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Ce n’est qu’une tempête dans un verre d’eau. Une simple vaguelette qui n’a guère de conséquences pour le responsable du Comité local de La République en Marche (LREM) de l’Auxerrois. La mise à l’écart, acte volontaire de Mathieu DEBAIN du parti présidentiel, ne change pas d’un iota le cap fixé par la formation. Son inconditionnel soutien à la stratégie du gouvernement…

 

AUXERRE : « Nous assumons nos choix et nous nous y conformons ! ». Pas de langue de bois lors de la brève prise de parole du responsable du Comité local de LREM de l’Auxerrois, Laurent BOUQUET DES CHAUX.

Interrogé au téléphone à la suite du départ de l’une des figures de sa formation, le conseiller municipal d’opposition de la Ville d’Auxerre Mathieu DEBAIN qui a rendu publique via un communiqué de presse ce samedi sa mise à l’écart volontaire du parti présidentiel, le chef de file de LREM de l’Auxerrois a tenu à réagir avec promptitude.

Même si la décision de ce départ lui est encore difficile à comprendre, il a précisé tout de go qu’il en respectait le choix stricto sensu.

Pour autant, Laurent BOUQUET DES CHAUX n’a fait montre d’aucune inquiétude quant au devenir organisationnel du navire dont il tient le gouvernail.

 

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L’éloignement de Mathieu DEBAIN des « marcheurs » ne représente qu’un cas isolé. Un épiphénomène sans grande conséquence qui n’augure nullement d’une réelle fuite d’autres militants à la cause élyséenne selon lui.

« Nous ne reculons pas et nous allons de l’avant dans le soutien des orientations politiques gouvernementales, s’est borné à dire le responsable du Comité local auxerrois.

Alors, question légitime que l’on est en droit de se poser : doit-on voir dans le geste de Mathieu DEBAIN un énième fait de politique politicienne se déroulant à l’échelle locale ou une réelle envie d’endosser une autre vêture de taille patron lui conférant davantage d’ambitions à l’avenir ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le représentant de l'Etat à Sens Rachid KACI était sur le pont dès le début de la matinée ce mardi 06 avril. Il prenait part à une séance de travail sur les fondements du dispositif destiné aux demandeurs d’emploi de moins de trente ans. « 1 jeune 1 solution » favorise l’accès de cette frange de la population à l’emploi et à la formation.

 

SENS: Priorité à l’insertion des jeunes dans la vie active malgré un contexte qui est en indélicatesse avec l’emploi. L’Etat ne cesse de le marteler à grand renfort de communication depuis plusieurs semaines. Il a déployé un certain nombre de dispositifs depuis le début de la crise sanitaire en ce sens.

Le plan « 1 jeune 1 solution » est précisément l’un de ces atouts stratégiques qui favorise la mobilisation en faveur des contrats aidés.

Mardi matin, le représentant de l’Etat sur le Sénonais Rachid KACI devait en rappeler les vertus cardinales qui selon les dernières statistiques rencontrent un réel succès en France.

Soit plus d’un million d’embauches observés depuis son lancement à l’été 2020 et 500 000 contrats d’apprentissage qui ont été validés en l’espace de quelques mois. Des chiffres pertinents auxquels il faut ajouter 600 000 entrées dans un parcours d’accompagnement pour celles et ceux qui connaissent les pires des difficultés à pouvoir s’insérer.

Face à une dizaine de jeunes gens, âgés de 19 à 29 ans, d’un employeur et de son salarié en reconversion professionnelle qui apporta son ressenti, Rachid KACI s’est voulu très pédagogue et attentif aux réactions inhérentes à cet exercice testimonial concocté avec l’aide de Pôle Emploi.

 

Thierry BRET

 


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Riche d’une expérience de dirigeant et de DRH d’entreprises de plus de 1 500 personnes, Dominique BERIOT est une référence de l’approche systémique en France. Ses conférences données dans les plus grandes écoles ainsi que ses ouvrages préfacés, notamment par Michel CROZIER ou Joël de ROSNAY, sont des incontournables pour le manager d’aujourd’hui. On ne peut que recommander son « Guide systémique du manager d’équipe » paru en 2018 aux éditions Eyrolles.

 

TRIBUNE : Aujourd’hui, il nous parle d’une tâche quotidienne pour un manager : celle d’émettre une demande à un collaborateur. Souvent formulée de manière approximative, la demande constitue un enjeu au sein d’un management qui mérite d’être amélioré. Dominique BERIOT nous explique l’importance de cadrer ses demandes pour gagner en efficacité.

Dominique, selon vous, la plupart des managers ont une grande marge de progression sur une des tâches qu’ils réalisent le plus fréquemment...  

En effet, tout au long de ma carrière, j’ai été frappé par une chose. J’ai remarqué que lorsqu’un manager formule une demande à un collaborateur, celle-ci cristallise souvent une incompréhension entre les deux parties, et provoque de la déception à l’arrivée. J’ai pu observer cela malgré une implication pleine et sincère de la part du collaborateur comme du manager et j’en ai déduit que c’est la formulation de la demande elle-même qui pose problème. La situation inverse se produit également : un manager reçoit une demande et pense y répondre correctement mais le demandeur, finalement, est déçu par la réponse apportée.

