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La mobilisation générale de la classe politique bourguignonne aura finalement porté ses fruits. A l’instar de la manifestation pacifiste organisée devant les grilles de l’Institut national de l’origine et la qualité (INAO) à Montreuil-sous-Bois où se pressaient ce jeudi 06 février près de cinq cents viticulteurs opposés au projet de révision de la zone géographique pour l’AOC Bourgogne. Si plusieurs avancées ont été obtenues au terme d’une rencontre avec les responsables de l’organisme, la vigilance reste de mise. Plus que jamais, la défense du patrimoine viticole et de ses professionnels demeurent d’actualité dans les esprits…

MONTREUIL-SOUS-BOIS: Bourgogne : un. INAO : zéro. A l’issue de la rencontre d’une délégation d’élus régionaux durant près d’une heure ce jeudi 06 février au siège de l’INAO, les dirigeants de l’institution administrative, organe sous l’égide du ministère de l’agriculture, ont confirmé la suspension sine die du projet de nouvelle aire géographique pour l’AOC Bourgogne. Un état de fait qui avait été déjà acté la veille.

Conséquence immédiate : la présentation analytique du dossier a été retirée de l’ordre du jour du comité national de l’organisme présidé par Christian PALY. Si la décision a satisfaite les élus bourguignons dans un premier temps, ces derniers l’ont jugé encore trop insuffisante, compte tenu du désaccord grandissant qui s’est installé depuis le début de cette crise avec les vignerons de Bourgogne.

Accompagnés des représentants de la filière viticole, les élus bourguignons ont pu exposer en toute liberté leurs arguments face au président du Comité national des appellations d’origine relatives au vin, Christian PALY.

La délégation était composée de François PATRIAT, sénateur de Côte d’Or, Marie-Guite DUFAY, présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, Didier PARIS, député de Côte d’Or, du sénateur Jérôme DURAIN, de la Saône-et-Loire, d’Alain JOYANDET, sénateur de Haute-Saône, Rémy REBEYROTTE, député de Saône-et-Loire ou encore de Yolaine de COURSON, députée de Côte d’Or.

Quant au département de l’Yonne, il avait pour porte-étendards la sénatrice Noëlle RAUSCENT, Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription et Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, ancien maire de Chablis dont le vignoble est menacé par cette décision pour le moins insolite. On notait aussi la présence de Guillaume LARRIVE, député de la première circonscription de l'Yonne.

Précisons qu'avant d'avoir été reçus par la direction de l'INAO, la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN, le député André VILLIERS et le conseiller régional et président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, battaient le pavé aux côtés des manifestants devant les grilles de l’INAO. Dans une ambiance bon enfant sans qu’il y ait eu le moindre heurt.

 

 

 

Des premières garanties significatives mais…

 

Première certitude : aucune des soixante-quatre communes de Bourgogne ne perdra son appellation AOC.

C’est un véritable soulagement pour les viticulteurs des terroirs hétéroclites comme ceux de l’Auxerrois, du Tonnerrois, du Châtillonnais, du Mâconnais, de Dijon ou de Chablis.

Deuxièmement, aspect plus regrettable pour les élus de la délégation : une nouvelle commission d’enquête ne sera pas mise en place avec le renouvellement de ses membres. Un point d’achoppement qui pourrait être compensé grâce à l’implication personnelle de Christian PALY dans les futurs travaux de ladite commission.

 

 

Ce dernier a fait savoir par un communiqué de presse publié dès jeudi soir que « le Comité national n’aurait jamais entériné la sortie de secteurs aussi emblématiques que le Chablisien, le Châtillonnais et le Dijonnais de la zone Bourgogne ».

Toutefois, les élus bourguignons souhaitent désormais une meilleure concertation de la commission de l’INAO avec l’Organisme de défense et de gestion de Bourgogne (ODG), « jusqu’alors inexistante ».

« Tant que nous n’aurons pas obtenu des avancées claires de la part de l’INAO, explique le texte officiel de la délégation bourguignonne, adressé aux médias, la mobilisation professionnelle, territoriale et politique demeure totale dans notre région au nom de notre histoire, nos terroirs et l’identité de notre appellation d’origine contrôlée Bourgogne… ».

 

  

Une décision qui discrédite le principe même des appellations d’origine…

 

Reste que la remise à plat de cette décision de délimiter les aires géographiques de Bourgogne et du Beaujolais requiert un travail de fond et pas seulement approximatif, compte tenu des enjeux importants qu’elle engendre.

