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Multipliant depuis plusieurs années récompenses et intérêt des médias, l’entreprise familiale auxerroise est en quête de partenaires pour se développer afin de viser un marché plus large. Inventeurs d’un moteur transformant directement l’énergie solaire en énergie mécanique, Gilles COTY et son épouse, Isabelle GALLET-COTY, codirigent la start-up depuis cinq ans, s’appliquant à en maintenir ses valeurs, mêlant l’éthique à l’innovation.

 

AUXERRE : Il y avait comme un parfum d’Afrique ce lundi après-midi, du côté de la rue des Mignottes à Auxerre, où est installé le show-room de SAUREA. Sous un soleil de plomb, une pompe à eau semblait respirer, au rythme du moteur assisté par des panneaux solaires, tandis qu’un peu plus loin, un brumisateur offrait ses gouttelettes salvatrices au visiteur…

Le continent africain fait d’ailleurs partie du cœur de cible de l’entreprise, notamment au travers d’ONG comme « Electricité Sans Frontières » au Burkina Faso. La motorisation d’un système de pompage manuel déjà en place ne nécessite pas de maintenance, rendant d’autant plus facile son utilisation. Pas d’électronique embarquée ni besoin de batteries, diminuant d’autant les risques de panne et augmentant ainsi la durée de vie de l’installation.

Un simple moteur de 130 watts mécaniques remplace le travail quotidien dévolu comme trop souvent en pays émergent, à des femmes ou des enfants. Un système de pompage comme celui présenté, permet dans les villages les plus reculés, d’aller chercher de l’eau à 8 mètres de profondeur, voire jusqu’à 20 mètres, via un système de rallonges avec un débit de l’ordre de 14 litres par minute.

Une réponse appropriée aux besoins des cultures vivrières et des habitants qui ont, bien avant nous, pris conscience du caractère sacré du précieux liquide et de la nécessité absolue à ne pas le gaspiller. A l’image de ce lycée burkinabé, explique Gilles COTY, où grâce au système de motorisation installé, le volume d’eau pompé chaque jour suffit aux besoins des 60 élèves pour les douches et la cuisine, leur assurant un peu de maraîchage et même la possibilité de revendre l’excédent d’eau disponible !

 

 

La montée en puissance grâce à la levée de fonds…

 

Aujourd’hui, l’entreprise auxerroise part à la conquête de nouveaux marchés en lançant une levée de fonds auprès d’investisseurs privés. Le champ des possibles est ouvert. Les domaines d’application sont nombreux, sur tous les continents : de l’agriculture (brumisation et aération des stabules, séchage des foins, approvisionnement en eau), à l’aquaculture pour l’oxygénation des bassins d’élevage, en passant par les collectivités (aération des bâtiments, brumisation urbaine, irrigation des espaces verts…).

Avec pour seul plafond, la puissance des moteurs, aujourd’hui limitée à 250 Watts mécaniques. Le premier moteur solaire autonome existant au monde, peut aussi intéresser le mix énergétique national, à l’image du système installé pour l’irrigation d’un jardin communautaire à Auxerre, ou l’aménagement d’une maison autonome. L’un des objectifs visés par la levée de fonds est de monter en puissance pour augmenter le nombre de moteurs fabriqués, de manière à en abaisser le coût final, notamment à destination des pays en voie de développement.

A ce jour, une vingtaine de kits ont déjà été installés. Le début du chemin, explique dans un sourire Isabelle GALLET-COTY : « mais pour continuer la route, il nous faut des financements, il nous faut nous développer et il nous faut des commandes ! ».

Et faire d’une histoire familiale, initiée par son beau-père Alain COTY, une saga dont on entendra longtemps, très longtemps, parler…

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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A l’invitation de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne, les candidats aux régionales ont été conviés à une rencontre explicative, se rapportant à l’un des volets essentiels de leurs programmes : l’économie. Quoi de plus naturel en somme que d’exposer les axes prioritaires de cet item face aux chefs d’entreprise, premiers concernés par lesdites mesures ! Sauf que sur les sept listes invitées à cet exercice oratoire, quatre s’étaient faites porter pâles ! Inquiétant quand toutes évoquent  l’attractivité du territoire !

