Et de cinq pour la Communauté de communes du Grand-Sénonais qui prendra part ce jeudi 03 octobre à une nouvelle édition des Rencontres industrielles de Bourgogne Franche-Comté ! Une excellente opportunité pour sa présidente Marie-Louise FORT de rappeler à qui voudra l’entendre le poids que représente cet incontestable « poumon économique » dans le paysage régional…
SENS : Le Grand-Sénonais ne fera pas le déplacement à vide dans la capitale de l’Yonne ce jeudi. Bien au contraire, la vénérable institution disposera d’une vitrine conséquente, visible sur le fameux évènementiel industriel, les RIDY, concoctés tous les deux ans par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.
A l’instar de la précédente édition, la communauté de communes du nord de l’Yonne fera toute la lumière sur les aspects qualitatifs justifiant l’attractivité de ce secteur géographique qui profite de la proximité francilienne.
Labellisé territoire industriel, travaillant en étroite osmose avec l’Aube et la Haute-Marne, le Sénonais demeure dans les esprits le « poumon économique » de notre territoire. Il entend bien le conforter même si, plus au sud, l’Auxerrois souhaite lui contester ce titre non officiel.
Sans doute présente à la tribune inaugurale comme en 2017, Marie-Louise FORT, édile de Sens et présidente du Grand-Sénonais, incitera-t-elle, comme elle sait si bien le faire lors de ses élans oratoires, les investisseurs et entrepreneurs de l’Yonne et des départements limitrophes à poser leurs jalons professionnels en choisissant sa contrée. C’est aussi l’autre enjeu de ces Rencontres industrielles !
Un article réalisé avec le concours du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens.
Les Positives entreprises de Bourgogne Franche-Comté, voire celles d’ailleurs, ne bouderont pas leur plaisir de s’immerger le temps d’une journée de découverte au cœur de la manifestation la plus attendue de la sphère économique régionale depuis…l’automne 2017 ! Si l’industrie du futur demeure le cheval de bataille de l’organisateur de ces rencontres novatrices (la CCI de l’Yonne), un accent particulier sera mis autour du développement du numérique et de l’international lors de forums. Quant à l’astronaute Patrick BAUDRY, parrain de l’animation, il devrait accompagner les entrepreneurs dans la stratosphère…de l’innovation.
AUXERRE : « Are you ready for the RIDY ? Yes, sir ! ». La Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne peaufine les ultimes réglages de l’un des évènements phare de l’année, les non moins célèbres Rencontres industrielles de Bourgogne Franche-Comté qui nous reviennent tous les deux ans avec leur lot d’agréables souvenirs.
Ne dérogeant pas à la règle du succès qui a fait de cette manifestation chère au président consulaire Alain PEREZ un incontournable dans le paysage, l’édition 2019 promet d’être d’une grande cuvée à la lecture du triptyque bien ficelé faisant office de programme.
Un mot, déjà, sur l’invité d’honneur. La personnalité atypique des milieux économiques qui cautionne le pourquoi de ces retrouvailles biennales n’est autre que l’astronaute français Patrick BAUDRY ! Une pointure en matière de technologie, de mobilité spatiale et d’innovation.
Le spationaute interviendra lors d’une conférence où sera ouvertement évoqué le futur de l’industrie et ses répercussions sur notre environnement sociétal. Gageons que le personnage charismatique en connaît un rayon sur le sujet !
« Décollez vers l’industrie du futur », le thème de sa causerie, déclinera à grand renfort d’exemples et de vécus personnels, la mise en pratique d’une recherche permanente de l’excellence. Par le biais de l’innovation, le maître mot en substance de ces RIDY 2019.
Démonstrations et conférences : le copieux programme de l’édition 2019…
La présence de 250 exposants (des industriels jusqu’aux fournisseurs sans omettre les prestataires inhérents à la filière) confirme que les RIDY ne dépareillent absolument pas avec l’environnement offert par le microcosme territorial. Bien au contraire, la CCI de l’Yonne endosse sa vêture de catalyseur de nouvelles idées, de soutien aux concepts porteurs et de relais vis-à-vis de projets qui se signent en bout de course.
