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A l’heure où s’écrivent ces lignes, nous ne connaissions pas encore le verdict des échéances européennes. Au moment où vous les lirez, nous saurons tout de leurs conséquences sur la composition de l’hémicycle dans le prochain Parlement. Toutefois, avant les élections, les résultats étaient presque connus d’avance. Les sondages, véritables pythies modernes, nous avaient déjà informé(e)s. Voire orienté(e)s ! D’ailleurs, on peut se demander pourquoi on ne remplace pas les élections par des sondages. Cela reviendrait quasiment au même et aurait l’avantage de moins imputer les caisses de l’Etat à les organiser !

TRIBUNE : Quoi qu’il en soit, nous savions déjà que le parti du président, La République en Marche, et le Rassemblement national étaient au coude à coude à la veille du scrutin. Le suspense a donc pris fin au soir de ce dimanche 26 mai. Désormais, nous savons. Alors, où en sommes-nous vraiment sur le devenir de l’Europe et l’impact de ces échéances sur le poids réel du président de la République ?

Dans les faits, environ 12 % des Français auront voté réellement pour l’Europe et le chef de l’Etat. Le même pourcentage de Français se sera, quant à lui, exprimé en faveur d’une formation politique qui utilise le parlement européen à des fins pernicieuses en rémunérant insidieusement ses militants !

Pourquoi, alors, 12 % seulement de votants ont donné leurs suffrages en faveur de ces deux partis ayant désormais le leadership en France ? Tout bonnement, parce que 50 % des Français auront voté avec leurs pieds. C’est-à-dire qu’ils auront choisi d’aller se promener par ce beau week-end du joli mois de mai, loin du marasme politique.

Voyons ce qu’est devenu ce grand espoir qu’a été l’Europe de Jean Monnet, Alcide de Gasperi, Paul-Henri Spaak,  Robert Schumann ? Une sinistre farce ! Un terrain de chasse réservé qui est désormais réservé à Goldman Sachs, au paradis fiscal luxembourgeois, aux GAFA et à la colossale entreprise de la Chine, baptisée « les nouvelles routes de la soie ».

Pologne, Irlande, Italie nous disent merci !

En ce qui concerne Goldman Sachs, tout le monde sait. C’est une hydre financière, à qui les gouvernements grecs successifs, conservateurs et socialistes, ont confié la tâche de falsifier leurs comptes pendant des années. Résultat : le contribuable français, entre autres citoyens européens, a sauvé le peuple grec d’une faillite inéluctable qui l’aurait plongé dans une terrible misère. Des centaines de milliards ont été ainsi engloutis en Grèce sous le sceau de l’Europe.

Comment dès lors le gouvernement grec remercie-t-il l’Europe et ses généreux donateurs que sont ses contribuables ? En se faisant l’une des portes d’entrée du fameux projet chinois grâce à la vente du port du Pirée. Le gouvernement grec fait entrer le cheval de Troie asiatique sur le Vieux continent avec toutes les incidences que cela implique. L’Italie est en train d’agir de façon identique en négociant avec la Chine une opération similaire.

Comment les Polonais ont-ils remercié l’Europe de les avoir accueillis en son sein et, comme pour l’Irlande, en déversant des milliards de fonds européens vers leurs peuples ? En achetant des avions de combat américains. Consternation et illogisme dans des pratiques qui devraient obsolètes au nom de la fraternité qui nous habite !

En ce qui concerne Goldman Sachs, la plaisanterie n’est pas finie. L’ancien président de la Commission européenne, José Barroso, sans la moindre pudeur, est devenu employé de ladite banque américaine. Il va pouvoir utiliser à bon escient son réseau de relations personnelles acquis grâce à son poste rémunéré par les européens.

Son successeur à la tête de la Commission européenne n’est autre que l’ancien Premier ministre du Luxembourg. Ce dernier a organisé de façon systématique l’installation de sociétés étrangères dans son pays en leur offrant des avantages fiscaux considérables au détriment des autres pays de l’Union. Parallèlement à cette politique de la honte, le Luxembourg demeure un paradis fiscal. C’est-à-dire un centre d’évasion de l’argent des contribuables que nous sommes au cœur de l’Europe.

