Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Seraient-ils veinards les dirigeants du club de handball de la capitale de l’Yonne ? La fin de saison tenterait à le prouver ! Après la médaille de bronze glanée aux « Global Games » de Vichy pour certains de leurs représentants, membres de l’équipe nationale de sport adapté, c’est dans l’antre du Stade de France que Raphaël BESANCENOT, le président, a reçu le Trophée de l’Inclusion par le sport.

 

PARIS: Une fin de saison folle, folle, folle ! Remplie d’émotions et de réussite, autant d’éléments positifs qui font la joie des dirigeants du Handball Club Auxerrois, à commencer par le président Raphaël BESANCENOT !

Ce dernier était à Paris il y a quelques jours pour y recevoir une nouvelle récompense, le Trophée de l’Inclusion par le sport, un sésame décerné par l’Agence pour l’éducation par le sport et la fondation « L’Equipe ». Un prix honorifique qui a été remis dans les salons d’honneur du mythique Stade de France (et un, et deux et trois zéro !) en présence des représentants du COJO Paris 2024, les ministères des Sports et du Travail, des champions hexagonaux et des structures sportives en provenance des quatre coins du pays.

« Ces réussites et cette mise en lumière du club viennent récompenser la politique sportive ambitieuse, généreuse et novatrice du club, ainsi que le travail des bénévoles depuis une décennie, précise Raphaël BESANCENOT, un président heureux et fier de ses ouailles, elles mettent aussi en avant la réussite de nos partenariats et de nos collaborations. Ceci reste une étape ! ».

 

 

Un trophée qui fera l’objet d’une cérémonie officielle, assortie d’un cocktail des plus sympathiques, en présence des sportifs le mercredi 28 juin à 18h30 à DOMITYS rue des Montardoins à Auxerre.

Une fin de saison qui augure de belles prétentions et perspectives à l’aune de 2024 où le club reprend la formule olympique si caractéristique pour évoquer son avenir : « nous voulons voir plus haut, plus fort et plus loin ! ».

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ah, les courageux ! Voilà des entrepreneurs qui n’hésitent pas à se lever aux aurores afin de prendre part à des travaux, somme toute très bien ficelés, mais très respectueux d’un ordonnancement méthodique, au rythme agréable d’une clochette qui tintinnabule pour rappeler à l’ordre des intervenants trop bavards ! Bienvenue dans le « saint des saints » des réseaux d’affaires et d’influence de la sphère entrepreneuriale qui n’a pas honte de parler business et chiffre d’affaires ! Le BNI Auxerre a ouvert grandes ses portes à une soixantaine d’invités, propices à en découvrir les rouages…

 

APPOIGNY: Il faut être un lève-tôt pour espérer rejoindre un jour ou l’autre le pionnier des réseaux d’affaires qui phosphore à plein régime dans le département de l’Yonne. Une séance de travail, devant débuter à 07h30 tapante avec le sourire aux lèvres, les idées bien en phase et la mine toute fraîche : ce n’est pas concevable pour celles et ceux qui entament leur journée de travail à partir de 09 heures, voire beaucoup plus !

On l’aura compris : les deux heures de session que s’imposent de manière très régulière les membres du BNI (Business Network International) d’Auxerre ou d’ailleurs – la représentativité de ce club aux consonances américaines dans le mode de fonctionnement et dans l’appellation se retrouve aussi à Sens, Joigny ou à Avallon – préfigurent astucieusement la journée d’un entrepreneur ou cadre supérieur membre, puisque ces heures sont positionnées avant de se rendre au bureau.

 

Le rôle fondamental de la clochette qui rythme le temps de parole…

 

Une fois que ce code pratico-pratique connu et mémorisé de tous, il faut se laisser guider par le maître de cérémonie de la structure, en l’occurrence le responsable tournant puisque la présidence change tous les six mois, et suivre le méthodique déroulé proposé par ses soins à l’assistance.

La semaine dernière, ils étaient une soixantaine de visiteurs, dirigeants de boîtes du cru, invités par le BNI Auxerre, à venir s’imprégner de ces us et coutumes qui peuvent parfois surprendre le quidam, vue de l’extérieur. Ici, pas de salamalecs ni de perte de temps ! D’ailleurs, le métronome qu’utiliserait un pianiste répétant inlassablement ses gammes avant de s’essayer à une sonate de SCHUBERT a été remplacé par une…clochette ! De celle que l’on emploie à la réception d’un hôtel. Mais, pour demeurer dans la métaphore musicale, il aurait été peut-être judicieux de se servir d’un triangle, non ?!

