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Rendons à César ce qui lui appartient et à Joël COHEN, l’origine de la Fête de la musique. Musicien, il a travaillé à Radio France comme producteur. Il proposait pour cette chaîne des « Saturnales de la musique » les 21 juin et 21 décembre lors des solstices également appelés les « deux Saints Jean ». Les groupes jouaient le 21 juin, jour de l'été boréal. Son projet a été réalisé le 21 juin 1976 à l'Ouest de Paris et à Toulouse. Le 21 juin 2015, Jack LANG a remercié Joël COHEN pour son idée.

 

 

TRIBUNE : Le choix du 21 juin est chargé de symboles. C’est d’une part le premier jour de l’été et par ailleurs le jour le plus long. Il correspond aussi à une date importante dans les traditions païennes, notamment chez les Celtes. La Fête de la musique promeut la musique de deux façons. Elle encourage les musiciens amateurs à se produire bénévolement dans les rues et espaces publics.

Grâce à l'organisation de nombreux concerts gratuits, avec des amateurs mais aussi de professionnels, elle permet à un public large d'accéder à des musiques de toutes sortes et origines.

Chaque année, cette manifestation réunit près de cinq millions de musiciens pour plus de 18 000 concerts rassemblant dix millions de spectateurs. Tant en France qu'à l'international, les organisateurs adhèrent à une charte internationale des villes organisatrices (plus de 340 dans le monde).

 

La Chine s’est ralliée au concept originaire de l’Hexagone…

 

Le texte propose de maintenir la gratuité et le libre accès aux évènements, organisés sous son label et la valorisation de l'expression musicale des amateurs. En Chine, l’ambassade de France a contaminé de multiples villes. Elle a organisé ponctuellement des évènements le 21 juin dès 1992. Ce n'est que bien plus tard que la Fête de la musique commencera à faire des apparitions régulières, d'abord dans la ville de Wuhan en 2007, puis à Shanghai.

À Pékin, son organisation régulière s’est faite par le biais d'une association de volontaires à partir de 2012. Elle a toujours lieu le 21 juin.

Sous l'impulsion donnée par l'ambassade de France et de son soutien à l'évènement, celui-ci a pris de plus en plus d'ampleur, notamment en 2016 grâce à un partenariat avec la chaîne PPTV. De plus, une plateforme en ligne, et une chaîne locale ont retransmis en direct les concerts à presque 4 millions de téléspectateurs et internautes chinois.

 

Un soir où la musique adoucit les mœurs !

 

De nombreux festivals de musiques sont nés dans le prolongement de la Fête de la musique. Nous voyons fleurir dans nos villes quelques odonymes comme « rue du 21 juin », « place du 21 juin »… Les plus grincheux argumentent : les jeunes en profitent pour boire et on imagine aisément la circulation de la drogue.

Cette situation est commune à toutes les organisations festives et les mesures de sécurité sont prises à chaque fois… Pour les fêtes de la musique, les débordements restent marginaux.

Même si au bruit, pour certains, au vacarme, pour d’autres, les plus mélomanes ont du mal à reconnaître que la musique adoucit les mœurs ! Reconnaissons que cette fête populaire constitue un élan universel et fraternel. Les plus velléitaires peuvent même taper sur des casseroles toute la nuit, et on trouvera cela créatif et mélodieux, tellement la joie est communicative et que le sourire de la jeunesse est beau à regarder.

Alors, chaque année dès que le 21 juin nous revient : tous à vos guitares, vos casseroles, vos cuillères et autres guimbardes, et « faites de la musique ! ».

