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Thomas LEPERS, médaille d'or régional.

Se mesurer à soi-même mais aussi par rapport aux autres. Un challenge nécessitant de la volonté, de l’abnégation et une bonne dose de créativité surtout quand on évolue dans l’un des 250 métiers de la filière artisanale. Au final, le résultat traduit les capacités professionnelles  qui se profilent déjà derrière le vocable de l’apprentissage, la satisfaction du travail accompli dans le respect des règles de l’art et une part d’humilité pour celles et ceux qui se qualifient pour les finales nationales…

 

AUXERRE : Tendus, nerveux, les jeunes apprentis réunis sous les ors de la préfecture d’Auxerre ont beau esquissé quelques plaisanteries entre eux ; personne n’est dupe parmi l’assistance. C’est l’unique moyen de conjurer leur stress avant l’annonce des résultats définitifs.

L’instant s’avère crucial pour cette jeune génération d’apprentis. Ils ont choisi de concourir dans l’une des épreuves les plus complexes pouvant se présenter à eux : le MAF, le challenge du Meilleur apprenti de France, qui perpétue une lointaine tradition d’affronter dans leurs métiers respectifs les véritables spécialistes d’une discipline.

Référentiel assuré dans l’accompagnement et la transmission des savoirs entre un tuteur professionnel et son élève, ce concours résume à lui seul les espérances les plus folles qu’il peut occasionner pour celles et ceux qui en seront une fois le verdict prononcé les bénéficiaires. Inscrits parmi une dizaine de catégories professionnelles, les trente-sept candidats de l’Yonne ne connaîtront néanmoins pas tous le même succès à l’énoncé des résultats.

L’écoute attentive des lauréats

Si les professionnels de la filière artisanale possèdent leur propre concours depuis 33 ans avec le MOF (Meilleur ouvrier de France), il aura fallu attendre 2001 pour qu’apparaisse le concours national destiné aux jeunes pousses de la corporation, celui des apprentis. Non obligatoire lorsque l’on est un apprenant, le concours suppose déjà de l’envie de s’améliorer et de gagner en performance, des signes avant-coureurs du perfectionnisme nécessaire pour faire carrière lorsque l’on emprunte le dur chemin de l’artisanat.

Président du comité des Meilleurs ouvriers de France de Bourgogne, Marc LABARDE dirigeait la cérémonie protocolaire en présence de plusieurs élus du Conseil départemental de l’Yonne (Isabelle JOAQUINA, Robert BIDEAU…) et se devait lors de son discours inaugural de rappeler les principes vertueux d’un tel parcours initiatique. La valorisation des jeunes pousses n’a à ses yeux pas de prix à l’heure actuelle.

Qu’ils soient auréolés de distinctions de bronze, d’argent ou d’or, les 26 récipiendaires de la manifestation auront écouté, aux côtés de leurs tuteurs professionnels et leur famille, avec beaucoup d’intérêt les mots encourageants prononcés à leur encontre.

L’excellence et la valorisation des métiers de l’artisanat

Vecteur de réussite dans le schéma professionnel d’aujourd’hui, l’apprentissage a été salué par les différents intervenants comme étant un cycle éducatif indispensable à l’intégration des jeunes gens dans une conjoncture complexe au niveau de l’emploi.

L’apprentissage qui engendre le plus souvent un passage obligé vers les entreprises avec le développement de l’alternance ne conduit pas vers une voie de garage. Mais, il représente un parcours d’excellence.

Marie-Thérèse REY-GAUCHER, représentante de la région Bourgogne Franche-Comté, évoquait ensuite dans ses propos « cet impérieux besoin où l’Etat et l’Education nationale ont un rôle fondamental à jouer ensemble en faveur de l’alternance… ».