 

AUXERRE : Un succès, cette rencontre informelle entre les représentants du conseil d’administration de la CPME de l’Yonne et les acteurs du monde politique, prétendants conquérir les sièges de l’hémicycle régional ?

Oui à plusieurs titres ! D’une part, pour l’originalité de la démarche, déclinée au plan de l’Hexagone, par toutes les délégations départementales de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises qui souhaitaient faire plus ample connaissance avec la liste pléthorique de candidats à ces échéances en découvrant le fondement de leurs programmes économiques.

D’autre part, pour évaluer avec exactitude et à sa juste valeur ce que représente réellement le poids de l’économie et de ses perspectives au-delà d’une simple profession de foi adressée dans chaque foyer sous pli postal.

Au vu de l’avalanche de déclinaisons négatives à cette requête, au demeurant parfaitement bien fondée pour tout électeur qui se respecte, on pourrait y ajouter un troisième aspect. Fondamental !

Découvrir la réelle appétence accordée par certains candidats à cette dimension économique et entrepreneuriale qui reste, et de très loin, le socle même de notre société et de son fonctionnement à bien des égards.

Que serait en effet la culture, l’aménagement du territoire, la vie sociétale et sociale, le développement du numérique et des technologies, la notion de l’enseignement, de l’orientation et de la formation, le tourisme et les arts de vivre, sans cette valeur intrinsèque de l’économie et de son corollaire primordial, l’emploi !

 

 

Trois réponses positives sur les sept listes en présence : pas sérieux s’abstenir !

 

Visiblement, et nonobstant ce qui est imprimé sur une rudimentaire feuille de papier A4, certaines de ces candidatures visant à accéder au pouvoir exécutif régional au soir du 27 juin (l’organe institutionnel possède seul la compétence économique territoriale avec les EPCI sur les départements) ont dû oublier de leur pensum de campagne qu’ils devaient aller obligatoirement à la rencontre de ces entrepreneuses et entrepreneurs qui justifient à eux seuls leurs engagements !

Comment peut-on expliquer alors que sur les sept listes concourant à cette échéance électorale capitale pour les six prochaines années de la mandature régionale, quatre se soient abstenues de répondre aux représentants de la CPME de l’Yonne ? Est-ce ainsi qu’ils traitent les acteurs de l’économie, ceux qui portent à bout de bras tous les rouages financiers de la société ? Et nourrissent et font vivre leurs futurs administrés ?

Même si l’exercice ne comportait pas d’apparences officielles, il s’agissait d’un échange basique entre les membres du conseil d’administration de la CPME affûtés de questions et les porte-voix desdits programmes politiques.

 

 

 

A ce petit jeu-là, on ne peut que saluer au nom de leur honnêteté intellectuelle et de leurs devoirs politiques les représentants des listes soucieuses de tâter le pouls d’une caste en proie à de sérieuses difficultés du fait de la crise sanitaire. C’est-à-dire les ambassadeurs icaunais de Marie-Guite DUFAY, de Denis THURIOT et de Gilles PLATRET !

Quid des autres engagés s’étant abstenus de toute présence ? Ils n’ont pas daigné répondre à l’invitation lancée par la CPME, tout simplement ! Un manque de civisme et de politesse…

Une pilule, sans doute amère à avaler pour les électeurs de la filière professionnelle qui auront pu disserter à loisir avec celles et ceux de leurs intervenants ayant exposé leur vision économique à six ans. Avec en mémoire, le vieil adage qui précise que les absents ont toujours tort !

 

 

En savoir plus :

Les débatteurs de cette rencontre avec la CPME

Nicolas SORET pour la liste de Marie-Guite DUFAY,

Muriel VERGES-CAULLET et Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI pour la liste de Denis THURIOT,

Jean-Marie SERMIER, Nadia CHOUBARD et Dorothée MOREAU pour la liste de Gilles PLATRET.

 

NB : Après la publication de l'article, les représentants d'Europe Ecologie Les Verts se sont manifestés à notre rédaction, faisant savoir qu'ils n'avaient pas été invités par la CPME pour prendre part à cette réunion consacrée à l'économie. Une thématique qui les passionne puisque leur tête de liste aux régionales, Stéphanie MODDE, avait pris part le 26 mai dernier à un débat organisé à Dijon par le MEDEF de Côte d'Or. Rendons à César ce qui leur appartient ! 

