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Les 321 échantillons du panel très représentatif de cet indéniable  savoir-faire des vignerons du Chablisien (77 domaines et maisons au total) ont été soumis à la finesse du palais d’un jury de quarante-six connaisseurs. S’en suivit une analyse olfactive et gustative de chacun de ces nectars pour déterminer les meilleures notes de cette sélection, génératrices de vingt-sept récompenses…

BEINE: Il y a déjà de l’excellence et du grandiose parmi les produits de la sélection vineuse qui ont été présentés aux 46 membres du trente-cinquième jury du Concours des Vins de Chablis cette année. Puisant leurs ressources sélectives parmi les millésimes 2019 pour les appellations Petit Chablis, Chablis, Chablis Premier Cru et 2018 pour Chablis Grand Cru, les organisateurs de la manifestation annuelle avaient procédé à un panel très éclectique afin de satisfaire les goûts et les desiderata de ces aficionados de l’Epicure, amateurs de gastronomie et de dives bouteilles !

Dans la catégorie Petit Chablis, les médailles d’or furent attribuées à la maison William FEVRE et au Domaine JOLLY Fils. Les distinctions argent revinrent au Domaine De la Tour et au Domaine Vincent WENGIER. Le domaine Alain GEOFFROY obtenait le bronze, avec un clin d’œil au passage à ce regretté professionnel disparu récemment.

La catégorie Chablis a permis à la maison J. MOREAU, au Domaine de la Tour (décidément très en verve) et au Domaine Guillaume VRIGNAUD de se distinguer en terminant en tête du concours. L’argent échoit au Domaine de la MOTTE et au Domaine VENTOURA.

 

 

 

Pour le Chablis Grand Cru 2018, mention exceptionnelle pour le domaine Jean-Paul et Benoît DROIN, et son Vaudésir. L’argent se partage entre le Domaine VOCORET et Fils Blanchot et le Domaine VOCORET et Fils Les Clos. Le domaine SERVIN gagne le bronze.

Le Chablis Premier Cru 2019 Rive Droite offre l’accessit suprême au Domaine du COLOMBIER pour le Vaucoupin ainsi qu’au domaine GAUTHERON Alain et Cyril pour le Vaucoupin également. La médaille d’argent salue la performance de La Chablisienne avec son Vaulorent et le Domaine des MALANDES pour son Fourchaume. Signalons l’obtention du bronze par le Domaine Jean JACQUIN et Fils pour sa Montée de Tonnerre.

Quant au Chablis Premier Cru 2019 Rive Gauche, il permet de glorifier trois domaines différents : La MOTTE pour Beauroy, celui de Guy ROBIN (Vielles vignes Vaillons) et celui de Jean-Paul et Benoît DROIN, pour le Vosgros.

Les médailles d’argent se répartissent entre les domaines MOSNIER (Beauroy), PINSON (Montmains) et SIMONNET-FEBVRE (Montmains).

Le bronze salue le travail du Domaine des HATES (Butteaux) et de la Maison HENRY (Vaillons).

 

Thierry BRET

 

 


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Le ministre délégué aux PME est monté au créneau il y a peu. Alain GRISET n’est d’ailleurs pas le seul à avoir montré de l’appétence à la défense de ce dossier. Son homologue secrétaire d’Etat en charge du tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE, l’est tout autant. Son de cloches similaire en provenance de l’opposition régionale avec Julien ODOUL. Décidément, le projet de fermeture du site avallonnais de SKF ne laisse personne dans l’indifférence…

AVALLON: La sphère politique s’engouffre de plain-pied dans la brèche. Celle, béante, qui a succédé à l’annonce il y a déjà plusieurs semaines du projet de fermeture du site industriel avallonnais géré par la société scandinave SKF.

Un plan social, qui s’il était adopté en l’état viendrait à condamner l’employabilité de 141 salariés. Et de clore de manière définitive la présence de cet acteur économique sur ce secteur du Morvan depuis soixante ans.

Prévue fin 2022, cette fermeture ne trouve pas de réelles motivations économiques aux yeux des syndicats. Rappelons que l’unité de production de l’Yonne conçoit des roulements pour les tunneliers et le secteur militaire. Deux domaines qui ne sont guère impactés par la crise économique du moment.

La nouvelle provoque donc des ronds dans l’eau qui se répercute auprès du sérail politique. Localement, où les réunions de travail se sont multipliées ces dernières semaines à la préfecture de l’Yonne afin de trouver une amorce de sortie favorable. Soit en renégociant le PSE, soit en explorant la piste d’un repreneur potentiel du site.

Mais, aussi à l’échelon de l’Hexagone puisque le ministre délégué aux PME Alain GRISET a assuré que « l’Etat rechercherait avec le plus grand sérieux un repreneur industriel solide ». Une déclaration faite à l’Assemblée nationale.

Le secrétaire d’Etat en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE prête également une oreille très attentive à la moindre évolution de ce dossier un tantinet placé sur le fil du rasoir.

 

 

Les résultats du groupe seront dévoilés le 02 février en Suède…

 

Quant à la visite récente en terre icaunaise du directeur de la filiale française Philippe PEROZ, elle aura surtout permis de temporiser ce contexte incertain. Option hypothétique : la réévaluation du plan social qui pourrait en subir à termes des modifications.

L’opposition réagit de son côté. A l’instar du Rassemblement national et de son chef de file Julien ODOUL qui regrette que « la société suédoise décroche le pactole du plan de relance dans le cadre de l’appel à projets du fonds de modernisation aéronautique via sa filiale SKF Aerospace ».

Surtout après s’être prononcé en faveur du licenciement de 211 collaborateurs qui exercent leurs activités sur les sites d’Avallon et de Lons-le-Saunier.  

Cette semaine est importante. La multinationale de Göteborg publiera ses résultats annuels pour l’année 2020 ; ce sera mercredi 02 février. Ses dirigeants expliqueront lors d’une conférence de presse la stratégie à venir pour ces cinq grandes plateformes de compétences qui lui permettent d’atteindre le milliard d’euros de chiffre d’affaires.

L’industriel scandinave accueille plus de trois mille collaborateurs parmi ses différentes unités de production. Mais, la question qui trotte dans toutes les têtes des collaborateurs du groupe dans l’Yonne est la suivante : combien en restera-t-il réellement sur le site d’Avallon fin 2022 ?

Thierry BRET

 


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Au-delà de l’enjeu, celui de décerner des médailles à une riche sélection de millésimes du terroir chablisien, il y avait ce plaisir immense de se retrouver enfin dans un esprit de convivialité. Intense, à faire pétiller les regards même si le port du masque et la distanciation physique devaient être respectés stricto sensu. Le 35ème Concours des Vins de Chablis aura donc offert dans un contexte totalement inédit une aération unique pour des épicuriens en quête d’un meilleur à venir…

BEINE : Les frissons sur le derme. En se prenant à rêver d’un retour à la vie ordinaire. Celle d’avant la COVID et son lot de restrictions liberticides ! Les retrouvailles en présentiel offertes par les organisateurs de ce traditionnel concours des vins ont su procurer un bien fou aux quarante-six membres du jury, devant s’atteler à la noble tâche gustative de millésimes issus du terroir local.

D’autant que les rendez-vous festifs concoctés autour de la gastronomie et de la viticulture sont devenus de la denrée rare depuis plusieurs mois dans l’Hexagone. Et que les manifestations vineuses populaires, à l’instar des célébrations de la Saint-Vincent, s’annulent les unes après les autres, obligations sanitaires faisant foi.

Avoir maintenu cette trente-cinquième édition du Concours des Vins de Chablis fut donc vécu comme une vraie bénédiction pour celles et ceux des épicuriens devant s’asseoir, solitaire, à la table de dégustation pour un exercice matinal hors du commun.

 

 

 

 

 

321 échantillons représentatifs de 77 domaines et maisons…

 

Sérieux, appliqués, silencieux (une véritable ambiance monacale planait dans la salle des fêtes de la bourgade périphérique de Chablis), les jurés ne boudaient pas leur plaisir.

Observant la robe jaune pâle de ces précieux liquides servis au verre par des sommeliers chevronnés, humant la moindre note olfactive afin d’en extraire les principales caractéristiques, s’humectant le palais pour y déceler les indices subtils donnant la profondeur au breuvage : ce fut un vrai travail d’artistes et de connaisseurs qui occupa les esprits trop désireux d’oublier la conjoncture et ses conséquences.

 

 

Même s’il fut organisé sans président officiel (une première pour l’Office du Chablis et le Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne), du fait de l’incertitude qui aura longtemps persisté quant au déroulement de l’animation, ce concours permit d’analyser 321 échantillons issus de 77 domaines et maisons viticoles.

Œnologues, restaurateurs, courtiers, journalistes, vignerons, amateurs éclairés : les jurés se répartissaient les échantillons de ces millésimes 2019 pour les appellations Petit chablis, Chablis, Chablis Premier Cru et Chablis Grand Cru (2018). Une première sélection détermina les premières notes. Avant qu’un « super » jury ne livre ensuite les véritables accessits.

In fine, ce sont vingt-sept médailles qui seront ainsi été délivrées au terme de ces retrouvailles heureuses. Honorant les domaines et les maisons viticoles du Chablisien, elles leur offrent une vitrine incomparable à la promotion de leurs crus grâce aux actions entreprises, en France comme à l’international, par le BIVB durant l’année.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Malgré le contexte délétère, il a décidé d’être heureux. « C’est bon pour la santé ! » philosophait à son époque VOLTAIRE ! Optimiste de nature, le président de la Confédération départementale de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) supporte plutôt bien les soubresauts intempestifs de la conjoncture actuelle. La filière semble être épargnée par l’âpreté économique que d’autres secteurs vivent de plein fouet. Jusqu’à s’en étonner…

AUXERRE : Dubitatif, Jean-Pierre RICHARD ne saisit pas tout de la configuration de la crise sanitaire et de ses répercussions économiques. Dans l’expectative, le président de la CAPEB de l’Yonne s’interroge : où sont les réels effets de la conjoncture sur l’activité quotidienne des entreprises du bâtiment ?

Les carnets de commande sont bel et bien remplis ; la filière n’a procédé à aucun placement de ses salariés en chômage partiel. Les licenciements ne sont pas à l’ordre du jour. Quant aux dépôts de bilan annoncés avec moult craintes, ils sont à date demeurés lettre morte. Un calme peut-être trop relatif qui préfigure un véritable tsunami ?

« Ce qui cloche, concède-t-il un brin amusé, c’est que justement rien ne cloche ! ».

Certes, les artisans ont su s’adapter dès qu’ils l’ont pu aux mesures protectionnistes d’usage afin de continuer à exercer. En cela, le syndicat patronal aura fourbi ses armes dans la lutte contre la propagation de l’épidémie, distribuant gel hydro-alcoolique et masques pour les visages. Nonobstant, le résultat est là : les entreprises du secteur maintiennent le cap, même si elles ont grandement besoin d’aides.

Autre observation émise par le chef d’entreprise qui siège également au Conseil d’administration confédéral aux côtés de vingt-huit de ses homologues, 2020 aura été marquée par la croissance du nombre de créations de nouvelles entreprises. La plupart du temps, elles sont l’œuvre de jeunes professionnels en reconversion. Un signe encourageant dans cette atonie ambiante de la sphère économique.

 

 

Des dispositifs incitatifs et une bulle francilienne pour doper le marché…

 

Mais, le regain d’intérêt des investisseurs franciliens pour l’immobilier dans l’Yonne, tant pour les résidences secondaires que principales, ne trompe pas. Une bulle d’activité s’est réellement créée dans le landerneau avec une conséquence directe qui impacte le chiffre d’affaires des sociétés artisanales de la filière. Les plus-values sont au rendez-vous et personne ne s’en plaindra !

