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Son tour de France imposé par la campagne électorale des européennes lui a permis de faire une étape de quelques heures sur les terres de l’Yonne. Dans la capitale de ce département qu’il avait déjà visité il y a quelques mois en venant à la rencontre de Gilets jaunes. A Auxerre, l’ancien édile de Yerres s’est livré à un exercice oratoire passionné dont il a le secret. Un discours se revendiquant du gaullisme favorable à une Europe des nations libres et fières de l’être. Nicolas DUPONT-AIGNAN a renvoyé derrière la balustrade d’un simple revers de la main la politique européenne actuelle. Celle qui, selon lui, dénature les objectifs et les intérêts communs. Le chef de file de Debout La France (DLF) ne suggère pas de sortir de l’Union, a contrario du Rassemblement national. Il désire repenser l’institution et lui proposer une autre alternative…

AUXERRE : « L’Europe telle que nous la connaissons aujourd’hui doit faire peau neuve et être remplacée par un mode opératoire qui protège la souveraineté des états membres... ».

Cette phrase, c’est en substance le credo auquel s’attache viscéralement Nicolas DUPONT-AIGNAN. Le stratège politique du souverainisme le distille au gré de sa campagne qu’il mène tambour battant au détour de nombreux déplacements.

Une seule journée vécue sur le sol bourguignon se transforme déjà en un périple incompressible au niveau du timing où il doit se dispatcher entre l’Yonne, la Nièvre et la Saône-et-Loire. Un rythme soutenu, difficile à tenir certes, mais qui reste à la hauteur des ambitions de ce quinquagénaire de la politique, au profil de jeune homme et au sourire largement affiché.

Face à la presse, Nicolas DUPONT-AIGNAN n’apparaît pas comme le chantre de la langue de bois. N’éludant aucune interrogation, le député français déroule son programme. Celui qu’il a construit pour sortir le Vieux Continent de l’ornière.

« Faire maigrir le poids de Bruxelles qui est devenu une institution obèse est la priorité, clame-t-il haut et fort, chaque pays doit retrouver ses droits et ses frontières… ».

« Que l’Europe s’arrête de se mêler de nos affaires… »

Tirant à boulet rouge sur le mécanisme fonctionnel de la Commission européenne, le patron de Debout La France souhaite son coup d’arrêt. Définitif en l’état.

« Que l’on arrête de leur donner onze milliards d’euros chaque année, tance-t-il avec véhémence, et de nourrir un système qui affaiblie le continent, multiplie les normes et broie nos emplois. Il est important que certains pays européens adoptent des attitudes collaboratives majeures en matière d’entrepreneuriat, à l’instar du groupe AIRBUS qui a su relever le défi face à l’américain BOIENG, car il y a urgence…Notamment dans le domaine de la santé, de l’automobile ou du multimédia. Pourquoi la Chine a-t-elle réussi à avoir son indépendance face aux GAFA en créant ses propres outils et que l’Europe n’y parvient toujours pas ? ».

Rejetant l’Europe inquisitrice qui n’arrête pas de se mêler de nos affaires, le député de l’Essonne insiste lourdement sur le fait qu’il est bien le seul candidat à tenir ce discours. « Vous savez, ajoute-t-il, dans la vie, il y a les béats et les réfractaires. Je me classe bien volontiers parmi cette seconde catégorie… ».

Stratégiquement, Debout La France a su concrétiser une alliance européenne réaliste et convergente avec 23 autres formations, ayant la même sensibilité souverainiste.

« Nous ne sommes pas seuls a contrario du Rassemblement national, promet l’homme politique, cette alliance est bien réelle et nous permettra de peser d’un certain poids dans l’hémicycle… ».

Conspuant les listes émanant du Parti socialiste et des Républicains, Nicolas DUPONT-AIGNAN évoque alors les « mensonges » du candidat LR, François-Xavier BELLAMY.

« Il est temps de dire aux Français qu’il existe un subterfuge et une union sacrée entre ces deux partis. Le PS et LR ont tout voté d’un commun accord. Je dénonce ce fallacieux mensonge… ».

Haro sur les travers financiers de l’Union…

Incitant ses concitoyens à se rendre aux urnes le 26 mai (« s’abstenir, c’est apporter un suffrage supplémentaire à Emmanuel MACRON »), le chef de file du mouvement souverainiste ne supporte plus les travers financiers que certains pays de l’Union appliquent sans vergogne.

