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Il y a bien un petit côté « Rintintin » docile et joueur chez ce splendide berger allemand, au cœur de toutes les sollicitations ! Mais, que l’on ne s’y méprenne pas : le « ouaf » qui tenait la vedette lors de la célébration de la fête nationale, jeudi en début de soirée à Auxerre, représentait le parfait fleuron de la brigade cynotechnique que compte le Service départemental d’Incendie et de Secours de l’Yonne. Un SDIS 89 qui a été mis à l’honneur, comme il se doit…

 

AUXERRE : Presque au garde à vous, les oreilles bien droites et attentives au moindre ordre signifié par son guide, le meilleur compagnon de l’homme, le chien – en l’occurrence un magnifique berger allemand membre de la brigade cynophile des sapeurs-pompiers de l’Yonne – a une fois de plus attiré toute la sympathie des personnalités et du public, venu en nombre, aux cérémonies traditionnelles de la fête nationale, jeudi en début de soirée, place de l’Arquebuse.

Une prise d’armes qui, dans la plus pure des traditions mémorielles, aura respecté le déroulé classique de ces rendez-vous solennels et nécessaires avec la remise de plusieurs décorations et le défilé des troupes, placées sous l’égide du préfet de l’Yonne Pascal JAN, ayant revêtu comme à l’accoutumée en pareille circonstance les habits d’apparat.

 

 

 

 

Revue de troupes et salutations aux forces de l’ordre…

 

Lors de la revue des troupes, le représentant de l’Etat salua de manière républicaine les jeunes sapeurs-pompiers (JSP) et ceux du SNU (Service National Universel), présents à l’heure de la cérémonie, ainsi que toutes les délégations des forces de l’ordre et militaires rassemblées pour ce grand rendez-vous annuel.

Note originale cette année, sans doute imputable à une actualité géopolitique riche où il en est fait grand usage sur le théâtre de la guerre et du renseignement : la présence de drones avec une démonstration à la clé.

On notera parmi les nombreux invités le président-maire de l’Auxerrois, Crescent MARAULT, Christophe BONNEFOND, vice-président de ladite agglomération et du Conseil départemental de l’Yonne ainsi que la conseillère régionale de Bourgogne Franche-Comté Isabelle POIFOL-FERREIRA ou encore le député de la première circonscription, Daniel GRENON.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Installée depuis le mois d’avril à Auxerre, Arthur MILLOT a repris le bail de l’ancienne boutique qui avait pignon sur rue, les jeux JEANNOT, boulevard Davout. Cette vitrine a été orchestrée par le père d’Arthur, Jacques et son associé durant une quarantaine d’années, avant qu’ils ne la cèdent à un repreneur troyen il y a trois ans.

 

AUXERRE : Le bail de la boutique se libérant, Arthur MILLOT a donc saisi l’opportunité de s’y installer et de recréer une nouvelle entreprise à l’image de celle qu’il a connue depuis son plus jeune âge.

Ainsi est né « L’Atelier des Jeux ». La boutique est ouverte du mardi au samedi de 9h à 12h. Son propriétaire reçoit aussi sur rendez-vous afin de lui permettre de se déplacer à domicile ou dans les lieux où il a mis à disposition des jeux pour assurer leur entretien.

Plusieurs activités sont ainsi proposées : réparation, location et vente de jeux automatiques (flippers, billards, baby-foot, fléchettes, jeux de boxe,…) pour les particuliers et professionnels.

 

 

Remis à neuf, ces jeux peuvent ensuite être revendus. Le commerçant a aussi étoffé sa gamme de produits. Il vend des jeux en bois divers (échiquiers, jeux de dames, casse-tête, dés, …), tout en diversifiant ses activités vers la réparation de matériel audio.

Un nouveau marché s’est finalement ouvert à lui : celui des jeux automatiques que les utilisateurs retrouvent dans les bars et les boîtes de nuit. Mais, qu’appelle-t-on des jeux automatiques ?

Ce sont des appareils d’amusement dont la mise en marche, le fonctionnement et l’arrêt sont commandés par un dispositif mécanique, électromécanique ou encore électronique. On n’arrête pas le progrès !

