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Entachées par des sautes d’humeur et quelques invectives à la limite de la politesse et du civisme entre leurs deux dirigeants, les relations politiques entre la Turquie et la France se sont refroidies depuis plusieurs mois. Pour autant, les deux pays sont unis par l’alliance de l’OTAN. Ils doivent faire front commun face aux tentations hégémoniques qui pourraient déstabiliser le bassin de la Méditerranée…

TRIBUNE: Retour vers le passé sur le fameux empire Ottoman pour mieux comprendre l’agressivité actuelle du président Recep ERDOGAN. Cet empire débute son histoire dès le XIIIème siècle. Constantinople (Istanbul) en devient sa capitale deux siècles plus tard. Ces nouveaux conquérants s’emparent de la Syrie, de l’Egypte puis sous le règne de Soliman le Magnifique, les côtes d’Arabie, l’Irak et le Maghreb.

En Europe, Belgrade, l’île de Rhodes, Malte et la Hongrie tombent sous le joug Ottoman ! La ville de Vienne, en Autriche, résistera victorieusement à l’invasion. Le XVIIème siècle est marqué par le déclin de cet empire qui perd dans la foulée les possessions des Balkans, du Moyen-Orient et d’Afrique.

En 1821, une série de crises diplomatiques et militaires accélèrent le processus de démantèlement de l’Empire. Une révolte, soutenue par les Russes, éclate en Grèce en faveur de l’indépendance des Hellènes. La même année, la Moldavie, la Serbie et la Valachie (future Roumanie) deviennent autonomes tandis que les Français débarquent en Algérie.

Durant la guerre de 14-18, les Alliés occupent Istanbul et se partagent l’Anatolie. Les Grecs s’emparent alors de Smyrne (Izmir). C’est à partir du XVIème siècle que l’Arménie passe sous contrôle des Ottomans. Serait-ce déjà une guerre de religion ?

N’oublions pas que l’Arménie constitue le berceau du christianisme dès l’an 300 après J.C., son territoire historique s’étend jusqu’aux frontières de l’Europe.

Le 24 avril 1815, la Turquie décide d’en finir avec les Arméniens. On estime le génocide à près de 1,5 million de morts ! Aucun pays d’Europe n’interviendra. Seule l’Allemagne dépêchera des observateurs afin d’étudier la façon dont on organise un génocide ! On connaît hélas la suite…

Stratégiquement, les Turcs vont inclure dans leur conquête le symbole de l’Arménie : le Mont Ararat. Lieu mythique à plus d’un titre pour les Juifs et les Chrétiens : c’est le lieu présumé de l’Arche de Noé. Aujourd’hui, les bergers ont laissé la place aux trafiquants de drogue.

 

Mais qui sont finalement nos alliés naturels ?

 

Cette immersion dans l’histoire est nécessaire. Elle permet de mieux appréhender le sens historique des conflits d’hier, de ceux d’aujourd’hui et peut-être de ceux de demain. Les problèmes syriens, kurdes, en Grèce, en Azerbaïdjan, en Egypte… montrent l’implication passée et actuelle de la Turquie.

On le voit bien, la Russie est un allié historique de l’Arménie et l’Allemagne est plus proche d’une collaboration effective avec les Turcs qu’avec d’autres pays d’Europe, notamment la France. La communauté turque est dominante en Allemagne alors qu’Angela MERKEL inflige en permanence des camouflets au locataire de l’Elysée !

 

 

 

 

Notre Président demande une indépendance militaire européenne : aussitôt c’est le véto systématique de la  part des Allemands. L’Allemagne impose l’OTAN et la collaboration avec les Etats-Unis. Ridicule : à plus ou moins court terme, les USA quitteront l’OTAN. L’Allemagne veut nous imposer les avions militaires américains et écartent les Rafales ! Où sont réellement nos alliés ? Les Américains ? Les Allemands ? Je ne le crois pas !

L’histoire ancienne et présente le démontre ! Au risque de choquer, la Russie semble plus proche de nous et devient un allié efficace, voire incontournable, dans la résolution des conflits au Moyen-Orient.

