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Aujourd’hui en France sont fonctionnels moins de 52 000 distributeurs automatiques de billets pour moins de 37 000 agences bancaires. Sans compter, les 8 000 bureaux de La Poste. GAB ou DAB ? Le DAB permet le retrait d’espèces alors que le GAB (Guichet automatique de banque) autorise des retraits, la consultation des comptes et d’effectuer des virements. Les espèces ne représentent plus que 5 % des transactions en valeur. Il est vrai que les cartes bancaires sont devenues le moyen de paiement préféré des français. Quant au fameux « sans contact » : la progression du paiement par carte s’accélère depuis la possibilité d’effectuer des achats de moins de trente euros sans taper son code…

TRIBUNE : La France de la monétisation évolue. S’il y a moins de paiements en espèces, cela entraîne par ricochet qu’il y ait moins de retraits dans les DAB. Hors, s’il y a moins de DAB, cela devrait diminuer le nombre d’agences bancaires, voire réduire le personnel…

Les guichetiers d’accueil (encore appelé, avec les administratifs, « les manœuvres à col blanc ») qui œuvraient autrefois dans les agences bancaires ont disparu depuis des lustres !

Les études de rentabilité menées par les établissements financiers pointent du doigt tout ce qui n’est pas rentable : DAB, GAB, agences bancaires, services, produits proposés… Tout ce qui ne rapporte rien doit disparaître !

Pour calculer la rentabilité, on fait appel dorénavant à la comptabilité analytique. Nous verrons dans un prochain article comment ce système d’informations, largement utilisé par le pouvoir politique et les grandes entreprises, pipe les dés en manipulant citoyens et salariés ! Une justification partiale de la suppression des postes !

 

Les pouvoirs publics espèrent l’avènement du zéro cash dès 2022

 

Quelles conséquences ? Pour les habitants des zones rurales, la suppression des DAB est encore plus problématique. D’autant que de nombreux commerçants refusent le paiement par carte car il est trop coûteux en matériel et facturation de commissions.

Il faut parfois parcourir de longues distances pour trouver un distributeur de billets. La monnaie fiduciaire, c’est aussi la liberté de donner et de recevoir… Adieu, à titre d’exemple, aux étrennes vertueuses faites aux petits enfants. Rangez vos tirelires et ouvrez des comptes !

Adieu également aux « petites souris » qui déposent une pièce afin de récupérer la dent de lait du gamin le lendemain sous l’oreiller !

Adieu les boites à sel ou à sucre des grand-mères qui thésaurisaient patiemment pour prévoir le règlement de leurs impôts…

Le système bancaire vous accordera, peut-être, un découvert et vous grossirez les rangs des possibles surendettés !

Une société « zéro cash » met en exergue une atteinte aux libertés. C’est une société sous contrôle avec la mainmise absolue sur nos comptes. D’ailleurs, en cas de faillites d’un établissement, hormis les cent mille euros de garanties (pour combien de temps encore ?) l’Etat n’aura plus qu’à se servir.

Plus de possibilité de passer outre dans ses règlements directs avec les artisans et les commerçants : on estime à plus de 20 milliards d’euros les montants réglés en espèces de la main à la main !

L’absence de liquidité pourrait s’avérer préjudiciable pour les plus pauvres de nos travailleurs indépendants. C’est factuel.

Même les multinationales et les grands trusts seraient pénalisés sur certains marchés « exotiques » où le bakchich est une pratique rendue obligatoire dans de nombreux cas pour décrocher les affaires.

Du côté de l’argent qui circule via la drogue, les revendeurs se sont déjà organisés. Les gros cartels pourront toujours inonder le monde avec leurs narcodollars - on est rassuré !

 

Vers un développement de nouvelles pratiques financières ?

 

Toutefois, pour celles et ceux qui se trouvent dans une situation d’interdit bancaire, il n’y aura pas de changement. Le compte bancaire reste obligatoire. Les personnes « interdits bancaires » recevront toujours une carte de paiement restreinte avec la possibilité d’un règlement chez tous les commerçants jusqu’au solde zéro du compte. L’usage de cette carte est très limité : pas de paiement envisageable sur les autoroutes ou les dépôts de garanties chez les loueurs de voitures.

Une suggestion à l’adresse de Bercy : offrir aux SDF un terminal de paiement afin qu’ils reçoivent l’aumône du passant.

