ce poste dans le nord de la Bourgogne ; c’est une certitude. Autant de vies gâchées par le deuil imputable au décès d’un être cher ou le handicap du survivant, paralysé à jamais dans un fauteuil, ne peuvent le laisser insensible, loin s’en faut.

Le préfet de l’Yonne ne souhaite qu’une seule chose à l’échelle de son territoire : la modification des comportements.  

Certes, il existe des sanctions pour les contrevenants récidivistes. Mais, le représentant de l’Etat pense davantage à la prévention pour réussir ce pari.

« Tous les acteurs de la sécurité routière vont être mobilisés avec comme objectif prioritaire de propager les messages forts parmi toutes les strates de la population. Y compris dans les écoles… ».

Alors que l’année 2019 s’est conclue sur une très mauvaise note en termes d’accidentalité (41 décès), le préfet de l’Yonne envisage-t-il raisonnablement d’inverser cette funeste tendance au cours des onze prochains mois ?

« Le chiffre idéal à atteindre serait celui de zéro ! Une disparition est toujours de trop. Et malheureusement, le mois de janvier a déjà endeuillé des familles aujourd’hui malheureuses. Nous n’avons d’autres solutions que d’accepter les règles et les contraintes que nous impose le Code de la Route. C’est le prix à payer pour ne pas finir son existence au détour d’une courbe prise trop rapidement ou contre un arbre… ».

 

 

Trop de routes droites qui incitent à la vitesse…

 

Certes, mais qu’est-ce qui peut alors expliquer cette propension aux accidents mortels dans ce territoire ?

« Nous sommes en présence d’un département qui possède un réseau dense de longues routes droites, argumente Henri PREVOST, elles se pratiquent à la circulation avec relative aisance ; les conducteurs accentuent les risques en matière de vitesse et finalement, ils perdent le contrôle de leur véhicule avant de se tuer… ».

A cela, s’ajoutent les ingrédients favorables à l’accidentologie : l’alcool et surtout des comportements néfastes où l’incivisme et le non-respect d’autrui sont devenus légion.

« Aujourd’hui, mon objectif est de comprendre et de réduire avec les équipes concernées, ces risques et leur causalité afin de les maîtriser… ».

Reste pour conclure les indécrottables « Icaunais réfractaires » qui polluent de leur présence irrespectueuse les routes de notre département. Que leur dire en vérité ?

« Le message que je leur délivre est simple, conclut Henri PREVOST, c’est leur vie, celles de leurs proches et celles des autres qui sont en jeu. J’en appelle à la responsabilité civique et citoyenne de chacun pour endiguer ce fléau qui ne doit plus nous mettre en danger chaque jour sur les axes de circulation… ».

Sera-t-il entendu par ces « fous » du volant ?

 

 

 


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Le nouvel espace de loisirs à vivre en famille et/ou avec des amis connaît déjà un succès exponentiel. Quelques mois seulement, après sa phase de lancement. Un bonus fantastique pour la dynamique gérante de la structure entrepreneuriale, Romi TAILLANDIER, qui ne compte pas en rester là. Les projections évolutives se précisent dans sa tête. Notamment avec l’extension ludique conférée par la réalité virtuelle…

SENS : Les vacances de Noël sont à peine terminées et voilà que l’amorce des congés d’hiver frappe à la porte ! Une aubaine pour la responsable de FUNSPACE, qui se prépare à gérer au mieux le rush provoqué par cette période propice à la détente et à la découverte de nouveaux loisirs.

Si le centre de jeux croulait sous la présence effrénée de jeunes gens en quête de sensations fortes (trampoline, escalade, jeux d’équilibre et d’adresse…) au moment des fêtes de fin d’année, le succès risque d’être de la même veine d’ici quelques jours sur ce site flambant neuf, autrefois à l’estampille de YOUMBAO.

La fermeture du concept en 2018 laissera un grand vide dans l’univers ludique local et une vacance qui allait perdurer plusieurs mois.

C’était sans compter sur l’abnégation et la volonté de la jeune femme, et de sa famille dont son frère Dimitri, qui décidèrent de relever le défi en acquérant le lieu.

Une « bagatelle » financière d’un million d’euros qui permit de remettre à flot et en le développant sous une autre forme plus moderne ce concept ludique qui faisait tant défaut à la contrée.