Une question nous interpelle alors : Recep ERDOGAN est-il devenu nostalgique de la domination ottomane ? Sa stratégie d’agressions permanentes constitue-t-elle un choc de civilisations et au pire, les prémices d’une « guerre de civilisations » ? La civilisation musulmane face à la civilisation « judéo-chrétienne ». Mais, le « Grand Vizir » turc semble avoir oublié qu’il a face à lui une culture « gréco-latino-judéo-chrétienne » ! Dans la foulée, nos dirigeants ont, quant à eux, oublié l’histoire de l’origine des guerres et les fondations de nos alliés naturels !

 

Promouvoir un dialogue apaisé mais pas à n’importe quel prix !

 

Si la joute acrimonieuse entre Paris et Ankara va crescendo, la Turquie constitue une source importante de déstabilisation de la paix dans le monde. L’intervention en Syrie, les forages en Méditerranée, le soutien inconditionnel à la Lybie et au « pays frère » qu’est l’Azerbaïdjan, par tous les moyens dans le conflit avec l’Arménie dans le Haut-Karabakh le prouvent…

Tandis qu’Emmanuel MACRON évoque la responsabilité criminelle du président turc, ce dernier met en doute la santé mentale de notre dirigeant ! Du spectaculaire, certes, dans les mots mais un état de fait triste pour le dirigeant politique.

Le harponnage au laser d’un bâtiment de guerre français en Méditerranée en septembre a même failli entraîner une riposte militaire française…

Dans la foulée, le président turc n’hésite pas à se mêler de la politique intérieure française en matière d’immigration, de gestion du conflit terroriste, voire de notre capacité à vivre libre. Il est vrai que les manipulations du pouvoir montrent son totalitarisme et sa volonté d’afficher la religion musulmane comme la « contrainte » nécessaire à toute législation. Si le père fondateur de la Turquie moderne Atatürk avait fait de l’église-mosquée Sainte-Sophie un musée, ERDOGAN l’a de nouveau consacrée au culte musulman.

Toute cette poudre aux yeux n’est que le non-dit de la place de l’islam en Europe. Cependant, question religieuse mise à part, l’attitude du président turc en Méditerranée pose problème au sein de l’OTAN dont la Turquie constitue l’une des pièces maîtresses avec la deuxième armée en nombre d’hommes.

Peut-on encore rester confiant devant un partenaire qui s’en prend aux alliés d’hier (les Kurdes face à Daech), instrumentalise les menaces d’aujourd’hui et intimide ses propres alliés au sein de l’Alliance ?   

Les marges de manœuvres pour restaurer un dialogue méditerranéen sont faibles face à ces attitudes belliqueuses.

Dans les années 50, on s’écriait : « Who lost China ? ». Aujourd’hui, on peut dire « Who lost Turkey ? » (Qui a perdu la Turquie ?). Depuis quelques années, on réclame des sanctions contre la Turquie mais l’Allemagne les refuse.

Toutefois, les présidents français rejettent l’adhésion de la Turquie dans l’espace européen : trouver des coupables est moins efficace que de trouver les marques d’une diplomatie apaisée !

Promouvoir un dialogue apaisé avec nos voisins turcs, oui, mais pas à n’importe quel prix ! Fort heureusement, il faut noter quelques signes d’espoirs : la grande majorité des  expatriés turcs vivant sur notre sol respectent la République et refusent d’être amalgamés aux intégristes politiques. Et surtout, il existe en Turquie une opposition à la politique jusqu’au-boutiste de Recep ERDOGAN !  Même si ces derniers sont pourchassés et jugés, il s’agit d’un courant de pensée plus proche « des droits de l’homme » que du « guide du dictateur »…

Face à la volonté de boycotter les produits français, est-il nécessaire de bouder les « kébabs » ? Certes, non !

