Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Dans l’instant « t », Bercy reste campé sur son inflexibilité. Les concessions automobiles doivent rester portes closes durant la nouvelle période de confinement. Se privant ainsi de la manne physique de la clientèle. Même si l’option du « click and collect » est autorisée, on voit mal comment les consommateurs seraient tentés par l’achat de leur nouveau véhicule au budget conséquent sans l’avoir vu et essayé au préalable ! Les ventes, quant à elles, s’effondrent. Sombres perspectives…

PARIS : Pour l’heure, il n’est pas prévu que les concessionnaires automobiles puissent exercer leur activité dans les règles de l’art. Leurs établissements ont dû fermer leurs portes dès l’application de la seconde période de confinement imputable à la recrudescence de la pandémie en France.

Un dilemme kafkaïen pour les professionnels de la filière qui avaient déjà dû supporter les conséquences néfastes de la première vague au printemps. Les premières tendances chiffrées ne plaident pas en faveur d’un optimisme béat. Surtout celles qui émanent du CNPA (Conseil National des Professionnels de l’Automobile) qui annoncent une diminution de 70 % des ventes de véhicules neufs depuis une semaine. Une statistique alarmiste qui inquiète fortement les professionnels du secteur.

 

 

La réouverture des concessions conditionnée à l’évolution de la crise…

 

D’autant que la réouverture des concessions n’est pas programmée pour demain. Une rencontre des acteurs de la filière à Bercy, ce vendredi 06 novembre, est restée lettre morte dans ses résultats. Tout dépendra de l’évolution de la crise sanitaire. Force est de constater que la hausse exponentielle du nombre de cas de personnes contaminées dans l’Hexagone, plus de 60 000 cas avérés à date, ne conditionne pas à une quelconque embellie.

Président de la PFA (Plateforme Automobile), l’ancien ministre Luc CHATEL exige la réouverture des vitrines commerciales. « Ne pas les rouvrir serait synonyme d’un nouvel effondrement du marché qui n’a pas besoin de cela », précise-t-il dans un communiqué de presse. Dans le même temps, les constructeurs et les équipementiers maintiennent leurs activités industrielles.

Du côté des voitures de seconde main, la chute des ventes est encore plus drastique avec des pertes s’élevant à 90 % en un laps de temps record. Les interventions en entretien/réparation reculent de 30 %. Il en va de même pour la carrosserie qui avoisine avec 50 % de baisse.

Bref, le désastre n’est pas loin pour le secteur qui emploie 400 000 personnes dont 60 000 pourraient être menacés à brève échéance si la situation devait perdurer. Au terme de l’année 2020, la baisse des ventes de véhicules neufs en France pourrait correspondre à 30 % ! Le nombre de nouvelles immatriculations serait le plus faible enregistré depuis près de cinquante ans. A peine 1,5 million d’unités, ce qui est fort peu…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le contexte de cette dixième rencontre du championnat de Ligue 2 n’est pas ordinaire en soi. Opposée ce samedi à la formation picarde d’Amiens, ex-pensionnaire de Ligue 1 la saison dernière, l’AJ Auxerre n’aura pas la tâche facile. Evoluant à huis clos. Un environnement très spécial et perturbant pour les joueurs qui attriste déjà le coach Jean-Marc FURLAN…

AUXERRE : L’entraîneur de l’AJA fait grise mine. Le regard, un peu perdu dans le vague, interrogateur. Lui qui affiche le plus souvent un large sourire lorsqu’il débute ses rendez-vous réguliers avec la presse ne semble pas être dans son assiette. Une pensée l’obsède. C’est ce premier match à huis clos qu’il va vivre aux côtés de ses protégés lors de la réception de l’équipe amiénoise.

Une circonstance imposée par la crise épidémiologique qui repart de plus belle dans l’Hexagone et contraint le milieu footballistique à s’adapter tant bien que mal. Difficile d’envisager, il est vrai, une telle rencontre sans la présence du public. Et pourtant…

Sa perception de ce stade de l’Abbé Deschamps vidée de sa substantifique moelle (ses supporters) l’attriste au plus haut point. Surtout que la vision de ces gradins silencieux aura nécessairement un impact sur le moral de l’équipe.