L’organisme régional finance la formation de ces nouvelles générations d’apprentis à hauteur de 87,8 millions d’euros en soutenant les 54 centres de formation par l’apprentissage (CIFA, CFA). D’ailleurs, dans le prolongement de cette opération, elle présente dans le cadre d’une exposition nationale plus de 400 œuvres d’apprentis cet été à Nevers, traduisant leur approche personnelle des 70 métiers où ils exprimeront un jour leur savoir-faire…

Thomas LEPERS, médaille d'or régional.

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Développant une viticulture biologique depuis une quinzaine d’années, le Domaine Maria CUNY a recours, sur certaines de ses parcelles à VEZELAY, aux services des Attelages de MONTHIOUX. Un équipage de chevaux de trait du Jura dirigé par Eric ANDRE. La présence de ces équidés comtois au milieu des plants de vigne s’explique à juste titre : une volonté de travailler les arpents de terre à l’ancienne…

 

VEZELAY : Sur plus de cinq hectares, plantés en 1974 (gamay et pinot noir) et en 1988 (chardonnay et melon), les viticulteurs de ce domaine de VEZELAY proposent une autre vision de la méthode biologique. Entre créativité et modernisme. Le savoir-faire de ce couple de vignerons, Maria et Yves CUNY, se conjugue à la qualité des produits élaborés et définis par les puristes comme étant des « vins proportionnés et harmonieux, à l’exquise minéralité, aux couleurs nobles et aux vibrances spécifiques ». Ceux-ci ayant déjà retenu l’attention par le passé aux plus grandes tables de renommée internationale de Paris comme « La Tour d’Argent » (Bourgogne Vézelay 2002 et Bourgogne rouge 2002).

Détentrice de la médaille de l’Ordre national du Mérite, consacrée par le Guide Hachette pour l’un de ses nectars étoilés, titulaire du Trophée national des Femmes Chefs d’entreprises, Maria CUNY, personnage haut en couleurs, possède une volonté farouche : travailler différemment son exploitation. Dans le respect de la nature et de la terre, avec beaucoup d’authenticité, gage de qualité…

Une sérieuse ouverture vers le marché nord-américain

Cette saison, elle a abordé de nouvelles étapes dans la construction de son projet professionnel. En Amérique du Nord (Etats-Unis, Canada…), d’abord, où ce savoir-faire aujourd’hui reconnu s’exporte. Par l’intermédiaire de Lucie, sa fille, agent à Montréal (Canada) qui œuvre à la découverte des produits du domaine tels que les Bourgogne Vézelay 2014 et 2015.

Diffusés dans ces deux pays, les vins de Vézelay étonnent par leur subtilité et leur richesse une clientèle qui fréquente des tables gastronomiques mais aussi des brasseries et des épiceries fines. Les miracles du multimédia ont permis de placer ces crus en première position sur les applications qui proposent la corrélation parfaite dans l’accord mets/vins si recherché par les consommateurs…

Mais, la découverte de ce vignoble à l’authentique se manifeste par une multitude d’actions. Comme ce travail de labour, réalisé depuis cette saison par de puissants chevaux de trait. Il traduit cette envie de revenir aux sources, en commençant par l’opération de désherbage naturel des terres cultivables sans l’utilisation de pesticides. Le partenariat avec les Attelages de MONTHIOUX aura été très positif pour le couple d’exploitants viticoles.  

Les comtois ont patiemment effectué leurs rotations sur les coteaux légèrement en pente du domaine. Ce fut un exercice pénible pour les hommes mais très efficace qui n’aura pas manqué d’attirer l’attention des nombreux touristes en visite dans les vignes…


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La défense nationale offre de réelles opportunités d’emploi pour celles et ceux qui éprouvent des envies d’aventure et de nouveautés. Près de 3 000 postes sont encore à pourvoir avant la fin de l’année dans l’armée de terre. Que l’on soit sans qualification ou titulaire de diplômes de niveau supérieur, chacun peut s’exprimer dans le panel éclectique de formations proposées aux jeunes recrues…

 

AUXERRE : « Je veux plus qu’un métier, je veux découvrir une autre vie… ». Les motivations des jeunes engagés dans le corps de l’armée de terre se résument en quelques mots. Besoin de se dépayser, de camaraderie, de sensations, de responsabilités…filles et garçons, âgés de 18 à 25 ans, voire plus, n’hésitent pas à rejoindre la filière militaire, pourvoyeuse d’emplois.

