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Chaque année, près de 250 professionnels de la presse du tourisme mais aussi de la culture et des arts de vivre profitent de leur passage au Forum DEPTOUR pour initier de fructueux contacts avec les représentants des agences touristiques des départements français. Les 15 et 16 janvier prochains, le service communication et relations presse de l’agence YONNE TOURISME effectuera le déplacement à Paris afin de « vendre » les nombreux atouts de notre territoire aux journalistes avides de nouveautés et de découvertes…

PARIS : Le forum « DEPTOUR » constitue depuis plusieurs années le rendez-vous obligatoire avec la presse touristique de l’Hexagone pour les services de communication des départements. Cette vingt-quatrième édition ne dérogera donc pas à la règle.

La présence dans la capitale des services dédiés de l’agence de développement YONNE TOURISME s’apparente à de la pure logique côté stratégie. Et communication.

D’autant que les journalistes, qui viennent en nombre sur cet événement, recherchent les particularismes, les innovations et l’originalité que chacun de nos territoires peut leur proposer de découvrir au cours de la saison.

Organisée par « Tourisme et Territoires », le réseau national des destinations départementales, cette animation facilite la prise de contact avec les attachées de presse de ces agences départementales. Leurs représentantes ayant pour objectif de suggérer des idées de reportages ou de rubriques aux médias avides de savoir.

« Grâce à ces rencontres, explique Stéphanie WAHL, responsable des relations presse pour l’agence YONNE TOURISME, nous pouvons organiser des reportages individualisés dans l’Yonne ou assurer la présence de journalistes lors de voyages de presse concoctés par nos soins en saison… ».

Cette année, la structure touristique départementale espère séduire de nombreux journalistes français grâce aux pépites du patrimoine icaunais, les savoir-faire originaux, la gastronomie et les loisirs verts. 

L’édition 2018 de ce rendez-vous incontournable pour les professionnels s’ouvrira le mardi 16 janvier par un petit déjeuner digital avec des blogueurs et influenceurs. Des collaborations que l’agence YONNE TOURISME entend bien accroître en 2018, au vu du succès rencontré par les relais obtenus sur Instagram à titre d’exemple…


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Conscients des graves difficultés auxquelles les agriculteurs ont dû faire face tout au long de l’année 2017, les responsables de la coopérative régionale ont réduit les dépenses de fonctionnement de leur organisme en appliquant une gestion saine et rigoureuse menée fermement par son conseil d’administration. Compte tenu de la bonne situation financière de la structure, celle-ci n’a pas hésité à verser une enveloppe de compléments de prix dès le mois de juin pour soutenir les adhérents en proie aux aléas imputables aux phénomènes climatiques et conjoncturels. Un geste solidaire qui a été très apprécié de la part des coopérateurs…

AUXERRE : Jamais la devise propre à la coopérative agricole n’aura été autant d’actualité au terme de cet exercice. Le credo « Nous sommes toujours avec vous à 110 % » s’est révélé exact à bien des égards au cours de cette année, qualifiée une fois de plus de désastreuse, par le président Gérard DELAGNEAU, l’un des responsables de 110 BOURGOGNE lors de l’assemblée générale. Malheureusement, 2017 ressemble à s’y méprendre à l’année antérieure qui avait déjà connu une moisson historiquement basse.

Les années se suivent et se ressemblent avec les mêmes conséquences…

En recul de 36 % ce qui représentait 173 000 tonnes de grain en moins à récolter, l’épisode 2016 avait vu la chute du blé de 44 %, celle de l’orge de 30 %, du colza de 23 % et des pois à 50 %. Une récolte moindre, certes, pour une qualité de produits fortement dégradés notamment au niveau du blé. Le grain a ainsi dû être travaillé trois fois plus que d’habitude pour ramener des lots aux normes de commercialisation de l’année et répondre aux attentes des clients de la coopérative.

