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Le site est un vivre ensemble permanent. Bien mieux qu’une ponctuelle et brève fête des voisins qui ne revient qu’une fois l’an. Une ancienne commanderie templière sert désormais de point d’ancrage aux désirs de convivialité de la population, depuis le 06 mai. Et ce, jusqu’au 29 juillet prochain. Un plaisir qui se partage en famille et avec des amis entre victuailles appétissantes du terroir, des nectars du cru des plus sympathiques, une omniprésence artistique qui s’affiche aux quatre coins du bâtiment, y compris à l’extérieur. Quant à l’atmosphère ambiante, elle est limite exotique et entraîne l’imaginaire du côté de Marrakech ou à Montmartre, selon les goûts et l’inspiration…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Le clavier du piano se dévoile au premier regard dès que l’on pénètre dans cet antre culturel nimbé d’une certaine pénombre très agréable à l’œil. Parmi le « fatras » volontaire d’objets hétéroclites qui ornementent la grande salle faisant office de lieu d’accueil. De plantes vertes en tableaux picturaux, de céramiques aux œuvres d’art, de prises de vues vigneronnes accrochées à leurs cimaises – il faut prendre le temps d’admirer les jolis clichés de la talentueuse Flavie CULOT, codirigeante de la société VINO UP qui nous a d’ordinaire plutôt habitué à parler de vin à défaut de focale et de photographies ! -, des poufs aux tapis orientaux respirant bon le cuir de l’Atlas du royaume chérifien : on se croirait presque dans la caverne d’Ali Baba, la veille d’une porte ouverte jute avant les soldes !

 

Un plaisir hédoniste juste le temps d’un été ?

 

Que nenni, « ma brave dame » ! Bienvenue dans le nouvel établissement à vocation commerciale de la localité viticole de l’Auxerrois ! Un bar, de surcroît ! Rien d’étonnant à cela surtout si l’on désire découvrir dans les règles de l’art de la dégustation œnologique des crus de ce terroir si prisé des Icaunais. Un bar, oui mais éphémère ! Avec une date de péremption à la clé ne devant pas excéder le 29 juillet, en principe. Etrange et pour le moins curieux paradoxe, par ailleurs, que le choix avéré de cette date butoir alors que la haute saison touristique battra son plein dans ce joli village de Saint-Bris qui porte bien son nom avec sa référence vigneronne gouleyante.

Mais, peut-être que cela évoluera en termes de timing, surtout si le succès est au rendez-vous. Et cela semble être déjà le cas.

L’inauguration officielle du nouvel endroit festif et branché de l’Auxerrois, le 06 mai, l’atteste après le succès observé au niveau de l’affluence. L’initiative prise par deux des habitants de la commune – encouragée à 100 % par le maire Olivier FELIX qui a mis à disposition un bâtiment communal non occupé – de vouloir créer cet espace propice à la détente, au farniente et à l’amusement – présence de musiciens, d’artistes de rue – est probante. Un zeste d’hédonisme qui ne durerait donc que le temps du chant des cigales ? Pas possible, voyons !

 

 

Une contribution collective avec l’implication des villageois…

 

L’établissement, baptisé « L’Eph » - oui, c’est peut-être un tantinet trop simpliste pour en définir sa raison sociale ! -, est promis à de belles et longues soirées estivales devant s’étendre hors les murs jusque dans la rue, au beau milieu de la petite place centrale du village où se concentrent toutes les échoppes stratégiques de la bourgade. Il y a un petit côté Montmartre qui sied bien à l’ensemble, la cohorte de Japonais affublés de leur Nikon en moins !

