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L’heure du bilan. C’est un exercice peu aisé quand la plupart des indicateurs de l’économie s’affolent à grands coups de crises inflationnistes et de turbulences internationales qui prennent leurs origines dans les méandres de la géopolitique de plus en plus belliqueuse. Pourtant, vue de l’Yonne, et malgré deux longues années de disette imputables à une autre crise, sanitaire cette fois, le côté de la lorgnette avec lequel on examine la situation s’avère plutôt satisfaisant pour les professionnels. Une belle année de reprise même, selon les observateurs aiguisés de l’agence de développement Yonne Tourisme…

 

CHABLIS: 2022, le retour en grâce du tourisme et de ses activités dans l’Yonne ? Oui, le confirme l’agence de développement départementale qui a dévoilé il y a peu les éléments de référence allant dans ce sens, lors de sa traditionnelle assemblée générale, accueillie dans l’antre du BIVB (Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne) à Chablis.

On le pressentait déjà au sortir de l’année écoulée, le bilan intermédiaire de cette saison qualifiée de « normale » par ses différents acteurs – exit les vingt-quatre mois de contrariétés inhérentes à la COVID et à ses restrictions punitives – se présentait sous ses meilleurs auspices. Un bilan qui se traduit de manière définitive, quelques quatre mois plus tard au cours de cette assemblée générale de la vénérable institution, comme satisfaisant pour l’ensemble des parties concernées par ce secteur d’activité : professionnels, institutionnels, élus.

Isabelle FROMENT-MEURICE, présidente de l’organisme (et vice-présidente du Conseil départemental), devait le préciser en guise de phase introductive à sa prise de parole : « 2022 représente une très bonne dynamique de fréquentation, portée par les clientèles françaises mais aussi internationales qui, après deux années de limitations de déplacements, ont confirmé leur grand retour dans l’Hexagone… ». Et par vase communiquant vers la Bourgogne Franche-Comté dont le territoire de l’Yonne.

 

Une année de reprise avec des touristes venant de tous horizons…

 

Belges, Néerlandais et Allemands ont donc effectué leur come-back en force pour le plus grand plaisir des hôteliers-restaurateurs et hébergeurs mais aussi les spécialistes des sites touristiques à découvrir sans modération dans notre zone géographique. Quant à la clientèle tricolore, elle aime s’immerger dans l’Yonne, à la découverte de ses typicités, de sa gastronomie, de sa culture, de ses aspects pittoresques encouragée en cela par les nombreuses opérations promotionnelles et de communication initiées par l’agence Yonne Tourisme.

Des Français originaires des régions limitrophes de la Bourgogne septentrionale, en particulier de l’Ile-de-France mais aussi du Centre et du Grand-Est. Sans omettre les habitants de la Bourgogne Franche-Comté, eux-mêmes, qui prennent soin de découvrir de plus en plus les pépites qui font le sel de ce territoire…

En cela, le service de presse de l’agence départementale n’aura pas lésiné sur les moyens ni la méthode pour s’offrir les faveurs des journalistes hexagonaux mais aussi européens, voire ceux venant d’un peu plus loin !

Tout au long de l’année écoulée, il a multiplié les contacts, initié des rendez-vous, proposé des voyages de presse en immersion directe avec celles et ceux qui font l’actualité touristique de ce beau département qui n’a rien à envier à d’autres endroits de France. Les retombées médiatiques furent au rendez-vous, le plus souvent avec éloges et avis favorables pour pousser plus loin le bouchon de la découverte initiatique.

 

 

 

Un effort accru sur la communication et des slogans forts…

 

Une politique de communication qui fut aussi mutualisée avec Bourgogne Tourisme. Ainsi, dans les faits, le partenariat sur la marque « Bourgogne » a été renouvelé au travers d’une large campagne de promotion – le séduisant programme « L’Automne, c’est la Bourgogne » - dans le but de positionner notre contrée parmi les destinations incontournables à biffer sur son agenda dès cette belle saison revenue, une période propice aux week-ends bucoliques et douillets à vivre en famille ou avec des amis en arrière-saison.