 

 

Maryline GANDON

 

 

 


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Avec sa dernière création, « C’est l’homme », il revisite l’univers de maître Léo. Un très grand de la chanson française, disparu il y a juste trente ans. C’était un 14 Juillet ! Ironique clin d’œil pour un départ définitif de la scène de la part du plus « anar » de nos auteurs-compositeurs-interprètes ! Deux concerts durant, un autre barde, Alain RODOT, bien connu des Icaunais, lui rend un vibrant hommage au théâtre champêtre de « La Closerie ».  

 

ETAIS-LA-SAUVIN : C’est un évènement à réserver aux adorateurs de l’illustre Léo. Un moment de grâce, à ne manquer sous aucun prétexte. Accompagné du pianiste, Angelo CACCIATO – le musicien excelle également à l’accordéon, instrument popularisé par les regrettés André VERCHUREN et AIMABLE sur le sol hexagonal -, Alain RODOT propose sa dernière création. « C’est l’homme », un spectacle concocté autour de l’œuvre immortelle de l’interprète de l’inusable « Avec le temps » ou de l’excellent « C’est extra » où il faisait référence aux nuits de satin blanc évoqués en 1967 par les MOODY BLUES. Entre émotion et énergie. Entre le sublime et l’exquis.

Des morceaux d’anthologie que l’artiste remet en lumière, en exhumant des chansons moins connues du répertoire de celui qui nous quitta un…14 Juillet ! Cela ne s’invente pas quand on connaissait la personnalité si atypique du personnage.

« Ce récital, c’est un petit évènement interplanétaire, souligne, non sans malice, un Gérard-André, toujours à l’initiative avec sa muse et compagne, Andrée, à la programmation de ce Festival des arts vivants.

Il serait dommageable pour les amateurs du genre de ne pas assister à cette représentation. De si belle facture…

 

En savoir plus :

Récital Alain RODOT au Théâtre de la Closerie à Etais-la-Sauvin

"C'est l'homme..." un spectacle autour de Léo FERRÉ.

Dimanche 16 juillet 2023 à 16h00.

Billet PAF participation aux frais 15€ ou 11 € si adhérent

Vous pouvez réserver sur le site https://www.lacloserie-spectacles.fr/ ou par mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par tél: 03.86.47.28.16.

 

Thierry BRET

 

 


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Les lignes, de diverses couleurs, s’entrecroisent sur la toile. Si le noir, franc et prononcé, reste dominant, il n’altère en rien la présence de cet amas de bleu qui s’offre au regard curieux de l’admirateur. Des traits de caséine, marrons clairs, s’étirent de manière verticale. Sur un fond brun et beige, plus ou moins évanescent. Serait-ce donc cela la perception intime de la frontière, thème du jour qui réunit les deux artistes, accueillis à la galerie MOUV’ART d’Auxerre jusqu’au 23 juillet, à savoir la plasticienne Dominique GRESSIN et le photographe Eric BONNENFANT ?  

 

AUXERRE : Des encres, des haïkus – forme japonaise de poésie permettant de noter les émotions tout en célébrant l’évanescence des choses en quelques syllabes calligraphiées à la sauce nippone -, des photographies, issues de l’argentique, tirées en noir et blanc.

Voilà une belle « Trinité » servit en guise d’illustrations concrètes qui éclairent nos lanternes d’appréciateur de réalisations artistiques. C’est ce que propose de découvrir l’incontournable galerie auxerroise « MOUV’ART » – la bien-nommée car toujours encline à nous concocter une programmation qualitative digne de ce nom, y compris en période estivale alors que d’autres pourraient se satisfaire de baisser simplement le rideau l’été venu ! – à travers la présence de deux artistes du cru qui n’en sont pas à leur coup d’essai au niveau du travail collaboratif.

 

 

Le fruit de ce travail réalisé en binôme : la frontière…

 

Il y a d’un côté, sur le pourtour de la salle d’exposition, les œuvres aux diverses tailles de la plasticienne Dominique GRESSIN. Une personnalité bien connue du sérail culturel. De l’autre, c’est-à-dire au centre de la pièce toujours aussi charmante dans ce cadre cosy avec ses belles poutres apparentes, les clichés minimalistes mais ô combien impressionnants sur la technicité que maîtrise avec perfection le photographe Eric BONNENFANT. Il est tombé il y a bien longtemps déjà dans la potion magique de la prise de vue évocatrice. Pour mieux nous adresser ses messages. Un esthète de la focale qui nous en met plein la vue avec délicatesse !