Que dire de la navrante période de ce printemps 2017 qui a occasionné beaucoup de dégâts dont les exploitations les plus fragiles peinent encore à se remettre. Même s’il y eut de relatives économies sur l’emploi de fongicides, cet argument ne peut consoler celles et ceux qui ont souffert cruellement de ce manque à gagner inévitable dans leur budget.

Pourtant, les dirigeants de la coopérative régionale ne gardent pas les deux pieds dans le même sabot. Ils essaient d’apporter sans cesse de la valeur ajoutée à leurs adhérents en les encourageant vers la pratique de la diversification, grâce au renforcement de nouvelles filières à l’instar du lin, du millet, du chanvre, du chènevis, du soja, du sarrasin et même de la moutarde.

« Choisir cette voie, c’est l’une des pistes essentielles à préconiser pour parvenir à la diversification de nos assolements par le développement de nouvelles cultures, concède le président de 110 Bourgogne,  notre objectif est simple : conserver le pouvoir économique des agriculteurs de notre région et leur restituer les meilleures marges possibles… ».

Parallèlement, la campagne a été marquée par la mise en place du dispositif « Activité Partielle », déployé dans le cadre de ce plan d’économies pour faire face à la mauvaise récolte 2016. Exceptionnel et limité dans sa durée, ce processus accordé par le ministère du Travail pour les entreprises enregistrant une forte baisse d’activité aura été une bouffée d’air pur appréciable pour les salariés de la coopérative et de la filiale 110 AGROSERVICES. Grâce à ce dispositif, chaque service a pu planifier au plus près ses besoins à travers la mise en place, le paramétrage et le suivi hebdomadaire, assurés par le pôle des ressources humaines en lien avec le ministère du Travail, à l’aide d’un nouveau logiciel de paie et de gestion du temps de travail. In fine, cette optimisation des effectifs, la polyvalence et l’adaptabilité de l’ensemble des salariés, couplés à leur volonté de service rendu à l’adhérent, ont permis de réaliser près de 20 000 heures d’activité partielle, engendrant 500 000 euros d’économies.

110 BOURGOGNE : un acteur de l’économie locale et circulaire

Côté investissements, le groupe a dégagé 2,47 millions d’euros qui ont été consacrés à l’adaptation de l’outil ainsi que la sécurité des personnes et des installations. Primo, la coopérative a eu l’opportunité de pouvoir acquérir le site de Joux la Ville afin de consolider sa capacité de stockage dans le sud Auxerrois et Tonnerrois. Secundo, 110 BOURGOGNE a assuré la rénovation de différentes cellules sur plusieurs silos en améliorant leur ventilation, la mise aux normes électriques ou leur métrologie.  Acteur de l’économie locale et circulaire, le groupe a collecté 251,4 tonnes de déchets qui ont ensuite été injectés dans la fabrication d’éléments destinés au bâtiment ou à la filière automobile.

Autre axe prioritaire pour la coopérative : les transports de ses marchandises. « 100 % de nos transports entre nos silos sont réalisés par des entreprises locales, explique Jean-Marc KREBS, directeur de la coopérative, la baisse considérable du volume de récolte 2016 nous a poussé à orienter notre plan de transport, y compris vers nos clients. Dans l’absolu, le transport routier enregistre une forte hausse, passant de 33 % à 53 % d’une année à l’autre : cela s’explique par la préférence accordée à nos partenaires locaux au détriment des expéditions assurées en trains ou en péniches vers les zones portuaires de Fos sur Mer ou de Rouen… ».

Evoquant la production de semences, les dirigeants de la coopérative régionale ont rappelé que celle-ci se situait à 38 500 quintaux en 2016. Là aussi, les facteurs conjoncturels défavorables ont impacté cette production vers une baisse de 7 % des achats de semences pour la troisième année consécutive. Entraînant de facto la diminution du chiffre d’affaires liée à cette activité.