Que dire également des deux vidéos, conçues sous un angle panoramique à 360 degrés, qui ont été réalisées pour promouvoir deux des vitrines évidentes de l’offre icaunaise : le patrimoine de Vézelay et le Canal du Nivernais que bon nombre de férus de la nature fréquentent à vélo et en bateau. Des documents visuels qui ont connu un franc succès au gré des salons et évènementiels où ils furent projetés servant de vitrine à l’agence Yonne Tourisme et à son catalogue de propositions alléchantes.

L’effort de communication aura même été poussé à son paroxysme, avec un nouvel environnement graphique qui sera décliné sur tous les supports produits par l’agence : à savoir ce message fort à propos (« Dans l’Yonne en Bourgogne, révélez l’essentiel ! »), en phase selon ses créateurs avec les comportements et tendances actuels de l’univers consumériste faisant tilt à l’esprit des touristes.

 

 

La mise en avant des filières concrétisée dans les actes…

 

Au-delà de la communication, Yonne Tourisme a pu se distinguer sur des actes plus palpables du côté du terrain, au cours de cette saison écoulée dont on a su tirer les enseignements. Déjà, il y eut la seconde édition de la « Family Week », accueillie à la Grange de Beauvais. Celle-ci aura fait converger vers ce site aux origines cisterciennes bon nombre de visiteurs trop heureux de profiter des rayons salvateurs d’un chaud soleil printanier pour prendre part à une expérience unique à vivre en famille.

Le travail sur les randonnées de toutes sortes (pédestre, équestre, cycle…) aura constitué un autre axe référentiel important dans lequel l’agence aura pesé de tout son poids. Avec l’arrivée, notamment, d’un chargé de mission dévolu à la cause, afin de recenser et promouvoir l’offre du département.

Quant à l’accompagnement des professionnels – le nerf de la guerre des missions polymorphes de l’organisme -, il aura été crescendo au fil de la saison, avec son lot de webinaires spécifiquement adaptés à leurs besoins. Un soutien stratégique prégnant et efficace devant satisfaire ses bénéficiaires.

Enfin, la mise en avant du label « Vignobles et Découvertes » aura mis un sacré coup de projecteur aux cinq vignobles de notre territoire (Auxerrois, Chablisien, Jovinien, Tonnerrois et Vézelien). Une mise en lumière profitable sur le segment de l’œnotourisme, toujours très apprécié des visiteurs.

Mention spéciale, enfin à signaler, dans le cadre de la commercialisation de circuits et séjours destinés aux groupes : l’apparition d’un nouveau concept, « Business au Vert ». Soit la déclinaison pratique du tourisme d’affaires qui s’adapte à une offre plus vertueuse pour les séminaires des petites et moyennes entreprises – d’ici et d’ailleurs – et basée sur une sélection de prestataires qui proposent du bien-être, de l’authenticité, du ressourcement, la mise en valeur des produits locaux, sous le sceau d’une démarche éco-responsable.

Un bilan 2022 des plus prometteurs pour Yonne Tourisme. Annonciateur de nouvelles perspectives et autant de projets passionnants que nous détaillerons dans la seconde partie de cet article à venir…

 

 

En savoir plus

Bilan de la saison 2022

Assistance de Yonne Tourisme auprès des professionnels

323 professionnels accompagnés

14 newsletters « Flash Actu » envoyés aux professionnels de l’Yonne

19 projets accompagnés ont bénéficié d’une subvention de la Région

1 429 361 euros de subventions ont été attribuées

4 308 626 euros d’investissement ont été réalisés dans l’Yonne.

Promotion

324 029 visiteurs ont consulté le site www.tourisme-yonne.com soit 76,81 % par rapport à 2021

18 000 fans ont été recensés sur Facebook (+ 12 % de progression par rapport à 2021)

5 601 personnes sont abonnées au compte @yonnetourisme Instagram

Vente de produits groupes par Yonne Réservation

116 groupes ont été accueillis dont quinze séjours

951 nuitées

4 087 personnes ont été accueillies

340 204 euros de chiffre d’affaires ont été générés

 

Thierry BRET

 