L’Europe sombre vers un lent déclin…

Quant à l’Irlande, elle est sortie de sa misère séculaire grâce à son intégration. Et au Mississippi financier qu’a représenté le flot de financements européens déversés sur ce pays. Comment remercie-t-elle l’Europe ? Elle organise une concurrence déloyale vis-à-vis de ses partenaires qui l’ont tirée de neuf siècles de pauvreté en attirant les sièges de grandes sociétés américaines par une fiscalité extrêmement favorable.

Ainsi, entre les groupes américains puissants et dominateurs à l’Ouest et les nouveaux conquérants à l’Est que sont les Chinois, l’Europe sombre petit à petit vers le déclin. Avec l’assistance efficace, à la fois de ses dirigeants à Bruxelles, incapables et malhonnêtes, et l’appui de pays européens qui ont choisi l’ingratitude et la traîtrise à la cause européenne…

Nous sommes le 27 mai 2019 au moment où j’écris ces lignes. Les Français ont depuis voté. Mais rien n’aura changé dans les faits après ce nouveau scrutin. Celui de la poudre aux yeux ?

Emmanuel RACINE

 


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L’ouverture d’un nouveau cursus pédagogique autour de l’énergie renouvelable offre l’opportunité aux acteurs du territoire, engagés dans la transition énergétique, de se mobiliser. Intitulée « Conduite et maintenance des installations photovoltaïques », cette formation est la résultante d’une réflexion conjointe entre l’Etat, la Région Bourgogne Franche-Comté, l’Académie de Dijon et EDF.

MONTBARD (Côte d’Or) : Devenir technicien de conduite et maintenance de centrale solaire photovoltaïque est désormais possible en Bourgogne Franche-Comté. Le 23 mai, le lycée Eugène Guillaume, localisé dans la sous-préfecture de Côte d’Or, a accueilli la présentation officielle de cette future possibilité éducative. Un cursus de niveau Bac + 1 qui a été élaboré en étroite osmose en vertu des axes prioritaires de la transition énergétique.

Même s’il a été présenté en cette période de printemps, ce nouveau cycle ne sera opérationnel qu’à partir de la rentrée. Les partenaires du projet (l’Etat, l’Académie de Dijon, la Région Bourgogne Franche-Comté et EDF) ont profité de la journée spéciale, « Mon avenir, l’industrie », organisée par la Mission locale rurale des Marches de Bourgogne, pour en évoquer les contours et spécificités. Signalons que Pôle Emploi était également associé à ce projet de présentation.

Ce sera donc la première fois dans l’Hexagone que des candidats motivés par cette filière autour du solaire pourront prétendre à ce cursus, menant vers une formation attractive. Ils seront amenés à se rapprocher de la filiale d’EDF, EDF Renouvelables, afin de pouvoir bénéficier de stages parmi les antennes que compte le groupe sur le territoire national.

Près d’un an de gestation pour construire ce nouveau cycle…

Cette formation intègre l’une des premières réalisations du Contrat de transition écologique (CTE) de la Haute Côte d’Or. Son entrée en vigueur avait fait l’objet d’un déplacement, le 17 décembre 2018, de la secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth WARGON. C’est à cette occasion que le CTE avait été paraphé entre différentes communautés de communes (le Pays Châtillonnais, le Montbardois) et les services de l’Etat. Y étaient également associées la Région Bourgogne Franche-Comté, l’ADEME, la Banque des territoires et l’agence de l’eau Seine Normandie.

Un an de gestation et de collaboration entre l’Etat, la Région, l’Académie de Dijon et le fournisseur d’électricité EDF auront été nécessaires pour peaufiner les contenus et modalités pratiques de ce nouveau cycle. Ce projet traduit l’engagement de la Région de s’inscrire dans la trajectoire « Région à énergie positive à l’horizon 2050 ». Un concept qui avait réuni dans le cadre d’une convention de partenariat l’institution régionale, le groupe EDF et sa filiale, EDF Renouvelables. Cette dernière exploite déjà 76 MW d’énergies renouvelables sur le territoire régional.


