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Nicolas DUPONT-AIGNAN (DLF) veut restituer les neuf milliards d’euros "trop perçus" par l’Europe aux Français…

« Nicolas DUPONT-AIGNAN souhaite l’élection d’eurodéputés libres et souverains, non inféodés au diktat de Bruxelles au soir du 26 mai. Le chef de file de Debout La France qui avait réalisé un score de 4,70 % à la présidentielle (6,34 % sur le département de l’Yonne) espère déjouer les pronostics lors de ce scrutin, capital à yeux, pour remettre l’Europe sur de bons rails…et rendre sa liberté à la France. Le candidat est accompagné de représentants icaunais sur la liste DLF, Anna CONTANT-MARINELLI, première-adjointe de Chevannes et Thierry SPAHN, président de la Communauté de communes Yonne Nord et maire de Villebleuvin… ». « Nicolas DUPONT-AIGNAN souhaite l’élection d’eurodéputés libres et souverains, non inféodés au diktat de Bruxelles au soir du 26 mai. Le chef de file de Debout La France qui avait réalisé un score de 4,70 % à la présidentielle (6,34 % sur le département de l’Yonne) espère déjouer les pronostics lors de ce scrutin, capital à yeux, pour remettre l’Europe sur de bons rails…et rendre sa liberté à la France. Le candidat est accompagné de représentants icaunais sur la liste DLF, Anna CONTANT-MARINELLI, première-adjointe de Chevannes et Thierry SPAHN, président de la Communauté de communes Yonne Nord et maire de Villebleuvin… ». Crédit Photos : Thierry BRET.

Son tour de France imposé par la campagne électorale des européennes lui a permis de faire une étape de quelques heures sur les terres de l’Yonne. Dans la capitale de ce département qu’il avait déjà visité il y a quelques mois en venant à la rencontre de Gilets jaunes. A Auxerre, l’ancien édile de Yerres s’est livré à un exercice oratoire passionné dont il a le secret. Un discours se revendiquant du gaullisme favorable à une Europe des nations libres et fières de l’être. Nicolas DUPONT-AIGNAN a renvoyé derrière la balustrade d’un simple revers de la main la politique européenne actuelle. Celle qui, selon lui, dénature les objectifs et les intérêts communs. Le chef de file de Debout La France (DLF) ne suggère pas de sortir de l’Union, a contrario du Rassemblement national. Il désire repenser l’institution et lui proposer une autre alternative…

AUXERRE : « L’Europe telle que nous la connaissons aujourd’hui doit faire peau neuve et être remplacée par un mode opératoire qui protège la souveraineté des états membres... ».

Cette phrase, c’est en substance le credo auquel s’attache viscéralement Nicolas DUPONT-AIGNAN. Le stratège politique du souverainisme le distille au gré de sa campagne qu’il mène tambour battant au détour de nombreux déplacements.

Une seule journée vécue sur le sol bourguignon se transforme déjà en un périple incompressible au niveau du timing où il doit se dispatcher entre l’Yonne, la Nièvre et la Saône-et-Loire. Un rythme soutenu, difficile à tenir certes, mais qui reste à la hauteur des ambitions de ce quinquagénaire de la politique, au profil de jeune homme et au sourire largement affiché.

Face à la presse, Nicolas DUPONT-AIGNAN n’apparaît pas comme le chantre de la langue de bois. N’éludant aucune interrogation, le député français déroule son programme. Celui qu’il a construit pour sortir le Vieux Continent de l’ornière.

« Faire maigrir le poids de Bruxelles qui est devenu une institution obèse est la priorité, clame-t-il haut et fort, chaque pays doit retrouver ses droits et ses frontières… ».

« Que l’Europe s’arrête de se mêler de nos affaires… »

Tirant à boulet rouge sur le mécanisme fonctionnel de la Commission européenne, le patron de Debout La France souhaite son coup d’arrêt. Définitif en l’état.