Le concept se veut collectif. Tout le monde – les villageois – ont contribué à son ouverture en y apportant sa pierre angulaire à l’édifice. Objet décoratif après objet fonctionnel. Ici, des coussins. Là, de vieux meubles qui créent une atmosphère surannée à l’ensemble. Dans un recoin, des transats. Des verres, des lampes, des bibelots, de la verdure naturelle et végétalisée. Il y a aussi des bouquins rangés dans une bibliothèque. On peut se sustenter d’un fromage de chèvre en provenance de la production de Claire GENET – de succulentes réalisations fromagères qui sont souvent primées dans les concours nationaux comme le Salon de l’Agriculture -, découvrir un blanc local – les domaines ne manquent pas -, avaler une pâtisserie en laissant filer le temps. Tranquille et en parfaite sérénité avec sa conscience. Le Graal a porté de main…

 

 

Au nom de la cohésion sociale et de l’attractivité de nos campagnes…

 

La « fée Mélusine » qui a permis cela d’un seul coup de baguette magique avec une bonne dose de volonté à revendre et de conviction profonde se nomme…Anne-Charlotte LAUGIER. Tiens, tiens, l’écrivaine à l’imaginaire si fécond et totalement débridé – la saga dithyrambique de la pétulante « Pétasse » servie à toutes les sauces humoristiques et cocasses de l’existence le prouve – a donc fait une sacrée entorse à son emploi du temps pourtant très serré.

Outre des séances de dédicaces qui la promènent aux quatre coins de l’Hexagone et ce jusque sur la Côte d’Azur – le dernier volet de la trilogie de son caricatural personnage est aussi décapant et irrésistible que les deux précédents opus – elle a eu le temps, en compagnie de l’une de ses connaissances locales, Driss – il est également commerçant à Saint-Bris – de phosphorer sur le concept de ce bar éphémère novateur, décidément ne ressemblant à rien d’autre d’existant dans l’Yonne.

 

 

 

Logique que les médias nationaux et régionaux (France Info, Ouest-France, France 3…) entrent depuis l’ouverture dudit établissement dans cette brèche béante de l’information sensationnelle pour en humer la substantifique moelle nourricière !

Réimplanter un bar avec une telle déontologie et la participation de tous, même de courte durée en zone rurale, ferait presque figure d’évènement hexagonal devant subjuguer les Gaulois réfractaires à la morosité, par Toutatis !

Un concept peu ordinaire qui pourrait d’ailleurs faire des émules dans bien des endroits de nos campagnes, qu’ils soient touristiques ou pas !

Et si le projet initial du bar éphémère se muait en un développement durable de son existence au nom du retour en grâce de la cohésion sociale et de joyeuses retrouvailles au fin fond de la ruralité ?

Personne, c’est sûr, ne s’en plaindrait ; encore moins les empêcheurs de tourner en rond qui ne savent plus apprécier les justes valeurs cardinales de la convivialité…

 

Thierry BRET

 

 


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Son dernier opus date du mois d’août 2022. « L’Air était tout en feu ». Un ouvrage plébiscité par la critique, unanime. Une plongée dans le temps ramenant le lecteur à l’époque de la Régence. A travers les méandres des conspirations politiques et les haines familiales. Celle de l’univers de Louis XIV et des complots ourdis contre le Roi-Soleil. Invité des « Conservations de l’Abbaye », l’ancien conseiller de Nicolas SARKOZY et écrivain Camille PASCAL évoquera ce soir à 18h30 le pouvoir via son vécu personnel et ses écrits. Prometteur à plus d’un titre !

 

AUXERRE : Le public ne devrait pas manquer d’anecdotes croustillantes et insolites à se mettre entre les oreilles avec cette immersion dans les alcôves de la politique hexagonale, lors de l’acte II des fameuses « Conversations de l’Abbaye », accueillies ce jeudi en fin d’après-midi, à Saint-Germain.

En invitant l’ancien conseiller à la présidence de la République et écrivain, Camille PASCAL, Céline BAHR – et par ricochet l’ancien député de la première circonscription de l’Yonne Guillaume LARRIVE qui a été le précurseur de ces retrouvailles intellectuelles de haute volée -, ont placé le curseur de l’intérêt de cet évènementiel régulier vers la stratosphère ! Surtout pour celles et ceux des Icaunais qui s’intéressent de près à la chose politique : ils ne devraient pas être déçus en assistant à la conférence, intitulée sobrement, « Vivre et écrire le pouvoir ».