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Mille deux cents mètres carrés de superficie. Une construction qui va sortir de terre, à proximité de l’entité professionnelle « ARMATIS » en zone des Clairions à Auxerre, livrable si toutes les conditions sont réunies à l’été 2024. L’UDAF de l’Yonne va faire peau neuve dans les mois à venir en finançant par le prisme des emprunts la réalisation de ce nouveau bâtiment flambant neuf qui accueillera son siège social et celui d’AGORA, son service des mesures judiciaires. Pour une enveloppe de quatre millions d’euros…

 

AUXERRE : Pour l’heure, il n’y a que quelques barrières et un peu de grillage qui en délimitent les contours. Avec au-dedans en son centre, de la végétation encore drue et une herbe folle, revigorée après l’épisode de pluies observé la semaine dernière sur l’Auxerrois. Mais, à terme, c’est-à-dire à l’été 2024 – on avance le mois de juin avec précision - si tous les éléments du puzzle de ce jeu de construction grandeur nature s’emboîtent idéalement, ce sera un édifice flambant neuf, dont l’esquisse en trois dimensions nous est déjà connue grâce à son donneur d’ordre, l’UDAF de l’Yonne.

Son directeur, Jean-Pierre MASCLET, bouillonnant d’idées et enthousiaste à vivre à fond cette future période de totale créativité – il possède moult projets dans ses tiroirs que nous distillerons bientôt dans ces colonnes ! – est ravi de la projection futuriste de l’ensemble.

 

 

Plus de 80 personnes dans un édifice flambant neuf…

 

Le nouveau siège de l’Union départementale des associations familiales de l’Yonne (UDAF) ne manquera ni de visibilité ni de place pour accueillir en son sein les collaborateurs du service des mesures judiciaires, la branche « UDAF AGORA », et ceux de la structure originelle, ouverte spécifiquement aux structures associatives.

Une réunification sous le même toit, attendu et espéré depuis longtemps par ses acteurs, pour ne faire in fine plus qu’un seul endroit en termes de point d’accueil dans la capitale de l’Yonne.

Ce seront au total près de quatre-vingt personnes qui occuperont ces futurs locaux. Toutefois, l’heure du déménagement ne s’inscrit pas encore parmi les priorités du personnel, au vu des délais impartis à la conception du nouveau bâtiment.

Le chantier a débuté le 11 avril dernier. Un ouvrage ayant nécessité une enveloppe budgétaire de quatre millions d’euros qui est financé par des emprunts contractés par l’organisme et amortissables sur plusieurs années, on s’en doute !

 

Thierry BRET

 


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C’est la cinquième manifestation de la sorte. Un véritable cocktail de créativité où les échanges avec les enfants, les parents et les exposants se dégustent sans modération. Proposé avec l’aide du pôle « Femme, Mère, Enfant » du centre hospitalier de Sens, le rendez-vous délivrera moult informations et conseils afin de rassurer parents et grands-parents. En toute convivialité…

 

SENS : Tout savoir sur l’univers de bébé et de la petite enfance. Voilà un évènement familial qui nous revient comme chaque année depuis cinq saisons sous la bannière du club service féminin de Sens, le KIWANIS YCAUNAE. Avec en sus, une action sociale en guise de cerise très altruiste sur le gâteau !

En effet, toutes les recettes obtenues par le biais des entrées – un euro par personne adulte, gratuité pour les enfants – seront reversées au département « Femme, Mère, Enfant » du centre hospitalier de Sens. Un geste de pure solidarité qui sied si bien à cette manifestation à laquelle ce pôle médical spécifique n’est pas étranger puisqu’il y a aussi apporté sa plus-value organisationnelle.

Particularisme curieux, ce rendez-vous est d’ailleurs le seul de la région à se consacrer uniquement à la cause de bébé et de la petite enfance. Ainsi, les visiteurs auront tout le loisir de découvrir une variété éclectique de stands, proposant produits et services destinés aux enfants âgés de zéro à sept ans.

 

 

On y trouvera volontiers parmi les professionnels présents, les spécialistes de la puériculture, de l’accouchement, de la santé, de l’éducation. Des experts délivrant conseils et recommandations…

Côté activités, notons la présence de plusieurs espaces de jeux et des ateliers créatifs – c’est aussi cela la petite enfance ! – tandis que les adultes auront toujours la faculté de pouvoir suivre des conférences ou assister à des séances de démonstration sur des items aussi variés que la nutrition, la sécurité, l’éducation, voire la préparation à l’arrivée d’un nouveau-né. Notons également un espace de détente et relaxation avec massages !