« L’Europe vient de financer un pont en Croatie à hauteur de 380 millions d’euros dont 80 % proviennent d’une dotation française, explique-t-il, trouvez-vous logique que ce sont les entreprises chinoises qui le construisent ? Quant aux Polonais, grands bénéficiaires des subsides de Bruxelles, ils équipent leur armée de l’air avec des hélicoptères fabriqués aux Etats-Unis. Ne parlons pas des travailleurs détachés qui ne paient pas les charges. Face à ces abus de concurrence déloyale, la France doit faire entendre sa voix et changer cela ! ».

Sous la présidence de Jacques CHIRAC, l’obole reversée par la France au titre de sa contribution participative à l’Union s’élevait à deux milliards d’euros. Depuis 2016, le chiffre s’est envolé, pour atteindre désormais des records historiques à onze milliards d’euros.

« Je veux rendre ce différentiel, soit ces neuf milliards d’euros, aux Français, affirme l’élu francilien, il nous faut harmoniser à la baisse ces dépenses somptuaires qui ne servent qu’à financer la concurrence déloyale. Imaginez le Luxembourg, modèle de l’évasion fiscale et pays le plus riche de l’Union européenne : chaque année, cet état perçoit 1,5 milliard d’euros d’aide ! On croit rêver ! ».

Sur le volet de l’industrie, Nicolas DUPONT-AIGNAN déplore que l’Hexagone, pépinière d’intelligence et de savoir-faire, ait perdu progressivement le leadership inhérent à cette branche capitale de l’économie. « Il est temps de recréer des projets qui auront de la constance face à l’hégémonie de la Chine et des Etats-Unis… ».

Ce sera la conclusion de son entrevue avec la presse. Avant qu’il ne remette en main propre un exemplaire de son ouvrage, « Résistance », aux journalistes présents, soucieux peut-être de bien marteler les messages de son programme…


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« Quand nous entreprenons pour nos clients un chantier de rénovation ou de construction, c'est avec cette ambition de construire pour durer… ». Ainsi s’exprime cette jeune femme, originaire de l’Yonne, chef d’entreprise dans le secteur du bâtiment. Dirigeant de www.deciderjuste.com, Philippe CARPENTIER accompagne les entrepreneurs lors de moments clés.  Il nous livre une interview de son blog « 16h44.com » pour prendre du recul, avec un expert,  sur notre management. En vous souhaitant une agréable lecture…

TRIBUNE : Quand vous rencontrez Cloelia, vous savez immédiatement que vous êtes face à une source d'énergie franche, directe et engagée. Jeune, active, dynamique, Cloelia est élue femme de l'année dans sa région en 2017. Sa personnalité se cache derrière son prénom : de ses origines et de sa culture italienne lui viennent son enthousiasme ainsi que sa capacité à s'engager avec conviction et à assumer pleinement chacune de ses décisions. Ainsi, qu'il s'agisse du développement de son entreprise, de la défense de sa profession ou encore de ses choix artistiques, Cloelia sait doser des positions décalées et une construction patiente et solide de ses projets. Entretien…

Cloelia, vous avez l'ambition de construire pour longtemps ? Voilà un concept, rarement mis en avant par les managers. Expliquez-nous ce qu'il signifie pour vous.

Quand nous entreprenons pour nos clients un chantier de rénovation ou de construction, c'est avec cette ambition de construire pour durer afin que le projet soit solide, réussi. Et que le client qui nous confie sa maison soit assuré de voir son patrimoine pérennisé pour des dizaines d'années. La reprise de l'entreprise familiale BELTRAMELLI en 2012, par exemple, poursuit cet objectif : sa pérennisation. Les longues journées passées à suivre les chantiers n'auraient pas de sens sans cette envie de construire pour longtemps.

Quand nous recrutons un nouveau collaborateur, c'est aussi avec cette perception du temps et cette notion long terme. En tant qu'entreprise générale, il faut du temps pour que cette personne se forme, acquiert les différentes facettes du métier et la philosophie de l'entreprise. Pour que ces personnes aient envie de construire une partie de leur carrière avec nous, nous souhaitons que nos compagnons puissent évoluer et se dépasser

Comment construit-on dans la durée, et pour longtemps ?

Mon expérience, c'est qu'il faut s'appuyer sur des fondations solides. Celles de mon entreprise sont multiples : c’est une entreprise ancrée depuis plus de 60 ans sur son territoire. Il existe une vraie volonté de transmission de l’ancien dirigeant, d’accompagnement et d’écoute dans la connaissance de nos clients et de nos marchés.