L’auteur de « L’Air était tout en feu » - son dernier succès en date – a joué un rôle éminemment stratégique sous la présidence de Nicolas SARKOZY, devenant sa seconde « plume » aux côtés d’Henri GUAINO. Lauréat du grand prix du roman de l’Académie française en 2018, Camille PASCAL a été jadis le directeur de communication et le secrétaire général de France Télévisions : autant dire qu’en matière de prise de parole et de maîtrise de l’oralité, ce haut fonctionnaire est au-dessus du lot ! Un talent qui lui a permis aussi de travailler plus récemment auprès de Jean CASTEX, alors Premier ministre…

 

Thierry BRET

 

 


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Œuvre d’art évoquant l’esprit très alambiqué de son créateur ? Pièce de collection unique en son genre devant être au centre de tous les regards lors d’un prochain vernissage, qui serait agrémenté de quelques amuse-bouche et d’un verre de Chablis en guise de convivialité ? Que nenni ! L’objet de toutes les convoitises du jour n’est autre que la réalisation d’un prodige de l’installation thermique, Nathan DE MONGE DE FRANEAU. Celui-ci concourrait pour décrocher un sésame à l’épreuve de « Un des Meilleurs Apprentis de France ». Résultat : il a décroché deux médailles d’or qui l’envoient en finale nationale !

 

AUXERRE : Il faut bien s’imprégner de cette réalisation. Si elle s’apparente quelque peu, du fait de sa qualité de finition à une œuvre artistique, à la façon d’un créatif débridé de l’art contemporain en pleine exaltation, il n’en est rien. Les puristes du BTP auront reconnu et de loin le montage réussi et bien ciselé d’une installation thermique factice, ayant servi de support à la notation d’un jury lors de l’une des énièmes épreuves, inhérentes aux différentes variantes du concours « Un des Meilleurs Apprentis de France ».

Un concours qui ne se cantonne pas uniquement aux métiers traditionnels de l’artisanat (esthétique, coiffure, boulangerie, boucherie…) et qui sait faire des immersions parfois spectaculaires et visuelles comme avec le fruit de ce travail dans le monde du bâtiment et des travaux publics.

L’épreuve du MAF installateur thermique – une filière professionnelle en pleine expansion au vu des nouvelles contraintes énergétiques dans les logements – ne réunissait in fine que deux valeureux candidats à Auxerre, au CFA Bâtiment, pour les sélections départementales et régionales. Mais, ces deux-là étaient au top niveau côté maîtrise de leurs sujets !

 

 

Un duo prometteur en termes de médailles…

 

En alternance chez SANYTHERMIC, le jeune Nathan DE MONGE DE FRANEAU a réussi un sacré coup en empochant l’or, tant au niveau départemental que régional. Deux belles breloques qui lui permettent de se qualifier pour la finale nationale de la discipline qui se déroulera à Nice à partir du 22 juin prochain.

Son dauphin, Lorenzo JAVORCEK n’a pas à rougir de sa prestation. Il glane l’or départemental et doit se contenter de l’argent pour le concours régional. Mais, il a reçu les félicitations de l’entreprise qui le forme : Christophe MERLIN.

Ce joli doublé a séduit Marc LABARDE, président départemental de la Société des Meilleurs Ouvriers de France, responsable départemental et régional du concours « Un des Meilleurs Apprentis de France » et Meilleur Ouvrier de France lui-même en conseil en solution énergétique. Avis partagé par Christian DUCHET, délégué général de la Fédération Française du Bâtiment de l’Yonne et Gérald JAFFRE, directeur du CFA Bâtiment de l’Yonne.