Les PME, les groupes industriels, les start-up innovantes n’hésiteront pas à parcourir des kilomètres depuis le Loiret, l’Ile-de-France, la Franche-Comté, l’Aube pour se rassembler en cette journée du 03 octobre sous cette bannière militante et identifiable en faveur de la créativité et des affaires.
A grand renfort d’ateliers, de tables rondes (celle déclinée sur les dispositifs offerts par la French Lab, la French Tech et Territoires d’industrie), de conférences (les droits à la propriété, la vulnérabilité du volontariat ou encore les étapes clés pour réussir avec le web) seront autant d’espaces de réflexion mis à profit de l’intelligence collective et de l’inventivité d’entrepreneurs en quête de précieuses informations.
L’aspect démonstratif sera assuré avec plusieurs programmes de robotisation, d’automates, de manutention, de production additive, de modélisation ou de solutions d’efficacité énergétique.
L’humain, et les ressources en emplois, figureront aussi en bonne place dans ce grand village consacré à l’activité industrielle régionale. Des offres d’emplois proposées par la noria d’exposants et partenaires se découvriront à la lecture de la référence multimédia, www.ridy-bourgogne.com.
Des bosses, un dénivelé impressionnant, de puissants véhicules issus de la grande famille des 4X4 et des SUV à découvrir, de l’affluence et une ambiance festive : il n’en fallait pas davantage pour transformer ces essais privés 2019, concoctés par le groupe automobile régional, en une véritable réussite…
BRIENON : Il n’y a pas à dire mais le milieu de l’automobile passionne toujours les foules. De surcroît lorsqu’il s’agit de venir tester sur un terrain de circonstance le dernier cri en la matière, les tonitruants 4X4 et SUV produits par des marques emblématiques telles que VOLKSWAGEN, AUDI, NISSAN ou SKODA.
Le circuit, tout d’abord, n’était fait que de montées et de descentes à tout crin pour laisser libre court à l’art et la manière de piloter ces petits bijoux de technologie et de puissance confiés aux mains expertes des collaborateurs de l’hôte de ces lieux.
Le public ne pouvait rêver mieux pour pouvoir s’éclater en toute impunité sur cet espace réservé à cet effet. Opportunité de vivre d’agréables sensations de liberté, d’apprécier la nature sous une toute autre physionomie et d’évacuer le quotidien composé des miasmes de la vie ordinaire. Bref, ce grand bol d’oxygène placé sous le signe du soleil et de la chaleur nous le devions au réseau de concessionnaires, JEANNIN Automobiles.
Chaque année, à pareille époque, celle qui jouxte l’un des évènements majeurs de l’actualité motocycliste de notre territoire, le « Super Cross », Yves JEANNIN et ses troupes de techniciens et de commerciaux emmènent tout ce petit monde (la clientèle et les prospects) se refaire une virginité « mécanique » à base de sensations fortes sur ce complexe sportif idéalement étudié à cet effet.
Plus de mille six cents participants conviés à la fête…
Et la finalité de la chose en matière de communication, c’est que la formule, dupliquée par capillarité depuis des lustres, fonctionne à merveille ! Excusez du peu : mais, quel événementiel automobile décliné dans notre paysage territorial peut fédérer aujourd’hui plus de mille six cents participants sur un laps de temps aussi court, compris entre seize heures et vingt-trois heures un après-midi ?
Bien sûr, il y aura peut-être eu quelques frustrations parmi ce public d’aficionados de ces marques. Celle de ne pas avoir eu le temps de toutes les essayer, accompagnés des pilotes de l’entreprise !
Certains se rabattront sur les ateliers et stands démonstratifs prévus à cet effet. D’autres, accompagnés de leur progéniture, se dirigeront tout de go vers les structures gonflables. Quelques-uns, un tantinet plus courageux que d’autres, iront même tester leur capacité physique et de résistance sur des cycles d’entraînement sur l’un des points d’accueil que SKODA propose au village étape du Tour de France.