Pour la quête du dimanche ? C’est déjà organisé dans bon nombre de pays : les quêteurs passent dans les rangs avec leur terminal et grâce au « sans contact », le bon chrétien fait un geste de charité et gagne ainsi sa place au paradis…

EINSTEIN avait raison sur notre évolution : « Je ne sais pas avec quoi on fera la troisième guerre mondiale, mais la quatrième je peux vous prédire qu’on la fera avec des cailloux et des bâtons ! ».

Quant à nos règlements financiers de demain ? Peut-être, qu’ils s’effectueront avec des coquillages, des lingots de thé, voire des échanges entre collectionneurs à l’instar de deux vieilles cartes bleues contre une ancienne « Mastercard ».

Vive l’aire du troc, qui nous reviendra bientôt, c’est certain  !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Analyste politique et expert en géographie électorale, le conférencier d’un soir, Jérôme FOURQUET, brossera le portrait de ce pays dans lequel nous vivons, un véritable « archipel », né d’une nation multiple et divisée. Pour mieux comprendre la crise politique dans laquelle nous nous trouvons…

SENS: Directeur du département Opinion à l’IFOP (Institut français d’opinion publique), l’orateur invité par le Cercle Condorcet apportera un éclairage aiguisé sur la situation complexe que rencontre notre pays au niveau de ses organes politiques et institutionnels.

Au cours de cette conférence-débat, articulée autour de la naissance de « l’archipel français » (référence aux divisions multiples qui secouent notre nation depuis fort longtemps), l’intervenant évoquera le désir de vivre ensemble dans l’Hexagone en 2020 et de ce qu’il en reste.

D’ailleurs, si la question est posée et qu’on en parle tant aujourd’hui autour de soi ou dans les médias, ne serait-ce pas justement pour masquer par l’incantation sa disparition ?

Il est vrai qu’en un laps de temps relativement court, quelques décennies à peine, beaucoup de choses ont changé dans notre pays. Morcelé, notre état providence est devenu au fil des années un archipel d’îles qui s’ignorent les unes des autres parmi les strates hétéroclites de notre société.

 

 

 

Jérôme FOURQUET apportera des explications concrètes sur la dislocation progressive de cette France ainsi que les incidences qui vont en résulter tant au plan sociologique que culturel.

Un constat s’amorce en évidence : cette France nouvelle qui s’effrite en une noria d’archipels laisse la place à la sécession des élites, à l’autonomisation des catégories populaires, à la formation d’un réduit catholique, à l’instauration d’une société multiculturelle de fait et bien sûr, à la dislocation progressive des références culturelles communes.

Autant d’explications tangibles et d’exemples concrets à ce bouleversement anthropologique qui permet de mieux appréhender le contexte actuel dans lequel se meut notre nation. Avec comme la conséquence naturelle suivante : face à toutes ces fragmentations, l’agrégation des intérêts particuliers au sein de coalitions larges, au plan politique, est devenue tout bonnement impossible à envisager…

 

Mardi 18 février 2020 à 19h

Salle plénière du complexe Roger Breton face à la piscine

78 ter rue René Binet à Sens

Participation : 3 € pour les non adhérents au CCS (pas CB) – gratuit pour les adhérents au CCS.

 

 


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L’effet de surprise est de taille. Il ébranle l’institution jusqu’à ses soubassements. Le premier vice-président du Département tire sa révérence et abandonne sa fonction. Un choix dûment réfléchi, construit, qu’il n’a pas arrêté à l’emporte-pièce. Cela faisait un moment que l’idée, loin d’être saugrenue à ses yeux, couvait dans sa tête. Lui, l’homme si tranquille, posé et toujours affable. Spécialiste du cénacle et de son arrière-ban. Fidèle d’entre les fidèles de l’actuel président qui, humainement, doit se sentir bien seul après le départ de l’un de ses bras droits. Une tour de contrôle qui intervenait pugnace et efficiente dans bon nombre de dossiers. Des orientations personnelles expliquent ce geste. Mais, quelles sont-elles véritablement ?  

AUXERRE : Personne n’a rien vu venir. Ni par le biais de son attitude. Ni dans ses propos. Ceux que l’élu d’Yrouerre tenait encore vendredi 07 février lors de la session plénière de l’assemblée départementale où furent évoquées dans l’hémicycle les orientations budgétaires 2020.

Pourtant, quarante-huit heures plus tard, les faits sont là. Maurice PIANON sort du jeu. Une décision mûrement réfléchie, qui lui est propre et surtout pas imposée par quiconque.