 

 

Une réunion du BNI ? Des retrouvailles entre commerciaux pour pas cher !

 

A la baguette, le chef d’orchestre de la session matinale du jour n’est autre que Francis MOREAU, actuel président de l’entité et passé maître en matière d’animation de l’ensemble. Parmi les personnalités : on remarquera la présence de Lucien BONNENFANT, le délégué du BNI pour le territoire de l’Yonne, trop heureux de constater que l’affluence est de la partie !

Pour lui, c’est simple : une rencontre du BNI se résume en une séance de « retrouvailles entre commerciaux qui ne coûtent pas cher » !

Le credo étant de faire du business, encore du business, et toujours du business, entre les membres de ce club dont le fil d’Ariane n’est autre que la recommandation personnalisée.

 

 

1,6 million d’euros de chiffre d’affaires réalisé à l’année à Auxerre…

 

J’ai un besoin, je le détermine et l’explique en séance publique, attendant un retour de l’un des interlocuteurs qui peut y apporter une solution concrète et immédiate. Pas si bête, en matière de relations publiques, très opérationnelles !

Accroître les effectifs de ce cercle vertueux répond à une logique implacable : plus on est nombreux et plus on réalise des affaires ! Elémentaire, mon cher Watson !

Chiffres à l’appui, en onze années de fonctionnement, le BNI a réalisé pour près de 130 millions d’euros de business entre ses membres ! Rien qu’à Auxerre, le chiffre d’affaires annuel dépasse 1,6 million d’euro, avec plus de 700 recommandations dans l’année ! Le taux de renouvellement des adhérents d’une saison à l’autre est exponentiel : preuve que ce système de réseautage direct satisfait les consciences.

Reste à savoir, combien de ces invités opteront in fine pour l’intégration définitive au sein de ce réseau qui est très dynamique sur la place ? Mais, même à ce petit jeu-là, le ratio peut s’avérer intéressant si 10 % de ces visiteurs basculaient sans coup férir dans le nouveau monde des affaires !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La crypto-monnaie s’invite lors de la deuxième édition du trophée « Prestige & Patrimoine ». Un rendez-vous, accueilli au Domaine golfique de Roncemay le vendredi 23 juin prochain. Parmi les réjouissances intellectuelles qui y seront concoctées, outre la venue de Pierre MARTINET, l’entrepreneur invité par la CPME de l’Yonne, une conférence autour de la crypto-sphère et des nouvelles opportunités monétaires qui se présentent à nous, sera assurée par l’équipe de MUGI, le spécialiste régional. Concepteur de ce rendez-vous, Gilles GENEST nous en dit plus, dans une tribune sur cette spécificité…   

 

TRIBUNE : Ces dernières années ont été charnières pour le monde financier. Après la révolution Internet des années 2000, communément appelées « Web 1 » et « Web 2 », c’est l’arrivée du Bitcoin en 2009 qui a amorcé un nouveau tournant dans notre manière d’aborder l’économie et de gérer les finances entrepreneuriales.

Petit à petit, les révolutions technologiques s’ancrent dans le paysage financier et transforment le quotidien des investisseurs et des épargnants, qui voient dans ce changement une véritable opportunité de diversifier et optimiser leur patrimoine.

Le stade de la simple spéculation est maintenant franchi. Le train du « Web 3 » est en marche et il ne s’arrêtera pas. D’un marché de niche, majoritairement orienté vers les particuliers, l’écosystème tout entier s'institutionnalise de plus en plus et éveille l’intérêt des banques et grandes entreprises. Cet engouement se propage aussi dans de nombreux pays qui voient dans ces monnaies numériques et ces nouvelles technologies des moyens efficaces de contourner les complexités du système financier traditionnel.

 

 

Conserver le contrôle des actifs pour les utilisateurs…

 

Cette nouvelle finance, décentralisée, repose sur les fondations de Bitcoin et se base donc sur l’utilisation de la « blockchain » pour vérifier et tracer toutes les opérations qui y sont effectuées. Transparence et anonymat sont au cœur de ce nouveau système d’échange monétaire.