Une chose est évidente : chacun aura envie de revenir dès la saison prochaine tester les nouveautés du groupe avant de se sustenter aux sonorités musicales d’une formation endiablée. Faisant rimer découverte de l’observation et aux plaisirs de goûter aux bonnes vibrations !
La région Rhône-Alpes Auvergne a reçu des crédits de l’État approchant les neuf milliards d’euros pour subventionner l’implantation de panneaux solaires. Entre les retraites, les Gilets jaunes qui tentent de nous rejouer l’acte II de la pièce, les élections municipales qui se profilent, les éclats de BOLSONARO, l’affaire FERRAND qui pourrait devenir une nouvelle affaire de RUGY : le gouvernement ne sait plus où donner de la tête. Alors, il y a l’écologie pour nous sauver et surtout, faire diversion. Dans la panoplie « écologico-électorale » s’inscrit donc l’installation de panneaux solaires, hic et nunc !
TRIBUNE : Et les perches, que viennent faire les perches là-dedans ? Pour avoir souvenance des perches, il faut approcher la soixantaine. Les perches ! Il ne s’agit ni des poissons d’eau douce, ni des longs bâtons de ceux qui tentent de sauter très haut. Les perches ; ce fut une marotte d’EDF après 1973. Pourquoi donc ? Faisons un saut dans l’Histoire. En octobre 1973, une coalition de l’Égypte, de la Syrie et de l’Irak franchit le canal de Suez et avança vers Jérusalem. Tsahal, l’armée israélienne se ressaisit et marcha vers Le Caire. L’ONU, les Américains, les Russes dirent : « Les enfants ça suffit. Que chacun retourne sur ses positions antérieures... ».
On croyait que l’affaire était terminée. Pas du tout. Les Arabes se rappelèrent « qu’ils avaient du pétrole sous les pieds ». Et ils multiplièrent le prix du pétrole par trois. Les Européens et, à un moindre degré, les Américains, découvrirent que le pétrole ce n’était pas comme l’air. C’était un bien qu’il fallait payer. Ce fut un réveil brutal. D’autant plus que quatre ans plus tard, ils reçurent un deuxième coup de massue dans les réservoirs de leurs automobiles et dans les cuves de leur chauffage. Le pétrole avait triplé une deuxième fois.
Se soustraire du joug énergétique du Moyen-Orient…
C’est à cette époque que l’on ferme la parenthèse de cette période unique dans l’histoire économique de l’humanité qu’on appelle « les trente glorieuses »’. Mais à l’époque on n’en avait pas encore conscience. On a simplement constaté que le pétrole appartenait aux Arabes, entre autres, et qu’il fallait le payer.
« Quand on n’a pas de pétrole, il faut avoir des idées », disait-on à l’époque. Donc, des ingénieurs eurent l’idée des perches. Les perches, c’était un système pour pomper les calories des nappes phréatiques. Perches par-ci, perches par-là : on voyait partout des publicités sur les perches. Donc on plongeait hardiment ces appareils dans l’eau et on captait sans retenue les calories.
Seulement voilà, quand on a absorbé toutes les calories d’une nappe phréatique, il ne reste que des frigories ! Ça, c’est un phénomène naturel auquel nos brillants ingénieurs n’avaient pas songé. Et tous les braves « gogos », qui avaient adopté sans retenue les perches, se retrouvaient Grosjean comme devant !
Des perches autrefois, aujourd’hui des panneaux solaires… on a repris la rengaine. Certes, direz-vous, le soleil, ce n’est pas une nappe phréatique. Il va luire encore pendant des milliards d’années. Donc la comparaison n’est pas justifiée. En êtes-vous si sûrs ?