Filiale après filiale : le panorama exhaustif des activités de 110 BOURGOGNE

Les dirigeants de la coopérative régionale, qui a vu fondre son chiffre d’affaires global de 145 millions d’euros (exercice 2015/2016) à 102 millions d’euros (2016/2017) compte tenu des mauvaises récoltes, ont ensuite détaillé les activités des filiales du groupe.

Ainsi, pour 110 VIGNE (5,09 millions d’euros de chiffre d’affaires), les bons résultats de cette filiale permettent de conforter les résultats de 110 BOURGOGNE. Même si les viticulteurs de la région n’ont pas été épargnés par les épisodes météorologiques successifs (gel, orages de grêle), soit une vendange 2016 en retrait de 40 %. L’activité enregistre une progression de 6 %. Tandis que l’activité protection de la vigne augmente de 31 % grâce à une gamme de fertilisants organiques très prisés des viticulteurs.

 A contrario, le pôle « vigne et cave » baisse de 11 % induisant moins de mise en bouteille. Signalons que le partenariat initié par 110 VIGNE, LA CHABLISIENNE et les CAVES DE BAILLY fonctionne à merveille avec comme idée prioritaire la construction d’une viticulture régionale forte et pérenne.

Pour NATI VERT (22 millions d’euros de chiffre d’affaires), la difficulté réside à l’heure actuelle à s’adapter aux phases évolutives de la conjoncture économique impactée par sa dépendance aux conditions météo et aux bouleversements consuméristes dus à une concurrence exacerbée. Dès lors, les équipes se mobilisent fortement pour créer et développer de nouveaux concepts dont le rapprochement avec l’enseigne LA VIE CLAIRE, permettant de gagner davantage en attractivité. C’est le cas à Migennes avec l’ouverture d’un espace bio intégré au NATI VERT local, source de fréquentation et de chiffre d’affaires supplémentaire. L’opération a été renouvelée auprès du spécialiste de la motoculture SOUMO dans trois magasins dont celui, une nouvelle fois, de Migennes. Le développement de la gamme de produits alimentaires destinés aux chiens a suscité la création d’une marque propre, déposée par NATI VERT auprès de l’INPI, « France’CROC ».

Les nouveaux enjeux de la mutualisation entre coopératives…

Quant à l’union SEINEYONNE, elle bénéficie de l’avènement de la nouvelle coopérative YNOVAE, qui résulte de la fusion de CAPSERVAL et de CEREPY, pour se renforcer sur le territoire. Sa configuration est la suivante : 2 500 adhérents pour 860 000 tonnes de collecte.

En collaborant en étroite osmose avec cette nouvelle entité, 110 BOURGOGNE, qui a choisi de quitter l’union CEREVIA le 30 juin dernier, entend améliorer la valorisation des productions de ses adhérents.

« Dès lors, confirme Gérard DELAGNEAU, notre volonté est développer les marchés de différenciation et accroître notre présence chez les industriels locaux et ceux du bassin francilien en promotionnant la qualité des productions du nord de la Bourgogne et du sud de la Seine et Marne… ».

Bref, à l’aide de cette mutualisation de compétences et ce travail conçu en commun, il s’agira pour l’union SEINEYONNE d’optimiser le retour de la valeur ajoutée directement dans les exploitations locales.

Reste SOREAL, filiale qui malgré une campagne 2016/2017 compliquée, poursuit son développement au plus près des attentes des éleveurs. Dotée de 5 200 clients, la structure apporte des outils d’aide à la décision chez les producteurs bovins, porcins et équins, sans omettre la filière avicole. 217 000 tonnes d’aliments ont ainsi été acheminés la saison dernière. De gros investissements ont été lancés en parallèle sur les trois unités de production avec la création de nouvelles zones de stockage et la rénovation des sites. SOREAL qui exerce ses activités en concertation avec le label « Bleu Blanc Cœur » a obtenu une accréditation, le référentiel de certification de nutrition animale (RCNA), indispensable à l’accès vers certaines filières…

Enfin, rappelons pour être tout à fait complet l’appartenance de 110 BOURGOGNE à AREA, première centrale d’approvisionnement en agrofournitures en France et qui a clos l’exercice en cours avec un chiffre d’affaires qui représente 750 millions d’euros obtenus avec ses 19 coopératives adhérentes.