L’entrepreneure est prête à s'engager dans un univers encore très masculin, forte d'une expérience glanée dans des grands groupes avec notamment avec des acquis obtenus en marketing et en qualité. Il y a un projet clair et construit qui permet de s'appuyer sur l'histoire de l'entreprise pour la faire évoluer vers le monde de demain, en conciliant les forces de la PME avec la performance des grands groupes. Enfin, il existe une clé de voûte : une équipe formée et experte pour mener à bien des chantiers très techniques. Au-delà des clichés habituels liés aux métiers du bâtiment, construire des ouvrages qui vont perdurer dans le temps en tout confort et en toute sécurité, c’est aussi s’appuyer sur de véritables qualifications professionnelles. En résumé, avoir une tête bien faite pour penser et réaliser des projets que  nous serons fiers de montrer et transmettre à notre tour à nos enfants.

C'est à partir de ces fondations que l'on peut bâtir un édifice solide. Cela implique d'avoir des objectifs d’entreprise clairs sans toutefois s'interdire la flexibilité et la créativité. C’est impératif dans un monde toujours en mutation tel que celui du bâtiment.

Comment cela se traduit-il dans votre quotidien ?

Il y a cette envie de grandir, prudemment et par étape. L'adaptation de techniques issues de grands groupes en PME (gestion de l'outillage, des chantiers...) dans l'univers exigeant de la PME et de son quotidien représente un fondement. Il faut aussi l’intégration de jeunes talents autour de la passion du métier : j'ai rencontré deux jeunes filles que l'on avait dissuadé de faire ce métier car trop féminine ou trop bonne élève ! Quant à la diversification progressive et le développement de son propre réseau, ils sont nécessaires. J’y ajouterai la complémentarité de nos compétences par la formation et la veille technique. Enfin, l’emploi d’une communication efficace, voire parfois très décalée par rapport aux standards de la profession, n’est pas inutile. Tout ce travail de modelage de l'entreprise nécessite, lui aussi, une construction patiente et structurée.

Quelles positions faut-il adopter en cas d'intempéries ?

C'est vrai qu'elles sont fréquentes. Elles peuvent prendre, par exemple, la forme de nouvelles législations ou de contraintes extérieures de différentes natures. Certaines poussent comme de mauvaises herbes et sont de véritables obstacles à dépasser alors que d'autres, au contraire, sont porteuses de progrès. Ce qui compte, c'est de les identifier, les intégrer et de s'y adapter. Enfin, progresser jour après jour avec l'énergie que vous procure une équipe soudée.

Les conseils du blog « 16 h 44 » :

Ne te laisse pas dicter ta trajectoire par un autre !

Garde tes objectifs en tête et suis ton instinct.

  • N'écoute pas le chant des sirènes mais garde le cap.
  • Sois là où tu souhaites aller et pas là où les autres veulent que tu sois.
  • N'aie pas peur d'être décalé(e)
  • Construis l'équipe qui te va bien et qui partage tes convictions

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com

 


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Basée sur des aspects collaboratifs, formant des écosystèmes renouvelables, l’économie symbiotique représente une alternative heureuse à la réalité économique traditionnelle. Elle permet de créer un nouveau paradigme où la place de l’humain se revendique à tout instant dans un environnement positif. Au cours de sa découverte du fabricant de mobilier en bois MOBIL WOOD, structure adepte de l’holacratie et novatrice en de nombreux domaines, la candidate de la liste « RENAISSANCE » a laissé de côté sa vision politique des choses pour redevenir l’ancienne étudiante de polytechnique (X) et de l’Ecole nationale du génie rural, des eaux et des forêts qu’elle a été jadis avant d’être nommée ingénieur…

CRAVANT : Diplômée d’un Master en économie obtenu à la prestigieuse université de Berkeley (Etats-Unis), l’Alsacienne Fabienne KELLER apprécie tout ce qui se rapporte de près ou de loin aux innovations technologiques et au savoir-faire inhérent aux entreprises. Durant son immersion lui permettant de découvrir l’univers atypique de cette entreprise icaunaise, elle n’aura donc pas été déçue !

La sénatrice du Bas-Rhin a endossé sa vêture d’ingénieur des ponts, des eaux et des forêts pour mieux appréhender les aspects pragmatiques et techniques de cette entité. MOBIL WOOD, comme chacun le sait, fait figure de précurseur et de pygmalion dans bon nombre de domaines entrepreneuriaux. A commencer par la manière dont la structure pratique le management ouvert et participatif.