D’ailleurs, BPI France et le Crédit agricole Champagne Bourgogne ne s’y sont point trompés, apportant leurs soutiens financiers au projet. Concept finement ciselé qui accueille petits et grands sur des espaces ludiques de différents niveaux de difficultés, FUNSPACE propose aussi sa propre restauration. Du fait maison, sous la houlette d’un consultant chevronné en la matière, David GUTMAN.

 

 

Un site qui bénéficie d’une grande visibilité…

 

Aujourd’hui, l’entreprise emploie une dizaine de jeunes gens en permanence qui profitent de cet outil pour se faire les dents en matière de réception, d’accueil, de services, de surveillance, de postes administratifs, etc.

Il est vrai que stratégiquement, avoir implanté un centre de loisirs et de jeux au cœur d’une zone d’activité industrielle de la taille des VAUGUILLETTES n’a rien de rédhibitoire en soi.

Comme le confie tout sourire Romi TAILLANDIER, « notre visibilité est assurée avec une moyenne de 12 000 passages d’automobilistes chaque jour ! ».

Espérant une progression des activités à deux chiffres au terme de la première année de fonctionnement, la jeune entrepreneuse pense très sérieusement à la suite pour diversifier sa clientèle.

 

 

L’introduction de la réalité virtuelle, source de fréquentation supplémentaire, s’inscrit parmi les priorités. D’autant qu’un espace dédié de 250 mètres carrés devrait y être consacré.

Quant à profiter de la manne providentielle du concept en le déclinant ailleurs dans un rayon de quatre-vingts kilomètres, l’idée n’est pas à exclure et les fondements germent déjà dans sa tête. Provins, Auxerre, Troyes, Fontainebleau…pourraient peut-être tôt ou tard (dans un intervalle temporel compris entre trois et cinq ans) accueillir l’extension naturelle de ce concept moderne et très branché.

 

Un article réalisé avec le partenariat du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens…

 

 

 

 


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Le Crédit agricole de Champagne-Bourgogne accueillait 268 398 sociétaires en son sein au 31 décembre 2019. Des chiffres qui donneraient le tournis à bon nombre d’entreprises en quête d’un portefeuille solide à exploiter ! Quoi qu’il en soit, la Banque verte entame en ce mois de février un long cycle de rendez-vous incontournables, ses assemblées générales de caisses locales qui prendront leurs termes le 18 mars…

 

DIJON: Prendre le pouls des sociétaires tout en leur présentant bilans et perspectives. Voilà en une phrase résumée les objectifs de ces séances plénières obligatoires qui sont imposées par les statuts de cette banque coopérative régionale. Ces réunions s’égrèneront au cours de ces prochaines semaines sur le double territoire de Champagne et de Bourgogne.

Au total, ce sont 85 assemblées générales de caisses locales qui seront ainsi programmées sur les quatre départements formant la caisse régionale de notre territoire : Aube, Côte d’Or, Haute-Marne et Yonne.

On estime à plus de 13 000 sociétaires qui y participent. Ce qui est loin d’être négligeable en matière de logistique et de sécurité.

Bref, ces moments riches en rencontres et échanges directs entre les élus, les administrateurs et les dirigeants du groupe prennent ici toutes leurs dimensions.

 

 

 

D’autant qu’elles permettent d’élire les administrateurs de chaque entité locale, d’apporter un éclairage pertinent sur la réalité économique du secteur couvert géographiquement, et de pouvoir mieux appréhender les rouages opérationnels d’une banque en perpétuelle croissance.

Précisons que bon nombre d’initiatives locales sont également valorisées à travers les projets soutenus par la Fondation Agir en Champagne-Bourgogne.

Quant à la mère de toutes les assemblées, celle qui est régionale, elle se déroulera le 24 mars au Palais des Congrès de Dijon où plus de six cents personnes sont d’ores et déjà attendues !

Retrouvez toutes les dates des assemblées générales 2020 sur : http://bit.ly/ag-cacb

 

 


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L’interruption des soins sur la commune nouvelle de Charny-Orée-de-Puisaye pose un sérieux problème. Outre les démêlés judiciaires de l’habituel praticien qui a dû cesser séance tenante ses activités médicales, l’exécutif communautaire a pris le taureau par les cornes pour trouver très vite une solution de remplacement adéquate et ce, dans les meilleurs délais, pour combler l’absence de médecin…

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Les médecins ne sont pas pléthore dans le département de l’Yonne, chacun le sait. Et si ces derniers provoquent l’ire de la justice à la suite de graves problèmes éthiques alors la situation ne peut que se compliquer très vite d’une manière inexorable.