En effet, un quelconque rapprochement entre les deux vignobles pourrait induire les consommateurs en erreur quant aux caractéristiques, qualités et origine du produit. Historiquement distinctes, ces deux régions viticoles possèdent leurs propres savoir-faire ancestraux. Ce qui discrédite le dispositif même des appellations d’origine.

Enfin, sur un plan purement économique, le risque de surproduction est à craindre. Cela pourrait alors créer un déséquilibre entre l’offre et la demande des vins sous appellations bourguignonnes. Et permettre ainsi des productions massives en Beaujolais du fait de la délocalisation de la production vers cette contrée. Ce qui aurait un effet destructeur sur l’identité même des vins de Bourgogne.

On le voit, face à de tels arguments, la vigilance devient plus que jamais le mot d’ordre prioritaire dans la gestion de cet épineux dossier…

 

 

 

 


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Ils ont pu défendre les intérêts et les valeurs de leur filière. Cette dernière étant plutôt malmenée en termes d’emploi et de recrutement à l’heure actuelle. Reçue par deux conseillers du Premier ministre à Matignon, une petite délégation d’hôteliers/restaurateurs de l’Yonne, accompagnée du député de la seconde circonscription André VILLIERS et de la porte-parole de l’UMIH, Corinne ROGUIER, a eu l’heureuse opportunité, deux heures durant, de pouvoir présenter en toute liberté et sans langue de bois leurs nombreuses doléances au plus haut sommet de l’Etat. Ont-ils été entendus pour autant ?

PARIS : C’est un cri du cœur qui a été prononcé il y a quelques jours par les représentants de la délégation d’hôteliers/restaurateurs de l’Yonne, accueillie à l’hôtel Matignon. Une opportunité unique pour ces dirigeants d’entreprises qui ont pu ainsi, séance tenante, dès leur arrivée et ce, durant deux heures, obtenir une entrevue avec deux proches conseillers du Premier ministre, Edouard PHILIPPE. L’objectif était de faire connaître à la gouvernance étatique leur position quant aux difficultés de recruter dans leur filière de prédilection.

Et à ce jeu-là, celle de la prise parole proposée sous la forme non protocolaire d’un tour de table nourri d’échanges, on peut dire aisément que les professionnels de l’Yonne ont su adresser les messages appropriés à leurs interlocuteurs attentifs.

Certains visiblement étaient déçus de n’avoir pu être accueillis par le Premier ministre en personne.

Mais, l’actualité sociale complexe de ce début d’année ne lui aura pas permis d’honorer ce rendez-vous, pourtant programmé de longue date.

 

 

Qu’importe ! Les Icaunais purent deviser sans retenue avec les deux fonctionnaires en charge de collecter les précieuses informations venant du terrain.

Organisée à la demande du député UDI de la seconde circonscription de l’Yonne, André VILLIERS, la rencontre est née d’une invitation faite par le parlementaire auprès de 270 chefs d’entreprise de l’est et du sud du territoire en novembre 2019. Seuls une douzaine d’entrepreneurs avaient signifié leur présence ce qui est proprement dommageable. Toutefois, il résulta au terme de ce rendez-vous conçu avec Pôle Emploi et la Chambre de Commerce et d’Industrie, qu’une initiative insolite allait poindre à brève échéance. La venue d’une délégation icaunaise vers le plus haut degré de la sphère gouvernementale !

 

Des contrats d’apprentissage qui se résilient à qui mieux mieux…

 

A la tête de celle-ci, une figure emblématique de l’art culinaire de Bourgogne mena les discussions. Francis SALAMOLARD, éminente toque de « L’Auberge de l’âtre » énonça bille en tête une longue litanie de dysfonctionnements et d’absurdités administratives qui pénalisent quotidiennement les artisans dans l’exercice de leurs fonctions.

Il dénonça au passage l’instauration du revenu universel et l’abondance de contrats de résiliation qui fleurissent désormais çà et là dans le paysage de l’hôtellerie-restauration.

Réduisant à néant tous les efforts d’intégration entrepris en amont.

« Les jeunes restent six mois à peine en entreprise, précisa le chef établi au cœur du Morvan, avant de nous claquer leur contrat de résiliation presque au nez et à la barbe en moins de quarante-huit heures ! C’est navrant… ».

Chiffres à l’appui, le nombre de résiliations de contrats d’apprentissage s’élève presque à 30 % désormais. Alors qu’à l’autre bout de la lorgnette, 7 % de contrats d’apprentissage sont signés. Le différentiel se faisant en défaveur de l’employeur…

 

 

Ironie du sort : là, où les choses deviennent cruelles dans ce type d’exemple, c’est que les frais de formation sont intégralement pris en charge par les entreprises même quand les apprentis se rendent dans les centres de formation pour y suivre leur période d’alternance pédagogique.