Désormais, il siègera parmi les rangs de la majorité au beau milieu de l’hémicycle, abandonnant sa fonction ô combien stratégique de premier vice-président. Dont acte.

Oui mais pourquoi un tel revirement de situation ? Le représentant du Tonnerrois connaît les rouages de l’outil institutionnel comme le fond de sa poche. Elu depuis 2001, il en a petit à petit gravi les échelons dans de successives vice-présidences abouties.

Sous l’égide d’André VILLIERS, l’ancien président de l’entité départementale, aujourd’hui député UDI de la seconde circonscription. Aujourd’hui, aux côtés de son successeur, le Républicain Patrick GENDRAUD.

Certes, Maurice PIANON ne briguera pas un nouveau mandat aux cantonales de 2021. C’est l’une des premières raisons qui justifie son choix.

« Il est préférable que le président d’une institution aussi importante que peut l’être le Département et qui souhaite poursuivre son travail s’appuie un an avant l’échéance sur des vice-présidents qui serviront de socle à sa politique… ».

Logique, on appelle cela l’art de l’anticipation. Mais, est-ce que pour autant cela suppose que l’on doit avancer son départ ?

 

Ne plus être pollué par le climat délétère ambiant…

 

Les véritables raisons de ce retrait pour le moins caractéristique de l’élu de l’Yonne sont à rechercher ailleurs. Au sein de l’environnement délétère qui secoue depuis plusieurs mois l’hémicycle.

Maurice PIANON, et il le précise sans rechigner, ne supporte plus d’être « pollué » à chaque séance par les atermoiements et les chicayas de certains de ses collègues.

« Je n’ai pas choisi de vivre un mandat politique au service de mes concitoyens et dans l’intérêt de l’attractivité de mon territoire pour assister à ce genre de choses qui ne m’intéresse absolument pas. J’en ai marre de ces allégations, dénonciations, invectives, attitudes négatives qui peuvent être fondées ou pas, lorsque je me consacre à ma fonction. Je me considère comme un homme libre en politique, ce qui a toujours été et le restera jusqu’au terme de ce mandat au printemps 2021 ma marque de fabrique personnelle. C’est mon ADN vital, en quelque sorte… ».

Toutefois, l’ex-premier vice-président n’incrimine personne en particulier. La lassitude a gagné du terrain et désormais, il est profondément désabusé devant de tels faits qui ne lui correspondent pas.

 

 

Préserver la qualité de vie et sa sérénité…

 

Les enjeux bassement politiciens et l’actualité inhérente aux municipales, avant que ne s’enclenchent dès l’année prochaine les autres échéances électorales lui font craindre le pire côté climat et ambiance !

« Je souhaite demeurer serein et en retrait face à tout ceci, ajoute Maurice PIANON, et garder ma confiance envers celles et ceux qui font de l’excellent travail et qui ne se plaignent jamais ! J’ai pris cette décision sans animosité aucune envers qui que ce soit. Mais, moi, je n’ai plus envie d’écouter les férus de ces manœuvres de déstabilisation ! Je préfère préserver ma qualité de vie loin de toute cette dérive humaine et non de l’institution en laquelle je crois et que je respecte profondément… ».

Prévenu, Patrick GENDRAUD a pris soin de valider la décision de son plus fidèle frère d’armes. En la regrettant dans son for intérieur, on s’en doute.

« Il faut se garder de tout clivage, ajoute le vice-président démissionnaire, et travailler ensemble en faisant face aux enjeux qui se présentent à nous. Il faut aussi s’abstenir de toutes convoitises et n’exercer son mandat que dans l’unique intérêt de celles et ceux que nous servons : c’est-à-dire nos concitoyens qui nous ont élus… ».

Des paroles emplies de sagesse, prononcées par celui qui aimerait une réelle prise de conscience profonde de la classe politique départementale après son acte fort et irrévocable.

Afin, l’espère-t-il, d’enrayer le phénomène de désagrégation constante qui pointe le bout de son nez à l’horizon…

 


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Evènement pour le moins insolite à la Jeune Chambre Economique d’Auxerre en cette année de double vingt ! Un frère, Clément, succède à un autre membre de sa fratrie (Adrien) à la présidence de la vénérable institution. Un évènement plutôt original dans les faits qui flirte avec le rarissime. D’autant que parmi l’assistance, on notait aussi la présence du président du Tribunal de Commerce d’Auxerre, Pascal BAILLY. Et qu’il revenait le droit à l’adjoint au commerce de la Ville de prononcer les quelques mots d’usage : exercice qui fit sourire forcément…Jean-Philippe BAILLY !