C’est ce qui se déroule sur la commune nouvelle de Charny. Où la cessation des soins prodigués d’ordinaire a été immédiate.

Or, dès que les faits ont été révélés à la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, organe institutionnel ayant la compétence exclusive de la santé dans nos territoires, son responsable en charge des affaires sanitaires, le vice-président Patrick BUTTNER ne s’est pas fait prier pour réagir promptement face au contexte pour le moins iconoclaste.

L’élu communautaire a ainsi saisi les services de l’Agence régionale de santé (ARS) afin d’exposer les faits et de trouver une préconisation d’urgence à cette nouvelle source d’inquiétude pour de nombreux patients. Ceux-ci se sont retrouvés gros Jean comme devant, en rebroussant chemin face à la porte close d’un cabinet médical devenu hermétique à la patientèle.

Il faut croire que les arguments du vice-président ont été entendus puisqu’une solution semble se dessiner à brève échéance pour éviter une suspension de soins et de consultations durables.

L’étroite collaboration qui existe depuis maintes années entre l’organe communautaire et l’ARS de Bourgogne porte donc ses fruits. Cette pénurie soudaine de praticien généraliste sur l’une des communes importantes de ce secteur ne devrait être bientôt plus qu’un lointain souvenir…

 


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Il s’agissait de retrouvailles. Celles qui se manifestent après la supposée trêve salvatrice des confiseurs. Le Conseil départemental organisait sa première séance plénière de la nouvelle année ce vendredi 07 février. Avec pour objectif d’examiner les orientations budgétaires à la veille d’un rendez-vous pré-électoral qualifié d’important. Les échéances, attendues par certaines et certains, surviendront en effet au cours de 2021. Nonobstant, l’occasion fut donnée au président de l’hémicycle, Patrick GENDRAUD, de prononcer son discours d’intérêt général. Histoire de rappeler que l’institution se devait de rester un lieu d’expression légitime et respectable…

AUXERRE: Orateur qui s’affirme de sessions en séances depuis son accession au perchoir, l’ancien édile de Chablis aime remettre les points sur les i quand il le juge nécessaire. Et avant l’examen des orientations budgétaires de l’exercice en cours, l’élu de l’Yonne ne s’en est pas réellement privé. Dès l’amorce de ce long discours faisant office de préambule à la séance publique.

« Vous le savez, commença-t-il, je suis de ceux qui considèrent l’humain, le dialogue et le débat comme essentiels… ». Une pause. Avant de renchérir : « Car nous avons une responsabilité en servant l’Yonne et ses habitants de respecter l’institution en étant détaché de postures personnelles ou électoralistes… ».

Invitant l’assistance à adopter ce fil conducteur qu’il souhaite tisser tout au long de l’année 2020, Patrick GENDRAUD s’est ensuite plongé dans le bilan financier de l’exercice écoulé. Une année 2019 où la situation des comptes de la vénérable institution s’est améliorée.

« Notre épargne brute atteint aujourd’hui les 42 millions d’euros ; elle a ainsi pratiquement doublé depuis deux ans puisqu’elle s’établissait à l’époque à 24 millions d’euros… ».

La recette miracle déployée pour y parvenir se résume en une seule phrase : une gestion saine, responsable et rigoureuse que le président de l’exécutif a respectée.

« L’encours de notre dette s’établit à 216 millions d’euros au 31 décembre soit près de 30 millions de moins en trois ans… ».

 

L’attractivité nécessaire à l’Yonne : la priorité !

 

Quant à la durée de remboursement, elle est passée de dix ans en 2017 à cinq ans aujourd’hui. D’où le satisfecit mesuré de Patrick GENDRAUD qui en partage les bénéfices avec l’ensemble de ses coreligionnaires, ceux –cela semble naturel – de sa majorité, mais aussi, dans un souci de main tendue, à celles et à ceux des élus qui appartiennent à des groupes d’opposition.

« Vous êtes restés dans une démarche objective et sans arrière-pensée en contribuant aux travaux engagés par les commissions et en votant, en majeure partie, les rapports présentés devant cette assemblée… ».

Le consensus, toujours et encore, dans les propos du président.