L’aspect sécurisé par la cryptographie est également une plus-value importante de cette finance qui s’astreint à la gouvernance centralisée des banques et repose sur la confiance et la vérification. Pas de triche possible avec la « blockchain », qui à la manière d’un livre de compte, va recenser toutes les transactions et les rendre consultables par tous.

En résumé, l’utilisation du Bitcoin comme moyen de paiement alternatif, et de la « blockchain » en général, va permettre aux utilisateurs de garder le contrôle de leurs actifs. 

Malgré cela, c’est un écosystème qui demeure encore jeune, puisqu’il n’a qu’une quinzaine d’années d’existence. Les défis sont encore grands pour le premier crypto-actif qui fait face à de nombreuses critiques, souvent infondées, telles qu’une consommation très énergivore (malgré l’utilisation de 60 % d’énergie renouvelable pour son fonctionnement) ou encore le fait de faciliter les transactions illicites (elles ne représentent en fait que 0,15 % des transactions en 2022).

 

 

Les seuls à pouvoir conseiller : les acteurs régulés de l’écosystème…

 

Face au besoin grandissant de compréhension des spécificités de l’investissement crypto, nombreux sont les investisseurs et entreprises nécessitant un accompagnement dédié et surtout légitime de la part des différents acteurs du secteur.

Depuis le loi pacte 2019 en France et la mise en place du statut de Prestataire de Services sur Actifs Numériques (PSAN) par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), la régulation des plateformes d’investissement en crypto-actifs est maintenant une obligation mais aussi une garantie de légitimité.

En effet, il est maintenant essentiel de s’associer avec les acteurs régulés de l’écosystème car ils sont désormais les seuls à pouvoir conseiller et accompagner efficacement et en toute sécurité leurs partenaires et clients. 

Plus largement, le règlement « MiCA (Markets in Crypto-Assets) », initié par l'Union Européenne, va venir renforcer ce cadre réglementaire avec la délivrance d'un passeport européen permettant aux entreprises cryptos régulées d'opérer sur l’ensemble du territoire européen.

Il s’agit donc d’un véritable tournant pour l’ensemble de la crypto-sphère, qui sort petit à petit de sa coquille spéculative pour proposer une nouvelle vision financière, régulée, performante et pleine d’opportunités.

 

Gilles GENEST

J3G Patrimoine

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il est judicieux, parfois, d’aller à l’encontre de nos « a priori ». De ceux qui s’instillent au plus profond de nos neurones et qui en troublent totalement notre perception. Par exemple, dans le landerneau, le Centre d’Examens de Santé, sis au 25 Rue du Clos à Auxerre. Le fameux « CES » - rien à voir avec l’enseignement secondaire ! - dont on parle peu au final et qui pourtant nous concerne tous ! Ramification préventive de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM), ce lieu est ouvert à tous les publics, bien au-delà des seules personnes éloignées de la médecine…

 

AUXERRE : Il faut en avoir le cœur net ! Et franchir avec enthousiasme les portes de l’un de ces établissements, pourtant ouverts au grand public, afin de se forger sa propre opinion ! Tel est le point de départ du premier acte de ce chapitre « découverte » qui se rapporte à la visite du Centre d’Examens de Santé (CES) d’Auxerre. Un édifice, presque anodin dans sa configuration architecturale et à peine perceptible dans le paysage de la ville, situé à quelques encablures des locaux, entre autres, de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne (CPAM) qui en assure la gestion.

Nonobstant l’absence de qualité patrimoniale de la structure – ce n’est pas vraiment la vocation initiale de l’endroit ! -, ce site devrait être connu et fréquenté de tous, tant son rôle est prépondérant à l’amélioration de la qualité de vie de nos concitoyens, sur un volet qui leur est très cher : celui de la santé !

En mode préventif et diagnostic, essentiellement, avant de passer ensuite à la seconde étape de ce parcours de soin très utile menant aux thérapies.

 

 

Les plus vulnérables de notre société mais aussi les autres !

 

Le Centre d’Examens de Santé. Bien sûr, beaucoup en connaissent l’existence et d’autres l’ignorent. Mais, les « a priori » sont solides et bien ancrés dans les esprits car une large majorité de personnes interrogées alentour pour les besoins de cet article en ont encore une perception éloignée de la réalité.

Ainsi, le lieu serait réservé exclusivement de facto à celles et ceux qui sont les plus éloignés de la médecine, ces personnes en grande précarité et en souffrance, les oubliés de l’existence, les « perdus de vue » de la sphère professionnelle, les décrocheurs, les jeunes, les sans domicile fixe, les migrants, etc.