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Nommée depuis deux semaines à la tête de la direction départementale des cabinets d’expertise comptable implantés dans l’Yonne, cette professionnelle a choisi de rejoindre le groupe de Côte d’Or en pleine expansion sur la partie septentrionale de la Bourgogne. La feuille de route est simple : accroître l’aura de LDS sur ce territoire bien identifié et renforcer ainsi les partenariats auprès des milieux institutionnels et entrepreneuriaux…

AUXERRE : Recrutée à la mi-mai, Sophie DESCHAMPS est depuis peu la nouvelle responsable des trois cabinets à l’estampille du groupe d’expertise comptable LDS dans l’Yonne. Elle n’a pas tardé à mettre sa stratégie relationnelle en application.

La jeune femme vient en effet de tisser de très sérieux liens avec l’un des syndicats de l’artisanat et du bâtiment, la CAPEB. Objectif de ce rapprochement : initier une convention de partenariat qui lui permettrait de prodiguer conseils et savoir-faire auprès des entrepreneurs de cette filière.

Ce n’est que le début de la vaste campagne de sensibilisation que la nouvelle directrice des trois entités de LDS sur notre territoire souhaite mettre en place.

Originaire de Reims, Sophie DESCHAMPS, ancienne directrice financière du groupe ELITE RESTAURATION, connaît très bien le périmètre sectoriel sur lequel elle intervient désormais sous les couleurs de son nouvel employeur.

Par le passé, elle a exercé durant plusieurs années auprès de deux autres cabinets connus et reconnus de l’Yonne : CAPEC et MORIZE où elle y fait ses débuts.

En rejoignant la structure LDS, fondée il y a tout juste quarante ans par Michel LEVY, et aujourd’hui dirigée par le trio d’experts-comptables, Franck SIDOINE, Thomas BLANC et Didier CUCHE, la nouvelle responsable s’est fixée comme ambition de faire croître la dynamique commerciale des antennes icaunaises. Celles-ci sont situées à Auxerre, Sens et Tonnerre.

LDS, dont le siège social est accueilli dans la capitale des Ducs de Bourgogne, possède deux autres structures dans son escarcelle : Mâcon, et plus curieusement Avignon, dans le Vaucluse.

A ce jour, une douzaine de personnes composent l’effectif du cabinet sur le sol icaunais. Mais, d’autres postes sont déjà à pourvoir ; notamment celui de collaborateur comptable expérimenté qui est proposé en contrat à durée indéterminée et accessible de suite.

LDS emploie aujourd’hui plus de 80 personnes et dispose d’un portefeuille de clients qui s’étoffe continuellement ; celui-ci ayant dépassé la barre symbolique des deux mille références.


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Son dernier ouvrage, « Le Diable s’habille en GAFA » publié en 2018, est un pavé dans la mare que chacun d’entre nous se doit de dévorer avec délectation. Ce brûlot fait toute la lumière contre l’un des plus grands scandales de ce nouveau siècle. Le vol sans vergogne, en absence de toutes autorisations, de nos données personnelles qui sont exploitées à des fins bassement commerciales et marketing par quatre entreprises américaines (GOOGLE, APPLE, FACEBOOK et AMAZON). Influenceur de talent qui a œuvré dans la sphère politique (François MITERRAND, Lionel JOSPIN mais aussi aux côtés de nombreux présidents africains), le cofondateur de l’agence publicitaire RSCG, structure absorbée par le groupe HAVAS en 1996, a répondu à l’invitation du collectif « S’engager pour Auxerre » dans le cadre d’un débat sociétal mettant en exergue le futur du commerce de proximité face à la prédominance du commerce en ligne. Entretien avec l’homme qui fit de François MITERRAND le dépositaire de la « Force tranquille » en 1981…

AUXERRE : A 85 ans, Jacques SEGUELA, le pape mondial de la publicité et de la communication, conserve toujours son sens de l’analyse et de l’humour à faire pâmer plus d’un politicien en campagne électorale. Le regard pétille. La courtoisie émane de ce grand monsieur de l’entrepreneuriat à la française. Lui qui est devenu au fil de plusieurs décades le chantre de la communication ingénieuse et percutante. Un homme de slogan qui a toujours su faire mouche dans le style et dans la forme.

Son ultime opus (il est venu expliciter la texture à Auxerre) lui offre l’opportunité  de parler face à un auditoire attentif à ses meilleures feuilles. Le titre de l’ouvrage joue sur les mots. « Le Diable s’habille en GAFA » ! Tout un programme dont il va défendre pied à pied le moindre argument dans un long réquisitoire contre l’hégémonie outrancière de ces quatre sociétés qui composent les GAFA et qui illustrent la puissance américaine qu’il abhorre.