Jean-Paul ALLOU            

 

 

 


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Trois cent mille trajets avaient fait l’objet d’un remboursement lors de la première période de confinement. Un geste solidaire voulu par le groupe APRR, entre autres, à destination du personnel soignant qui était mobilisé dans la lutte contre le coronavirus. Une judicieuse initiative qui est reconduite avec la nouvelle vague de la pandémie.

DIJON (Côte d’Or) : Faciliter les déplacements professionnels des personnels soignants s’inscrit parmi les priorités actuelles des gestionnaires des réseaux autoroutiers de France. En particulier, de celles qui sont sous l’administration d’APRR, AREA, ATMB et SANEF.

Le remboursement du péage est renouvelé après la première vague sanitaire du printemps. En bénéficier est facile pour les personnels soignants. Ils peuvent solliciter le service client, dans l’exemple de notre territoire, du groupe APRR sur la référence suivante : https://contact.aprr.fr.

Les personnes n’ayant pas de badge télépéage devront présenter les attestations de péage (reçus en voie) et un justificatif d’exercice d’une profession relevant du personnel soignant.

 

 

Pour les personnes ayant un badge, les démarches sont facilitées et le remboursement sera appliqué directement sur la facture télépéage.

Cette mesure, mise en place dès à présent, s’applique à tous les trajets, en direction du lieu d’exercice et au retour au domicile.

La démarche s’inscrit dans le cadre de l’effort collectif national pour lutter contre les conséquences du coronavirus sur notre territoire.

 

 


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Une indicible peur se lit au fond des yeux de la personne malade. Alité, le matériel de ventilation placé sur le nez et la bouche pour lui procurer le maximum d’oxygène, le patient scrute avec intérêt en direction du petit groupe qui s’immisce dans l’intimité de cette unité un peu spéciale du centre hospitalier d’Auxerre. Un sursaut salvateur pour mieux se raccrocher à l’existence ? Etrange sensation que de visiter cette unité qui accueille les personnes atteintes de l’infection virale du moment : le tristement célèbre coronavirus, COVID-19…

AUXERRE : L’effervescence se conjugue à l’humilité. La crainte, aussi qui s’affiche dans les regards des profanes de ce service hospitalier qui nous ouvrira grandement ses portes dans un court laps de temps.

Les professionnels de santé, réunis dans le hall d’accueil, discutent, échangent, patientent, plaisantent avant la venue de la délégation officielle. Un temps de latence qui leur permet de faire un break. Une respiration appréciable où quelques-unes de ces blouses blanches en profitent pour se griller une cigarette salvatrice afin de mieux maîtriser leur tension nerveuse. Compréhensible avec la recrudescence accrue de la pandémie à laquelle ils doivent faire face…

Devant nous se dresse la double porte battante barrée d’une énorme signalétique interdisant tout accès aux visiteurs. Un accès qui donne d’ordinaire sur le service de cardiologie. C’est ici, en cet endroit stratégique du centre hospitalier d’Auxerre que l’unité COVID-19 a été installée. Son prolongement se situe à l’étage supérieur : le service de réanimation où une dizaine de patients reçoivent des soins plus lourds.

Quelques lits sont encore disponibles à cet instant « t ». Ce ne sera que de courte durée. Les praticiens attendent l’arrivée imminente de quatre malades en provenance de Mâcon. La préfecture de Saône-et-Loire est saturée de patients. Plutôt graves. Ses services sanitaires ne savent plus comment juguler la propagation de l’épidémie. Alors, on déleste vers les autres centres hospitaliers de la région. Là où il reste encore quelques possibilités d’accueil, à l’instar de l’établissement auxerrois.

 

 

 

Les services de la Ville à l’écoute des soignants…

 

Il faut relever le défi. Accueillir des malades afin de pouvoir leur prodiguer les premiers soins. Un challenge qui requiert pugnacité et abnégation. Un défi constant. Qui ne manquera pas de sensibiliser les officiels qui viennent de pénétrer dans l’enceinte névralgique de cet hôpital à l’atmosphère si étrange où se relaient aux côtés de patients en proie à des difficultés respiratoires les spécialistes de plusieurs disciplines : cardiologie, réanimation, chirurgie, neurologie, etc.

Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST rappellera les responsabilités de chaque citoyen dans cette « guerre » menée contre ce virus qui aura profondément chamboulé notre existence.

Le respect des gestes barrières ? « Les pratiquer au quotidien, c’est aussi respecter le personnel soignant… » soulignera avec justesse le représentant de l’Etat lors d’une brève intervention.

L’accompagnent le maire d’Auxerre et président de la Communauté de l’agglomération Crescent MARAULT, et l’un des vice-présidents du Département Christophe BONNEFOND. L’édile d’Auxerre en profitera pour adresser un message à la direction du centre hospitalier représenté par Pascal GOUIN et aux médecins :

« Les services de la Ville sont à l’écoute des besoins du corps médical et du personnel soignant pour les aspects de logistique … ».

Il faut aussi penser nécessairement à la gestion et à l’accueil des enfants des couples de praticiens ou d’infirmiers qui tentent l’impossible pour sauver des vies. En crèche ou à l’école.  

 

 

 

Le service de réanimation, cœur névralgique de la lutte…

 

Pénétrer dans l’espace qui accueille le service de réanimation où se distinguent derrière les vitres opaques de ces chambres très surveillées des silhouettes allongées dans leur lit fait froid dans le dos.

Chacune et chacun tente de ne pas trop y penser en visitant subrepticement une pièce encore vacante de tout malade. On nous explique alors le principe de la ventilation respiratoire, l’absence de soins par intubation pour le moment (peut-être un signe mais ce n’est qu’une hypothèse que la seconde vague de ce maudit virus soit moins virulente que celle qui nous a frappées au printemps).

Une chose est sûre : à les écouter attentivement, les praticiens avancent avec une grande prudence sur ce territoire inconnu bordé par la COVID-19.

Dans une petite salle, aire de détente pour de courageuses infirmières et soignantes, quatre d’entre elles s’offrent une légère pose autour d’un thé agrémenté d’une mandarine. Une image de retour à la vie plaisante pour ce petit groupe qui ne baisse pas les bras dans sa lutte au jour le jour contre cet inéluctable virus au centre de toutes les préoccupations actuelles.

Ouf ! Qu’il fait bon de respirer dehors à l’air pur, même sous son masque chirurgical, dès que l’on s’éloigne de cet endroit où des fidèles au serment d’Hippocrate font usage de leur savoir et de leur volonté pour bouter loin de nous cet ennemi invisible…

Thierry BRET

 

 

 


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Le paysage sociétal, économique et émotionnel qui environne notre quotidien depuis plusieurs mois est de nature à bien nous armer psychologiquement pour éviter tout type de projectiles démoralisateurs. D’un lest de peur à une grenaille de caractère poussant vers l'angoisse. « Nous sommes en guerre » le formulait dernièrement notre Président de la République Emmanuel MACRON. Et si, la fleur au fusil, on se prémunissait de munitions d'espoir...

TRIBUNE : La promesse d'une vie à l'inspiration plus généreuse et apaisante est-elle un mythe, une mouvance ou une réalité à envisager et à concrétiser ? Une énigme à l’allégorie bénigne qui s'affranchit de tout risque : l'espoir. Ce sentiment n'est pas une option. Mais, bel et bien une solution pour poser enfin les armes et les larmes de la dualité en l'invitant pour une paix intérieure, source de bonheur.

Cet état d'être à croire au « tout est possible » est la plus belle des valeurs à porter comme un drapeau de la liberté posé avec fierté à la force de confiance et d'audace.

 

Tout est possible...

 

Oui, toutes nos victoires personnelles ont un dénominateur commun comme l'exprime Christopher REEVE : « Une fois que tu choisis l'espoir, tout est possible… ».

L'espoir est un état d'être qui exempte toute vision défaitiste car il temporise les doutes. Il se conditionne donc au superlatif d'un positivisme au détriment d'un négatif trop intrusif et abusif.