Dépendance à la Chine au niveau des terres rares…
Savez-vous à partir de quoi fabrique-t-on les panneaux solaires ? À partir des terres rares. D’où viennent les terres rares ? Essentiellement de Chine. La Chine extrait 80 % des terres rares et en raffine 90 %. Donc, à l’heure actuelle nous sommes vis-à-vis des terres rares, totalement dépendants de la Chine. Comme nous étions dépendants des Arabes pour le pétrole lors des crises de 1973 et 1977. Or, nous, les Européens et les Français en particulier nous n’avons pas de réserves significatives de terres rares… guère plus que de pétrole !
De plus, le développement de mines et d’usines métallurgiques de terres rares est aussi complexe que coûteux. En effet, l’extension de la production est bridée par la faible teneur du minerai, qui suppose une extraction extensive, et la difficulté de séparer des produits mystérieux qu’on appelle les lanthanides, (il y en a 15 !) auxquels on ajoute l’yttrium et le scandium.
Et maintenant, le coup de grâce : tout ce processus est très consommateur d’énergie et source de pollution énorme pour l’environnement. Dernière question : que fera-t-on de tous ces panneaux quand ils seront hors d’usage ? Vous voyez, on n’est pas sorti de l’auberge !
Entre perches et panneaux, c’est un véritable imbroglio !
Emmanuel RACINE
Proposée sur une cadence bimestrielle, la formule offre une excellente opportunité pour les entrepreneurs de l’Yonne septentrionale de pouvoir se rencontrer en découvrant à chaque rendez-vous les spécificités des métiers exercés. La trêve estivale se situant derrière nous, la Communauté d'agglomération du Grand-Sénonais convie une trentaine de dirigeants ce mardi 17 septembre à la visite de la filiale française du groupe MATISA, un spécialiste des équipements de pose et renouvellement de voies ferrées…
SENS : Le site industriel de la zone des Sablons recevra dès 8 heures ce mardi matin une petite délégation d’entrepreneurs et d’institutionnels, invités par la structure communautaire. Une reprise toute en douceur et de bel aloi, après environ trois mois de rupture imputable à la très longue pause estivale.
Mis en place au terme de l’été 2014, les « petits déjeuners d’entreprise » du Grand-Sénonais commémorent leur cinquième année d’existence ce mois-ci.
Compte tenu de l’appétence de ses participants à vouloir découvrir de nouveaux cadres professionnels, le schéma permettant d’entretenir un réseau relationnel efficient n’est pas prêt de s’interrompre visiblement. La demande est toujours forte pour y prendre part, sachant que le nombre de convives est à chaque fois limité pour des soucis logistiques.
D’autant que l’instigatrice de ces contacts privilégiés avec la sphère de l’entrepreneuriat, l’édile de Sens, Marie-Louise FORT, présidente de l’Agglomération, prend plaisir à y participer.
Des visites couplées à des échanges liés à l’actualité économique…
Avantage de ce processus d’échanges directs pour l’élue : tâter le pouls des milieux économiques et anticiper sur leurs divers projets. Les concepteurs de ce module d’expression et d’immersion en entreprise profitent aussi de ces retrouvailles pour y développer des thèmes de réflexion.
A titre d’exemples, le développement de la fibre optique, les aides apportées par BPI, les pistes menant à la formation supérieure ou l’insertion des travailleurs handicapés en entreprise ont représenté autant de sujets de discussion abordés au cours de précédentes rencontres.
En juin, dernier, dans les locaux du centre d’affaires, EUROPOLE, piloté par Thierry HOFFMAN, il fut même question des gens du voyage et la complexité de gérer ce type de dossier en cas de délogement lors d’occupation intempestive de terrains industriels par des caravanes.
On l’aura compris : il n’y aucun tabou sur les sujets d’actualité proposés en marge de la visite d’entreprise accueillante.
Parmi celles-ci, on peut citer CHEVILLON Imprimeur, ABA, TUBAUTO, CHAROT ou encore FMC. On sait déjà que le calendrier du mois de novembre favorisera la découverte de la société CHEMETAL BASF.
Un article en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens