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Un communiqué émanant du bureau de l’antenne icaunaise du MoDem explique la franche poussée de fièvre que vit depuis quarante-huit heures le parti centriste à Auxerre. A quelques jours du premier tour des municipales, il traduit l’opposition, farouche, qui existe entre le président du mouvement des démocrates, Pascal HENRIAT, et certains membres de l’appareil exécutif. Avec en toile de fond, un mot qui revient en force tel un dénominateur commun : celui de la démission !

AUXERRE : Le ton monte au sein du Mouvement des Démocrates de l’Yonne. A une encablure du premier round officiel offert par les élections municipales le 15 mars, il semblerait que le ring où doit s’affronter par bulletins de vote les oppositions se soit déplacé ailleurs. Précisément au sein de la formation politique incarnée dans l’Hexagone par François BAYROU.

Il est clair qu’à la simple lecture du communiqué de presse adressé par le bureau du MoDem de l’Yonne dimanche en fin de journée aux rédactions, le torchon brûle entre le président de l’organe associatif politique, Pascal HENRIAT, et une frange contestataire de son bureau.

 

Exiger une nouvelle élection et choisir un autre président…

 

La raison est, on ne peut plus claire : ledit organe décisionnel ne peut plus cautionner la dérive de son président en chair. Ainsi, peut-on lire :

« Retrouver le président du MoDem Pascal HENRIAT dans une liste soutenue par Les Républicains, dirigé dans le département par Guillaume LARRIVE, sans l’accord de son bureau et voir maintenant que cette même liste où il est en troisième position est soutenue par Debout La France, le parti de Nicolas DUPONT-AIGNAN, n’est pas en adéquation avec les valeurs du mouvement démocrate… ».

Un peu plus loin, l’un des signataires de ce texte à charge contre Pascal HENRIAT précise que « les membres du bureau départemental n’ont jamais été concerté par la démarche prise par leur président ».

Et d’ajouter : « son refus de s’expliquer nous pousse aujourd’hui à demander officiellement la démission de Pascal HENRIAT qui bafoue la vision humaniste d’une Europe unie… ».

La conclusion de ce document n’offre pas d’autre alternative pour le bureau du parti en proie à une déchirure interne que de procéder à de nouvelles élections afin d’élire un nouveau représentant à sa tête, plus en accord avec les valeurs du mouvement.

Interrogé à la suite de la diffusion de ce texte via les réseaux sociaux, la réaction du premier intéressé ne s’est pas fait attendre !

Pascal HENRIAT, jamais avare de bons mots, dénonce la « fourberie » de certaines personnes du bureau alors que beaucoup de ses membres n’avaient pas été contactés au préalable par les instigateurs de ce courrier.

Rappelant qu’il avait été nommé chef de file du MoDem pour Auxerre pour discuter et négocier avec les candidats en lice aux municipales, Pascal HENRIAT avait fait le choix en janvier dernier de rejoindre la liste d’ouverture portée par Crescent MARAULT. Avec l’absolution de son président national : François BAYROU.

 

 

 

Une situation complexe dans bon nombre de villes en France…

 

Puis, ciblant volontiers Laurent DEVELLE (ce dernier est l’un des colistiers de la liste conduite par Guy FEREZ « Un Nouvel équilibre »), le leader départemental du MoDem précise de son côté qu’il n’avait été informé de ce choix.

Il est vrai que les orientations stratégiques du MoDem, d’une ville à l’autre dans l’Hexagone, ne sont pas régies sous le sceau de l’uniformisation et l’harmonie.

Et Pascal HENRIAT d’énumérer le soutien du parti centriste au maire sortant de Bordeaux qui est LR, voire celui de la même obédience idéologique du Touquet qui se bat contre les candidats de La République en Marche. Dans le fief d’Emmanuel MACRON, paradoxe !

Bref, difficile de s’y retrouver dans ce kaléidoscope nébuleux sur les choix politiques et stratégiques !

« Parlons du député Guillaume LARRIVE, ajoute un Pascal HENRIAT détendu, ce dernier qui est membre du bureau politique des Républicains apporte son soutien aux maires de Nice et de Toulouse alors que ces derniers sont investis pat LREM ! Or, je n’ai pas entendu Laurent DEVELLE protester contre ces investitures aux candidats soutenus au plan national par l’élu de l’Yonne. Existerait-il deux poids, deux mesures ?! ».

Le mot démission revient sous le feu des projecteurs. Pascal HENRIAT a lui-même demandé, il y a un mois, le retrait de Laurent DEVELLE pour cause de double appartenance anormale.

« Ce monsieur cumule des responsabilités importantes au sein du MoDem et de La République en Marche dont il est coordonnateur pour Auxerre, alors que cela est formellement interdit… ».

Serein face à ce qu’il qualifie d’un « peu d’affolement » dans le camp de Laurent DEVELLE, le chef de file du Modem n’accorde que peu de crédits à ces « petites manœuvres politiques » visant à le déstabiliser.

« Vous savez, conclut-il, dimanche prochain, les électeurs voteront en leur âme et conscience pour une liste d’ouverture du centre droit ou une liste LREM/PS menée par Guy FEREZ et ses dix-neuf années de mandature en tant que maire… C’est cela le plus important à mes yeux, pas les gesticulations de Laurent DEVELLE à qui on fait jouer le rôle du petit toutou charger de mordiller les mollets ! ».

Quoi qu’il en soit, la cohésion au sein du MoDem départemental méritera que l’on s’y intéresse de plus près après ces élections…

 

 


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Le concept se nomme « madocBOX ». Opérationnel depuis plusieurs mois, il est l’œuvre d’un entrepreneur de l’Yonne, Joël CHAUDY qui possède plus d’une idée dans sa besace en matière d’innovation et d’ingéniosité. Simple d’accès, utile dans son usage au quotidien, d’un coût modéré selon les besoins et sécurisé, le produit pourrait à brève échéance révolutionner la sauvegarde et l’archivage des documents. Ceux qui sont indispensables dans les entreprises, certes, mais aussi parmi les cellules familiales…

NEUVY-SAUTOUR : Quelle est aujourd’hui votre orientation professionnelle sur le territoire ?

Je me spécialise depuis quelques années dans le développement d’applications métiers sur-mesure (tableaux de bord, deviseurs, EDI, calculateurs, CRM, GED, interfaçage de données, etc.).

 Au départ, l’idée est venue d’une demande d’un client que j’accompagnais depuis plusieurs années. Il cherchait une solution pour un deviseur spécifique. Comme il ne la trouvait pas, je lui ai dit « faisons-le ! ». Le bouche-à-oreilles a fait le reste. Il m’a permis de développer depuis beaucoup d’outils et d’applications métiers en interfaçage avec des logiciels et bases de données déjà existantes dans les entreprises.

Dans le développement spécifique, il n’y a pas de limites ni contraintes et quasiment tout est possible ! Mes clients n’avaient pas idée qu’il était possible de leur créer une solution « logicielle » compatible multi plateformes (PC, tablette et smartphone) par leur entreprise locale.

Parlez-nous de cette nouvelle application MadocBox initiée depuis peu ?

Le concept est parti de discussions avec plusieurs de mes clients, notamment des cabinets d’assurances qui recherchaient une solution alliant le partage de documents, une sauvegarde externalisée grâce à un outil simple d’utilisation sur le principe du glisser-déplacer.

Cette solution accessible sur PC/tablette/smartphone, compatible tout environnement (PC ou Mac), possède un hébergement dédié et sécurisé pour totalement protéger leurs données. Par les nombreuses fonctionnalités, il intègre un système d’auto-classement des documents, un système de notification par mail lors d’un dépôt ou d’une modification d’un document, un stockage de n’importe qu’elle type de documents (fichiers ou formulaires), un interfaçage avec leur base de données clients, une plateforme évolutive pour y ajouter ultérieurement des modules métiers, une solution économique sans coût de licence utilisateur,…

Bref, vous comprendrez qu’au départ, cela peut faire penser à une solution de GED (Gestion électronique de documents) mais que « madocBOX » va bien au-delà au niveau fonctionnel qu’un simple classeur documentaire.