De quoi valoriser la force d’un groupe qui espère une année 2018 plus clémente pour parfaire ses objectifs et son développement…


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Le déploiement du très haut débit par fibre optique à Sens a fait l’objet d’une conférence de presse passionnante, en présence de Marie-Louise FORT, présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et de Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale d’Orange en Bourgogne. Si une première phase de travaux, permettant cette optimisation du très haut débit FTTH est en cours, le terme de ce chantier, prévoyant une couverture totale de la ville, sera effectif à l’horizon 2020. Entre-temps, une seconde campagne de travaux aura eu lieu dans de nouveaux quartiers de la cité la plus septentrionale de l’Yonne au cours de l’année 2018…

SENS : Qu’on se le dise ! La fibre optique est une réalité tangible à Sens ! Lors d’une récente conférence de presse, programmée dans les salons de l’hôtel de ville, la déléguée régionale d’Orange en Bourgogne, Véronique MORLIGHEM et la présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et maire de la Ville de Sens, Marie-Louise FORT se sont félicitées de l’avancée technique de ce déploiement de la fibre optique. Il devrait s’achever à l’horizon de 2020, terme définitif de ces travaux d’installation.

Un déploiement décliné selon différentes étapes et trois lots…

A ce jour, plus de 1 100 logements sont raccordables à la fibre optique : ce sont plus de 17 700 foyers concernés. Certaines entreprises peuvent également bénéficier de ce confort optimal de débits et d’usages innovants. A Sens, ce déploiement se conceptualise sous la forme de trois lots. Le premier englobe près de 5 100 logements dont 30 % sont implantés en ville. Géographiquement, cela se rapporte aux quartiers de Sainte-Béate, de la clinique Paul Picquet, des Champs-Plaisants, du secteur de l’hôpital et des Charmilles ainsi que les rues Saint-Pierre-le-Vif et le haut de la rue Alsace-Lorraine. Une quinzaine d’armoires techniques (chacune d’entre elles pouvant desservir environ 360 logements) ont été installées.

Le deuxième lot est sectorisé vers le sud et le sud-ouest de la ville avec une couverture de 5 600 logements. Dès le premier semestre, la tranche initiale de la pose des armoires nécessaires au raccordement sera opérationnelle. La validation de ce processus  est en cours avec les équipes de la municipalité.

Quant au lot numéro trois, toujours à l’étude pour sa finalisation, il s’appliquera au centre-ville et à la  partie orientale de l’agglomération. Soit in fine, un total de 7 000 logements. Il est le plus délicat à mettre en place car le dossier se gère en concertation directe avec les architectes des Bâtiments de France du fait de l’important patrimoine historique existant.

Proposé à un rythme progressif, ce déploiement comporte plusieurs étapes obligatoires : les études en coordination avec les équipes techniques municipales, l’installation desdites armoires de rue donnant la possibilité à l’ensemble des opérateurs de venir proposer leurs services et le tirage de la fibre dans les fourreaux de génie civil déjà en place.

Dernier point fondamental à la réussite de l’exercice : les habitants de ces différents quartiers doivent communiquer dès que possible auprès de leur syndic et de leur bailleur immobilier s’ils désirent être raccordés à ce nouveau réseau. Le raccordement de leur immeuble doit ensuite être soumis à un vote lors d’une assemblée générale. Puis, l’opérateur désigné pourra installer les points de branchement en face de chaque logement tandis que le client sélectionnera le fournisseur d’accès Internet de son choix, ce dernier effectuant le raccordement final à son domicile.

Côté communication, et surtout transparence, ORANGE innove en devenant le premier opérateur à mettre en ligne sur le site, « reseaux.orange.fr », une cartographie détaillée de la couverture de ce déploiement à la fibre optique qui soit compatible avec les ordinateurs, tablettes et autres smartphones. Histoire de connaître toutes les étapes de ce projet en temps réel !