L’endroit destiné à réchauffer les biberons est prévu à l’instar de la zone ouverte à la restauration pour assouvir les appétits des petits comme des plus grands.

 

 

En savoir plus :

Le Salon du Bébé et de la Petite Enfance organisé par le KIWANIS Sens YCAUNAE

Samedi 22 avril 2023 à la salle René Binet à Sens

Le salon est ouvert de 10 à 18 heures et la participation à l’entrée de 1 € (gratuite pour les enfants) intégralement reversée au Département Femme - Mère - Enfant de l’hôpital

 

Thierry BRET

 

 


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Loup y es-tu dans nos campagnes de Bourgogne Franche-Comté ? Visiblement, un peu trop pour les élus régionaux du Rassemblement National. Ils tirent à boulet rouge contre la présence de ce mammifère faisant peur dans les chaumières depuis la nuit des temps. Il est vrai que les agriculteurs en pâtissent puisque plus d’un millier de bêtes ont été les victimes du prédateur entre 2021 et 2022. De là à exiger un débat public lors de la session de juin dans l’hémicycle, il n’y a qu’un pas…de loup à franchir !

 

DIJON (Côte d’Or) : Haro sur une menace réelle et croissante dans nos campagnes qui perturbe les activités agricoles et horrifie de plus en plus les éleveurs d’ovins. Ces derniers comptent les cadavres de leurs malheureuses brebis égorgées après le passage nocturne du loup dans leurs champs.

Le retour en grâce du mammifère dans l’Hexagone est loin d’être apprécié de tous à l’instar de la réimplantation de l’ours dans les Pyrénées. Bien sûr, le milieu de l’agriculture pousse des cris d’orfraie devant l’évidence : le loup n’est pas un animal comme les autres, il tue pour se nourrir et provoque des dégâts parmi les troupeaux, menaçant l’écosystème pastoral. Un milieu agricole qui se met à dos, fort logiquement, la sphère des écologistes et autres défenseurs de la cause animalière…

 

L’impossible cohabitation entre éleveurs de moutons et mangeurs d’ovins !

 

Du côté politique – on aime y chasser en meute aussi pour défendre une idée ou un projet -, c’est le Rassemblement National qui met donc les pieds dans le plat. En l’occurrence par la voix du président de groupe de la Région Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL. Celui-ci exige des « réponses concrètes » de la part de l’exécutif pour maîtriser enfin la situation.

« Sur la question du loup, explique-t-il dans un communiqué de presse, il y a visiblement un blocage entre les positions idéologiques de la gauche et des écologistes qui croient au miracle de la cohabitation – (celle-là n’est aucunement d’ordre politique !) -, entre les éleveurs de moutons et les mangeurs d’ovins d’un côté, et l’absence de considération du gouvernement pour les éleveurs, de l’autre… ».

 

 

Quand le loup s’invite lors d’un grand débat à l’hémicycle…

 

Constatant que les attaques de la bête – elle n’a pourtant rien à voir avec celle du Gévaudan ! - augmentent ces dernières semaines de manière significative (à Nitry dans l’Yonne mais aussi en Saône-et-Loire, dans le Doubs et de l’autre côté de la frontière helvétique dans le canton de Vaud), le porte-parole du parti mariniste demande à la majorité régionale de prendre enfin ses responsabilités.

« Il est temps de rendre compte de la situation exacte devant les élus régionaux, souligne Julien ODOUL. Le choix clair de la défense de nos éleveurs, de la protection de leurs troupeaux et par conséquent de la mise en place d’une politique de régulation massive du loup dans nos territoires est notre priorité… ».

De ce fait, il réclame un débat public lors de la prochaine session de l’assemblée plénière, prévue en juin.

« Il est temps d’évoquer les conséquences économiques et sociales subies par les éleveurs de la région après autant de dévastations, ajoute le numéro cinq du Rassemblement National. Et surtout d’envisager quelles mesures sont à prendre pour lutter efficacement contre ce prédateur… ».

