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Loin de toute estampille idéologique ou politique, un mouvement citoyen, composé de femmes, d’hommes et d’adolescents, est apparu à Figeac (Lot) en novembre 2020. Sans prétention aucune, il fédère des êtres humains qui se posent aujourd’hui des questions existentielles et de bon sens. Cet élan intellectuel est mû par un immense respect envers l’autre qui a le droit d’être, d’agir et de penser différemment de nous…

TRIBUNE
 : « Un gagnant est un rêveur qui n’abandonne jamais… ». Cette phrase pleine de bon sens porte la signature de Nelson MANDELA, l’ancien président charismatique de la république sud-africaine.

Elle est devenue le ciment fédérateur des membres du collectif RESPIRE. Une structure qui a vu le jour dans le Lot et qui semble faire des émules à travers l’Hexagone…

« Nous n’avons aucune leçon à donner car nous ne sommes spécialistes en rien ! Nous n’avons personne à convaincre car aucun d’entre nous ne détient une vérité visant à endoctriner les gens. Nous n’avons pas de volonté de culpabiliser, agresser ou choquer quiconque car les médias s’en chargent déjà, réussissant à diviser pour mieux régner. Ce dont les pouvoirs se réjouissent fort… ».

Ne pratiquant pas la langue de bois, et s’appuyant sur cette forme de pensée, le collectif RESPIRE (la belle appellation) a donc vu le jour par une journée automnale, l’an dernier.

Vouloir léguer aux générations futures un monde dans lequel il fait encore bon vivre est la responsabilité de chacun, selon lui.

Il faut savoir prendre un peu de hauteur pour observer, écouter et mettre à distance tout ce que l’on entend ; quelles que soient les sources d’informations...

D’où un certain nombre d’interrogations élémentaires : le moment est-il venu de s’entraider les uns sur les autres pour éviter de tomber dans une sinistrose morose ? Doit-on se rappeler au quotidien et profiter de cette crise sanitaire sans précédent pour se dire que nous sommes finalement « tous frères et sœurs, locataires sur cette Terre que nous allons léguer à nos enfants et petits-enfants » ?

Le moment est peut-être venu de se lever ensemble pour renouer avec une humanité sensible et bienveillante qui permettra en conscience de reconnecter ses représentants avec des valeurs de vie plus respectueuses du vivant.

Tels sont les axiomes régulateurs de ce collectif dont l’entretien auprès de notre correspondant de presse est à découvrir dans nos colonnes sur le lien suivant :

https://youtu.be/UeD6cniKy8o

 

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Entretien réalisé par Daniel BOUKEZ

 


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L'interprète de l’Yonne concocte une soirée spéciale réalisée à distance grâce à la magie de la digitalisation ce lundi 08 mars à partir de 18h30 sur sa page Facebook. L’occasion de la retrouver via écran interposé avant de pouvoir l’applaudir de nouveau sur scène dès que le contexte le permettra…

 

BREVE: La chanteuse Icaunaise profite de la vitrine offerte ce lundi 08 mars par la Journée internationale des Droits des Femmes pour faire entendre sa voix en début de soirée sur les réseaux sociaux.

Dès 18h30, sur sa page Facebook, l’artiste auxerroise donne rendez-vous à ses aficionados habituels. Mais, aussi à toutes celles et à tous ceux qui veulent découvrir les palettes éclectiques de cette référence de la chanson française dans le landerneau.

Présente il y a quelques jours encore à la manifestation revendicative organisée par les professionnels de la culture à Auxerre afin de demander la réouverture des salles de spectacle, Anne DAVID n’en poursuit pas moins ses activités en conservant le contact avec son public via la magie du numérique. L’occasion est donc trop belle de pouvoir la retrouver ce soir de manière virtuelle sur un écran d’ordinateur ! Et de célébrer avec elle cette journée 100 % féminine !