Thierry BRET

 

 

 


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Le vrombissant moteur, propre à la puissance de ce véhicule, laisse entendre à l’oreille les possibilités nerveuses de ce joli châssis. C’est un long feulement qui enfle en agressivité au fur et à mesure où le champignon de l’accélérateur se renforce sous le pied droit de la conductrice. Automobile de collection, plutôt gourmande en carburant avec son énorme V8 6,2 litres, le DODGE Challenger SRT offre des sensations dès le premier tour de volant…

 

AUXERRE : Elle en a sous le capot la belle Américaine et possède toujours de jolis restes en dépit de son âge avancé ! Celle qui sillonne les routes de l’Auxerrois depuis plusieurs mois et que les férus de véhicules de collection ont sans doute déjà repéré afin de mieux s’en délecter.

D’une part, à la vue, car cette construction mécanique née du savoir-faire de l’ingénierie US est loin de passer inaperçue avec sa couleur jaune éclatante. D’autre part, à l’ouïe, car le bruit émis par sa motorisation évoque la puissance assourdissante de la cavalerie américaine lancée au plein galop derrière un troupeau de bisons !

Pourvue d’un monstrueux V8 6,2 litres surcompressé, cette demoiselle affriolante peut même être domptée par une automobiliste (sa propriétaire) ayant déjà la parfaite maîtrise de ce genre d’animal fougueux, malgré ses 807 chevaux !

 

 

 

 

Puissante, lourde, ronronnant comme un gros fauve docile qui ne demande qu’à être lâché dans la nature, le DODGE Challenger SRT se fait très rare sur les routes de notre territoire. Voire d’ailleurs. Alors en observer un spécimen de très près mérite que l’on s’y attarde !

Ce modèle a été spécialement conçu pour les pistes d’accélération en circuit fermé. Notre territoire ne dispose pas encore de ce genre de subtilités pour en apprécier toutes les vertus. Peut-être à Magny-Cours, près de Nevers, où il serait bien agréable d’effectuer quelques tours de pistes en atteignant sans crier gare les 280 kilomètres promis par le compteur…Alors, pourquoi ne pas vous narrer une prochaine fois les sensations offertes par cette voiture qui ne demande qu’à exprimer sa pleine puissance ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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La messe est dite : ci-gît le bon vieux moteur thermique ! Dans dix ans, tous les constructeurs turbineront exclusivement aux autos électriques. Les pouvoirs publics ont décidé de faire barrage aux méchants carburants et leur sentence est désormais irrévocable.

 

AUXERRE : Chez Ford, Fiat, Volvo, Jaguar, Mini, Bentley et Alpine, la décision est prise : dans dix ans, il n’y aura plus une seule auto thermique au catalogue. Et la grande majorité de leurs concurrents prend aussi la direction menant au « zéro émission ». A l’origine de ce virage foudroyant, les mesures drastiques de réduction des émissions de CO2 à 95 grammes par kilomètre, imposées manu militari par les autorités publiques, quitte à mettre sous perfusion, à coups de fiscalité ultra généreuse, une industrie automobile qui n’a guère d’autres choix. 

 

Mettre la charrue avant les bœufs… 

 

Rouler en électrique ? C’est plutôt magnétisant. Au moins sur le papier : faire du bien à la planète et accessoirement à nos poumons ; ne plus se salir les mains à la pompe à essence (de quoi ravir les filles !) et posséder une automobile à batterie qui réclame moins d’entretien (le rêve pour le porte-monnaie qui n’est pas forcément celui du Faubourg Saint-Honoré) ; profiter d’un couple immédiat à chaque accélération (le plein de sensations !) et bien sûr la réduction des nuisances sonores en ville, associée à une forme de « zénitude » pour le conducteur et les passagers. 

Tout cela est rigoureusement exact et le plaisir de conduire une auto électrique est réel. Seulement, dans la vraie vie, le courant ne passe pas aussi bien. Car le nerf de la guerre, c’est l’autonomie. Et c’est là que ça disjoncte. L’autonomie, elle fond comme une « Häagen-Dazs » au soleil !