Quelle différence existe-t-il avec une GED ?

Le produit a été conçu pour répondre aux besoins des personnes qui n’avaient pas encore trouvé la solution qu’elles recherchaient : intuitive, rapide, sécurisée, évolutive et personnalisable.

Par exemple, à ma connaissance, seule « madocBOX » permet la fonction du glisser-déplacer de documents depuis le bureau Windows vers la GED, de la GED vers le bureau et de la GED vers elle-même. « madocBOX » vous permet de transporter les données de votre entreprise lorsque vous êtes en déplacement avec la possibilité de consulter, ou d’ajouter un document en utilisant votre téléphone comme un scanner et de notifier les personnes que vous voulez. Il s’interface avec votre base de données clients et permet ensuite de créer des espaces sécurisés pour chacun. C’est une solution économique sur un principe d’abonnement uniquement basée sur une quantité de stockage sans tenir compte du nombre d’utilisateurs ni du nombre de documents stockés.

A qui s’adresse ce nouveau concept ?

La gamme « madocBOX » se décline aujourd’hui en trois versions : famille, pro, et premium : pour répondre aux attentes d’un usage domestique (centralisation et partage sécurisé de tous les documents administratifs d’une famille entre tous les membres), associatif (centralisation et partage des documents relatifs à la structure entre les membres du bureau mais aussi des adhérents), TPE ou PME (solution de GED avec une plateforme dédiée, personnalisable et évolutive, avec un propre nom de domaine et un certificat SSL).

A titre d’exemple, elle intègre déjà des modules additionnels développés spécifiquement pour les cabinets d’assurances (auto-classement de contrats, devis, sinistres, édition de cartes vertes en masse, accès à la fiche de chaque client avec toutes les coordonnées cliquables depuis les téléphones : SIRET, adresse, téléphone).

Pourquoi harmoniser et classer ses documents est-il aussi important de nos jours ?

A mon sens, la centralisation des documents d’une entreprise a toujours été vitale pour gagner du temps lorsqu’un employé doit rechercher un document dont il ne se souvient plus Si celui-ci se trouve dans un de ses propres mails ou si c’est son patron qui l’avait reçu ou encore si le document ne se trouve pas sur le serveur de l’entreprise mais encore faut-il savoir à quel endroit !

Ce scénario est quotidien dans la plupart des entreprises et le temps cumulé perdu (non productif) à rechercher est considérable. En réalité, les documents sont quelque part mais le problème est de savoir où. Et cela s’avère d’autant plus vrai lorsque vous êtes chez un client et que celui-ci vous demande son contrat ou bien vous donne sa pièce d’identité que vous allez devoir conserver et être en mesure de la rechercher ultérieurement…

Cela concerne-t-il uniquement les pièces essentielles de notre quotidien ?

Non. Cela concerne également tous les documents nécessaires à conserver pour des raisons légales, des documents techniques utiles occasionnellement, des photos, des liens URL, etc.

Comment de manière pragmatique cela fonctionne-t-il ?

Le concept est accessible depuis n’importe quel navigateur Internet et depuis n’importe quelle plateforme PC, Mac, tablette ou smartphone. Une fois l’authentification passée, l’interface se présente sous forme de dossiers, sous-dossiers et des documents avec prévisualisation du contenu, rotation des visuels et droits d’accès à personnaliser par dossier et document par personne.

Par défaut, un document ajouté hérite des droits du dossier parent et vous pouvez notifier la personne que vous voulez pour qu’elle en soit informée. Vous pouvez déplacer des documents ou dossiers par une simple application du glisser-déplacer.

Quels sont les traits avantageux de ce dispositif ?

Un accès simple, rapide et sécurisé aux documents de l’entreprise. Mais aussi, un auto-classement des documents scannés dans les dossiers clients. C’est la possibilité de créer un document PDF regroupant plusieurs documents existants dans différents dossiers, en le personnalisant par un code couleur.