« Les sportifs de haut niveau ne sont pas habitués à cela, explique-t-il, c’est très important pour eux d’évoluer devant leur public… ».

D’autant que la progression actuelle du club confère à l’optimisme. Après son large succès face à la modeste formation de Chambly (4-0) et ce nul arraché avec les tripes sur la pelouse de Rodez (2-2), Auxerre a l’opportunité de poursuivre sur sa lancée, en espérant un troisième match sans défaite. La victoire, et les Bourguignons qui occupent la 9ème place du classement pourraient être très vite propulsés aux avant-postes de ce championnat âpre et complexe, au pied du podium. Retrouvant ainsi dans son proche voisinage de réels prétendants au titre et à l’accession : Le Havre, Clermont Foot, Toulouse ou le FC Sochaux. Tous des suiveurs légitimes des deux équipes qui caracolent largement en tête, le Paris FC et l’ESTAC Troyes.

 

Attention danger face à Amiens et sa défense imperméable…

 

En l’absence du « douzième homme », ce public qui peut parfois transcender, voire sublimer les joueurs en état de grâce, Jean-Marc FURLAN sait qu’il aura fort à faire en face de lui. L’adversaire possède plusieurs atouts dans sa besace. A commencer par son expérience récente de la division supérieure, ce qui reste toujours un plus au niveau de la dynamique en vue de la remontée.

Les Picards offrent le particularisme de posséder la meilleure défense de la compétition. Avec peu de buts encaissés au terme des dix premières rencontres. L’équipe de Romain POYET est très athlétique, imperméable défensivement. Peu de chance de l’avis du coach de l’AJA qu’il y ait une avalanche de buts au terme de la partie. Surtout que parmi ses lettres de noblesse, Amiens peut également s’enorgueillir de posséder le jeu de tête le plus abouti de Ligue 2 !

Bref : un vrai casse-tête chinois sur le plan technico-tactique qui permettra à Jean-Marc FURLAN de jauger les forces et les compétences de ces ouailles durant cette rencontre à l’enjeu évident.

Le coach attend de ses garçons de l’envie, de l’audace, de l’ambition. Tout en demeurant dans la continuité du jeu proposé jusqu’alors.

« Il est difficile de trouver d’autres alternatives tant au plan défensif qu’offensif en l’état, affirme le stratège auxerrois, même s’il peut y avoir des choix… ». Une tactique qui trouve son fondement dans le besoin de repères accordés aux joueurs.

D’ailleurs, Jean-Marc FURLAN qualifie sa formation d’impliquée et de consciencieuse, autour de ses leaders naturels (quatre ou cinq cadres) qui renvoient une bonne mentalité au reste du groupe.

 

L’utilité du mercato d’hiver, créateur de business…

 

Reste le mercato d’hiver. Si près et encore trop loin pour certains clubs qui croient y trouver un joker providentiel. Ce qui n’est pas le cas de l’ancien défenseur bordelais.

Son avis sur le sujet comporte une part de vérité vraie !

« Le mercato d’hiver a été institué pour créer des emplois et faire vivre tout un aéropage de personnes autour. Chaque joueur peut induire dans son sillage de vingt à trente emplois ! ».

Bref, c’est un procédé qui alimente allègrement le côté business du football. Un processus économique aux antipodes des préoccupations majeures de nombreux entraîneurs qui essaient d’intégrer dans leur base un ou deux nouveaux éléments pour étoffer leur équipe.

« D’ailleurs, ajoute Jean-Marc FURLAN à l’attention des journalistes présents à la conférence de presse, citez-moi combien de fois le mercato d’hiver a été réellement profitable pour un club ? Cela a dû dépanner un club sur dix ou quinze au grand maximum ! ». Dont acte !

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Tout n’est qu’histoire de pédagogie dans le dossier sanitaire du moment. La prévention est d’usage. Y compris chez les forces de l’ordre qui multiplient depuis le début de la seconde vague épidémiologique les contrôles sur les axes fréquentés de notre département. Objectif : s’assurer que les Icaunais soumis au respect du plan de confinement soient en possession de leur attestation de déplacement dérogatoire dûment remplie qui motive leur sortie…

AUXERRE : L’un après l’autre, les automobilistes stoppés net dans leur élan de progression sur la route par les forces de l’ordre obtempèrent et se rangent en file indienne sur la petite zone qui est dévolue aux contrôles.