 

 

Quant au vivier de jeunes apprenants, il s’amenuise d’année en année. La plupart des centres de formation n’ont toujours pas atteint leurs quotas de remplissage prévus en début de saison scolaire ; ainsi, il manquerait entre 250 et 350 jeunes par établissement. Un paradoxe quand on sait que des milliers de jeunes gens pointent toujours au chômage.

Un autre problème, connexe, fut également abordé : celui des conditions offertes pour rejoindre un établissement situé en zone rurale. Problématiques du transport, du logement, des salaires intègrent le paramètre des difficultés dont il sera nécessaire de résoudre dès que possible afin de pérenniser les futurs emplois sur ces secteurs géographiques dépourvus de candidats.

Alors, l’image renvoyée par « Top Chef » autour de cette profession serait-elle un tantinet galvaudée dans la réalité ?

Changer les clichés, liés à cette filière, entre pénibilité et bas salaire (ce qui est loin d’être le cas parmi les exemples réunis sous le ciel parisien ce jour-là) mettra encore beaucoup de temps.

Les professionnels, par manque de personnel, sont contraints de plus en plus de refuser de la clientèle. Ainsi, une restauratrice d’Avallon s’est même privée de 30 500 euros de rentrée d’argent, faute de main d’œuvre qualifiée ! Un fait préjudiciable, à la limite du scandale pour l’honorable maison.

 

 

Quelques pistes à approfondir en guise de solutions ?

 

Au gré des exemples, abondamment donnés, qu’espèrent au final ces professionnels en proie à de sérieux doutes quant à la pérennité de leur outil de travail ? Quelques pistes furent ainsi glissées parmi cet inventaire à la Prévert de ce qui ne fonctionne vraiment plus en France, côté emplois, et dans cette filière. Faudrait-il accentuer les manifestations qui permettent de sensibiliser les familles et leur progéniture aux vertus positives de ces métiers de bouche ? Faudra-t-il créer une opération pilote que l’Etat viendrait soutenir et appuyer dans l’Yonne afin de revaloriser l’artisanat et ses nobles valeurs autour de métiers ayant un avenir, y compris à l’international ?  

Une chose est apparue évidente au terme de ces entretiens : remettre le mot travail au goût du jour semble être aujourd’hui l’impérieuse obligation aujourd’hui.

Sinon, au-delà de cette sonnette d’alarme qui a été tirée à Matignon avec cette visite, la filière peut s’attendre si rien n’est fait à des lendemains qui déchantent. De manière inéluctable…Ce qui n’arrangerait pas les affaires du gouvernement.

 

 


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L’exercice d’une prise de parole de cette nature est taillé sur mesure. Pour délivrer des messages forts et percutants qui doivent marquer les esprits d’une assistance à l’écoute du moindre indicateur potentiel. Une sorte de traceur indélébile de ce que pourrait être la conjoncture liée à la nouvelle année débutante et ses perspectives. Et à ce jeu-là, celui qui fut le plus prolixe pour venir s’exprimer à la tribune de la Maison de l’Entreprise lors de la traditionnelle cérémonie des vœux du monde de l’industrie n’était autre que Jean-Dominique DAGREGORIO. Le nouvel homme-lige, patron de la société NOGUES, à la cause indéfectible de l’UIMM et à la défense de ses valeurs. Compte rendu… 

AUXERRE : Bien sûr, il y avait en vedette américaine de ce premier rendez-vous annuel propre à la sphère patronale et économique le philosophe, politologue et essayiste Luc FERRY, ex-ministre de l’Education nationale. Promis à un grand succès d’audience (ce qui se confirmera par la suite) tant le personnage décline son propos avec le verbe facile, une aisance naturelle dès qu’il se place devant un micro et une méthode analytique passionnante et étayée, ponctuée d’un sens de l’humour à tenir en éveil le spectateur même le plus assoupi !

Bien sûr, il y eut l’intervention protocolaire du nouveau préfet de l’Yonne, fraîchement émoulu sur notre territoire, Henri PREVOST, qui petit à petit et à force de contacts officiels répétitifs grâce aux cérémonies de vœux commence à se constituer le réseau idoine et nécessaire dans l’optique de pouvoir gérer de manière optimale ses futurs dossiers.

Il y eut même une courte mais dynamique intervention d’un Guillaume LARRIVE au meilleur de sa forme dans l’entre-deux de la soirée. Le député de la circonscription ne pouvait manquer une telle opportunité de prendre la parole devant un parterre, aussi dense et représentatif de l’entrepreneuriat local, histoire là-aussi de marquer les esprits.