Un réseau 100 % fibre, synonyme de performance jusqu’au logement et en entreprise…

Dans l’Yonne, ce sont une vingtaine de communes qui sont concernées par ce vaste chantier. Il représente 54 000 logements à couvrir, soit 27 % des habitations du département. Quatre agglomérations (Auxerre, Saint-Georges-sur-Baulche, Monéteau et Sens) sont engagées dans ce programme novateur où près de dix mille logements sont éligibles à la fibre optique.

Rappelons qu’ORANGE a démarré ce déploiement en Bourgogne Franche-Comté dans 55 localités dont 34 pour la seule région Bourgogne et compte déjà plus de 182 000 logements éligibles. Au plan national, ORANGE poursuit son investissement de trois milliards d’euros sur la démultiplication de la fibre optique. Dès 2018, l’ambition de l’opérateur est de raccorder 12 millions de logements et de dépasser la barre des vingt millions deux ans plus tard. Au 01er juin, ORANGE comptait 1,690 million de clients fibre dans l’Hexagone.

Grâce à cette technologie, les utilisateurs profiteront à l’avenir de différents usages en simultané accessibles sur tous les écrans du foyer comme le streaming vidéo, les contenus Ultra Haute Définition, le stockage sur le cloud, le son Haute Définition ou la caméra 360 °…mais cela engendrera aussi l’explosion au plan économique de la télémédecine et du télétravail.

Un seul regret que la périphérie de Sens ne soit pas impactée…

Commentant la phase évolutive de cette stratégie, Marie-Louise FORT a déploré que seule la Ville de Sens soit directement concernée par ce déploiement de la fibre optique alors que les autres communes du Grand Sénonais ne s’inscrivaient pas encore dans ce schéma opérationnel.

« C’est dommageable car le nord de l’Yonne est en perpétuel développement à la fois démographique et économique. Il est regrettable que nous ne soyons pas en capacité au niveau politique d’honorer et d’accélérer le mouvement. Parler de la ruralité du territoire, c’est aussi mettre en avant le télétravail. La fibre optique représente un vecteur technologique majeur pour y parvenir… ».

Constatant aussi que les éléments techniques étaient là à notre disposition, l’élue du Sénonais rappelait que « des fonds devraient être engagés par la collectivité et la force gouvernementale pour atteindre ces objectifs prioritaires à terme…».

« Je me réjouis, devait-elle ajouter, que le premier lot implique beaucoup de foyers de la ville et notamment les ensembles de soins que sont la clinique Paul Picquet et le Centre hospitalier. La libre optique équivaut à une chance inéluctable pour le développement de la télémédecine et l’amélioration de la santé sur nos territoires…».

Evoquant, enfin, la convention de partenariat conclue avec l’opérateur ORANGE, Marie-Louise FORT précisa que « toutes les armoires de rue facilitant le raccordement aux offres de services des spécialistes du très haut débit seront posées d’ici 2020 ; la totalité des logements raccordables au plus tard en 2022…».

Quant au déploiement qui est devenu le fer de lance d’ORANGE, entreprise qui réalise aujourd’hui 40,9 milliards de chiffre d’affaires dont 16 % sont consacrés aux investissements indispensables à l’optimisation de la fibre optique et à la valorisation des licences 4 G (1,2 milliard d’euros), il place le professionnel de télécommunications dans un leadership confortable.