La recherche sur les noms, descriptions et mots-clés des documents comme des dossiers est facilitée. De même, une corbeille permet de garder une copie des documents ou dossiers supprimés On peut avoir un aperçu des documents PDF ou images. Quant à la sauvegarde, elle est externalisée avec possibilité d’importation et d’exportation.

Quelles sont les cibles prioritaires développées par la société JCONSEIL ?

En version PREMIUM, le concept est adapté à toutes les entreprises de plus de dix salariés souhaitant disposer d’une plateforme d’échange de documents connectés à leur base client avec une possibilité d’intégrer des modules complémentaires propres à ses processus métiers.

Quel en aura été le budget et les aides pour l’avoir créé ?

Ce projet a été financé à 100 % par JCONSEIL et représente plus de 600 heures de développement. L’entité prend également en charge 150 heures de développement chaque année pour faire évoluer le service et y ajouter des fonctionnalités demandées par les clients.

Quelle sera la stratégie de commercialisation et marketing pour le faire connaître autour de soi ?

La stratégie de commercialisation est basée sur la recommandation des clients et un réseau d’agents commerciaux indépendants.

Quels sont les premiers retours auprès de la clientèle à ce jour ?

Le produit est déployé notamment chez des agents d’assurances, des sociétés informatiques, des artisans, des professionnels qui globalement ont tous les mêmes retours à l’utilisation : simplicité, rapidité, fluidité, mobilité et productivité. « madocBOX » PRO et PREMIUM réduisent considérablement les échanges de mails pour demander ou s’envoyer des documents en toute sécurité.

Mais le plus bénéfique et important que je peux constater concerne la productivité. Grâce à un gain de temps et surtout une sérénité collective, il permet de disposer des documents nécessaires à chaque fonction de l’entreprise.

Enfin, précisons que la version familiale centralise tous les documents de la maison et les partage entre tous les membres qui peuvent y accéder à n’importe quel moment et n’importe où : pièces administratives (cartes d’identité, mutuelle, passeport, permis de conduire, RIB, données médicales), documents à conserver (copies des factures ou photos en cas de sinistre), etc.

 

 

 


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L’effet de surprise est de taille. Il ébranle l’institution jusqu’à ses soubassements. Le premier vice-président du Département tire sa révérence et abandonne sa fonction. Un choix dûment réfléchi, construit, qu’il n’a pas arrêté à l’emporte-pièce. Cela faisait un moment que l’idée, loin d’être saugrenue à ses yeux, couvait dans sa tête. Lui, l’homme si tranquille, posé et toujours affable. Spécialiste du cénacle et de son arrière-ban. Fidèle d’entre les fidèles de l’actuel président qui, humainement, doit se sentir bien seul après le départ de l’un de ses bras droits. Une tour de contrôle qui intervenait pugnace et efficiente dans bon nombre de dossiers. Des orientations personnelles expliquent ce geste. Mais, quelles sont-elles véritablement ?  

AUXERRE : Personne n’a rien vu venir. Ni par le biais de son attitude. Ni dans ses propos. Ceux que l’élu d’Yrouerre tenait encore vendredi 07 février lors de la session plénière de l’assemblée départementale où furent évoquées dans l’hémicycle les orientations budgétaires 2020.

Pourtant, quarante-huit heures plus tard, les faits sont là. Maurice PIANON sort du jeu. Une décision mûrement réfléchie, qui lui est propre et surtout pas imposée par quiconque.

Désormais, il siègera parmi les rangs de la majorité au beau milieu de l’hémicycle, abandonnant sa fonction ô combien stratégique de premier vice-président. Dont acte.

Oui mais pourquoi un tel revirement de situation ? Le représentant du Tonnerrois connaît les rouages de l’outil institutionnel comme le fond de sa poche. Elu depuis 2001, il en a petit à petit gravi les échelons dans de successives vice-présidences abouties.

Sous l’égide d’André VILLIERS, l’ancien président de l’entité départementale, aujourd’hui député UDI de la seconde circonscription. Aujourd’hui, aux côtés de son successeur, le Républicain Patrick GENDRAUD.