 

Thierry BRET

 


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Rares étaient les représentants du sérail politique à soutenir en présentiel l’appel à la mobilisation générale des organisations du spectacle ce jeudi 04 mars sur le parvis du théâtre d’Auxerre. Tout au plus, on dénombrera durant cet exercice protestataire contre l’atteinte aux libertés et à la privation culturelle la participation de deux figures locales : l’écologiste Denis ROYCOURT et le coordinateur départemental des Nouveaux Démocrates, Rachid EL IDRISSI…

 

AUXERRE : Mais où étaient donc passées les élites de la classe politique icaunaise, toutes obédiences confondues, en ce milieu de matinée ce jeudi ? Visiblement, ils avaient mieux à faire ailleurs que de soutenir de manière physique l’évènement contestataire proposé place François Mitterrand, à l’appel unitaire des organisations du spectacle.

L’évènementiel était ouvert aux professionnels de la filière, certes, mais être le plus hétéroclite dans sa représentativité n’était pas incompatible, loin s’en faut, avec son bien-fondé.

On aura beau chercher et scruter parmi la foule d’environ deux cents personnes réunies sous les rayons salvateurs d’un soleil matinal (ce qui conférait un peu de gaîté à l’ensemble), peu de politiques s’y distinguaient réellement pour demander la réouverture des salles de spectacle.

Tout juste, aperçut-on parmi les rangs de ces férus de théâtre, de poésie et de manifestations artistiques en provenance de tout le département deux figures de cette sphère pourtant très représentative d’ordinaire qui brillait curieusement par son absence.

 

 

 

Discutant avec des intermittents du spectacle, l’écologiste Denis ROYCOURT était l’un deux. Il n’hésitera pas à s’avancer vers l’estrade pour être parmi les premiers signataires de la pétition officielle réclamant la réouverture de toutes les salles de spectacle de France et de Navarre.

Lui emboîtant presque le pas, dans une file adjacente, le coordinateur départemental de la nouvelle formation politique, apparue en décembre dernier (les Nouveaux Démocrates), Rachid EL IDRISSI retira un stylo de la poche intérieure de son veston avant d’apposer sa griffe au bas du document qui se noircissait petit à petit de paraphes.

Bref, c’était l’opportunité idéale pour ce nouveau soutien aux idées véhiculées à travers ce mouvement par les députés Aurélien TACHE et Emilie CARIOU de s’illustrer publiquement en soutenant la cause culturelle et la défense de ses valeurs. Un premier engagement public à conserver dans les annales…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est une première initiative qui réchauffe le cœur. Même si un sentiment de colère sourde transparaît derrière les propos des différents interlocuteurs. Maître de cérémonie de cette action protestataire qui en appellera d’autres et ce dès le 17 mars, triste anniversaire du premier confinement, le directeur du théâtre d’Auxerre Pierre KECHKEGUIAN se satisfait de ce cri du cœur lancé par les artistes. Le public a entendu le message en étant présent, nombreux, à ce rendez-vous…

 

AUXERRE : L’attente synonyme de déprime et d’angoisse est devenue totalement insupportable pour les représentants de la filière artistique. Prise aujourd’hui entre le marteau et l’enclume. Celui de l’immobilisme intolérable qui réduit tous les espoirs à néant au quotidien et ce désir profond de vouloir travailler à tout prix.

Pas la moindre date à se mettre sous la dent et à biffer sur les agendas qui symboliseraient un semblant de reprise des activités culturelles. Pourtant, bon nombre de leurs représentants continuent de travailler sans relâche aux répétitions de leur prochain spectacle.

Besogneux, poussant le sens du professionnalisme jusqu’au bout des ongles, ces femmes et ces hommes qu’ils soient comédiens, techniciens, metteurs en scène, accessoiristes, régisseurs, preneurs de sons ou autres ne savent plus à quels saints se vouer dans ce contexte de crise absolue qu’ils n’avaient jamais rencontrés jusque-là.

 

 

 

Alors quand l’un de leur porte-étendard, le directeur du théâtre d’Auxerre Pierre KECHKEGUIAN s’empare du micro pour demander à la foule de moins en moins éparse sur le parvis de l’édifice culturel de prendre la parole et de s’exprimer : les applaudissements fusent de toute part.

Un cri du cœur public pour démontrer aux yeux de tous que les artistes ne sont pas morts et relégués parmi les dernières pages des quotidiens, dans la rubrique des avis d’obsèques.