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Si l’on s’en réfère à la fameuse phrase du dramaturge Eugène IONESCO : « Tout est langage au théâtre, les mots, les gestes, les objets. Il n’y a pas que la parole ! ». Dès l’automne, on devra ajouter un nouveau qualificatif pour en expliquer le travail et cette passion viscérale qui unit les artistes à leur public : les écrits ! Ceux que diffusera entre autres le nouveau site, en construction, du théâtre d’Auxerre : « L’Art des Sens ». Un concept sans équivalence en France…

 

AUXERRE : La saison est à peine achevée, les portes de l’édifice ne sont pas encore tout à fait closes avant que ne se répand le souffle chaud de l’été que déjà Pierre KECHKEGUIAN, son directeur, et ses troupes peaufinent comme de fins stratèges les perspectives futuristes du théâtre d’Auxerre.

Un établissement culturel qui, s’il n’a pas encore retrouvé son rythme de croisière côté fréquentation d’avant COVID – une baisse de 13 % de ses spectateurs a été observée au cours de ces derniers mois – n’en demeure pas moins très ambitieux quant à sa programmation érigée sous le sceau de l’éclectisme et de l’élitisme qualitatif, et sa volonté de se faire connaître aux yeux de tous à grand renfort de communication.

 

Il faudra encore patienter pour découvrir la programmation !

 

Moyennant quoi, pour effectuer la transition la plus optimale possible entre deux saisons et faire patienter le public, rien de tel qu’une bonne « petite » - elle aura durée montre en main près de deux heures ! – conférence de presse afin de dévoiler les arcanes de sa stratégie dans le moindre détail !

Et surtout l’ensemble de la programmation à venir, ponctuée de cerises très goûteuses sur le gâteau au niveau des découvertes artistiques à savourer tout au long de la future saison, des découvertes qui sont soumises à la sacro-sainte règle de la confidentialité du fait d’un embargo applicable jusqu’en date du 01er septembre !

Donc, chut : on patientera quelque peu avant de plonger tête baissée avec moult détails dans cet océan de réjouissances oniriques, de textes finement ciselés au cordeau interprétés et joués sur scène par la magnificence des compagnies, de visions parfois fantasmagoriques d’œuvres crépusculaires, mêlant mythologie et poésie, monde réel et éthéré, entre liberté et conscience…Nous en reparlerons !

 

Un nouveau sésame numérique consultable à l’automne : « L’Art des Sens »…

 

Au-delà de la programmation, laissons la encore un peu mijotée comme une succulente recette de cuisine dans un chaudron avant de la servir et de la déguster, l’intérêt de ce rendez-vous médiatique pouvait se concentrer ailleurs.

Tiens, précisément sur le nouveau site multimédia dont se dotera le théâtre auxerrois dès la rentrée !

Nom de baptême dudit référent numérique : « L’Art des Sens ». Dans le cas présent, c’est sûr : on joue sur les mots – Claire CLEMENT, secrétaire générale du théâtre adore ça ! - ; on se projette de manière évidente parmi les cinq sens que notre créateur nous a donnés pour mieux appréhender notre univers, parfois aux confins de l’irréel puisque on ose esquisser l’existence du sixième sens !, on essaie d’en comprendre la moindre subtilité ; d’approfondir le besoin tangible de ce nouvel instrument digital ; bref, façon « puzzle » comme dans l’éternel « Tontons Flingueurs » et ses répliques de « ouf » chères au regretté Michel AUDIARD qui lui aussi savait mettre nos sens en émoi et en éveil grâce à sa prose dithyrambique !

 

Une promenade virtuelle, entre ludique et éducatif, dans le théâtre…

 

« L’Art des Sens » correspond à toute une arborescence, en somme. Dont l’objectif est simple : celui de permettre à son utilisateur de préparer ou prolonger son expérience théâtrale. A l’aide de contenus numériques inédits qui ouvrent grandes les portes en donnant les clés aux différentes composantes du spectacle vivant. Depuis votre fauteuil et comme si vous y étiez !

L’internaute déambulera parmi cet art protéiforme qu’est le spectacle vivant. Il s’arrêtera selon ses désirs et en prenant le temps sur l’envers du décor, les coulisses de cet art oratoire et expressif en partant à la rencontre des artistes et techniciens ; en y effectuant une visite virtuelle en trois dimensions ; en faisant travailler ses neurones lors de parcours ludiques et éducatifs à base de quizz et de jeux ; en se rendant dans l’espace privilégié des échanges où les porteurs de projets lui répondront qu’ils soient comédiens, metteurs en scène ou techniciens !

Bref : le théâtre d’Auxerre n’aura plus de secrets pour le commun des mortels, aficionados depuis des lustres de la grande maison ou néophyte en herbe en son jardin. Une mise à nue (ou presque car l’on ne pénétrera pas dans l’intimité du bureau de son directeur !) parmi ce sanctuaire de la libre pensée, du verbe haut et clair déclamé avec éloquence sur la scène d’une magnifique salle de 550 places aux plafonds si joliment ornementés.

 

Un subside de belle facture du ministère et de la DRAC…

 

L’intérêt de ce procédé visuel est double, triple, quadruple ! Bien sûr, le public est, de prime abord, le premier concerné pour mieux se délecter des rouages d’un tel établissement qui aura reçu le soutien du ministère de la Culture et de la DRAC Bourgogne Franche-Comté au passage pour mener à bien le projet. Celui-ci s’inscrivant dans le cadre du programme national de numérisation et valorisation des contenus culturels. Avec, en sus, la coquette enveloppe de dix mille euros tombée dans la gibecière pour subvenir aux besoins de financement de l’opération.

Secundo, les compagnies artistiques ! Ces dernières via leurs responsables ne manqueront pas de s’immerger dans ce voyage virtuel à 360 degrés pour mieux se familiariser avec la scène, la salle, les coulisses.

Tertio, il en va de même pour les techniciens qui peuvent ainsi se concentrer sur les besoins en matériels avant d’investir le site culturel auxerrois avant un spectacle. Même les entreprises désireuses de privatiser le lieu – elles sont de plus en plus nombreuses à vouloir le faire désormais – bénéficient d’une entrée virtuelle exceptionnelle !

De l’avis de Pierre KECHKEGUIAN, c’est clair : il n’y a pas d’équivalence au niveau du processus technologique dans l’Hexagone pour une scène conventionnée d’intérêt national ! Enfin, il faut savoir que la réalisation technique de cet outil numérique incombera à un prestataire parisien, ARTISHOC. Une structure experte en solutions numériques culturelles. On a hâte de voir le résultat final : vivement l’automne !

 

Thierry BRET

 


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Est-elle née sous le signe, non pas des Gémeaux à l’instar des célèbres « Demoiselles de Rochefort », mais du poisson, cette artiste à la créativité fertile qui a choisi l’élément aquatique comme l’une de ses sources d’inspiration ? Toute ressemblance avec la vérité semble frappante quand on étudie le parcours de la photographe qui invite à un voyage introspectif depuis presque deux mois au musée en Florentinois…autour de l’eau !

 

SAINT-FLORENTIN : Que d’eau, que d’eau, dans l’existence artistique de Liliane PECHENOT ! En aurait-elle oublié les succulentes saveurs de nos productions vineuses faisant la gloire universelle de notre terroir ?

De cela, nous ne pourrons parler évidemment ! En revanche, ce qui est certain avec cette spécialiste de l’immortalisation d’images, c’est son penchant naturel pour ce liquide salvateur qui lui permet de s’exprimer avec des clichés dont elle inonde ses expositions !

La dernière en date, présentée depuis bientôt deux mois dans le Florentinois, vaut le déplacement. « Histoires d’Eau » ! Rien que le titre est déjà rafraîchissant en ces périodes de fortes températures, proches de la canicule estivale de la fin juillet. L’artiste a donc choisi de proposer une rétrospective de ses meilleures prises de vue, étalées sur des cimaises entre 2016 et 2019, afin de mieux nous en imprégner.