Pas le choix, il faut recharger sans cesse. Et pour se gaver de volts, l’heureux possesseur de voiture électrique doit se plier à un véritable jeu de piste, s’il n’a pas la chance de pouvoir se brancher au bureau ou chez lui. Même en ville où la voiture électrique nous est vendue comme idéale, c’est le parcours du combattant. Comment la recharger lorsque l’on vit au troisième étage d’un immeuble ou que l’on bosse dans une Tour de la Défense au 25e ?  

 

 

Born to be alive…

 

Aujourd’hui, 90 % des recharges s’effectuent à la maison ou au travail, mais plutôt en province ou en banlieue. Pour les autres - et ils seront de plus en plus nombreux -, il ne leur reste que leurs multiples cartes d’abonnements aux systèmes de charge pour pleurer. Il en faut huit différentes pour se brancher où l’on veut. Faut-il encore trouver une borne de recharge !

Car sur les 31 000 points de charge disponibles pour le grand public, il faut, outre le dénicher, prier pour qu’il n’y ait pas d’auto déjà branchée dessus, ou qu’elle ne soit pas en panne. 85 % des utilisateurs sont tombés sur des systèmes défectueux d’après une récente étude de l’AFIREF (Association Française pour l’itinérance de la recharge électrique des véhicules). 

Alors, Paris-Marseille en douze heures, ça vous tente ? Et pourquoi pas des vacances sur les aires d’autoroutes ? 

 

La mariée était trop belle…

 

Reste tout de même un gros village d’irréductibles Gaulois qui n’entendent pas succomber à la mode écolo. Pour eux, cet engouement pour les voitures électriques est incompréhensible.

Ils voient bien que les prix des autos électriques sont beaucoup plus élevés (entre 25 000 et 90 000 euros), malgré les aides de l’Etat ; qu’elles sont plus lourdes (à cause des batteries) et surtout que les chiffres promis sur leur autonomie sont bidons.

Contrairement aux apparences, l’électrique consomme beaucoup plus sur route dégagée qu’en ville. Résultat : les 300 km d’autonomie annoncés par les constructeurs peuvent allègrement être divisés par deux sur l’autoroute.

Et encore, par grand beau temps seulement : les premiers frimas, le chauffage, le dégivrage, les essuie-glaces, et autres accessoires énergivores, auront tôt fait de faire baisser la jauge.

Cerise sur le capot, quid des réelles retombées écologiques du recyclage (ou pas) des batteries dont on ne sait rien à ce jour. 

La voiture électrique ? Une jolie mariée qui nous cache bien des défauts…

 

Anne-Charlotte LAUGIER

 


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Le concept se veut original. Il s’adresse aux futurs entrepreneurs de la partie septentrionale du département. Un acte qui est posé en deux temps. Celui d’un pitch afin d’y présenter son projet. Avant ce long mais sans doute fructueux brainstorming d’une durée de trente heures permettant aux neurones de faire tilt en modélisant et en rendant opérationnel ledit concept au terme d’un week-end insolite…

 

SENS : Jamais à court d’idées, la Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais ! Voilà que la structure animée par Magalie CONTUDEAU TAVARES nous concocte une opération dont elle a le secret à l’attention des entrepreneurs en herbe !

L’action a pour principal objectif de susciter l’émergence de nouveaux projets dont certains ont été menés durant la délicate et interminable période de confinement. Successif, devrait-on ajouter !

 

 

Ce « Start-up Weekend », proposé les 11 et 12 juin, offre à ses participants trente heures de réflexion pour que se concrétise réellement le projet. Ceci étant appuyé par des mentors (les partenaires historiques de la Fabrique à Entreprendre) et la Communauté du Grand-Sénonais.

L’initiative est ouverte aux étudiants mais également aux demandeurs d’emploi. Sans omettre les professionnels, voire des passionnés qui possèdent de la clairvoyance et des idées entre les oreilles !

 

En savoir plus :

On peut s’inscrire par téléphone au 03.86.42.01.10.

Nombre de places limitées

 

Thierry BRET

 


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