Ce travail collégial qu’il affectionne, Patrick GENDRAUD ne souhaite pas en déroger les règles durant les onze mois à venir. Au contraire.

« Je sais que l’Yonne a besoin de toutes les énergies pour se développer et gagner en attractivité… ».

Un mot qu’il emploie pour donner de l’envie et du dynamisme à l’institution.  

 

 

Un budget établi sans hausse de la fiscalité

 

Présenté au vote au mois d’avril, ce budget 2020 repose sur deux priorités. Le contrôle continu des dépenses de fonctionnement, d’une part, et la relance immédiate des investissements structurants.

D’un montant de 346 millions d’euros, les dépenses resteront maîtrisées. Celles se rapportant au personnel qui travaillent au sein de l’organisme (59 millions d’euros) viseront la stabilité.

Patrick GENDRAUD persiste et signe lorsqu’il évoque le « bon social ». Ce socle indispensable qui permet de préserver la cohésion d’une équipe.

« Nous pouvons être fiers de l’action conduite et nous n’avons pas à rougir d’assumer, pleinement et totalement, les missions qui nous sont dévolues, précise-t-il.

Le patron du département fait alors allusions aux domaines de compétences régaliennes de l’organisme : l’insertion, l’enfance, le handicap, l’aide aux personnes âgées. D’ailleurs, 228 millions d’euros devraient encore consacrées à l’ensemble des dépenses sociales en 2020.

Pour autant, les territoires et l’animation des zones urbaines et rurales ne seront pas dispensées de ressources. Il en va de même pour les acteurs du monde sportif, culturel et touristique. L’enveloppe affectée à ces postes équivaut à 5,5 millions d’euros.

 

  

Des efforts en termes d’organisation et de rationalisation…

 

Des efforts, le Conseil départemental a en fait. La vente de l’ancienne Maison du tourisme, sise sur les quais de l’Yonne, l’atteste. La cession des ex-locaux du Département le prouve. Le parc automobile a réduit la voilure. Le mot d’ordre est aux économies : elles vont permettre  à l’institution de se repositionner sur d’autres registres prioritaires.

En particulier, grâce au déploiement de la fibre optique, à la suite de la délégation de service public conclue avec le groupe ALTITUDE Infrastructure, récemment. Un projet qui s’élève à 260 millions d’euros d’investissements in fine mais qui ne coûte rien à la collectivité.

Pour ce qui est du socle d’intervention plus traditionnel, le président GENDRAUD entend bien réinjecter des fonds à l’amélioration de l’entretien et du renouvellement des chaussées.

« Nous allons pouvoir multiplier pratiquement par trois ces investissements en 2020, devait-il préciser.

C’est ainsi que près de dix millions d’euros vont être consacrés aux travaux de voirie. Plus de onze millions de crédits de paiement iront au financement de la déviation de Sens et la réhabilitation du pont, à Pont-sur-Yonne. Signalons, enfin, que plus de 20 millions d’euros serviront à rénover les ouvrages d’art et les infrastructures routières. Contre sept millions d’euros l’an passé.

Reste le volet des collèges et des EHPAD. Ceux-ci ne sont pas oubliés par ces directives budgétaires. Près de 13 millions d’euros de crédits de paiement se destinent aux investissements dans les établissements scolaires du second degré. L’objectif est simple : y déployer la qualité pédagogique, la sécurité, mais aussi l’amélioration thermique des bâtiments.

Quatre millions d’euros seront proposés au renforcement de la performance énergétique des collèges.

« Il est impératif que notre action environnementale ne se cantonne pas à la seule alimentation ou à la gestion des déchets dans nos établissements, souligna Patrick GENDRAUD, notre action doit être plus volontariste, peut-être à travers des expérimentations plus originales… ».

Du côté des EPHAD, son de cloches similaire : une aide à l’investissement qui pourrait s’élever à 15 % des dépenses éligibles engagées dans un plafond de 75 000 euros par place est prévue dans les tuyaux.

Patrick GENDRAUD donna ensuite une définition précise du rôle de ce que doit être le Département au quotidien : « C’est un animateur du changement, toujours sérieux et responsable ; un fédérateur capable d’engager ses partenaires dans des dispositifs vertueux, favorables et utiles pour nos concitoyens… ».

Laissant le pessimisme et l’opportunisme à d’autres, comme il se plût à le signaler au moment de conclure…

 

 

 


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