Thème de cette rencontre qui n’a rien d’opportune : la frontière. Les « frontières » devrait-on dire car celles-ci sont multiples, mouvantes, marquées par le temps qui s’égrène, les formes, les volumes, toujours à la lisière de quelque chose.

Pourtant, à y regarder de plus près, ces frontières seraient presque inexistantes entre ces tableaux accrochés à leurs cimaises et ces cadres contenant des clichés illustrant les pérégrinations d’une main humaine dans un environnement naturel, fait de terre, voire franchement hostile, avec du béton. La correspondance entre ces œuvres ne fait aucun doute. Douce et tout en sobriété.

 

 

De la transparence pouvant aller jusqu’à l’abstraction…

 

Eric BONNENFANT aime les chemins détournés pour nous livrer son regard sur le monde. Dans cette série de clichés, on y voit des doigts croisés, épousant la physionomie topographique du décor, se confondant à la roche et à la terre. Une vision de sa main gauche, tout à fait personnelle. La droite, il l’a utilisé pour immortaliser les prises de vue !

Si son thème de prédilection habituel est la traduction visuelle du temps, il n’en néglige point pour autant le minéral, l’eau, le végétal. Les routes et chemins sont des ingrédients avec lesquels il compose pour créer en l’élaborant la richesse de son œuvre. Avec de la transparence qui peut conduire parfois jusqu’à l’abstraction. Des résurgences intellectuelles et créatives qui lui ont été inspirées par sa formation universitaire d’arts plastiques au centre Saint-Charles à La Sorbonne !

Quand il évoque la frontière, elle peut prendre l’apparence de la peau, de vêtements, de diverses formes avec ce qui nous entoure. Lui qui aime investir des lieux pittoresques et insolites pour y présenter son travail (des granges, des lavoirs, des cloîtres mais aussi des entreprises), envisage de poursuivre cette quête de la photo mûrement réfléchie en s’intéressant davantage au feu et à l’air. Après l’eau et la terre, ce serait pure logique en fait que l’artiste auteur photographique de talent ne complète ce voyage en faisant le tour des quatre éléments, aux symboles si profonds.

 

 

Et si les frontières n’existaient pas ?

 

A l’évocation du thème choisi, la frontière, la plasticienne Dominique GRESSIN est encore plus évasive que son partenaire d’exposition sur son interprétation.

« Le mot évoque pour moi la lisière, explique-t-elle en dévoilant ses encres dont certains contiennent des haïkus, belles calligraphies japonaises, avec cette idée paradoxale, est-ce qu’il y a réellement des frontières dans notre monde ? ».

Le travail de la matière est au cœur de sa démarche. Un travail où émerge une structure d’ensemble qui se dévoile peu à peu avec des jeux de forces, parfois, de transparences, toujours, d’équilibres des masses, très différents d’une peinture à l’autre.

Dominique GRESSIN veut libérer le trait. Le rendre plus fluide, aérien. En lui donnant du souffle, au sens propre comme au figuré, d’ailleurs sur certaines de ses réalisations. L'inspiration asiatique, qu’elle soit chinoise ou japonaise, l’émerveille. Mais, l’artiste parle aussi du génie créatif de la peintre franco-norvégienne, Anna-Eva BERGMAN, dont le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première grande rétrospective jusqu’au 16 juillet. Une peintre influencée par Edvard MUNCH…C’est tout dire !

Le vernissage de ce joli rendez-vous de début d’été aura lieu le jour de la Fête nationale, à partir de 19 heures. L’occasion d’y admirer un travail complémentaire entre ces encres et ces photographies, ces haïkus aux inspirations asiatiques et d’y écouter la conteuse Claire VAUTIER y narrer le « Cinquième rêve », histoire de lâcher prise avec la frontière qui sépare parfois notre corps de notre esprit en se laissant aller vraiment à la contemplation…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Plus de trente ans après avoir créé avec son épouse Evelyne, « Festins de Bourgogne », Didier CHAPUIS succède à Michel TONNELLIER à la présidence du CIFA de l’Yonne. Une forme de retour aux sources pour ce cuisinier de formation qui y fit ses premières armes d’apprenti en 1975, l’année de l’ouverture. Et l’exemple pour tous les jeunes présents, lors de la remise des prix, que la réussite par le travail est une recette qui marche encore !