L’année dernière, le CIRFA (Centre d’informations et de recrutement des forces armées de l’Yonne) avait accueilli une centaine de jeunes gens dans ses bureaux à Auxerre. Prise de renseignements mais aussi véritable envie de s’engager justifiaient ces contacts toujours très riches, selon le responsable du centre, l’adjudant-chef Bruno NIRLO.

Ces jours-ci, le militaire expérimenté a eu le plaisir de contractualiser les initiatives de huit jeunes Icaunais qui vont de ce fait entreprendre le véritable processus d’intégration dans les rangs de l’armée de terre.

Des étapes successives vont ponctuer ce parcours qui n’a rien de celui d’un combattant au début. Une fois informée sur les potentialités professionnelles offertes par le corps militaire, la future recrue dépose une demande de candidature dans un centre de recrutement comme celui d’Auxerre. Naturellement, un conseiller spécial l’accompagne dans ces démarches.

L’apprentissage pour devenir un soldat…

Viendra ensuite le temps des évaluations. A la fois au plan médical et psychotechnique mais aussi physique. Car faire carrière dans un bataillon militaire suppose de bonnes aptitudes sportives. Selon les résultats obtenus après cette phase importante, le candidat ajuste sa demande.

Trois possibilités lui sont offertes en fonction des spécialisations. Le dossier étant envoyé en commission d’affectation, le futur lauréat prendra alors le temps de conserver le contact avec son conseiller en attendant la proclamation du verdict.

S’il est refusé, le candidat obtiendra les réponses adéquates à ce constat tout en bénéficiant des conseils avisés du recruteur qui pourra aussi le diriger vers des entreprises partenaires. Dans le meilleur des cas, le candidat est accepté et procédera à la signature de son contrat.

Débutera alors une longue période de formation, douze semaines, dans un régiment. Après quoi, la jeune recrue abordera la spécialisation de son métier et pourra prétendre alors devenir un véritable soldat au service de la nation…


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Cinq pensionnaires de l’IFAG Auxerre Bourgogne (quatre jeunes filles et un garçon) se sont rendus dans la grande métropole de Lille (Nord) afin de concourir au challenge national de la création d’entreprise (K-CREA) 2017. Une expérience à ajouter sur leur cursus…

LILLE (59) : Vainqueurs au printemps du trophée régional du K-CREA, les jeunes gens se sont qualifiés pour prendre part à la finale nationale. Celle-ci s’est déroulée dans la grande ville du nord de la France cette année. Ils y ont affronté leurs homologues en provenance d’une quinzaine de campus régionaux.

Issus de la troisième année du BACHELOR entrepreneuriat, les étudiants de l’école supérieure de management et d’entrepreneuriat d’Auxerre ont présenté leur projet de création d’une start-up, devant exploiter un produit à forte potentialité technologique.

Leur concept reposait sur la création d’une bouteille thermos qui permettait aux consommateurs de transporter et de confectionner n’importe où et n’importe quand une boisson chaude de leur choix (café, thé) à l’aide de cet objet nanti d’une batterie intégrée.

Un jury de professionnels devait évaluer chacune des différentes candidatures avant de décerner le titre suprême. Parmi les critères retenus pour sélectionner ces dossiers, les membres du jury ont opté pour la faisabilité du concept, son positionnement et surtout les perspectives de développement de la future entreprise.