 

 

 

Avec en prime, un petit tacle adressé à la municipalité auxerroise qui selon ses dires n’a toujours pas su prendre la réelle mesure de l’électrification de la ligne ferroviaire reliant la capitale de l’Yonne à la halte obligée de Laroche-Migennes !

Bien sûr, il y aura nécessairement la prise en main de cette soirée concoctée devant un amphithéâtre plein comme un œuf (Luc FERRY n’était pas revenu en de telles circonstances dans l’Yonne depuis 2011) par Claude VAUCOULOUX. On l’a déjà dit et écrit mais le délégué général de la Maison de l’Entreprise, du MEDEF et de l’UIMM, possède une faconde particulière dans sa manière à animer ce type d’évènementiel. Toujours avec élégance, minutie et tact, mettant à l’aise ses interlocuteurs en sachant maîtriser le temps.

Bref, si un jour, il doit se reconvertir, Claude VAUCOULOUX n’aurait aucun mal à faire carrière dans cette approche physique et visuelle de la communication orale, un exercice qui lui sied à ravir !

 

 

 

 

Le recrutement : le mouton noir de l’actualité économique icaunaise…

 

Si Etienne CANO, président du MEDEF départemental, écourta son intervention, préférant laisser aux branches professionnelles le soin de pouvoir s’exprimer, Xavier PAPIN et Jean-Dominique DAGREGORIO usèrent davantage d’arguments oratoires pour présenter le bilan de la saison écoulée et les perspectives de leurs secteurs respectifs d’activité.

L’un, le premier, en sa qualité de président de la puissante Fédération départementale du Bâtiment. Le second, et c’était sa grande première en qualité d’orateur officiel – il a succédé à André BEX à ce poste en juin dernier – réalisa un baptême du feu de belle facture dans cette salle à la contenance de près de 300 places.

Pour Xavier PAPIN, l’exercice lui aura servi de répétition. Quelques jours avant l’organisation d’une cérémonie similaire qui sera donnée dans les locaux de la fédération rue de l’Ocrerie.

 

 

Mettant l’accent sur la fragilité des entreprises et la faiblesse de leurs marges avec de surcroît des trésoreries difficiles, le président de la FFB ne put cacher son désarroi face à la situation symptomatique de l’Yonne où un tiers des logements n’a pas été mis en chantier par rapport à l’exercice antérieur.

« Il serait grand temps, lâcha-t-il, péremptoire, que les donneurs d’ordre prennent enfin conscience qu’il est nécessaire de faire travailler les locaux s’ils veulent soutenir le développement de l’économie dans l’Yonne… ».

Un pavé dans la mare qui espérons-le fera quelque peu bouger les lignes dans un avenir proche.

 

 

A quand l’entente parfaite autour du programme « Territoire d’Industrie » ?

 

Quant à Jean-Dominique DAGREGORIO, il déplora tout de go le manque de solutions à court terme à apporter sur l’un des sujets les plus récurrents et alarmistes qui préoccupent les chefs d’entreprise aujourd’hui : celui du recrutement. Nous y reviendrons dans le détail par ailleurs en développant son intervention.

Il salua également le concept « GISAéro », rassemblant des entreprises de la région ayant comme dénominateur commun la filière aéronautique. Une vraie réussite, à ses yeux, à poursuivre sans renâcler.

Le dirigeant de NOGUES eut un mot de conclusion dur mais tellement réaliste sur la convention « Territoire d’industrie », programme de développement initié l’année dernière sous la tutelle de l’Etat et de la Région qui n’a pas encore reçu d’écho favorable dans l’Yonne.

 

 

Ce texte indispensable pour être éligible aux financements facilitant le développement économique territorial n’a toujours pas reçu l’onction nécessaire des forces vives de notre territoire !

Rageur dans ses arguments, le président de l’UIMM a invité les élus du département à oublier « leurs notes discordantes à deux sous » afin de s’entendre et rendre désormais plus attractive une zone géographique en déshérence qui en a grand besoin. L’année 2020 peut désormais débuter avec cet espoir…

 

 


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Nombreux furent les représentants des municipalités et des organes institutionnels à vouloir manifester leur présence lors de la cérémonie des vœux du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne. Une animation traditionnelle qui a vu son mentor, le président Jean-Noël LOURY, saluer les initiatives prises par trois communes, bénéficiaires de précieux subsides à des fins d’aménagements profitables au développement durable et aux économies…

APPOIGNY : Un espace culturel noir de monde, des retrouvailles placées sous les auspices de la convivialité et de l’échange, un programme millimétré au cordeau : il n’en fallait pas davantage pour faire de cette réception annuelle un moment fort agréable dans le sérail icaunais.