Mais, avant que l’homme prodige ne s’exprime à l’estrade, le point presse aura permis de mieux cerner sa vision personnelle de la situation. Et de ses réels enjeux. Complexes mais pas encore inaltérables si, nous autres Français, prenons enfin le taureau par les cornes et réagissons au plus vite !

Jacques SEGUELA n’avait pas fait de come-back public dans la capitale de l’Yonne depuis 1979. Date à laquelle son ami Jean-Pierre SOISSON lui avait demandé de réaliser une affiche pour sa campagne électorale…

« Quand j’ai reçu la proposition de conférence de l’équipe de « S’engager pour Auxerre », je ne pouvais pas faire autrement que de me rendre dans la ville de mon ami Jean-Pierre ! ».

Se protéger de l’environnement pernicieux des GAFA…

Mais, très vite, l’orateur du jour fait l’impasse sur ses souvenirs pour mieux incriminer par qui le déséquilibre planétaire est en train d’arriver. « Si l’on ne fait rien, les GAFA vont détruire le monde. Il est nécessaire de les limiter et ce, pour trois raisons. Les GAFA aujourd’hui, cela équivaut à la constitution d’un état numérique qui représente une fois et demi le PIB de la France. Dans une décennie, si cela continue ainsi, ce sera dix fois plus que celui de l’Europe. Voire celui du globe dans vingt ans ! C’est incroyable. Comment avons-nous pu laisser faire cela et accorder autant de pouvoir à quatre entreprises américaines qui pèsent plus lourd économiquement que la Chine et l’Europe réunies ? Elles ont enregistré dans leur cloud toutes nos données personnelles. C’est le hold-up du siècle ! En outre, elles ont volé toutes ces données sans copyright et sans bourse déliée. Cela représente pour chaque Français un équivalent de deux mille euros par an, soit pour une vie un total de 50 000 euros ! ».

Le publicitaire n’en démord pas : il est grand temps que cette hégémonie internationale cesse. Pour lui, la manière de pratiquer de ces structures empiriques est proprement irresponsable.

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« Ils se sont attaqués à nos gosses, vilipende le patron du groupe HAVAS. C’est pire que tout. Ils sont désormais capables de capter toutes nos conversations afin de mieux les utiliser dans dix ans. Je ne veux pas de ce monde-là. Certes, on ne peut pas être contre le progrès ni l’intelligence artificielle ; mais, il faut arriver à se protéger convenablement. N’oublions jamais que tous les progrès induisent des catastrophes : le jour où l’homme a inventé la roue, il a ainsi provoqué les accidents de la route ! Donc, il faut que l’Etat crée des moyens de prévention numérique tout en conservant les bons côtés du système et en supprimant ses effets pernicieux… ».

Avec QWANT, la France dispose d’un outil dont il faut assurer la promotion…

La taxation des GAFA représente plus qu’une évidence pour l’homme d’affaires. « C’est une obligation morale, clame-t-il avec véhémence, mais attention, il ne faut pas leur prélever juste cinq cents millions d’euros à l’année mais bel et bien leur prendre cinq milliards d’euros ! Ces structures en ont largement les capacités financières ».

Puis, très au fait des règlementations européennes, il rappelle que 26 pays de l’Union ont déjà adopté le principe d’un dispositif fiscal renforcé contre le dumping fiscal des GAFA.

« Même Donald TRUMP s’est emparé de ce dossier à son compte afin d’appliquer un règlement identique aux Etats-Unis. La Chine a choisi de contourner la problématique en développant ses propres équivalences avec la création de plusieurs plateformes (ALI BABA,…). Cet état de fait représente aussi l’une des causes de la guerre commerciale sino-américaine. Mais, personnellement, j’attends énormément du réveil de deux continents du futur que sont l’Inde (plus d’1,7 milliard d’humains) et de l’Afrique qui jouera un rôle majeur à l’avenir. Si avec l’Europe, nous parvenions à développer un système de régulation puissant, nous pourrions aisément étouffer les velléités conquérantes et hégémoniques de la Chine et des Etats-Unis sur le sujet… ».