Bref, celles et ceux qui seraient les plus vulnérables de notre société, ayant des problèmes d’accès à leurs droits les plus élémentaires dont celui de se soigner,  celles et ceux qui sont en carence d’un suivi médical assuré par un médecin traitant dont ils n’intègrent plus la patientèle d’un cabinet par manque criant de praticiens sur notre territoire…

On ne peut rejeter comme l’eau du bain avec le bébé l’ensemble de ces arguments énoncés par les quidams, observateurs croisés au hasard de la rue. Bien sûr, le centre répond à des besoins de santé publique. En arguant comme axiomes prioritaires : la prévention et le dépistage. Mais, qu’on se le dise, cela s’adresse à tout le monde ! Ruraux comme urbains, jeunes et vieux, hommes, femmes et enfants ! C’est donc un élément prégnant de la chaîne sanitaire qui permet de veiller au grain en cas de crises importantes comme celles vécues lors du douloureux épisode de la COVID ou de la grippe.

 

Une immersion pour tester le parcours en qualité de patient…

 

Pour en savoir davantage sur ce qui se pratique réellement à l’intérieur de ce curieux bâtiment, érigé tout en longueur et posé là sur un petit promontoire surplombant un très utile parking afin d’y stationner son automobile, prise de rendez-vous et invitation à se rendre presque dès potron-minet à la porte d’entrée du complexe.

7h45 : c’est l’instant « t » un brin matinal pour s’annoncer à la personne, masque de protection sur le visage, qui officie à l’accueil. Vérification de la convocation et de l’identité, explication du programme (plutôt copieux !) du patient que je suis et  me voilà assis dans le hall d’entrée, avec pour obligation de remplir un questionnaire, inspiré par deux sommités scientifiques de l’université de Montréal, RICCI & GAGNON, se rapportant à une auto-évaluation de l’activité physique.

Suis-je inactif, actif ou très actif ? Une série d’une vingtaine de questions complétée sur le document plus tard, et je suis appelé par une sympathique assistante qui me précède dans une pièce pour un premier entretien où il est question de « Carte Vitale ». Il s’avère que je connais bien la personne que j’ai reconnu malgré le tissu bleu lui couvrant le nez et la bouche – les restes de la pandémie ! - puisqu’il s’agit de l’une de mes voisines !

Commence alors et pour environ trois bonnes heures qui s’égrènent à la vitesse grand « V », un périple sanitaire des plus étonnants, d’une salle d’auscultation à une autre, où l’ouïe, la vue, les dents, la motricité, le cœur – l’électrocardiogramme avec les diodes posées sur le corps -, nécessitent entretiens et inspections des professionnels de santé qui évoluent in situ, avec moult explications.

En guise de préambule, signalons pour celles et ceux que cela rebutent toujours un peu, la partie biologique avec la sempiternelle prise de sang à jeun. Par chance, l’infirmière (elles sont neuf à œuvrer au CES) a des doigts de fée, enfonçant la pointe de l’aiguille avec délicatesse ! Une opération utile afin de contrôler les taux de diabète, de cholestérol, les plaquettes, etc.

 

 

Si le CES n’existait pas, il faudrait l’inventer !

 

Toujours accompagné d’une jeune femme, souriante et sympathique qui oriente la patientèle (un petit groupe d’une vingtaine de personnes dans cette tranche horaire très matinale) vers l’un ou l’autre des différents ateliers médicaux selon leur disponibilité faisant office de parcours de soin, le visiteur suit ce protocole complet et réfléchi, en rencontrant au fur et à mesure de ce « chek-up » éclectique les différentes composantes de cette équipe pluridisciplinaire, rodée à ce schéma parfaitement huilé.

Evoquer l’équipe, c’est saluer le professionnalisme et la gentillesse des six médecins cliniciens, des neuf infirmières, de la personne gérant la partie administrative et logistique, des deux dentistes, de l’assistante dentaire, des quatre techniciennes de laboratoire et de l’aide-soignante. Ils sont aux petits soins pour toutes les personnes qui sont accueillies dans le centre auxerrois.