AUXERRE : Sans rire : ce n’était pas une passation de pouvoirs ordinaire que nous avons vécu là mais bel et bien l’illustration anecdotique d’un jeu des sept familles imputable au pur hasard ; sans qu’il y ait des liens officiels entre toutes les parties présentes dans la salle !

Qu’un grand frère succède à son cadet à la présidence d’une association, passe encore ! Mais, qu’un élu de la municipalité locale prenne ensuite la parole au moment officiel des allocutions en portant le même patronyme que les deux  responsables associatifs présents sur l’estrade : cela tient de l’étrange, convenez-en !

Et cerise sur le gâteau, pour couronner le tout, que ces déambulations scéniques se réalisent sous le regard attentif du président du Tribunal de Commerce auxerrois qui possède lui-aussi un point commun patronymique avec les principaux acteurs de cette soirée, décidément peu commune, ressemble à s’y méprendre à un miracle !

Bref : dans ce jeu de cartes de cette fausse famille des « BAILLY », nous avions là un sacré carré d’as de personnalités qui sortaient du lot !

 

 

 

Forger les leaders citoyens de demain…

 

De bon augure, sans aucun doute, pour le jeune Clément qui hérite de la gouvernance laissée vacante par son frère d’une association que l’on ne présente plus tant ses faits d’armes sont connus et reconnus dans le sérail.

Il suffisait de contempler l’auditoire (en nombre) qui avait pris possession de l’espace accueil du théâtre d’Auxerre, un peu exigu en la circonstance, pour s’en rendre compte.

Partenaires et décideurs faisaient corps dans ce parterre d’invités, attentifs à la moindre syllabe prononcée par nos duettistes, Adrien et Clément, qui présentèrent tour à tour leurs bilans et perspectives avant de replonger dans le grand bain de l’action.

Echanges de cadeaux entre les deux frangins, présentation de la nouvelle équipe et remerciements accordés à l’ancienne ; rien ne manquait dans ce fil d’Ariane qui rythmait une soirée bon enfant et réussie sous le prisme de l’implication citoyenne.

Même le vice-président du Département, Christophe BONNEFOND, membre de la vénérable structure puisqu’il en dirigea il y a encore quelques années l’organe régional de Bourgogne, ne put que saluer les mérites de cet outil qui forge les leaders citoyens de demain.

 

 


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La santé, un thème devenu indissociable des préoccupations quotidiennes de la sphère politique. Tant l’absence de praticiens généralistes inquiète les citoyens que nous sommes. Les représentants de la liste écologiste et sociale Auxerre Ecologie ne dérogent pas à la règle. Ce sujet les inspire dans le cheminement de leurs réflexions. Le projet de création d’un Centre de santé à Auxerre servira de prétexte à une conférence-débat déclinée lundi 17 février en présence de l’un des membres de la FNCS, le docteur Richard LOPEZ…

AUXERRE : La place de la santé est prépondérante sur la feuille de route de la liste de rassemblement écologiste, sociale et citoyenne incarnée par le projet à l’estampille d’Auxerre Ecologie.

Créer un service d’hygiène pour connaître la salubrité exacte de l’environnement auxerrois, élaborer un plan local de santé ou soutenir l’installation de nouveaux généralistes in situ sont quelques éléments parmi d’autres que Florence LOURY et Denis ROYCOURT souhaitent mettre en exergue s’ils étaient élus au soir du 22 mars.

La création d’un Centre de santé dans la capitale de l’Yonne leur donnera aussi l’opportunité de pouvoir s’exprimer lors d’une conférence débat proposée ce lundi 17 février au siège de la Fédération départementale du bâtiment à 18h30. L’invité du soir, le docteur Richard LOPEZ, généraliste depuis 1985, exerce au Centre de santé de Montceau-les-Mines en Saône-et-Loire. Il est également l’une des figures de la Fédération nationale des centres de santé (FNCS).

Praticien salarié, l’orateur qui se dit très satisfait de sa condition de médecin salarié, expliquera les rouages pratico-pratiques de ces centres de santé qui allient le renforcement de la prévention, l’efficience et la qualité de la prise en charge des patients.

 

 

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