Une fois n’est pas coutume, il ne s’agit pas de vérifier si le taux d’alcoolémie vire au rouge pour les conducteurs indociles ou si l’état de leur véhicule est trop vétuste pour pouvoir rouler.

Non, les contrôles du moment se concentrent plus spécifiquement sur la présence du précieux sésame dans l’une des poches de leur manteau : la fameuse attestation de déplacement dérogatoire autorisant les sorties. Car, il ne faut pas l’oublier depuis bientôt une semaine : l’Hexagone est à l’heure du second confinement.

Avec les incontournables obligations à respecter derechef pour demeurer en règle, notamment dès que l’on pose les pieds à l’extérieur de son domicile. Celles-ci se matérialisant par l’attestation dérogatoire. Dont il existe trois variantes comme chacun le sait ou ne le sait pas d’ailleurs.

Depuis que les contrôles ciblant plus particulièrement ce particularisme ont été mis en place, soit l’affaire de quelques jours sur notre territoire, ce sont une cinquantaine de personnes qui sont venus de facto grossir le rang des contrevenants. De bonne ou de mauvaise foi, les bénéficiaires des procès-verbaux ne possédaient pas sur eux le document idoine.

Une cinquantaine de nos compatriotes seulement sur les trois cent trente mille qui se meuvent dans notre département, c’est une goutte d’eau dans un océan !

 

 

Faire évoluer les consciences sur la gravité de la situation…

 

Un chiffre que commenta le directeur de cabinet du préfet de l’Yonne Tristan RIQUELME, présent lors de la dernière opération en date réalisée par la police nationale et la brigade motorisée de la gendarmerie nationale ce jeudi 05 novembre au sortir d’Auxerre, avenue du Maréchal Juin, entre 18 et 19 heures. Aux côtés du directeur départemental de la Sécurité publique et commissaire divisionnaire Raphaël JUGE.

« Les Icaunais ont pris pleine conscience de la dangerosité de la situation, explique-t-il, ils prennent leur responsabilité en respectant les mesures barrières et le port du masque, tout en ayant sur eux l’attestation obligatoire… ».

Il est vrai que le contexte sanitaire du moment n’autorise aucun relâchement du fait de son aspect anxiogène. Interrogé sur le sujet, le directeur de cabinet de la préfecture évoque les ultimes chiffres se rapportant aux hospitalisations. Rien de réjouissant, en vérité, avec 72 personnes qui ont été admises dans les centres de soin du département ces derniers jours dont treize ont été conduites dans les services de réanimation.

« Le taux de positivité s’envole, renchérit Tristan RIQUELME, cela occasionne beaucoup d’inquiétude car la prolifération de l’épidémie est bien palpable autour de nous… ».

Insistant à maintes reprises sur côté non-répressif des choses (« ces contrôles inopinés ne correspondent pas à une histoire de chiffres… »), l’ex-sous-préfet de d’Yssingeaux ne voit au travers de ces phases de contrôle qu’un mode opératoire répétitif pour faire évoluer les consciences. En faveur du civisme pour tous et de la protection de chacun, portée à son paroxysme.

De facto, c’est surtout la minorité de la population, la plus réfractaire aux mesures barrières qui est donc visée par la présence des forces de l’ordre aux abords des routes.  

Au vu du nombre de contraventions distribuées ce jeudi soir sur les deux points de contrôle de l’Auxerrois, il semblerait que le message soit reçu cinq sur cinq par les Icaunais devant s’extérioriser de chez eux.

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il y va des principes fondamentaux de la démocratie. Un gage inaliénable selon les deux élus de l’opposition à la gouvernance actuelle, le duo écologiste Florence LOURY et Denis ROYCOURT. Dans une missive adressée à l’édile d’Auxerre Crescent MARAULT, les leaders d’Auxerre Ecologie demandent que le prochain conseil municipal se déroule le jeudi 12 novembre en présentiel. Afin que les décisions puissent y être débattues en public…

AUXERRE : Initialement programmée le jeudi 05 novembre en séance physique, la prochaine session du conseil municipal d’Auxerre a été décalée à la date du lundi 16 novembre à 18 heures. De manière numérique puisque devant s’appuyer sur la technologie offerte par la visioconférence.   