« Que l’on arrête de leur donner onze milliards d’euros chaque année, tance-t-il avec véhémence, et de nourrir un système qui affaiblie le continent, multiplie les normes et broie nos emplois. Il est important que certains pays européens adoptent des attitudes collaboratives majeures en matière d’entrepreneuriat, à l’instar du groupe AIRBUS qui a su relever le défi face à l’américain BOIENG, car il y a urgence…Notamment dans le domaine de la santé, de l’automobile ou du multimédia. Pourquoi la Chine a-t-elle réussi à avoir son indépendance face aux GAFA en créant ses propres outils et que l’Europe n’y parvient toujours pas ? ».

Rejetant l’Europe inquisitrice qui n’arrête pas de se mêler de nos affaires, le député de l’Essonne insiste lourdement sur le fait qu’il est bien le seul candidat à tenir ce discours. « Vous savez, ajoute-t-il, dans la vie, il y a les béats et les réfractaires. Je me classe bien volontiers parmi cette seconde catégorie… ».

Stratégiquement, Debout La France a su concrétiser une alliance européenne réaliste et convergente avec 23 autres formations, ayant la même sensibilité souverainiste.

« Nous ne sommes pas seuls a contrario du Rassemblement national, promet l’homme politique, cette alliance est bien réelle et nous permettra de peser d’un certain poids dans l’hémicycle… ».

Conspuant les listes émanant du Parti socialiste et des Républicains, Nicolas DUPONT-AIGNAN évoque alors les « mensonges » du candidat LR, François-Xavier BELLAMY.

« Il est temps de dire aux Français qu’il existe un subterfuge et une union sacrée entre ces deux partis. Le PS et LR ont tout voté d’un commun accord. Je dénonce ce fallacieux mensonge… ».

Haro sur les travers financiers de l’Union…

Incitant ses concitoyens à se rendre aux urnes le 26 mai (« s’abstenir, c’est apporter un suffrage supplémentaire à Emmanuel MACRON »), le chef de file du mouvement souverainiste ne supporte plus les travers financiers que certains pays de l’Union appliquent sans vergogne.

« L’Europe vient de financer un pont en Croatie à hauteur de 380 millions d’euros dont 80 % proviennent d’une dotation française, explique-t-il, trouvez-vous logique que ce sont les entreprises chinoises qui le construisent ? Quant aux Polonais, grands bénéficiaires des subsides de Bruxelles, ils équipent leur armée de l’air avec des hélicoptères fabriqués aux Etats-Unis. Ne parlons pas des travailleurs détachés qui ne paient pas les charges. Face à ces abus de concurrence déloyale, la France doit faire entendre sa voix et changer cela ! ».

Sous la présidence de Jacques CHIRAC, l’obole reversée par la France au titre de sa contribution participative à l’Union s’élevait à deux milliards d’euros. Depuis 2016, le chiffre s’est envolé, pour atteindre désormais des records historiques à onze milliards d’euros.

« Je veux rendre ce différentiel, soit ces neuf milliards d’euros, aux Français, affirme l’élu francilien, il nous faut harmoniser à la baisse ces dépenses somptuaires qui ne servent qu’à financer la concurrence déloyale. Imaginez le Luxembourg, modèle de l’évasion fiscale et pays le plus riche de l’Union européenne : chaque année, cet état perçoit 1,5 milliard d’euros d’aide ! On croit rêver ! ».

Sur le volet de l’industrie, Nicolas DUPONT-AIGNAN déplore que l’Hexagone, pépinière d’intelligence et de savoir-faire, ait perdu progressivement le leadership inhérent à cette branche capitale de l’économie. « Il est temps de recréer des projets qui auront de la constance face à l’hégémonie de la Chine et des Etats-Unis… ».

Ce sera la conclusion de son entrevue avec la presse. Avant qu’il ne remette en main propre un exemplaire de son ouvrage, « Résistance », aux journalistes présents, soucieux peut-être de bien marteler les messages de son programme…

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