L’élément aquatique dans tous ses états avec des thématiques se rapportant à « Auxerre au fil de l’eau » ou « Auxerre sous les flots » - ça, c’est moins drôle -, sans omettre des visions plus abstraites de son imaginaire qui joue avec les formes, les volumes, les couleurs et l’eau.

Bref, ce condensé de travail parfait se présente sur des tirages de papier mat, satiné ou sur toile. A découvrir ou à revoir jusqu’au 30 juin. A consommer avec délectation jusqu’à plus soif !

 

 

En savoir plus :

Liliane PECHENOT présente ses « Histoires d’Eaux »

Musée de Saint-Florentin

17, avenue du Général Leclerc.

Tous les jours sauf mardi et vendredi de 14h30 à 17h30.

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est de l’or en barre. Une pépite parmi les pépites. Le saint du saint de la haute couture à la sauce franc-comtoise. Créateur, styliste et chef d’entreprise, le talentueux garçon originaire de Besançon a séduit le jury du concours Talents BGE 2022, en glanant deux distinctions, le prix de l’artisanat et le prix de la popularité sur Facebook. Du grand art !

 

JOIGNY : La classe et la distinction. La maturité et le professionnalisme. Le coup de patte, aussi, à l’appréciation visuelle de la robe de mariée, issue de son imaginaire créatif devant subjuguée par la suite le jury.

A la tête de sa structure entrepreneuriale, curieusement baptisée « L’Engrenage » - mais on comprend très vite le sens au fil de ses explicatifs, le Bisontin Bertrand ROMUALD a survolé la récente édition du concours des Talents de la BGE où une vingtaine de chefs d’entreprise régionaux concouraient dans une demi-douzaine de catégories. Nous y reviendrons dans un prochain article pour en donner les impressions d’ensemble.

Parmi eux, catégorie « artisanat » : Bertrand ROMUALD, garçon bourré d’audaces et d’ingéniosité qui, il est vrai, s’est taillé une solide notoriété sur son secteur de prédilection depuis une dizaine d’années.

 

 

Pas étonnant qu’il ait empoché deux titres au terme de ce concours, globalement de très belle facture.

Ingénieux, doué, ayant le sens du marketing et la bosse du commerce, il est normal après coup de retrouver le jeune homme sur ce piédestal, auréolé de succès et félicité chaleureusement par les organisateurs de la cérémonie (Arnaud MERIC et Eric FREYSSINGE pour la BGE) et les partenaires de cette belle opération incitative à l’expression artisanale et à sa promotion (Banque Populaire,  Crédit Agricole, Région, CERFRANCE, FIDUCIAL…).

Ce jeune créateur de mode figure de très belle manière dans « l’engrenage » de la réussite ! A suivre de très près !

 

Thierry BRET

 

 


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Aujourd'hui, l'on casse sa tirelire pour se rendre dans un bien joli endroit : direction le château du Vault-de-Lugny, l'une des trois tables étoilées Michelin de l'Yonne. Pour mémoire, voilà trente ans, il y en avait neuf ! Soit trois fois plus !

 

VAULT-de-LUGNY : L'on peut y arriver à pied, à cheval ou en voiture. A moins que l'on préfère le train via Avallon, permettant ainsi de faire un tour dans cette jolie cité, tout en ayant profité de ce joli périple ferroviaire depuis l'Auxerrois. En ville, l'accueil est aimable au « 20 heures vingt », un bar à vins récent aux multiples références solides (joli Viré-Clessé du domaine JP MICHEL entre autres !). Quant au BHV (Bar de l'hôtel de ville) de l'entreprenant Jérôme  SUREAU, il confirme, une fois de plus, sa statue de commandeur bistrotier, juste au pied du marché (jeudi et samedi).