Les raisons à ce report de dernière minute se justifient avec la recrudescence du nombre de cas de COVID-19 dans la capitale de l’Yonne. Même si les arrêtés organisant la tenue des différentes instances devaient encore en préciser la nature pratico-pratique ce vendredi 06 novembre.

Cependant, l’idée d’un conseil municipal à distance ne satisfait pas deux des élus de l’opposition, les écologistes Florence LOURY et Denis ROYCOURT.

Outre les contraintes techniques imposées par l’emploi de la visioconférence, notamment au niveau de la fiabilité des connexions, voire de la vétusté de certains appareillages informatiques à domicile, c’est surtout le recul de la démocratie que représente la dématérialisation d’une assemblée délibérante qui est aujourd’hui pointée du doigt par les porte-étendards d’Auxerre Ecologie.

« Il est très important que dans cette période aussi troublée, les décisions puissent être débattues en public afin que la démocratie continue à s’exercer… ».

 

 

Pas de garantie possible au niveau de la qualité des connexions…

 

Arguant que l’édile Crescent MARAULT ne pourra garantir que les 39 élus du conseil municipal puissent participer de manière démocratique et convenable aux débats via ce processus numérique, du fait de connexion insatisfaisante ou de matériels peu fiables, les élus écologistes souhaitent le report de la séance au jeudi 12 novembre de manière présentielle.

Le lieu de ce rendez-vous est déjà tout indiqué : il s’agirait de l’enceinte principale du parc AUXERREXPO qui peut en garantir le respect des mesures sanitaires obligatoires.

Parmi leur argumentation, le tandem écologique rappelle que « le principe de réunion en présentiel est conforme à l’orientation du gouvernement et aux consignes données sur le maintien des services publics et le maintien des lieux de travail ».  

Des éléments explicatifs qui étayent la missive qui a été adressée au maire d’Auxerre et président de l’Agglo.

Certes, les deux élus réfractaires à l’utilisation du numérique comprennent le besoin de restrictions imputables à la pandémie de coronavirus. Toutefois, ils font la distinction entre deux types de réunions : les commissions dites « non-décisionnaires » qui peuvent se réaliser par le biais de la visioconférence et la séance plénière qui doit, elle, se faire en présentiel.

D’autant, que le choix d’organiser ce conseil municipal devant son écran d’ordinateur aurait été pris à la hâte et sans concertation avec les élus, dénoncent Florence LOURY et Denis ROYCOURT.

Pour l’heure, à défaut du jeudi 12 novembre, le conseil municipal est toujours maintenu au lundi 16 novembre pour les élus qui y participeront. Sans doute, ces derniers seront-ils confortablement installés pour y prendre part depuis leur bureau à domicile…  

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pas si  simple de pouvoir commercialiser dans des conditions optimales sa gamme de véhicules dans un pays où la recrudescence de la pandémie explose au quotidien. Au cours de ces dernières vingt-quatre heures, cent mille nouveaux cas se sont déclarés d’est en ouest de la première puissance mondiale…

Etats-Unis : Une chose est sûre : le constructeur américain essaie tant bien que mal à conserver le cap de la dynamique commerciale dans l’un des nations les plus perturbées par l’épidémie de coronavirus.

Au mois d’octobre, la marque du continent américain a commercialisé plus de 181 000 véhicules (un chiffre qui ne prend pas en compte les poids lourds) grâce à son réseau de concessionnaires.

Deux modèles se sont distingués. L’emblématique Lincoln qui a su tirer son épingle du jeu marketing avec une progression de 2,8 % des ventes à l’instar de Corsair qui a même dépassé 37 % de hausse !

 

 

Toutefois, FORD a vu ses résultats chuter de 6,1 % dans un contexte que l’on imagine très délicat. Son modèle le plus vendu Outre-Atlantique reste néanmoins le pick-up F 150. Sa version relookée devrait boostée les opérations commerciales du constructeur, sans doute à horizon 2021.

L’un des porte-parole du groupe a précisé par voie de presse que le constructeur publierait dorénavant davantage d’informations sur ses performances afin de rassurer les investisseurs. Surtout pendant la période complexe de la pandémie.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil