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IRON COOK : le chef de partie du restaurant Auguste, Julien BOUSQUET, sort victorieux de la piste aux étoiles !

« Loïc VALENTIN (2ème), Dominique CHAMPROUX (3ème) et Thierry LAMBERT (4ème), loin de démérités, n’auront pas eu de chance face au futur vainqueur de cette seconde édition de l’IRON COOK, Julien BOUSQUET. Malgré leurs belles capacités culinaires, ils n’ont pu rivaliser face à la maestria du jeune Héraultais de 24 ans, qui a subjugué et conquis un jury de chefs et de personnalités succombant aux délices gustatifs du chef de partie de Pézenas. L’édition 2018 a été un succès pour ses organisateurs. Ces derniers réfléchissent déjà à l’avenir de cette épreuve nationale si particulière… ». « Loïc VALENTIN (2ème), Dominique CHAMPROUX (3ème) et Thierry LAMBERT (4ème), loin de démérités, n’auront pas eu de chance face au futur vainqueur de cette seconde édition de l’IRON COOK, Julien BOUSQUET. Malgré leurs belles capacités culinaires, ils n’ont pu rivaliser face à la maestria du jeune Héraultais de 24 ans, qui a subjugué et conquis un jury de chefs et de personnalités succombant aux délices gustatifs du chef de partie de Pézenas. L’édition 2018 a été un succès pour ses organisateurs. Ces derniers réfléchissent déjà à l’avenir de cette épreuve nationale si particulière… ». Crédit Photos : Thierry BRET.

Trois plats pour éblouir l’assistance. Et non des moindres avec sa pléiade de références étoilées connues à travers l’univers de la gastronomie mondiale. Trois recettes concoctées à sa façon, maîtrisées avec la justesse des saveurs et une parfaite dextérité en matière de cuisson pour conquérir ce prix unique en son genre, qui se matérialise sous la forme d’un énorme trophée pesant plusieurs kilos. Sept heures de compétition intense à affronter avec la présence complice de deux commis issus du CIFA de l’Yonne afin de travailler avec méticulosité et succulence la thématique imposée. L’Héraultais Julien BOUSQUET s’est distingué lors du deuxième IRON COOK national, en démontrant qu’il possédait la taille patron dans le métier malgré sa jeunesse pour intégrer tôt ou tard le club hermétique des maîtres de la gastronomie française…

AUXERRE : Lui qui craignait les affres du stress et les contrecoups insidieux de l’angoisse en amont de ce défi culinaire n’aura été affecté en rien, outre mesure ! Y compris au soir de cette très longue cérémonie de distribution des accessits dont il ne connaît pas l’usage au terme de challenges officiels. Non pas que sa touche personnelle à exercer l’art culinaire ne lui permettait pas de les obtenir, bien au contraire, mais tout bonnement parce que cet IRON COOK 2018 correspondait à son premier engagement parmi l’élite des prétendants à concourir  dans une épreuve gastronomique !

Tutoyer les sommets de la discipline…

Pour un coup d’éclat, ce fut un coup de maître pour le jeune homme originaire de Pézenas, aujourd’hui chef de partie chez Gaël LORIEUX, étoilé à Paris, avec son établissement « Auguste ».

Tel un clown jovial et sympathique qui devait présenter son spectacle sans aucune certitude face à un public d’exégètes, Julien BOUSQUET a sublimé et colorisé le contenu de ses assiettes, offertes à la sagacité et à l’esprit critique de 36 personnes, venues tester sa pertinence goûteuse, visuelle et olfactive. Ce show fait de saveurs et de surprises en aura convaincu plus d’un ! Au terme de cette dégustation, articulée autour d’une entrée, d’un plat de résistance et d’un dessert, Julien BOUSQUET est sorti victorieux de cette piste aux étoiles des temps modernes, tutoyant les sommets d’une discipline dont il a montré avec ingéniosité les aspects les plus éclectiques et aboutis.

Que dire de cette excellente mise en bouche que représentait sa première assiette, une entrée inspirante à base de sandre, conçue au jus de tête bouillon safrané, agrémentée de cannelloni végétal aux écrevisses, et comptant parmi ses ingrédients du vieux parmesan. Un pur régal à faire saliver les papilles des plus réfractaires de ces fins gourmets et épicuriens de l’assistance en quête sans cesse de nouvelles découvertes gastronomiques…

L’asperge, légume de prédilection de cette édition 2018, sera mise en valeur dès la recette suivante, lors d’une fantastique approche remodelée de la selle d’agneau, qui  travaillée aux côtés d’huîtres creuses et de maki dashi de pommes de terre, mêlèrent adroitement les subtiles saveurs maritimes, grâce à la présence d’algues vertes, et celles, tout aussi réjouissantes, de la cuisine exotique du Sud-Est asiatique.

Le supplément d’âme nécessaire pour s’inscrire dans la pérennité

Son passage dans un cinq étoiles de La Réunion aura été une source d’inspiration supplémentaire pour le prometteur Julien qui n’aura cure d’accommoder à sa sauce le fruit exotique gorgé de soleil et de jus de ce département d’Outre-Mer : l’ananas. Parfumé aux clous de girofle, délicatement rôti afin de lui conférer ce croustillant élémentaire au palais, l’ananas à l’estampille du chef de partie de chez « Auguste » se transforme en pur bonheur sucré dans la bouche. Agrémenté, il est vrai, d’un sablé breton servi sur sa boule de glace à la vanille et à la revigorante fraîcheur verveine !

Pas étonnant que ce garçon au léger accent méridional ait réalisé des merveilles au niveau des commentaires et de la notation de la part d’un jury subjugué par tant de qualités gustatives.

Julien BOUSQUET possède ce supplément d’âme nécessaire pour inscrire durablement son patronyme dans la légende de la gastronomie à la française ; celle que les vénérables personnages réunis autour de lui, lors de la remise des récompenses, défendent bec et ongle au quotidien en exportant leur savoir-faire aux quatre coins du globe.

Muni de son enveloppe de 5 000 euros, de ses multiples et prestigieux diplômes académiques, et de son énorme trophée ayant presque des ressemblances analogiques avec la célèbre Coupe Jules RIMET dont le monde footballistique se prendra de passion enflammé d’ici quelques mois pour sa future attribution, Julien BOUSQUET, encore tout auréolé de sa gloire naissante, peut dormir tranquille sur ses deux oreilles.

L’avenir de la cuisine lui appartient. Ses adeptes d’un soir, celles et ceux dont il a réussi à fédérer l’adhésion autour de sa déclinaison culinaire remarquable, ne rêve que de le retrouver dans sa propre aventure de futur chef d’établissement (la suite logique de sa carrière) et de le voir, tôt ou tard, être distingué du titre de Meilleur ouvrier de France dans sa spécialité. Mais ceci est assurément une autre histoire où le CIFA de l’Yonne, ce centre de formation novateur et faiseur de talents, n’aura pas été étranger…

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