D’autant que les conditions d’octroi des crédits ont été quelque peu assouplies à destination des néo-propriétaires. Grâce à l’application d’un taux d’emprunt qui s’est raffermi, passant de 33 % à 35 % dans les négociations avec les milieux bancaires.

Les mesures d’accompagnement nationales visant à soutenir le secteur n’ont pas été vaines. Jean-Pierre RICHARD le reconnaît volontiers : « Il n’y a qu’en France que les coups de pouce aux entreprises ont été aussi importants en Europe… ».

Le droit à la prime RENOV, dispositif qui favorise l’engagement de travaux dans la réhabilitation énergétique des bâtiments, se veut très incitatif pour le consommateur qui, s’il en est bénéficiaire, peut déclencher un CEE, un crédit d’économie d’énergie.

Serein, le président de la CAPEB de l’Yonne dispose aussi de solides soutiens partenariaux qu’ils soient bancaires comme institutionnels (GROUPAMA, MAAF, Crédit Agricole, BDS ou KPMG) pour préserver l’employabilité et le développement de ses adhérents.   

Si la sortie de crise n’est pas encore pour demain, le responsable patronal sait cependant que 2021 sera une année charnière à plus d’un titre. Notamment à l’automne, avec la redistribution des cartes représentatives à pourvoir dans les chambres consulaires du fait des élections.

A moins que celles-ci soient différées à l’année suivante ?

 

Thierry BRET

 


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Pas facile de s’y retrouver pour les organisateurs de manifestations revendicatives dans les rues de la capitale de l’Yonne à l’heure actuelle ! De quoi y perdre son latin. A défaut de ses libertés ! Preuve à l’appui, pour la énième fois, Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) qui propose une marche des Libertés à Auxerre ce samedi 30 janvier dès 13 H30 a dû modifier à la dernière minute son parcours à travers la ville…

AUXERRE : Entre ras-le-bol et désarroi ! Alors que les manifestations protestataires se peaufinent de longue date dans les têtes de ses organisateurs, le schéma pratico-pratique de son application s’en trouve systématiquement chamboulé à quelques heures du jour J. Du fait d’un changement d’itinéraire de dernière minute qui vient perturber toute la logistique de l’édifice.

Samedi 30 janvier, l’organisation d’une marche des Libertés, proposée par le collectif Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) sera une nouvelle fois contrariée par ces volte-face imputable aux derniers échanges avec les services de la préfecture.

Ainsi, l’itinérance de ce rassemblement citoyen en faveur des libertés (les Français en sont sevrés en ces moments délicats de pandémie) aurait dû partir depuis le parking des syndicats. Soit à l’intersection entre le boulevard Vaulabelle et le quai de la République à 13 heures.    

Si l’horaire initial est maintenu, c’est bien le lieu qui s’en trouve désormais changé. La manifestation prendra son envol depuis le parking de l’Arquebuse. Occasionnant ainsi une sérieuse remise en question du travail préparatoire effectué en amont par ses auteurs.

Déjà le 21 novembre, APA avait choisi une déambulation en centre-ville dans le but de marquer un soutien aux commerces et aux lieux culturels impactés par la crise sanitaire. Au lieu de ce programme plutôt explicite dans les intentions, le cortège avait été déplacé sur les boulevards extérieurs, beaucoup plus anecdotiques quant à la présence de commerces et de sites culturels. Une déception, évidente.

Aujourd’hui, Assemblée Populaire d’Auxerre considère qu’il est problématique de pouvoir organiser une manifestation de nature à satisfaire ses représentants. D’autant que d’autres organisations syndicales pâtissent aussi des mêmes méthodes.

Ce fut le cas de l’association ONE VOICE le 23 janvier qui a vu son rassemblement être déplacé de la Place Surugue au début de la rue du Temple.

Ces nuisances créent de réelles difficultés pour informer au plus juste les citoyens quant au côté pratique des choses. Des entraves supplémentaires au droit à manifester et aux libertés des citoyens qui ne font qu’accentuer les motivations des protestataires !

 

Thierry BRET   

 


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