Certes, Maurice PIANON ne briguera pas un nouveau mandat aux cantonales de 2021. C’est l’une des premières raisons qui justifie son choix.

« Il est préférable que le président d’une institution aussi importante que peut l’être le Département et qui souhaite poursuivre son travail s’appuie un an avant l’échéance sur des vice-présidents qui serviront de socle à sa politique… ».

Logique, on appelle cela l’art de l’anticipation. Mais, est-ce que pour autant cela suppose que l’on doit avancer son départ ?

 

Ne plus être pollué par le climat délétère ambiant…

 

Les véritables raisons de ce retrait pour le moins caractéristique de l’élu de l’Yonne sont à rechercher ailleurs. Au sein de l’environnement délétère qui secoue depuis plusieurs mois l’hémicycle.

Maurice PIANON, et il le précise sans rechigner, ne supporte plus d’être « pollué » à chaque séance par les atermoiements et les chicayas de certains de ses collègues.

« Je n’ai pas choisi de vivre un mandat politique au service de mes concitoyens et dans l’intérêt de l’attractivité de mon territoire pour assister à ce genre de choses qui ne m’intéresse absolument pas. J’en ai marre de ces allégations, dénonciations, invectives, attitudes négatives qui peuvent être fondées ou pas, lorsque je me consacre à ma fonction. Je me considère comme un homme libre en politique, ce qui a toujours été et le restera jusqu’au terme de ce mandat au printemps 2021 ma marque de fabrique personnelle. C’est mon ADN vital, en quelque sorte… ».

Toutefois, l’ex-premier vice-président n’incrimine personne en particulier. La lassitude a gagné du terrain et désormais, il est profondément désabusé devant de tels faits qui ne lui correspondent pas.

 

 

Préserver la qualité de vie et sa sérénité…

 

Les enjeux bassement politiciens et l’actualité inhérente aux municipales, avant que ne s’enclenchent dès l’année prochaine les autres échéances électorales lui font craindre le pire côté climat et ambiance !

« Je souhaite demeurer serein et en retrait face à tout ceci, ajoute Maurice PIANON, et garder ma confiance envers celles et ceux qui font de l’excellent travail et qui ne se plaignent jamais ! J’ai pris cette décision sans animosité aucune envers qui que ce soit. Mais, moi, je n’ai plus envie d’écouter les férus de ces manœuvres de déstabilisation ! Je préfère préserver ma qualité de vie loin de toute cette dérive humaine et non de l’institution en laquelle je crois et que je respecte profondément… ».

Prévenu, Patrick GENDRAUD a pris soin de valider la décision de son plus fidèle frère d’armes. En la regrettant dans son for intérieur, on s’en doute.

« Il faut se garder de tout clivage, ajoute le vice-président démissionnaire, et travailler ensemble en faisant face aux enjeux qui se présentent à nous. Il faut aussi s’abstenir de toutes convoitises et n’exercer son mandat que dans l’unique intérêt de celles et ceux que nous servons : c’est-à-dire nos concitoyens qui nous ont élus… ».

Des paroles emplies de sagesse, prononcées par celui qui aimerait une réelle prise de conscience profonde de la classe politique départementale après son acte fort et irrévocable.

Afin, l’espère-t-il, d’enrayer le phénomène de désagrégation constante qui pointe le bout de son nez à l’horizon…

 


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Premiers jours de départ vers les stations de sports d’hiver. La mobilisation des forces de l’ordre aura été maximale aux abords des autoroutes et routes de notre département. Objectif : contenir les envies excessives des automobilistes de brûler les étapes. Celle, de la vitesse. Qui se traduit par un gain de temps précieux selon les adeptes de la glisse, pressés d’en découdre sur la poudreuse. Oui mais voilà : le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a quelque peu bouleversé leur style de conduite lors de l’opération initiale de sécurisation du réseau. Entre prévention et prise de conscience…      

MONETEAU : Le survol de l’hélicoptère au-dessus du ruban autoroutier de l’A6 n’était pas pour le « fun ». Juste pour constater qu’en cette heure tardive de la journée, un vendredi en fin d’après-midi de début de vacances pour les Franciliens, la densité de la circulation virait déjà presque au rouge.