 

 

La nomination d’un médiateur « grands prédateurs » est insuffisante…

 

Arguant que depuis plusieurs mois, les éleveurs et la Chambre régionale d’Agriculture alertent les pouvoirs publics, les préfets et le Conseil régional sans réelle réponse coordonnée et concrète face à la recrudescence de ces attaques multiples, Julien ODOUL tel un « loup aux dents longues » pointe du doigt la responsabilité de l’exécutif. Celui-ci est selon lui, trop inféodé à ses alliés écologistes et incapable de prendre les mesures nécessaires en faveur des éleveurs et de leurs intérêts animaliers.

« La seule action régionale faisant office de réponse est de financer aujourd’hui un médiateur « grands prédateurs » : mais cela ne suffit pas… ».

Bref, le loup tient donc la vedette en ce mois d’avril dans les alcôves de la politique régionale. En sera-t-il la tête d’affiche en juin à la Région lors de débats que l’on suppose animés, nul ne le sait encore à l’heure où se rédigent ces lignes !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il est résolument optimiste, le président de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté. Vincent MARTIN se satisfait de la labellisation du premier pôle de compétitivité concernant son secteur d’activité. Un sésame, ô combien précieux on s’en doute, ayant vu le jour fin mars. Se profile ainsi la perspective de belles opportunités sur ce pan crucial de l’économie. A condition que les collectivités reprennent leur politique volontariste au niveau des investissements.

 

BESANCON (Doubs) : Les indicateurs seraient-ils dans le vert chez les professionnels des travaux publics ? En tout cas, quelques bonnes nouvelles égayent le moral de leur porte-parole officiel dans la région, à savoir le président de la FRTP, Vincent MARTIN.

La première d’entre elles, concerne la labellisation du premier pôle de compétitivité inhérent au secteur d’activité. Un coup de pouce des plus sympathiques qui est survenu en mars dernier et qui a été vécu avec beaucoup de fierté de la part des dirigeants de l’entité régionale puisque l’association « ECORCE TP » – véritable pilier d’une économie en faveur du développement durable tant au niveau de sa réflexion et de sa conception jusqu’à l’exploitation des ouvrages – est précisément membre fondateur de ce pôle.

 

Des outils lancés par le gouvernement pour répondre aux attentes…

 

La seconde, provient de la représentation étatique et de la mise en exergue de plusieurs dispositifs visant à maintenir la capacité d’investissement des collectivités locales, qui comme chacun sait demeure le nerf de la guerre via la commande publique pour tout entrepreneur des TP qui se respecte !

Malgré un contexte conjoncturel on ne peut plus délicat et tourmenté – c’est le moins qu’on puisse dire ! -, les collectivités locales ont reçu des messages limpides et forts de la part de l’Etat qui leur donne des moyens de maintenir la pression sur leurs nécessaires investissements.

Noms de code de ces outils mis à disposition des élus et de leurs services techniques : la DETR (dotation d’équipement aux territoires ruraux), la DSIL (dotation de soutien à l’investissement local) ou encore le Fonds Vert dont se fait écho lors de tous ses déplacements dans les huit zones départementales de notre contrée, le préfet de Région Franck ROBINE.

 

 

Des retombées tangibles pour les acteurs de la filière BTP…

 

En sus et en guise de cerise juteuse sur le gâteau, l’Etat a annoncé la hausse de 320 millions d’euros de la dotation globale de fonctionnement. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, il est bon de rappeler que l’augmentation de l’ordre de 290 millions d’euros de l’effort de péréquation n’est pas un vœu pieu. Elle s’applique favorablement aux projets des territoires ruraux.

Autant d’éléments positifs – et c’est suffisamment rare pour les signaler ! – dont s’abreuve sans modération un Vincent MARTIN confiant pour la suite des opérations. L’équation est donc très simple : si les collectivités ont les moyens financiers et les coudées franches pour mener à bien leurs projets d’investissements structurels, c’est autant de retombées économiques palpables à mettre au profit des entreprises de travaux publics et du bâtiment qui en réaliseraient les chantiers !

Un deal astucieux et logique du rapport gagnant-gagnant dans toute sa splendeur qui existe entre ces deux mondes qui n’en font plus qu’un si toutes les conditions collaboratives sont réunies, sous le sceau du partenariat…

 

Thierry BRET

 


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