Construire le modèle économique différemment…

D’autant que cette visite initiée sous le prisme de la campagne électorale des Européennes, aura donné l’opportunité au responsable de la société, Alexis NOLLET, de démontrer à un aéropage de personnalités politiques (le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE, le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et conseiller régional, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, la sénatrice Noëlle RAUSCENT, les candidats icaunais de la liste RENAISSANCE, Irène EULRIET et Pascal HENRIAT…) le bien-fondé de cette alternative économique.

Certes, le principe vertueux lié à la déclinaison de l’holacratie a évolué chez MOBIL WOOD. « On a pris les fondements de cette éthique, précise Alexis NOLLET, c’est-à-dire le management participatif avant de l’adapter à nos besoins de gouvernance… ».

Pionnière en la matière sur le territoire de l’Yonne septentrionale, l’entreprise a fait depuis des émules, convertissant quelques patrons à revoir la ligne stratégique de leur management en adepte convaincu de l’entreprise libérée.

   

Habile, le mentor de MOBIL WOOD profitera de l’intérêt de ses visiteurs pour leur glisser qu’il serait judicieux de suivre de près ces évolutions à l’avenir.

Du grain à moudre pour Fabienne KELLER qui, visiblement très satisfaite de ce déplacement dans une entreprise aux méthodes futuristes du management,  aura pris attache, échange de coordonnées oblige, avec le dirigeant de la société.

 


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Ce n’était pas des mots de circonstance. Mais bel et bien des paroles fondatrices autour du partage des espaces publics que le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois Guy FEREZ a prononcé lors de son discours inaugural de la Maison des Mobilités. Lors de sa prise de parole, l’édile d’Auxerre a fait part de sa vision personnelle autour de la mobilité telle qu’il l’envisage à l’avenir dans la capitale de l’Yonne…  

AUXERRE : « Les villes doivent devenir des espaces de cohésion et de rencontres. Des lieux où la santé peut retrouver un élan vertueux qui avait disparu jusqu’alors, du fait de l’accroissement de la sédentarité... ».

En quelques minutes, le temps de son intervention à la tribune officielle de la phase inaugurale de la Maison des Mobilités de l’Auxerrois, Guy FEREZ a brossé les contours de la mobilité de demain.

Celle qui englobe diverses composantes que l’on se déplace en engin motorisé, mais aussi à bicyclette, en trottinette ou à pied, lui qui est un fervent adepte de la marche.

Ouvrir une autre voie, incarnée par la mobilité douce, cette alternative heureuse qui préfigure nos déplacements en ville et dans sa périphérie, s’inscrit dorénavant parmi les réflexions prioritaires de l’élu icaunais.

En cela, Guy FEREZ n’a pu que saluer avec satisfecit le travail effectué rue de l’Horloge, un labeur qui se concrétise sous la forme de cette vitrine flambant neuve à la gloire du réseau LEO et de ses multiples services.

Questionné par l’une des invitées de cette cérémonie protocolaire, le maire d’Auxerre a pu faire toute la lumière sur la signification de ce terme qui n’est pas un énième acronyme de plus.

« Ce réseau de transport aurait très bien pu se nommer OLA ou LULU, précisait-il avec un zeste d’humour, le plus important avec LEO, c’est que chacun de ses usagers doit s’approprier cette appellation qui reste facilement identifiable… ».

Un exercice de pur marketing inhabituel, nourri d’explications, dans lequel Guy FEREZ devait exceller !

Les alternatives ne se limitent pas aux seuls transports en commun…

Observant le comportement de ses concitoyens et l’évolution de leurs demandes en matière de mobilité, l’élu auxerrois a été amené à réfléchir et à travailler avec ses équipes sur la nécessaire complémentarité et le meilleur partage des espaces publics.

« Trop souvent, poursuivait-il, nous considérons au niveau des alternatives possibles que les seules offres à proposer se rapportent aux transports en commun. Mais, cela est très réducteur. Il faut désormais y ajouter obligatoirement la marche, la pratique du vélo, la trottinette, voire d’autres choses encore… ».

Fort de cette analyse, le président communautaire réfléchit aux conséquences inhérentes à cette addition de ces mobilités, devant conduire à l’aménagement des espaces publics. Tout en assurant la continuité au-delà de la zone urbaine.

« Ce n’est pas copier sur ce qui se passe ailleurs, affirma l’interlocuteur, mais il est clair que nous ne pouvons plus conserver des espaces qui soient isolés les uns des autres… ».

Faudra-t-il pour autant envisager de construire des espaces spécifiques, dédiés à tel ou tel type de mobilité ?