Alors, à peine descendu de l’appareil qui lui aura permis de faire ce tour de reconnaissance avec un soleil tombant, Henri PREVOST a voulu se montrer pédagogue pour expliquer un tel déploiement des forces de l’ordre sur la zone de péage de la bretelle Auxerre-Nord.

« Sécuriser les départs de vacances des Parisiens et Franciliens n’a d’autres vocations que de rappeler à ces automobilistes qu’ils doivent arriver à bon port sans encombre. On le sait : ce jour-là, l’excitation et la fatigue, après une journée de travail, sont à leur paroxysme. Or, déployer en les cachant pas les forces de l’ordre rappelle à toutes et à tous qu’au volant, il est bon d’adopter un comportement responsable. Beaucoup d’éléments distracteurs (en particulier le téléphone) créent de la gêne à une conduite apaisante. Si l’on respecte les fondamentaux évoqués par le Code de la Route (une vitesse maîtrisée, l’observation de pauses régulières toutes les deux heures, s’arrêter au moindre signe d’endormissement…), les déplacements s’effectuent alors dans la sérénité. Il ne faut jamais regretter le kilomètre de trop car les accidents surviennent à cause d’une somme de conjonctions multiples… ».

Et c’est vrai qu’en matière accidentologie et prévention, le haut-fonctionnaire a eu largement le temps de faire ses gammes avant qu’il n’endosse la vêture de préfet. Durant plusieurs années parmi le staff décisionnel de la Sécurité routière nationale.

 

 

 

Le préfet ne baissera pas la garde pour gagner ce combat…

 

 

Est-ce à dire que son appétence pour cette thématique va le conforter à accentuer les contrôles sur le département de l’Yonne, l’un des plus meurtriers de l’Hexagone ?

Henri PREVOST ne baissera pas la garde tant qu’il sera à ce poste dans le nord de la Bourgogne ; c’est une certitude. Autant de vies gâchées par le deuil imputable au décès d’un être cher ou le handicap du survivant, paralysé à jamais dans un fauteuil, ne peuvent le laisser insensible, loin s’en faut.

Le préfet de l’Yonne ne souhaite qu’une seule chose à l’échelle de son territoire : la modification des comportements.  

Certes, il existe des sanctions pour les contrevenants récidivistes. Mais, le représentant de l’Etat pense davantage à la prévention pour réussir ce pari.

« Tous les acteurs de la sécurité routière vont être mobilisés avec comme objectif prioritaire de propager les messages forts parmi toutes les strates de la population. Y compris dans les écoles… ».

Alors que l’année 2019 s’est conclue sur une très mauvaise note en termes d’accidentalité (41 décès), le préfet de l’Yonne envisage-t-il raisonnablement d’inverser cette funeste tendance au cours des onze prochains mois ?

« Le chiffre idéal à atteindre serait celui de zéro ! Une disparition est toujours de trop. Et malheureusement, le mois de janvier a déjà endeuillé des familles aujourd’hui malheureuses. Nous n’avons d’autres solutions que d’accepter les règles et les contraintes que nous impose le Code de la Route. C’est le prix à payer pour ne pas finir son existence au détour d’une courbe prise trop rapidement ou contre un arbre… ».

 

 

Trop de routes droites qui incitent à la vitesse…

 

Certes, mais qu’est-ce qui peut alors expliquer cette propension aux accidents mortels dans ce territoire ?

« Nous sommes en présence d’un département qui possède un réseau dense de longues routes droites, argumente Henri PREVOST, elles se pratiquent à la circulation avec relative aisance ; les conducteurs accentuent les risques en matière de vitesse et finalement, ils perdent le contrôle de leur véhicule avant de se tuer… ».