 

 

 

Un retour à une existence quasi normale au 15 avril ? Une plaisanterie pour le directeur du théâtre…

 

Certes, les situations des uns et des autres sont très disparates au plan économique. Interrogé à ce propos, Pierre KECHKEGUIAN se veut transparent : « C’est sûr, l’intervention de l’Etat n’est pas négligeable avec le financement des institutions culturelles et le report de l’année blanche. Cela nous permet pour l’heure d’amortir le choc. Mais, pour combien de temps encore si la situation à laquelle nous sommes confrontés avec ces fermetures qui s’éternisent perdure ainsi… ».

Sans ambages, le responsable du complexe théâtral dénonce cette absence de réalisme de la part de la gouvernance. Un non-sens qui crée ce ras-le-bol généralisé, se traduisant dans les faits par cette mobilisation importante (environ deux cents personnes) sur la place François Mitterrand.

Pourtant, le porte-parole du gouvernement Gabriel ATTAL a bien signifié à qui voulait l’entendre il y a vingt-quatre heures face aux médias que « la France pourrait reprendre une existence quasi-normale à la mi-avril… ».

 

 

Des arguments qui n’ont pas convaincu le directeur du théâtre auxerrois. Il enchaîne : « Ces propos me font marrer ! Et quand bien même, si cela se réalisait, on ne pourrait jamais rouvrir les lieux culturels au 15 avril ! ».

L’absence de projection, l’ignorance de ce que l’on fera demain pour survivre pèse sur les épaules. Que veulent-ils exactement celles et ceux qui battent le pavé sous un salvateur rayon de soleil ?

« Nous voulons connaître une date butoir, une simple balise qui nous permettrait de prévoir la réouverture de nos établissements dans des délais raisonnables, lâche Pierre KECHKEGUIAN, de manière à la coordonner, à la structurer et surtout à la financer… ».

Bref, cela se nomme tout bonnement dans la vraie vie l’art de l’anticipation. Un antagonisme supplémentaire qui oppose le milieu artistique aux choix stratégiques du gouvernement ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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La réouverture des lieux culturels serait un signal fort adressé aux filières économiques, synonymes d’attractivité territoriale. A commencer par le tourisme. Un secteur qui, au même titre que l’hôtellerie-restauration, broie du noir depuis plusieurs mois. Expérimenter ce retour de la vie artistique taraude les esprits de moult élus. Nicolas SORET est l’un d’entre eux. Il a décidé de soutenir cette initiative en sollicitant le chef du gouvernement…

JOIGNY: Si cela voyait le jour, ce serait avec sagesse et responsabilité. En filigrane avec le concours des services de la préfecture. Mais, l’expérimentation culturelle que souhaite porter dès que possible le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny ferait immanquablement des émules dans d’autres localités de notre territoire.

Après l’envoi de cette missive officielle ce 24 février, la balle est désormais dans le camp de son destinataire, le Premier ministre Jean CASTEX en personne !

Arguant que seules des mesures territorialisées pourraient s’adapter convenablement à la réouverture des sites artistiques et culturels en fonction du contexte sanitaire, le Conseiller départemental de l’Yonne en appelle à la responsabilité de l’Etat. Et de l’une de ses figures emblématiques : le locataire de Matignon !

Le signataire de cette lettre propose donc de candidater pour rouvrir les lieux culturels dans sa ville, s’appuyant sur des expériences déjà menées chez certains de nos voisins comme la Belgique, l’Italie ou l’Espagne.  

A l’aide de systèmes de jauges et de protocoles santé renforcés, les sites culturels de ces pays européens accueillent du public depuis plusieurs semaines. Sans qu’il n’y ait eu la moindre difficulté. Il en est de même au Québec où une procédure de prise de rendez-vous a rendu possible la visite des musées.

La démarche de Nicolas SORET s’adosse à celle de la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, qui a également exprimé un avis favorable en ce sens.

Le maire de Joigny souhaite avec cette action, si elle obtenait gain de cause in fine, maintenir l’espoir et accompagner ses administrés dans la traversée de la tempête qui les prive depuis de longs mois de toute activité culturelle.

 

Thierry BRET

 


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