Reste l’incontournable question qui revient sur toutes les lèvres depuis tant d’années : pourquoi l’Europe ne possède-t-elle pas encore ses propres plateformes numériques ?

« Ah, ça ! répond évasivement Jacques SEGUELA, dubitatif et décontenancé, comment se fait-il effectivement que les Français, bien avant les Européens, ne disposent pas encore de ces outils ! Eux qui ont tout inventé de la communication. Quand on pense à Charles HAVAS qui est le génial créateur de la publicité survenue avec son agence il y a 185 ans. Les Français sont à l’origine de la photographie avec Nicéphore NIEPCE, du cinéma avec les frères LUMIERE, de la télévision couleur, de la première société d’achat d’espace publicitaire, de l’agence de publicité telle que nous la connaissons, de la carte à puce (avec l’Angleterre et la Suisse).

Que seraient aujourd’hui les GAFA s’ils n’avaient pas bénéficié de toutes ses technologies françaises ? Il faut que la France se relève enfin les manches et redevienne compétitive sur la scène internationale. Comme autrefois ! ».

Le charismatique publicitaire ne pouvait clore cet entretien à bâtons rompus sans évoquer le concurrent direct de GOOGLE : QWANT. Dont il prépare le story-board dans le cadre d’une future campagne promotionnelle à travers l’Europe.

« Aujourd’hui, ce concept technologique se veut plus moderne que GOOGLE, précise-t-il en fin connaisseur de l’outil, le moteur de recherche possède des dispositions graphiques que le serveur américain ne décline absolument pas. Son concepteur, mon ami Jean-Manuel ROZAN, se refuse au vol des données. S’il en utilise l’usage, c’est avec l’accord des sources qu’ils rétribuent. Il faut adopter ce concept à l’ensemble de l’Europe. D’ailleurs, récemment, Emmanuel MACRON a demandé à toutes ses administrations de n’employer que cette plateforme dans leurs services. Chaque entrepreneur français et européen devrait avoir la même attitude protectionniste. C’est le choix stratégique vers lequel nous avons opté chez HAVAS… ».

Une manière pertinente et tangible de réaffirmer son indépendance vis-à-vis de l’ogre Américain…

 


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Résilience, esprit d’équipe, humanisme, combativité…le sportif de l’extrême et conférencier, amputé des deux bras et de deux jambes à la suite d’un arc électrique lors d’une intervention professionnelle, distillera des messages très forts lors de la « Nuit des Entreprises ». L’évènement, concocté par la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, se déroulera le jeudi 20 juin à la salle des fêtes de VENOY…

AUXERRE : Auteur de l’ouvrage, devenu depuis un best-seller, « J’ai décidé de vivre », l’aventurier, sportif de l’extrême et consultant en entreprises Philippe CROIZON devrait délivrer un témoignage très poignant, comme à son habitude, lors de la future intervention qui ne manquera pas d’interpeller les adhérents du syndicat patronal.

Les dirigeants d’entreprise, membres de la CPME 89, auront ainsi tout le loisir de pouvoir se ressourcer au contact de cet orateur hors pair qui depuis son terrible accident survenu sur une ligne à haute tension parcourt des milliers de kilomètres à la rencontre du public.

En 2015, Philippe CROIZON, associé à l’époque au régional de l’étape, Arnaud CHASSERY avec lequel il tenta l’incroyable aventure humaine de traverser plusieurs isthmes séparant les cinq continents, avait participé à la soirée commémorative du quarantième anniversaire du CIFA de l’Yonne.

Ce fut une soirée mémorable qui fit salle comble où le charismatique personnage expliqua non sans humour et avec un sens oratoire de belle facture son chemin de vie si atypique.

Il en sera sans doute de même ce jeudi 20 juin. Plusieurs partenaires (Chambre de Commerce et d’Industrie, Harmonie Mutuelle, Groupama Paris Val-de-Loire,…) soutiennent l’initiative, voulue par le président départemental du syndicat, Olivier TRICON.

C’est la secrétaire déléguée Emmanuelle MIREDIN et la commission ad hoc liée à la communication qui élaborent depuis plusieurs semaines le fil rouge de cette animation devant ponctuer une riche saison 2018/2019.


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