A cela, s’ajoutent les ingrédients favorables à l’accidentologie : l’alcool et surtout des comportements néfastes où l’incivisme et le non-respect d’autrui sont devenus légion.

« Aujourd’hui, mon objectif est de comprendre et de réduire avec les équipes concernées, ces risques et leur causalité afin de les maîtriser… ».

Reste pour conclure les indécrottables « Icaunais réfractaires » qui polluent de leur présence irrespectueuse les routes de notre département. Que leur dire en vérité ?

« Le message que je leur délivre est simple, conclut Henri PREVOST, c’est leur vie, celles de leurs proches et celles des autres qui sont en jeu. J’en appelle à la responsabilité civique et citoyenne de chacun pour endiguer ce fléau qui ne doit plus nous mettre en danger chaque jour sur les axes de circulation… ».

Sera-t-il entendu par ces « fous » du volant ?

 

 

 


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Il s’agissait de retrouvailles. Celles qui se manifestent après la supposée trêve salvatrice des confiseurs. Le Conseil départemental organisait sa première séance plénière de la nouvelle année ce vendredi 07 février. Avec pour objectif d’examiner les orientations budgétaires à la veille d’un rendez-vous pré-électoral qualifié d’important. Les échéances, attendues par certaines et certains, surviendront en effet au cours de 2021. Nonobstant, l’occasion fut donnée au président de l’hémicycle, Patrick GENDRAUD, de prononcer son discours d’intérêt général. Histoire de rappeler que l’institution se devait de rester un lieu d’expression légitime et respectable…

AUXERRE: Orateur qui s’affirme de sessions en séances depuis son accession au perchoir, l’ancien édile de Chablis aime remettre les points sur les i quand il le juge nécessaire. Et avant l’examen des orientations budgétaires de l’exercice en cours, l’élu de l’Yonne ne s’en est pas réellement privé. Dès l’amorce de ce long discours faisant office de préambule à la séance publique.

« Vous le savez, commença-t-il, je suis de ceux qui considèrent l’humain, le dialogue et le débat comme essentiels… ». Une pause. Avant de renchérir : « Car nous avons une responsabilité en servant l’Yonne et ses habitants de respecter l’institution en étant détaché de postures personnelles ou électoralistes… ».

Invitant l’assistance à adopter ce fil conducteur qu’il souhaite tisser tout au long de l’année 2020, Patrick GENDRAUD s’est ensuite plongé dans le bilan financier de l’exercice écoulé. Une année 2019 où la situation des comptes de la vénérable institution s’est améliorée.

« Notre épargne brute atteint aujourd’hui les 42 millions d’euros ; elle a ainsi pratiquement doublé depuis deux ans puisqu’elle s’établissait à l’époque à 24 millions d’euros… ».

La recette miracle déployée pour y parvenir se résume en une seule phrase : une gestion saine, responsable et rigoureuse que le président de l’exécutif a respectée.

« L’encours de notre dette s’établit à 216 millions d’euros au 31 décembre soit près de 30 millions de moins en trois ans… ».

 

L’attractivité nécessaire à l’Yonne : la priorité !

 

Quant à la durée de remboursement, elle est passée de dix ans en 2017 à cinq ans aujourd’hui. D’où le satisfecit mesuré de Patrick GENDRAUD qui en partage les bénéfices avec l’ensemble de ses coreligionnaires, ceux –cela semble naturel – de sa majorité, mais aussi, dans un souci de main tendue, à celles et à ceux des élus qui appartiennent à des groupes d’opposition.

« Vous êtes restés dans une démarche objective et sans arrière-pensée en contribuant aux travaux engagés par les commissions et en votant, en majeure partie, les rapports présentés devant cette assemblée… ».

Le consensus, toujours et encore, dans les propos du président.

Ce travail collégial qu’il affectionne, Patrick GENDRAUD ne souhaite pas en déroger les règles durant les onze mois à venir. Au contraire.

« Je sais que l’Yonne a besoin de toutes les énergies pour se développer et gagner en attractivité… ».

Un mot qu’il emploie pour donner de l’envie et du dynamisme à l’institution.  