Réponse catégorique de l’élu : « je ne crois pas qu’il faille concevoir des choses particulières au cœur de la ville. Le partage des espaces publics est la manière de voir les choses. Si l’on se réfère à la littérature historique consacrée à la ville et au développement urbain, avant l’invasion de l’automobile, l’espace public se partageait. Il nous faut retrouver cette volonté de cohésion citoyenne et sociétale autour de ce partage… ».

Un dossier à suivre de près pour en découvrir les phases applicatives…

 


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Très investi dans la capitale de l’Yonne par chantiers interposés, le concepteur de la Maison des Mobilités, l’architecte Romain VIAULT, a dévoilé les dessous techniques de la nouvelle vitrine commerciale du réseau LEO. Un lieu remarquable à l’œil qui met en lumière des lignes modernes et un environnement chaleureux. Exerçant ses activités depuis la capitale, le jeune maître d’œuvre va pouvoir désormais se consacrer à l’autre gros dossier qui le mobilise sur notre territoire depuis plusieurs mois : l’achèvement du Pôle environnemental. Sa livraison est prévue à l’automne, au mois d’octobre…

AUXERRE : Quatre mois ont été nécessaires à ce chantier. Avant qu’il ne se termine de la manière la plus officielle, par sa phase inaugurale ce vendredi soir. Depuis la première esquisse jusqu’à l’ultime coup de pinceau, il ne se sera écoulé in fine qu’un petit quadrimestre pour que naisse cet univers fort chatoyant et utile à la promotion de la mobilité douce.

Une véritable prouesse technique qui fut saluée à sa juste valeur par le vice-président de la Communauté de l’agglomération de l’Auxerrois, Alain STAUB. La configuration de cette vitrine attrayante, on la doit à Romain VIAULT. Cet entrepreneur à l’imaginaire fertile est à la tête du cabinet parisien « ARCHITECTES ». Il a su aménager avec finesse et esthétisme, cet espace de 140 mètres carrés, sans en ôter ses aspects ludiques, voire ergonomiques.

Un lieu imaginé entre esthétisme et sens pratique…

Une fois pénétrée à l’intérieur du lieu, les visiteurs font face à un point accueil centralisé. Là, ils peuvent avoir accès à divers services. De la simple recharge de leur carte d’utilisateur à l’achat de nouveaux tickets leur permettant d’opter pour de nouveaux abonnements qu’ils soient mensuels ou annuels.

Le fond de l’espace est occupé par une zone de stockage, invisible du public. C’est là, parmi ce saint des saints, et à l’abri des regards, que se gèrent les différents supports techniques de la mobilité douce : les cycles traditionnels, les vélos à assistance électrique, les trottinettes ainsi que leurs nombreux accessoires (siège bébé, casques de protection, antivols, cape de pluie...).

Le bois est omniprésent. Sa couleur chaude rassure. Elle évoque l’environnement qu’il est souhaitable de préserver. L’architecte explique son insistance à avoir employé le rouge. Logique : son utilisation à bon escient évoque l’identité référentielle de la marque. Et le symbole éclatant du réseau LEO, qui est accueilli à cet endroit, rue de l’Horloge.

Une référence au travail scientifique d’Etienne-Jules MAREY…

Suspendus aux murs, des cadres de belle importance mettent en exergue les informations indispensables à relayer au public. Celles et ceux de ces habitants communautaires qui voudraient tester, voire adopter, les moyens mis à leur disposition au nom des bienfaits de la mobilité douce. Au sol, le revêtement rappelle la surface d’un parcours de cycle ou de bus.

Sympathique, le décorum a fait l’objet d’une longue réflexion de la part de son auteur. Un travail où l’immersion dans l’histoire fut constante. Inspiré par les chronophotographies d’Etienne-Jules MAREY, physiologiste, médecin et inventeur natif de Beaune, dont les travaux portèrent au début du siècle dernier sur l’étude des mécanismes des différents modes de déplacement des animaux et des êtres humains. Romain VIAULT a su rendre hommage à sa façon à l’éminent homme de sciences. Pour que l’architecture de la nouvelle boutique ne demeure pas figée dans sa représentation définitive.

L’objectif étant que le perçu visuel du site traduise l’intérêt de la mobilité dans son approche architecturale. Il ira même jusqu’à pousser la coquetterie et le sens du détail en y intégrant une note de design, à la fois sympathique et humoristique, dans l’ameublement. Grâce à la présence de chaises mille-pattes plutôt irrésistibles qui ont plu à l’assistance et nourri une salve d’applaudissements.

 

 


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