 Comment expliquez-vous cet invariant qui fait perdre en efficacité ?

Ce qui provoque cette incompréhension est assez simple à comprendre, il s’agit avant tout d’un manque de clarté dans la demande. C’est-à-dire que l’objectif réel n’est pas assez ou pas du tout explicite : il est présent dans la tête de celui qui émet la demande mais ne parvient pas jusqu’à celui qui la reçoit. Il se situe à un niveau supérieur, tacite.

Prenons l’exemple d’un entretien pour illustrer le mécanisme. Un manager reçoit trois collaborateurs qui lui font part de leur envie d’évoluer professionnellement. Apparemment, les trois demandes sont similaires du point de vue du manager. En fait, pour chacun des collaborateurs, l’objectif diffère. Le premier espère se sortir d’une situation de conflit et moins subir de stress. Le deuxième escompte un revenu plus important pour satisfaire des besoins familiaux, et le dernier souhaite accéder à plus de responsabilités pour faire avancer sa carrière.

Derrière chaque demande, il y a un objectif propre difficilement décelable dès lors qu’il n’est pas clairement exprimé. Dans le cas où les motivations réelles ne sont pas comprises par le manager, il risque de mal répondre aux attentes des collaborateurs, générant frustrations, incompréhensions. Il y a une perte d’énergie et d’efficacité significative pour tout le monde.

 

 

 Il est donc essentiel d’expliciter l’objectif de niveau supérieur ?

Oui, et pour plusieurs raisons. D’abord, pour vérifier qu’il y a bien une cohérence entre la demande et l’attente réelle. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’un autre objectif se cache au niveau supérieur. Ensuite, pour permettre à son interlocuteur de se saisir pleinement de la demande et avoir ainsi plus de chance de la voir aboutir, car il aura tendance à rejeter la demande s’il n’en comprend pas totalement le sens.

Par ailleurs, en formulant une demande claire, on agit comme libérateur d’énergie. L’autre peut mieux s’impliquer et être plus autonome s’il comprend tous les enjeux. Il y a donc plus de chance qu’il apporte une réponse adéquate. Un cadre clair favorise les actions pertinentes. Pour reprendre l’exemple cité plus haut, le manager pourra travailler avec le premier collaborateur sur un accompagnement à la gestion de conflit et envisager une évolution de la rémunération pour le second, plutôt que l’inverse.

Enfin, celui chargé de traiter la demande disposera d’arguments réels pour la faire valoir. Il sera mieux armé pour conduire le changement, notamment face à des acteurs opposés au projet. C’est toujours plus convaincant d’argumenter que de simplement rétorquer “qu’on m’a demandé de le faire” !

 

 

Pourquoi les demandes ne sont-elles pas toujours traitées ainsi ?

Parce que ce n’est pas si facile à réaliser. L’écoute n’est pas toujours au rendez-vous, ou alors des situations particulières peuvent faire obstacle à la clarté. Dans un environnement international par exemple, certains facteurs peuvent brouiller la communication.

Surtout, un manager peut avoir tendance à se projeter, à imaginer l’objectif qui se cache au niveau supérieur et se faire une idée fausse. C’est l’erreur la plus courante et il faut y être particulièrement attentif. A l’inverse, votre manager n’est pas forcément habitué à ce que vous lui demandiez d’expliquer et de justifier sa demande réelle. Mais vous lui rendez un grand service si vous le faites.

Quels conseils pouvez-vous donner à celles et ceux qui n’ont pas encore lu votre guide pour réussir cet exercice et détecter l’objectif de niveau supérieur à réaliser ?

La tendance naturelle, lorsque l’on formule une demande, est d’en expliquer les raisons et d’indiquer à l’autre la marche à suivre. Il faut parvenir à sortir de ce schéma très directif, expliquer plutôt le sens de la démarche et laisser à l’autre la liberté d’agir. Il faut orienter ses explications sur le but de la démarche plutôt que sur ses raisons.

Et dans le cas où l’on reçoit une demande, l’objectif est d’en saisir les enjeux réels.

Après des recherches, nous avons détecté que la meilleure question à poser est, en fonction du contexte : Pour obtenir quoi ? Pour aboutir à quoi ? Pour parvenir à quoi ?

L’idée est de passer du « pourquoi », qui induit la causalité, au « pour quoi », « vers quoi » afin de mettre l’interlocuteur face à sa demande. En agissant ainsi vous précisez les cibles, vous permettez la clarification des objectifs et vous permettez à l’interlocuteur comme à vous-même de mener les actions pertinentes.

 

  

L’Application

Dès maintenant : mettez-vous en situation ! Un directeur fait savoir à son chef de service qu’un collaborateur devrait se comporter autrement. Vous êtes le chef de service, comment recevez-vous cette remarque ? La demande est floue, imaginez les questions que vous devez vous poser pour la clarifier.