 

INTERVIEW : En titre depuis un peu plus d’une semaine, vous êtes un « tout jeune » président. Que représente à vos yeux cette fonction ?

Didier CHAPUIS : Il est vrai que je me présente ici avec le « Grand A » d’Apprenti Président ! Je vais m’appliquer à apprendre et faire de mon mieux chaque jour, pour continuer à faire évoluer ce centre et accompagner les jeunes. Cela peut paraître un peu prétentieux, mais quelque part, c’est aussi accompagner un territoire pour les vingt années à venir car si demain il n’y a plus d’artisans, si demain on ne donne plus le goût d’entreprendre à ces jeunes-là, la machine va s’arrêter. La filière apprentissage, ce sont des apprentis, des professeurs et des maîtres d’apprentissage. Les deux premiers, on en trouvera sans doute mais si les maîtres d’apprentissage venaient à manquer, c’est tout l’artisanat qui en souffrirait, faute de transmettre les choses et il nous faut entretenir cette flamme… .

L’artisanat a-t-il enfin trouvé ses lettres de noblesse ou y a-t-il encore du travail à faire pour asseoir sa notoriété ?

Le souci aujourd’hui, c’est qu’au sein d’une famille française, il n’est toujours pas forcément valorisant de dire que son fils, sa fille, sont rentrés en apprentissage. Il faut à mon avis convaincre en priorité les chefs d’établissement, les professeurs principaux, ce sont eux qui ont la ressource… Dans une société où seuls les diplômes et la poursuite des études comptent, l’apprentissage n’est pas un choix aisé mais c’est à mon sens un chemin porteur pour entrer de plain-pied dans un métier… Il faut que l’on ouvre le système à deux endroits : à la sortie de 3e et après le Bac où souvent, certains jeunes entreprennent des études longues pour arrêter peu de temps après. C’est à ce moment-là qu’il nous faut essayer de récupérer ces jeunes, prêts à se passionner pour la boulangerie, la cuisine, la boucherie, la mécanique, etc. Il nous faut trouver des personnes avec un bon niveau général, c’est très important, car les clients  recherchent de plus en plus l’excellence et pour cela, il faut que les artisans de demain se forment encore mieux, pour être les meilleurs…

 

 

Vous leur conseillez même pour cela, de s’expatrier si besoin…

Je sais que je ne vais pas me faire que des amis en disant cela, (rires), mais si j’avais un conseil à donner à tous ces jeunes, c’est de quitter l’Yonne, d’aller à Paris ou de grandes agglomérations, de partir à l’étranger, d’oser l’aventure ! D’aller chercher ces nouvelles expériences qui feront d’eux les spécialistes et les artisans de demain, pour revenir dans l’Yonne quelques années après, encore mieux formés, chargés de savoir-faire et d’idées. Un peu à l’image de ce qui se fait dans le compagnonnage…

Que répondez-vous à ceux qui affirment que l’on peut apprendre un métier en six mois ?

« Les gens qui pensent cela, je leur souhaite bonne chance, mais ce n’est pas mon monde ni celui de toutes les personnes présentes ce soir à la cérémonie de la remise des prix. Il n’y a pas de miracle, pour former un bon ouvrier, il faut entre huit et dix ans pour avoir l’expérience nécessaire et de l’épaisseur dans le métier. C’est un travail de longue haleine où la politique des petits pas prend toute leur importance. Dire que l’on peut passer un CAP en six mois, c’est se moquer des gens… 

Quel souvenir gardez-vous de votre période d’apprentissage ?

« Un souvenir excellent, c’était malheureusement il y a 48 ans ! (rires) J’ai eu la chance de tomber sur un très bon maître d’apprentissage, d’être bien formé et ce, dès mon plus jeune âge. C’est très important de l’être dès les premières années, un peu comme un arbre, s’il pousse droit, c’est plus simple ! Si au départ, il n’a pas de tuteur et part dans le mauvais sens, on a beaucoup de mal à le rattraper par la suite…   

Propos recueillis par Dominique BERNERD

 


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