 

 

Un budget établi sans hausse de la fiscalité

 

Présenté au vote au mois d’avril, ce budget 2020 repose sur deux priorités. Le contrôle continu des dépenses de fonctionnement, d’une part, et la relance immédiate des investissements structurants.

D’un montant de 346 millions d’euros, les dépenses resteront maîtrisées. Celles se rapportant au personnel qui travaillent au sein de l’organisme (59 millions d’euros) viseront la stabilité.

Patrick GENDRAUD persiste et signe lorsqu’il évoque le « bon social ». Ce socle indispensable qui permet de préserver la cohésion d’une équipe.

« Nous pouvons être fiers de l’action conduite et nous n’avons pas à rougir d’assumer, pleinement et totalement, les missions qui nous sont dévolues, précise-t-il.

Le patron du département fait alors allusions aux domaines de compétences régaliennes de l’organisme : l’insertion, l’enfance, le handicap, l’aide aux personnes âgées. D’ailleurs, 228 millions d’euros devraient encore consacrées à l’ensemble des dépenses sociales en 2020.

Pour autant, les territoires et l’animation des zones urbaines et rurales ne seront pas dispensées de ressources. Il en va de même pour les acteurs du monde sportif, culturel et touristique. L’enveloppe affectée à ces postes équivaut à 5,5 millions d’euros.

 

  

Des efforts en termes d’organisation et de rationalisation…

 

Des efforts, le Conseil départemental a en fait. La vente de l’ancienne Maison du tourisme, sise sur les quais de l’Yonne, l’atteste. La cession des ex-locaux du Département le prouve. Le parc automobile a réduit la voilure. Le mot d’ordre est aux économies : elles vont permettre  à l’institution de se repositionner sur d’autres registres prioritaires.

En particulier, grâce au déploiement de la fibre optique, à la suite de la délégation de service public conclue avec le groupe ALTITUDE Infrastructure, récemment. Un projet qui s’élève à 260 millions d’euros d’investissements in fine mais qui ne coûte rien à la collectivité.

Pour ce qui est du socle d’intervention plus traditionnel, le président GENDRAUD entend bien réinjecter des fonds à l’amélioration de l’entretien et du renouvellement des chaussées.

« Nous allons pouvoir multiplier pratiquement par trois ces investissements en 2020, devait-il préciser.

C’est ainsi que près de dix millions d’euros vont être consacrés aux travaux de voirie. Plus de onze millions de crédits de paiement iront au financement de la déviation de Sens et la réhabilitation du pont, à Pont-sur-Yonne. Signalons, enfin, que plus de 20 millions d’euros serviront à rénover les ouvrages d’art et les infrastructures routières. Contre sept millions d’euros l’an passé.

Reste le volet des collèges et des EHPAD. Ceux-ci ne sont pas oubliés par ces directives budgétaires. Près de 13 millions d’euros de crédits de paiement se destinent aux investissements dans les établissements scolaires du second degré. L’objectif est simple : y déployer la qualité pédagogique, la sécurité, mais aussi l’amélioration thermique des bâtiments.

Quatre millions d’euros seront proposés au renforcement de la performance énergétique des collèges.

« Il est impératif que notre action environnementale ne se cantonne pas à la seule alimentation ou à la gestion des déchets dans nos établissements, souligna Patrick GENDRAUD, notre action doit être plus volontariste, peut-être à travers des expérimentations plus originales… ».

Du côté des EPHAD, son de cloches similaire : une aide à l’investissement qui pourrait s’élever à 15 % des dépenses éligibles engagées dans un plafond de 75 000 euros par place est prévue dans les tuyaux.

Patrick GENDRAUD donna ensuite une définition précise du rôle de ce que doit être le Département au quotidien : « C’est un animateur du changement, toujours sérieux et responsable ; un fédérateur capable d’engager ses partenaires dans des dispositifs vertueux, favorables et utiles pour nos concitoyens… ».

Laissant le pessimisme et l’opportunisme à d’autres, comme il se plût à le signaler au moment de conclure…

 

 

 


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