L'espoir est un acte de bravoure envers son âme et sa conscience face à tous les duels de la vie. Il combat avec foi de magnifiques projets personnels et professionnels où le seul adage est la volonté et la pugnacité car l'espoir se revendique dans une perspective et une dynamique de gagnant.

 

Un allié de taille...

 

L'espoir est l'allié parfait de la confiance et de la tempérance. Il est le guerrier sur qui l'on peut compter pour gagner toutes les batailles. Il se galvanise d'optimisme et de certitude à la réussite car il est le conquérant de toutes ses aspirations et inspirations. Il est le meilleur bouclier face à des détracteurs qui pourraient essayer de l'entraver.

 

Dans une ambiance culturelle...

 

S'il arrive que le vague à l'âme survienne pour « masquer » une vérité, l'espoir se note également à la clé d'une partition musicale à écouter. A l’instar de la ballade du groupe AEROSMITH sur « Dream on » ou d'un film d'animation humoristique aux multiples paraboles : « Kung Fu Panda » qui anoblit toutes les peurs par la puissance du croire.

Dans une approche littéraire, Norman COUSINS, biographe d'Albert SCHWEITZER, prix Nobel de la paix en 1952, est l'auteur d'un livre à succès, « Une passion de vie ». Il y partage sa vision de la maladie. Atteint d'une pathologie grave où le pronostic le prédisposait, à court terme, à rester dans une chaise roulante, sa force intérieure va changer la donne.

Avec l'appui de son médecin et la compréhension de l'impact émotionnel de l'esprit sur le corps, il a recourt à une influence très subjective : le rire. Alors, il se nourrit émotionnellement de livres et de films comiques. Sa guérison a suscité de multiples questions. Comme quoi...

Bien sûr, son rétablissement est le vecteur de plusieurs facteurs mais l'espoir en est le meilleur remède.

Norman COUSINS le sublime par ces mots : « L'espoir est la chose la plus importante de la vie. Elle procure aux êtres humains le sentiment d'avoir un but et leur donne l'énergie d'aller de l'avant… ».

L'espoir est donc un réconfort pour le corps, l'âme et l'esprit. Il les nourrit d'un baume de bienveillance et de douceur pour la promesse d'un meilleur. A méditer…

Lyvia ROBERT

 


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Ils sont prêts, les professionnels des travaux publics. Prêts à poursuivre leurs activités malgré la période de confinement afin d’assurer la relance économique de notre pays. Prêts, également à préserver et à créer des emplois. Mais, pour cela, ils ont besoin du soutien inconditionnel des élus. Et surtout de la reprise urgente de la commande publique !

DIJON (Côte d’Or) : Les semaines se suivent et se ressemblent pour les dirigeants des entreprises de travaux publics de notre territoire. Ils ne cessent d’envoyer des messages forts à destination des collectivités locales pour que celles-ci fassent enfin bouger les lignes au niveau de la commande publique.

L’équation est simple. Pas de projets en perspective, donc pas de chantiers à assurer, avec les conséquences que l’on peut aisément imaginer au niveau de l’emploi.

Depuis le discours du président de la République Emmanuel MACRON en date du 28 octobre où ce dernier reconnaissait comme « essentielle à la nation la filière des travaux publics », la FRTP (Fédération régionale des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté) adresse une kyrielle de signes auprès des élus locaux. Celles et ceux qui identifient clairement les besoins de développement et d’entretien des infrastructures sur les territoires.

 

 

« Nous sommes là pour les accompagner, explique sans équivoque le président de l’organisme régional, l’entrepreneur Vincent MARTIN, qui a pris à bras le corps la défense des intérêts de sa corporation.

Ce dernier n’hésite pas à préciser qu’il serait dommageable pour les élus locaux de ne pas profiter des effets du plan de relance économique distillé par l’Etat (France Relance) qui favorise l’obtention de financements exceptionnels afin de juguler la crise économique.

En conclusion, la position de la FRTP est très limpide : il faut investir très vite pour garantir la pérennité d’une filière professionnelle qui ne demande qu’à poursuivre sereinement ses activités. Mesdames et messieurs les élus, la balle est désormais dans votre camp !

 


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