Avant l’ultime étape qui me conduira d’ici quelques instants dans le bureau du médecin clinicien,  responsable du CES, le docteur Said BROUCHE – c’est à lui de rendre le verdict et de compléter informatiquement votre dossier personnalisé-, c’est avec la psychologue – eh, oui, on peut même s’installer sur le divan pour exprimer en toute liberté et quiétude ce que l’on a sur le cœur dans ce lieu ! -, que je termine ce long cheminement sanitaire qu’il est impératif de fréquenter un jour ou l’autre, histoire de mieux évoquer les dépistages, parler des comportements à risque, connaître les pathologies, surveiller ses douleurs chroniques, renouer, enfin, des liens salvateurs et précieux avec la médecine pour celles et ceux qui en seraient trop éloignés.

Cerise sur le gâteau : une petite collation est même servie au beau milieu de ce parcours, afin d’humaniser davantage la relation particulière que vit la patientèle avec le monde médical en cet endroit qui, s’il n’existait pas, serait nécessaire d’inventer !

Dans le second volet de ce reportage, après cette mise en bouche découverte, place sera faite aux projets et à la stratégie de ce centre d’examens de santé avec l’équipe directionnelle de la CPAM de l’Yonne, un centre, promis à perdurer dans les mois et années à venir…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elle s’est exprimée avec beaucoup d’enthousiasme, Madame le maire de Chablis Marie-Josée VAILLANT. Normal, l’inauguration de la Cité des Climats et Vins de Bourgogne, vécue ce jeudi en milieu de matinée devant un joli parterre d’invités, la concerne au premier chef. Surtout au niveau du rayonnement touristique qui découlera de cette infrastructure, mêlant judicieusement l’accord du patrimoine ancien à celui plus récent qui devrait interpeller les visiteurs à l’avenir…

 

CHABLIS : « C’est une vraie valeur ajoutée ! ». Invitée à prendre la parole lors de la cérémonie protocolaire de l’inauguration de la Cité des Climats et Vins de Bourgogne, sise à Chablis – rappelons pour mémoire que le concept se décline en un triptyque très novateur pour la Bourgogne, tant à Beaune qu’à Mâcon -, Marie-Josée VAILLANT, successeur de Patrick GENDRAUD à la municipalité de Chablis, n’a pas modéré ses propos empreints de fierté de voir apparaître dans sa commune cette nouvelle pépite touristique consacrée à la vigne, au terroir et à ses produits, synonyme d’indéniable attractivité.

Un premier joyau, basé sur l’œnotourisme et sa promotion visuelle qui immanquablement devrait impacter à l’avenir la fréquentation du nombre de visiteurs dans la commune au nom universellement reconnu de par le monde.

« Faire rayonner le chablis et la Cité s’inscrit dorénavant parmi nos nouvelles priorités en matière de communication, devait ajouter l’édile sous les regards approbateurs des personnalités présentes à cet évènement, un rayonnement qui se traduira aussi par le développement économique de la localité… ».

Preuve à l’appui, l’élue de l’Yonne évoquera l’ouverture de nouveaux commerces sur son territoire communal, un fait « à l’opposé de bon nombres d’agglomérations qui constatent la perte de leurs vitrines de proximité ».

La Cité des Climats et Vins est un incontestable atout pour Chablis, reconnaît également la présidente de l’Office du tourisme Chablis Cure, Yonne et Tonnerrois. « On connaît tous la série « HPI », plaisante Marie-Josée VAILLANT, mais Chablis, c’est aussi une ville qui possède un haut potentiel touristique ! ».

 

 

Et comme un bonheur ne vient jamais seul – version cadeau de bienvenue à placer dans la corbeille de la mariée ! -, Marie-Josée VAILLANT devait annoncer que la communication de Chablis dédiée à son nouvel écrin touristique serait ciblée dès la première semaine de juillet dans le métro parisien. Plusieurs couloirs dudit mode de locomotion préféré des Parisiens (!) seront ainsi placardés d’affiches publicitaires vantant les mérites de la Bourgogne septentrionale, de ses vins et de ce nouvel espace qu’il est impérieux de visiter pour mieux en apprécier toutes les subtilités.

Une campagne de marketing basée sur le concept de « L’Yonne en Bourgogne » faisant halte dans différentes stations au doux nom d’Ancy-le-Franc, Tanlay, Chablis, etc. In fine, ce seront cinq affiches distinctes qui habilleront plusieurs couloirs du métro, formant ainsi une invitation sympathique à découvrir la « rame 89 » !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil