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Forcément, leur réinsertion sociale, ils y pensent. Tous les jours ou presque lorsqu’ils se retrouvent face à eux-mêmes durant leur détention. Avec sans doute une question cruciale qui leur taraude l’esprit : quel job sera-t-il possible d’exercer à la sortie de prison ? Toujours précurseur dans ses démarches sociétales, le MEDEF se positionne comme le partenaire idoine du SPIP, le Service pénitentiaire d’insertion et de probation. Il œuvre à remettre les prévenus sur le droit chemin. Celui du travail et de la réussite sociale…

 

AUXERRE : Méthodiquement, le jeune garçon s’applique à exécuter les gestes que lui a inculqués sa formatrice. Une jeune femme dynamique, patiente, prenant le temps de parler et d’expliquer les principes élémentaires de la soudure.

Certes, l’exercice réalisé devant une petite unité de détenus attentifs ne reproduit que partiellement ce qu’est dans la réalité un poste de soudure.

Pourtant, on sent que quelque chose anime intérieurement le jeune homme, satisfait de se retrouver là, en pareilles circonstances. L’initiation du jour, une découverte aux métiers de l’industrie qui éclosent en très grande quantité derrière les murs de la maison d’arrêt auxerroise, semble le passionné. Un Graal initiatique pour mieux se réinsérer dans la vie active une fois la peine effectuée ?

 

 

Un partenariat constructif qui ne pouvait que matcher…

 

C’est tout l’objectif de ce partenariat insolite mais nécessaire fruit d’une rencontre surprenante née d’une simple discussion occasionnée lors des RIDY 2019 ! Ces fameuses rencontres régionales de l’industrie, porteuses de tant d’espérance et d’échanges prolifiques !

A l’occasion de cet évènementiel, Florence POULAIN, l’un des piliers opérationnels de la Maison de l’Entreprise et spécialiste de la communication eut le bonheur de croiser sur sa route (rien n’est dû au hasard !) Julien LUQUIN. Le référent du travail et de la réinsertion par l’emploi dans le milieu pénitentiaire régional, le SPIP.

Un « coup de foudre » professionnel qui engendrera nettement plus qu’un anodin échange de carte de visite à balancer dans la corbeille une fois revenu au bureau, comme il est souvent d’usage !

Dans le cas présent, rien de tout cela à observer ! De fil en aiguille, les deux interlocuteurs vont prendre le temps de construire une feuille de route cohérente et réciproque, devant les amener à collaborer en parfaite osmose sur un projet commun.

Certes, l’administration pénitentiaire (un milieu très hermétique aux yeux de l’univers entrepreneurial à de rares exceptions) garde les détenus durant leur peine. Mais, autre facette à mettre en lumière, elle prépare aussi à leur réinsertion sociale avec si possible une formation professionnelle en substance.

Alors, vu sous cet angle, entre le MEDEF/UIMM de l’Yonne et l’univers carcéral, cela ne pouvait que matcher !

 

 

Une initiative qui tombe à pic autour de la soudure…

 

Comment dans l’absolu ? Rien de très compliqué dans les faits ni inadaptable à la réalité du contexte : en favorisant tout bonnement la promotion des métiers de l’industrie où les besoins en matière de recrutement sont incommensurables aujourd’hui ! Cibles à privilégier : la maison d’arrêt d’Auxerre et le centre pénitentiaire de Joux-la-Ville.

Invité récemment par le MEDEF lors d’un colloque sur la RSE où il a pu s’exprimer devant un parterre de chefs d’entreprise et de décideurs économiques, Julien LUQUIN a pu expliciter dans le moindre détail les actions existantes aujourd’hui en France et dans notre contrée afin de faciliter ces réinsertions de détenus. Un témoignage qui avait passionné les participants.

A la maison d’arrêt d’Auxerre, où 156 personnes sont à l’heure actuelle en détention, 30 % d’entre elles ont exprimé leur réel désir de découvrir les ateliers initiés par la Maison de l’Entreprise. Vingt-quatre exercent déjà un travail en interne, affectés aux tâches quotidiennes du service général de l’établissement, aux cuisines, au service d’entretien.

 

 

Or, l’objectif affiché aujourd’hui par la direction de la maison pénitentiaire est de mobiliser davantage ces détenus vers l’emploi pour atteindre un quota de 50 %.

L’initiative du MEDEF tombe donc à pic ! Muni d’un simulateur électronique, les formateurs de la Maison de l’Entreprise décortiquent ainsi les rudiments de ce métier en totale tension que représente la soudure.

En amont, une cinquantaine de candidats détenus se sont portés volontaires pour suivre l’exercice. Seules les vingt personnes les plus motivées y ont eu accès en suivant en petit comité les échanges pédagogiques. Selon aussi leurs appétences et leur profil.

Frédéric DA ROCHA et Léa LEGRAND se sont donc prêtés au jeu sans l’once d’une difficulté en leur qualité de formateurs inventifs. Avec des « élèves » très dociles et in fine intéressés !

Pilote, l’initiative portée par le MEDEF de l’Yonne interpelle déjà en haut lieu auprès de la sphère nationale du puissant syndicat patronal. Cette action devrait trouver de la redondance dès 2022, soit à Joux-la-Ville ou de nouveau à la maison d’arrêt d’Auxerre avec sans doute d’autres programmes liés à des métiers en quête de compétences.

 

Thierry BRET

 


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Crise sanitaire oblige, c’est la première fois depuis la fusion au 01er janvier 2020 des départements ayant donné naissance à CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté qu’une assemblée de territoire se déroulait dans l’Yonne en présentiel. L’occasion pour son président Eric COQUILLE et son directeur général Laurent BEURIENNE de présenter les enjeux auxquels devra répondre l’association de gestion et de comptabilité…

AUXERRE: Comme l’a rappelé en préambule Franck NEZET, directeur délégué départemental, CERFRANCE BFC compte plus de 4 500 structures adhérentes, 220 collaborateurs et pas moins de huit agences réparties sur le territoire de l’Yonne. Cet acteur référent du monde agricole et viticole a au fil des années élargi le champ de ses compétences en direction des TPE et PME, commerçants, artisans et professions libérales.

 

 

Le cadeau de Noël du Premier ministre pour les équipes de CERFRANCE !

 

Avec parmi ses axes stratégiques, la volonté marquée de renforcer toujours un peu plus sa proximité avec les adhérents, qu’elle soit de nature géographique ou par une parfaite maîtrise de la relation numérique. Un accompagnement au plus près du territoire également, avec l’agrément obtenu cette année de l’ADEME sur le diagnostic carbone.

C’est un pari payant pour CERFRANCE BFC, au vu des résultats du dernier exercice, avec un chiffre d’affaires de plus de 24 millions d’euros, pour un résultat net de 548 K€. Un bénéfice a rappelé le président COQUILLE, qui permettra de financer le recrutement de nouvelles compétences et d’investir dans les technologies et les outils nécessaires pour répondre aux grands enjeux de demain.

Pour l’heure, l’actualité passe aussi par la décision gouvernementale d’octroyer à tout salarié gagnant moins de 2 000 euros nets par mois, une indemnité inflation de cent euros. Ce qui ne sera pas sans générer un travail supplémentaire pour l’établissement qui gère les bulletins de salaires de nombreuses structures, comme l’a souligné ironiquement Franck NEZET : « le Premier ministre nous a réservé une petite nouveauté pour la fin de l’année, histoire de passer des fêtes de Noël sympathiques ! ».

 

 

Vers la généralisation de la facture électronique pour toutes les entreprises…

 

A partir de 2024, la facture électronique s’imposera à tous les échanges « B to B » des entreprises du secteur privé. Un document numérique qui prendra le pas sur tout le reste et ne doit en aucun cas être assimilé à une simple facture numérisée. Les AGC (Association de gestion et de comptabilité) et cabinets comptables s’y préparent déjà, a expliqué Laurent BEURIENNE, revenant sur les différentes étapes établies par le législateur.

Un calendrier de déploiement en rapport avec la taille des entreprises, afin de leur permettre de s’approprier le sujet et deux dates essentielles à retenir : toutes les entreprises quel que soit leur envergure devront au 01er juillet 2024, être en capacité de réceptionner des factures numériques et concernant les TPE/PME, c’est au 01er janvier 2026, que toutes devront être en capacité d’émettre ce type de factures au moyen de la plateforme de leur choix.

CERFRANCE BFC, a rappelé son directeur général, sera bien sûr apte de proposer à ces dates précises une solution fonctionnelle à ses clients via un outil privé et sécurisé, insistant sur le fait que « l’administration aura ainsi tous les moyens pour pré-remplir la déclaration TVA, qu’elle soit mensuelle, trimestrielle ou annuelle, avec l’objectif clairement affiché d’en faire automatiquement le recouvrement en totale autonomie ».

Avec à la clé, l’idée d’en accélérer le rythme et développer ainsi les recettes fiscales.

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Cette fois, ça y est ! Les véhicules hybrides ont vu leur nombre d’immatriculations dépassé celui des automobiles à motorisation thermique en Europe. Au troisième trimestre 2021, il s’est commercialisé plus de voitures hydrides que de véhicules alimentés au diesel. Grâce à l’explosion des commandes observées dans les pays de l’Europe scandinave et centrale…

 

PARIS : Cela devait bien arriver tôt ou tard. Un basculement du marché, inéluctable et prévisible. Les véhicules à propulsion thermique (dont le diesel) sont désormais devancés par les modèles hydrides au niveau des ventes. Dans le seul laps de temps de la période estivale, la progression s’est élevée de près de 70 %. Ne serait-ce que dans les pays de l’Europe centrale.  

Dans un communiqué de presse publié ce vendredi 23 octobre, l’Association des Constructeurs (ACEA) a fait part de cette nouvelle qui n’a rien d’inattendue auprès des rédactions. Les automobiles hydrides ont donc la cote en ayant doublé leurs chiffres de vente depuis un an en Italie, en Suède, au Danemark, en Autriche ou encore en Allemagne (+ 62,7 %).

 

 

A date, Stockholm fait figure de référence dans l’Union européenne ainsi que le reste du pays scandinave en étant la contrée la plus électrique en matière de mobilité. Atteignant 25 % de parts de marché de son parc de véhicules neufs. Toutefois, la Norvège demeure très loin devant au niveau mondial avec près de 72 % de véhicules électriques.

Il est bon de rappeler que les tarifs pratiqués sur ces voitures de la nouvelle génération ne sont pas aussi prohibitifs que ceux usités en France. La France ? Parlons-en !

Elle n’a enregistré qu’une progression de 34,6 % en l’espace d’un an. Loin, très loin, de son voisin d’Outre-Rhin qui en a vendu plus du double dans le même intervalle ! Pourtant, ces modèles y sont largement subventionnés.

 

Thierry BRET

 

 

 


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La création d’un centre régional de réponse d’urgence aux incidents de cyber-sécurité en Bourgogne Franche-Comté est inscrite à l’ordre du jour de la session plénière de l’assemblée régionale ce vendredi. Face à la multiplication des attaques et les conséquences engendrées, notamment pour le monde de l’entreprise, l’exécutif se penche sur cette véritable problématique de société. En affectant une enveloppe d’un million d’euros à la création d’un organe d’intervention.

 

DIJON (Côte d’Or) : Avis aux experts qui exercent leurs talents dans le domaine de la cyber-sécurité ! Ils représentent les cibles idéales de recrutement pour tenter de traiter un problème crucial que vivent bon nombre d’entreprises dans l’Hexagone : les attaques informatiques.

Naturellement, le territoire de Bourgogne Franche-Comté ne déroge pas à la règle. La multiplication des incidents observée depuis plusieurs mois l’atteste. Ses conséquences sont parfois funestes pour les entrepreneurs qui ne savent plus à quels saints se vouer.

Du côté de l’exécutif régional, cette notion sécuritaire autour du numérique représente un enjeu majeur et surtout un gage d’attractivité pour les territoires qui sauront mieux mettre en place une stratégie adaptée à ces méfaits.

Lors de la conférence de presse, tenue ce jeudi 21 octobre, la présidente Marie-Guite DUFAY a rappelé que « la création d’un CSIRT (Computer Security Incident Response Team) territorial s’inscrivait pleinement parmi les orientations stratégiques à développer dans le cadre de la politique publique sur les usages numériques votée en octobre 2020 ».

« Nous souhaitons également faire émerger sur notre territoire un écosystème numérique régional cohérent et à haut niveau d’expertise. Dont la cyber-sécurité doit être un élément à part entière… ».

 

 

Intégrer le programme d’incubation porté par l’ANSSI…

 

La dotation engagée par la Région va donc couvrir l’ensemble des charges de personnel afin d’embaucher des spécialistes de la question. A ce titre, l’organisme a décidé d’affecter une enveloppe d’un million d’euros de subvention d’investissement au CIP Territoires Numériques BFC pour la création de celle cellule ad hoc devant traiter cette problématique sécuritaire.

Ces centres porteront assistance aux PME mais également aux collectivités locales, établissements publics et autres associations implantés sur le territoire.

Précisons que la Bourgogne Franche-Comté intègre le club encore très restreint des régions de France pilote dans ce domaine. Elle déclinera le programme d’incubation mis en place par l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) dès janvier 2022.

 

Thierry BRET

 


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Le numérique entrerait-il de plain-pied parmi les cursus des formations agricoles pour mieux aider à leur compréhension ? Ce n’est plus une légende urbaine ! Encore moins quelque chose de superfétatoire ! Bien au contraire, c’est devenu réalité pour quatre-vingts jeunes apprenants du CFA agricole La Brosse qui viennent de percevoir ce précieux équipement issu d’une dotation financée par différents partenaires. Une innovation intelligente pour l’accès unanime à ces technologies…

 

VENOY : Voilà un projet qui ne manque pas d’aisance ! D’autant qu’il est le fruit d’un partenariat plutôt bien ficelé entre OCAPIAT, la MSA (Mutuelle Sociale Agricole) et le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté. Bénéficiaire de l’initiative : le CFA agricole de l’Yonne qui offre son lot nourri de formations diplômantes (que l’on peut encore rejoindre à cette période de l’année) du CAP au Bac pro accessibles de 16 à 29 ans sans coût de formation.  

Alors, utiliser les outils numériques durant les cours intègre déjà les circuits pédagogiques de certains enseignants du CFA agricole La Brosse.

Professeur de français, d’histoire et de géographie, Maxime JOUENNE témoigne : « Ce projet mené avec le concours de l’équipe pédagogique est très valorisant. Car, il permet d’assurer un travail collectif de bonne qualité. On se sert de l’ordinateur pour la prise de notes en cours, on apporte une meilleure dynamique à l’espace travail, nourri de ses réflexions… ».

Bref : les cours suivis par les élèves prennent une toute autre dimension. Désormais, quatre-vingt de ces jeunes gens qui se sentaient un peu à l’écart dans leur for intérieur car ne possédant pas encore d’ordinateurs viennent de toucher le fruit de cette dotation collectivement financée : un portable LENOVO 15 pouces équipé du programme Windows 10 !

 

 

Privilégier l’équité entre tous les élèves au nom de la pédagogie…

 

Au-delà du programme pédagogique officiel, Maxime JOUENNE l’avoue. Il profite aussi de ces sessions pour véhiculer l’art et la manière de la bonne pratique de ces appareils et de leurs logiciels à ses jeunes élèves encore peu habitués à la pratique.

Le traitement de texte demeure, certes, le plus usité. Mais, ce n’est pas tout ! Avec la gestion de ces e-mails ou les innombrables opportunités offertes par la toile lorsque l’on surfe dessus !

La crise de la pandémie sanitaire a eu un effet retard sur l’aboutissement de ce projet encouragé par la direction de l’établissement et sa directrice, Hélène DECULTOT, convaincue par sa nécessité. Les appareils étant distribués à leurs destinataires au compte-goutte !

Mais, cette fois-ci, tout semble être rentré dans l’ordre ! Ceux qui n’avaient pas d’ordinateurs en possèdent dorénavant un, selon le respect de certaines conditions toutefois. Moyennant, l’inévitable caution de cent euros, dans la logique des choses.

Ce coup de pouce à la pratique numérique est encourageant en matière de cohésion sociale entre les différents élèves, les plaçant sur un pied d’égalité, dans la possession d’un appareil, et l’équité pour une pédagogie partagée par tous.

Les jeunes gens voient d’un très bon œil l’initiative et son prolongement palpable. Les liens se renforcent avec leurs enseignants. Grâce à cette approche pédagogique novatrice qui favorisent la création de liens et ouvrent à des échanges constructifs.

 

En savoir plus :

CFA agricole de l’Yonne

Venoy

Tel : 03.86.45.15.23.

Mail :Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Thierry BRET

 


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