Sitôt arrivé, on ne peut qu'être saisi par la beauté des lieux. Ce château,  comme souvent, c'est d'abord une histoire de passion familiale. Elisabeth, la patronne actuelle, en hérita voici quelques années, à charge pour elle d'y créer quelque chose. Un hôtel-restaurant, par exemple ! La pugnace jeune femme se battit vaillamment, seule d'abord, puis ensuite avec Pascal, son mari. Pareille séculaire bâtisse demande souvent quelques travaux, respectueux de l'âme, et de la magnificence des lieux. Chez l'architecte spécialisé, cela se monnaye comme de bien entendu.

 

 

Franco et Karina règnent en cuisine…

 

En cuisine, règne un chef formidable, de grand talent. Ce chef, c'est le mauricien Franco BOWANEE, un cuisinier au joli parcours, qui l'amena notamment aux Etats-Unis. Franco ? Même ses collègues cuisiniers, en parlent avec force gentillesse. Dans ce métier quelque peu individualiste, cela mérite d'être souligné !

En pâtisserie,  c'est sa compagne, la souriante Karina qui officie. Cette amoureuse des fruits est missionnée pour parfaire la fin du repas. Franco et Karina viennent d'avoir une petite Iris, qui, avec de tels parents se régalera des saveurs des deux hémisphères ! Mais, revenons sur une autre année d'importance. En 2019, le château du Vault-de-Lugny décrocha son étoile au Michelin, faisant entrer l'adresse dans une autre catégorie.

 

 

Ce midi-là, le paon ne fait pas la roue, même si discrètement,  un cygne passe au loin. Ici, c'est un peu l'arche de Noé, cela parachève le décor ! Il est fort plaisant de pouvoir déjeuner dehors. Ce fut le cas ! Des tables élégamment dressées, à l'unisson de ce lieu magique. L'Américano maison est notamment accompagné d'une délicieuse sphère « tomatée » au goût bien présent ! De multiples attentions émaillent ce début de repas. La crème brûlée aux épices est délicieuse aussi, ces épices sont un peu l'ADN du chef, étant, comme de bien entendu, très finement maîtrisées ! 

 

 

 

Finesse et élégance : de la pure magie culinaire !

 

Les plats sont dressés avec finesse et élégance. Ils sont accompagnés des légumes de saison, du potager voisin. Le homard « Michel HOUELLEBECQ » (on vous conseille son imitation savoureuse faite par Laurent GERRA le matin sur RTL !) est d’une cuisson impeccable. Voire un modèle du genre.

Un plat terre-mer des plus inattendus fut ce ris de veau avec des écrevisses locales. Saveurs et mâches surprenantes, pour ce mets au jus aussi précis que délicat. Des mets servis avec amabilité et professionnalisme. C'est alors l'heure de la venue discrète d'un des bons chiens de la maison, qui tel un maître d'hôtel quadrupède s'assure que tout va bien ! Rassuré,  il peut alors s'adonner à l'un des passe-temps préférés du monde canin : la sieste !

 

 

« Dame Cerise » est à l’honneur pour les desserts…


De jolis desserts aux couleurs variés marquent aussi un « p'tit clin d'œil » à « Dame Cerise » qui le mérite bien ! 

C’est un repas où l'on s'est régalé du début à la fin, peut-on songer, vaguement repus, en appréciant le café et un bas Armagnac « Laberdolive 1986 », d'excellente tenue. Mais toutes les bonnes choses ayant une fin, il faut alors songer à retrouver le monde plus ordinaire du transport ferroviaire et la gare de Sermizelles-Vézelay ! Quai numéro un (là aussi, il est unique !). Attention au départ !

 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : l'Américano facturé à 24 euros peut sembler un rien « chérot » !

Les + : un lieu magnifique, une cuisine précise et goûteuse, bref, un moment magique. Et pour les amateurs, en octobre, le chef prépare le lièvre à la royale. Sûrement l'un des plats les plus aboutis de la gastronomie française, que peu de cuisiniers savent vraiment réaliser.

 

 

Contact :


Château de Vault-de-Lugny,

11 Rue du Château

Tel : 03.86.34.07.86.

Premier menu du midi servi à 69 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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