Présent dans une trentaine de pays, ORANGE emploie 158 000 collaborateurs dont 93 000 en France. Son nouveau plan stratégique « Essentiels 2020 », dévoilé en mars 2015, positionne le groupe parmi les valeurs sûres des marchés boursiers mondiaux, à la fois sur « Euronext » à Paris et sur le New-York Stock Exchange…  


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Evoluant dans sa zone territoriale de prédilection, l’assureur mutualiste régional a suscité beaucoup de questionnements, d’intérêt et de réponses nourries de réflexion lors de séances publiques orchestrées à Orléans et à Blois en décembre. Evoquer les projets de méthanisation à travers la maîtrise des risques, tout en réunissant un panel d’intervenants experts, aura mobilisé un public d’institutionnels et d’élus mais aussi d’agriculteurs désireux d’en connaître davantage sur ces pratiques naturelles qui intègrent désormais le paysage de la transition énergétique…

BLOIS (Loir et Cher) : Un plateau de professionnels qualifiés en la matière a abordé le 12 décembre dernier de façon concise lors d’une conférence ouverte au grand public cette thématique si particulière qui agrémente bon nombre de discussions et de points de convergences auprès des milieux agricoles.

A travers des énoncés explicatifs et des exemples englobant les aspects juridiques, techniques et pratiques de ce processus de développement durable encore bien deçà de ses réelles possibilités d’exploitation en France, les représentants du monde agricole du Loir et Cher ont constaté la frilosité de l’Hexagone sur ce dossier, comparativement avec le réalisme coutumier de nos voisins allemands.

Dans ce pays, plus de 8 000 installations sont déjà opérationnelles. Un chiffre qui est loin d’atteindre ce niveau en France avec seulement 530 unités de production existantes. D’ailleurs, les pouvoirs publics français n’envisagent que l’ouverture de 1 500 centres de méthanisation d’ici 2020 !

D’ici 2020, 800 000 foyers alimentés en électricité renouvelable issue du biogaz

Pourtant, la méthanisation n’est autre qu’un procédé microbiologique, certes complexe et fragile, mais terriblement efficace qui permet à la fois de traiter des déchets et effluents organiques adaptés aux filières agricoles et aux industries agroalimentaires. Ce processus engendre aussi la production d’énergie inhérente au biogaz qui peut, en fonction des contraintes locales, soit être transformé en électricité, en chaleur ou biocarburant, voire même être injecté directement dans le réseau du gaz naturel. Au moment où la facture de gaz risque de faire flamber un peu plus le budget des ménages dès le 01er janvier (+ 6,9 %), la connaissance de ce procédé mérite que l’on s’y attarde avec clairvoyance !

En 2020, le biogaz pourrait alimenter l’équivalent de 800 000 foyers en électricité renouvelable et produire l’équivalent de 550 000 tonnes de pétrole en chaleur renouvelable.

Ce secteur, même s’il n’est encore que très peu popularisé auprès des agriculteurs, connaît néanmoins une phase de développement. Si le département du Loir et Cher n’enregistre à l’heure actuelle que trois installations fonctionnelles, il existe en revanche de nombreux projets de développement à brève échéance.

Les risques et les moyens de prévention expliqués par GROUPAMA…

A titre comparatif, le département de l’Yonne possède six centres de méthanisation dont certains bénéficient des services préventifs et assurantiels de GROUPAMA Paris Val de Loire qui s’est déjà positionné de manière stratégique sur ce concept évolutif de la transition énergétique. Huit autres projets constituent la nouvelle donne à venir…

A Blois, deux spécialistes de la question, rattachés à l’assureur mutualiste, insistaient sur l’évitement des risques techniques et les moyens de se prémunir de ces derniers en cas de sinistre. Des renseignements précieux pour la centaine d’agriculteurs présents dans la salle, qui demeurent attentifs à ces changements de paradigme se présentant sous la forme de solutions diversifiées dans leur modèle économique. La méthanisation agrégée à sa production d’énergie représente-t-elle le nouveau défi à relever par le monde agricole à l’avenir ? Beaucoup d’observateurs s’accordent à le penser…


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La recrudescence du nombre de cambriolages depuis plusieurs mois dans le département de l’Yonne a comme conséquence directe la propagation élargie du dispositif de participation citoyenne à l’échelon des communes. Près de trente protocoles ont ainsi été initiés avec le concours de la préfecture et des forces de la gendarmerie ou de la police. Mais, cela reste très nettement insuffisant au vu de la topographie de notre territoire qui comprend 428 localités. Néanmoins, vingt-deux autres agglomérations montrent déjà leur intérêt à la concrétisation de ce projet qui créé du lien social parmi la population et génère davantage de sécurité dans les villages inféodés à cette charte d’engagement volontaire.