De quel comportement s’agit-il ? En lui demandant un changement de comportement, vous souhaitez obtenir quoi de sa part ? Tentez d’identifier l’objectif réel de cette remarque qui vous est adressée.

Cette semaine, sur cinq demandes que vous recevez ou formulez, astreignez-vous, à en traiter au moins une selon la méthode exposée le type de questionnement proposé. Augmentez le recours à cette méthode les semaines suivantes.

 D’ici un an, intégrez complètement cette recherche systématique de l’objectif de niveau supérieur à la demande, ainsi serez-vous en mesure d’améliorer le traitement ou l’émission de demandes et pourrez-vous en constater un gain d’efficacité !

Si vous souhaitez aller plus loin et apprendre à exprimer ou traiter globalement une demande, vous trouverez des réponses dans l’ouvrage de Dominique BERIOT ; il vous accompagnera de manière claire et opérationnelle.

 

Entretien réalisé par Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com

Blog 16h44

 


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Les activités des travaux publics découlent des programmes menés par les collectivités territoriales. A hauteur de 70 % ! Autant dire que les élus sont de précieux sésames en vue de l’obtention de nouveaux marchés. Mais, ces derniers doivent impérativement jouer le jeu. S’ils ne veulent pas mettre en péril les entreprises de la filière…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le message ne peut pas être plus limpide. Il émane de Vincent MARTIN, le président de la puissante Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté (FRTP).

Ce dernier n’a pas tardé à réagir aux récents propos du chef de l’Etat qui présentait les nouvelles annonces gouvernementales jeudi soir. Un ressenti qui se présente à double entrée.

D’une part, il y a la satisfaction du représentant patronal de pouvoir continuer à travailler malgré le troisième confinement élargi à l’ensemble de l’Hexagone. La filière ne sera pas impactée par les restrictions qui sont  imposées dans le cadre de la politique sécuritaire en matière de santé.

D’autre part, il y a le rassurement de toute la corporation, reconnue pour son utilité à la Nation. Il est vrai que les citoyens n’auront pas à souffrir de perte d’alimentation des foyers en eau et en énergie ou de l’absence de réseaux de communication.

Mais, l’essentiel du propos est ailleurs. Plutôt bien ciblé vers les représentants des collectivités territoriales.

 

 

Le plan de relance doit être mis en œuvre de manière rapide…

 

Alors que le secteur représente plus de 1 200 entreprises dans notre seule contrée (soit une déclinaison de plus de onze mille emplois), Vincent MARTIN appelle tous les élus à favoriser la commande publique. Le nerf de la guerre existentiel de cet édifice professionnel qui ne pourrait vivre sans.

D’autant que le plan « France Relance » voulu par l’Etat offre de réelles opportunités financières à la réalisation de projets et autres chantiers qui étaient en instance de décision avant la COVID.

Toutefois, souligne le patron de la filière, « la mise en œuvre de ce plan de relance sur notre territoire doit être rapide… ».C’est la condition sine qua non à sa réussite.

A ce titre, le président de la FRTP rappelle que « les préfets demeurent des partenaires indispensables pour le dynamisme de la commande publique… ».

Un message clair qui leur est également destiné. La FRTP ne peut pas être plus audible avec cette annonce…

 

Thierry BRET

 


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Le Salon des collectivités de l’Yonne aurait dû se tenir normalement le 21 avril 2021. Si les conditions sanitaires l’avaient permis. Il s’agissait déjà d’un premier report puisque la manifestation devait se dérouler initialement le 20 novembre 2020 au Parc des expositions d’Auxerre. Or, chacun d’entre nous connaît les nouvelles problématiques liées à ce printemps…

 

AUXERRE : Pour la deuxième fois consécutive, c’est de guerre lasse que le Conseil départemental de l’Yonne et le Club des Partenaires ont pris, après concertation, la décision de différer d’une année supplémentaire le traditionnel évènement biennal ouvert aux collectivités : CITE 89.

Ce report a été statué le 01er avril, une bien mauvaise idée de poisson en la circonstance.

Les incertitudes inhérentes au sursaut de la crise de la COVID ont de nouveau jeté le trouble dans les esprits bienveillants des organisateurs de cet évènementiel qui alterne d’une année à l’autre avec les Rencontres régionales de l’Industrie, les fameuses RIDY, portées par la Chambre de Commerce et d’Industrie. Rappelons que celles-ci sont toujours prévues au mois de novembre 2021, précisément le mardi 09 novembre.

La date du 07 avril 2022 est d’ores et déjà à biffer sur les agendas pour cette future édition où bon nombre de professionnels des services et de l’artisanat seront présents…

 

Le club des Partenaires se compose de :

Le Conseil départemental de l’Yonne, l’Yonne Républicaine, La Poste qui en assume la présidence par le biais de Marielle SOMMET, Orange, Suez, GRDF ENEDIS, la  CCI, MEDEF et UIMM, TRANSDEV, Yonne Développement et Yonne Equipement ainsi que la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté et Centre France Evènements.

 

Thierry BRET

 


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