Le grand show concocté par le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) débuta presqu’à l’heure, malgré les absences du préfet de l’Yonne Henri PREVOST et de la secrétaire générale de la vénérable institution, Françoise FUGIER, sous-préfète d’arrondissement d’Auxerre, tous deux excusés et retenus du côté de la Maison de l’entreprise où dans le même laps de temps le philosophe et homme politique Luc FERRY (il fut ministre de l’Education nationale) décryptait les méandres nébuleux de la troisième révolution industrielle qui nous frappe, celle inhérente à l’intelligence artificielle et à ses dérivées.

 

 

A contrario, et assis aux premiers rangs, le président du Département Patrick GENDRAUD, la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN ou encore le député de la première circonscription, Guillaume LARRIVE, se signalaient par leur présence physique.

Outre le discours du président qui détailla les objectifs et perspectives de la saison écoulée (nous y reviendrons ultérieurement), la soirée s’articulait autour de deux temps forts : la remise de chèques destinée à trois localités de notre territoire, et la signature d’une convention de partenariat, baptisée explicitement, « En route vers le gaz vert dans l’Yonne ».

Si la municipalité d’Avallon n’avait pas jugé bon de dépêcher l’un de ses représentants pour récupérer la précieuse obole devant le public, en revanche, Hubert BARBIEUX, édile de Vézelay, récemment promu au rang de chevalier de la Légion d’honneur, fut quant à lui bien présent au rendez-vous sous le feu nourri des projecteurs pour repartir avec son énorme chèque en fac-similé. Notons les excuses pour raison de santé de la mairesse de la localité d’Asquins, Isabelle GEORGELIN. Cette dernière s’était faite portée pâle.

 

 

Signature de la convention promouvant le gaz vert…

 

Jean-Noël LOURY évoqua à l’issue de cette distribution que le SDEY était très attaché à apporter les aides financières nécessaires aux communes qui s’engageaient sur la voie des transformations énergétiques synonymes d’économies.

La signature de la charte « En route vers le gaz vert dans l’Yonne » (nous y reviendrons également dans un autre article) a réuni sur la scène les composantes de cet accord, dont les présidents des chambres consulaires de l’Yonne Alain PEREZ (CCI) et Arnaud DELESTRE (Chambre d’agriculture). Ils apposèrent leurs griffes aux côtés de celles de Thierry GAY (GRDF Bourgogne Franche-Comté) et de Jean-Pierre BOUILHAC (SDEY). Jean-Noël LOURY devant parapher le document sous l’égide de la SEM Yonne Energie qu’il représentait…

Maryline GANDON

 


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Sélectionnés par une centaine de jurés présents à la salle des fêtes de BEINES ce jeudi 23 janvier, les nectars de toutes les appellations millésimées 2018, sauf exception qui auront obtenu les accessits requis, concourront lors de la finale nationale organisée porte de Versailles au Salon international de l’agriculture de Paris le 23 février prochain…

AUXERRE : Voilà une présélection qui ne manque pas d’être biffée chaque année sur les agendas des amateurs de la chose vineuse. La Chambre départementale d’agriculture accueillera ce jeudi à partir de 9h30, et ce pour la matinée entière, une centaine d’aficionados de la dive bouteille pour qu’ils puissent exercer leur talent de dégustateurs hors pair d’échantillons représentatifs du millésime 2018. Sauf pour les grands crus, les Irancy millésimés 2017 et les crémants.

Ce sont en effet quatre-et-vint un viticulteurs de l’Yonne dont trois jeunes néophytes béotiens en la matière mais aussi des coopératives et négociants qui soumettront leurs produits de conception artisanale à la sagacité d’un jury éclectique mais connaisseur !

Créé en 1870 par le ministère de l'Agriculture, le Concours Général Agricole est la seule manifestation de ce type à être organisée sous le contrôle de l'État.

Attendu des professionnels comme du grand public, sa notoriété est tangible en France comme à l’étranger.

Ce concours est le rendez-vous annuel incontournable pour la viticulture icaunaise. Il permet de valoriser les productions, de mieux faire reconnaître les terroirs et de se faire référencer sur un marché de produits de haute qualité.

Quant aux enjeux économiques pour le département, ils restent incontestables. Ce concours représente une vitrine de la qualité des vins de notre terroir auprès d'une clientèle française et internationale.

 

 

 


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