 

Thierry BRET

 

 


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Sa présence est un évènement. L’un de ces instants rares à biffer sur un agenda parce que la thématique du jour abordée lors d’une conférence débat mérite que l’on s’y intéresse de très près. Le mal-logement dans la France de 2023, évoqué sans tabou et dans sa froide réalité. Le vécu de 4,1 millions de personnes selon le récent rapport de la Fondation Abbé Pierre. Un chiffre qui fera réagir Bernard DEVERT, président-fondateur très investi de la structure « Habitat et Humanisme »…

 

AUXERRE : La France du logement va mal. Très mal, même pour celles et ceux de nos compatriotes qui souffrent dans leur chair et dans leur cœur d’une absence totale de logement personnel.

La récente livraison du très attendu rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre sur la question fait froid dans le dos. Ce sont à date plus de quatre millions de Français qui vivent dans la précarité immobilière la plus détestable. Un chiffre qui prend une considérable ampleur si l’on y ajoute les 12 millions de personnes touchées à des degrés divers par la crise du logement. Bref, la France, sixième puissance mondiale selon les spécialistes, place plus de 15 millions de ses habitants dans les affres de l’incertitude et de la paupérisation du fait de ce que l’on nomme d’ordinaire le mal-logement.

 

La politique du logement pointée du doigt par la Fondation Abbé Pierre…

 

Un mal qui ronge sournoisement les esprits. Surtout de celles et ceux qui en sont les victimes innocentes. Ces personnes qui auront à subir de plein fouet depuis 2020 une crise sanitaire mondiale, puis les effets retors de la crise énergétique imputable à la guerre en Ukraine. Le 28ème rapport de la Fondation Abbé Pierre arrive donc à point nommé pour tirer la sonnette d’alarme : il y a urgence à informer et à agir !

C’est le bien-fondé de l’association « Habitat et Humanisme » Son ADN, en quelque sorte. Une structure qui aime titiller les consciences, en essayant de faire bouger les lignes. De la pensée, certes, mais aussi dans l’action. Du spéculatif à l’opératif, en somme, il n’y a qu’un pas !

Aussi, à l’issue de son assemblée générale ordinaire – elle se déroulera ce mercredi 10 mai à partir de 17h30 dans l’une des salles de l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre -, se déroulera une conférence débat, dont le fil d’Ariane sera consacré au mal-logement. Un item où il y a beaucoup à dire – et surtout à faire ! –tant la politique du logement déclinée par le gouvernement dans ce début de second quinquennat, manque singulièrement de consistance.

Or, il semblerait, pour l’heure, que 2023 soit toujours dans la même veine et sans saveur appétissante au niveau de la politique du logement menée par l’équipe gouvernementale alors que l’année dernière le même rapport livré par la Fondation Abbé Pierre avait déjà ressorti plusieurs préconisations à suivre pour faire reculer ce fléau du mal-logement du paysage français. Des suggestions au nombre de six avaient été clairement formulées, pour mémoire : la généralisation de l’objectif « zéro personne sans domicile », produire 150 000 logements sociaux par an, encadrer les marchés immobiliers afin de diminuer les prix, l’éradication des passoires énergétiques en une décennie, résorber l’habitat indigne et, enfin, déclencher un choc de redistribution des logements.

 

 

Un homme de foi pour faire respecter l’un des droits essentiels : se loger !

 

Toutefois, l’Etat n’est pas indifférent à cette délicate problématique. Le Conseil national de la Refondation, organe apparu en novembre 2022, pourrait se charger de la mise en application et du suivi de ce dossier capital.

Président-fondateur de la structure associative, « Habitat et Humanisme », Bernard DEVERT fera le déplacement depuis la capitale des Gaules (Lyon) pour donner mercredi soir à Auxerre son analyse – on l’imagine pertinente - lors de ce plateau conférence où siègeront à ses côtés l’élue locale en charge de la santé, des affaires sanitaires et sociales, des solidarités, du handicap et des seniors, Maryline SAINT-ANTONIN. Un débat où prendront part deux représentants des services de l’Etat, Jean-Michel LOUYER et Jean-François SILVAN, de la direction départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP 89) et peut-être un représentant du Conseil départemental.

Prenant conscience des injustices liées au logement dans les années 1980, Bernard DEVERT – il a suivi en parallèle de son activité de placements immobiliers et de promotion immobilière un parcours théologique qui va aboutir à la prêtrise en 1987 ! -, a porté sur les fonts baptismaux « Habitat et Humanisme » en 1985, sur la base de deux principes : l’esprit d’entreprise à travers le génie immobilier et la soif de justice.

Dès l’origine, « Habitat et Humanisme » sera pensé, non comme une association caritative ordinaire mais comme une entreprise à caractère social, réconciliant l’économique et le social, l’humain et l’urbain. C’est en faisant appel à des investisseurs privés réunis en SCI que les premiers logements seront acquis, et c’est toujours cette même dynamique d’innovation et d’entrepreneuriat social qui caractérise le mouvement, trente années plus tard. Le président ne dit-il pas pour justifier cette création, la chose suivante : « La ville doit être traversée par la différence, et non se développer à partir de strates monolithiques. Et là où le vivre ensemble n’est pas perceptible, il y a injustice ; l’homogénéité de l’habitat concourt à la rigidité assassine des sociétés occidentales.»…

 

En savoir plus

Conférence débat « l’état du mal-logement dans la France de 2023 »

Organisée par « Habitat et Humanisme », à l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre

A partir de 19 heures

Sur invitation.

 

Thierry BRET

 


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Pour sûr, ce ne sont pas nos artisans-charcutiers Mickaël CLAUDIN et Damien LEGER, ainsi que leur dynamique équipe qui viendraient contredire ce séculaire dicton. Durant la dernière foire de Sens, ensoleillée à souhait (forcément, il avait plu à celle de Montereau quelques jours plus tôt !), ils eurent  pignon sur rue, en bas des promenades, entre des Peugeot 2008 forcément électriques et autres DS futuristes, qui n’ont plus rien de 19 ou encore 21 !

 

SENS: En terrasse, les tables, boisées « made by » le paternel de Mickaël, assurent une réelle solidité. La formule est éprouvée : c’est simple et c’est bon. Cela commence par une planche de charcuteries, faites maison, dont de délicieuses rillettes qui se partagent à l'unisson.

Lors de l’ultime jour de foire, souvent synonyme d'un peu plus de quiétude, le plat du jour est un filet mignon de porc, sauce morilles, accompagné d'un gratin de pommes de terre et de délicieux légumes confits. De trois à quatre degrés en sus à cette bonne assiette n'eurent pas nui à la qualité de l'ensemble !

Ce 94ème rendez-vous des plus réussis se termine côté douceurs avec une tarte au citron, concoctée par la boulangerie-pâtisserie d'Alain FOURNIER. Elle est reconnue pour la qualité de sa fabrication (hum ! les croissants...) Quelques gouttes d'accompagnement à base de champagne de la maison LORIOT, bien connue elle aussi le long des promenades, en période de foire, agrémentent le tout.

 

 

 

 


Pas le temps de s’ennuyer avec les réjouissances estivales…

 


Nos artisans sont à la remballe, à leur tour désormais,  de souffler...très provisoirement s'entend. Entre repas de mariages, saucisses à préparer pour les barbecues (ou les braséros qui deviennent à la mode ces temps derniers...), sans omettre les ponts de mai : il n’y a pas vraiment le temps de s'ennuyer !
Contrairement à la chanson de Patrick BRUEL, point de rendez-vous dans dix ans : juste même lieu, même heure, mais  l'an prochain pour revivre de tels instants ! Longue vie à la foire de Sens. Et vivement 2024...

 

 


Contact :


« Aux Petits Cochons »

1, Bis rue de la République

89100 Saint-Clément

Ouverture du mardi au samedi, plus le marché de Sens.

Téléphone : 03.86.65.17.91.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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