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Un nouveau chapitre s’est ouvert durant la période estivale pour l’unique édifice pentagonal de France, propriété du Conseil départemental de l’Yonne. Deux artistes de talent, la peintre Corinne BRETEL et le photographe Laurent GUENEAU, ont sublimé le site historique de leurs créations originales. A la plus grande satisfaction des nombreux visiteurs de ce château peu ordinaire…

CRUZY LE CHATEL : Au soir du vendredi 21 juillet, l’événement culturel de la saison estivale dans l’Yonne, l’accueil d’une double exposition d’art contemporain dans la fameuse construction pentagonale de MAULNES, avait été salué par un récital de la chanteuse Emna SAADI. Cette dernière interpréta les standards du jazz pour le plus grand ravissement des spectateurs invités à cette inauguration. Ce fut aussi l’occasion de pouvoir admirer les œuvres de deux artistes d’exception : la peintre Corinne BRETEL, originaire de Paris, et du photographe Laurent GUENEAU.

Une fascination pour le monde végétal

Formée aux Beaux-Arts de Beaune, puis de Valence, Corinne BRETEL représentait un peu l’enfant du pays. Même si elle est native de la capitale. Son enfance, elle l’a vécue au beau milieu du vignoble de Chablis. Après un parcours professionnel de belle facture dans les arcanes de la publicité et du cinéma d’animation à Paris, l’artiste opte pour la localité de Saint-Julien du Sault où elle créé son atelier. Présentant une quinzaine de toiles (moyen et grand format) mais aussi de petites gravures inspirées du végétal, Corinne BRETEL évoque avec beaucoup de sensibilité la nature et les méfaits que l’humain peut lui occasionner à répétition. Exposer à MAULNES tombait sous le sceau de l’évidence pour elle : « Il règne en ces lieux le mystère et la poésie, et une promiscuité étrange avec la nature ». Fascinée par le milieu végétal, l’artiste aime établir un rapport avec l’environnement dans lequel elle s’immerge. « Mes peintures questionnent l’esprit des lieux dans lesquels j’expose et l’imaginaire qu’il suscite… ». Le public de l’Yonne connaît son travail. Il a pu le découvrir à maintes reprises dans le cadre des ACI (Artistes contemporains Icaunais) à l’Abbaye de PONTIGNY, à l’Hôtel-Dieu de Tonnerre ou encore au Musée Saint-Germain à Auxerre.

Un artiste à la renommée internationale jusqu’en Russie et en Chine

Originaire de Tonnerre, le photographe Laurent GUENEAU a lui aussi enthousiasmé dans un tout autre registre les visiteurs lors de cette manifestation. Présentées de part et d’autre du chemin qui conduit à l’enceinte du château, ces œuvres n’ont pas manqué d’interpeller le public. Corollaires de l’artiste peintre cité précédemment, elles prolongent ce rapprochement subjectif avec la nature et la place du végétal dans le milieu urbain. Comme à Canton en Chine, où le photographe a élu domicile en résidence en 2005 suivi de trois autres séjours culturels. Les prises de vues dévoilées à MAULNES composaient les éléments d’un corpus baptisé « Question de nature ». Soit l’étude de la relation entre le bâti et le végétal, thème que Laurent GUENEAU poursuivra dans plusieurs autres villes françaises. Considérant le château de MAULNES tel un incroyable écrin facilitant ce travail, le photographe tonnerrois a su instaurer un dialogue entre ses images et le lieu historique. « Cet édifice est plus complexe qu’il n’y paraît au premier regard, devait-il préciser, il apparaît comme une masse qui renvoie aux paysages urbains, planté dans l’immensité du paysage… ». Constatant au passage le très net rapport entre le bâti et la nature. Vivant à Paris, Laurent GUENEAU a notamment exposé au Musée Pouchkine à Moscou. Mais, ses œuvres ont également été plébiscitées aux Rencontres d’Arles, à la Bibliothèque nationale de France à Paris, au Centre Atlantique de la photographie à Brest ou à la scène nationale de Vandœuvre. En 2008, le Guangdong Muséum of Art en Chine devait lui consacrer une exposition monographique. Révélant ainsi tout son talent à l’état pur…


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