AUXERRE : Opérationnelles depuis l’instauration de ce concept dans l’Yonne en 2015, 568 personnes, ayant bénéficié de séances pédagogiques à la connaissance de ce protocole, incarnent aujourd’hui cette participation citoyenne palpable sur le terrain au niveau de la sécurité.

Il s’agit de femmes et d’hommes, le plus souvent des retraités, issus à forte majorité de la gendarmerie nationale, qui s’investissent sur une zone géographique précise (quartier, lotissement, résidence, bourgade…) à travers une démarche collective qui vise à accroître le niveau de sécurité d’un secteur de vie.

Les services de l’Etat mobilisés contre la délinquance…

Mis en œuvre depuis de nombreuses années aux Etats-Unis et en Grande Bretagne, ce dispositif de participation citoyenne sur la base du volontariat ne rencontre pas suffisamment le succès qu’il mérite auprès des populations françaises. Pourtant, ce processus sécuritaire est amené à se développer de manière très significative dès 2018 en Bourgogne du nord comme devait l’évoquer le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, lors d’une conférence de presse justifiée par la signature de ce protocole avec la municipalité de CHARMOY.

« La lutte contre la délinquance, notamment contre les vols, demeure une priorité pour les services de l’Etat. Ce concept est de faire participer la population d’une commune, d’un quartier ou d’une zone pavillonnaire à la sécurité de son environnement. En partenariat avec les acteurs locaux de la sécurité. Il est fondé sur la solidarité de voisinage et vise à développer un comportement de nature à mettre en échec la délinquance… ».

Si quelques édiles montrent encore une certaine réticence à appliquer ce dispositif dans leur bourgade, d’autres en revanche constatent  « qu’une meilleure remontée des renseignements est nécessaire à l’action des forces de l’ordre… et en apprécient ses bienfaits ». Quant aux habitants de ces agglomérations, ils ont accueilli ce dispositif avec bienveillance, sans éprouver le moindre sentiment de délation ou des effets intrusifs dans leur quotidien.

« Je souhaite parler aux élus qui exprimeraient encore des réserves, précise Patrice LATRON, l’intérêt de la commune ainsi que celui de ses habitants sont prioritaires… ».

Présence d’une signalétique à vocation dissuasive…

Concrètement, les référents volontaires et bénévoles sont nommés par les maires afin d’être en relation étroite avec les services de sécurité (gendarmerie, police). Un doute, voire une inquiétude se traduira systématiquement par un contact pouvant prendre la forme du fameux appel 17 en cas d’urgence.

« Attention, ajoute le préfet, les remontées de renseignements devront respectées les droits fondamentaux individuels des personnes, et se déroulées dans le cadre strict du civisme et du droit… ».

Naturellement, ce dispositif n’a pas vocation à se substituer à l’action de la gendarmerie ou de la police. Elle exclut l’organisation de toute patrouille ou intervention. Enfin, une signalétique spécifique existe. Elle est apposée à l’entrée des communes ayant adopté ce protocole sécuritaire. Représentant un œil grand ouvert, ces panneaux rendent la confiance à la population tout en restant dissuasif auprès des contrevenants qui viendraient réaliser quelques menus larcins. Seul accroc dans cette stratégie bien huilée : les panneaux disparaissent de la circulation, ils sont retirés dès le lendemain de leur pose aux abords des routes. Les services du Département n’appréciant pas ce type d’initiatives au demeurant rassurantes…une problématique qui ne devrait plus avoir cours prochainement !

Car la présence de cette signalétique diminue à elle seule le nombre de méfaits dans les zones qui en sont pourvues.

 


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