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Une mine d’or informative orientée vers le pratico-pratique ! Voilà ce que propose le Conseil départemental de l’Yonne avec la conception de ce portail numérique newlook qui est fonctionnel ce mercredi 08 décembre. Conformément à l’obligation législative de publier des données en open data, l’organe institutionnel se dote d’un levier favorable à l’attractivité territoriale, utilisable par tous…Surtout pour celles et ceux qui auraient des velléités à venir s’installer par chez nous !

 

AUXERRE: L’écran dévoile une photographie aux caractéristiques très champêtres. Des parcelles de terrains cultivables à l’horizon qui sont séparés par la rivière. L’Yonne, évidemment ! Calme, tranquille, fleurant bon la ruralité de cette campagne environnante à quelques encablures de Paris.

Cette rivière Yonne se jette dans la Seine à Montereau. Mais cela fait dire au président du Conseil départemental avec un zeste humoristique que l’une est plus large que l’autre (celle qui nous est si chère) et que coule dans la capitale de l’Hexagone non pas la Seine mais l’Yonne !

Une formule suggestive que Patrick GENDRAUD ne cesse de marteler depuis qu’il est engagé en politique ! Et si cela s’était avéré exact, quelles conséquences aurions-nous eues pour notre territoire ?

Un département proche de l’Ile-de-France, aux 337 504 habitants selon le chiffrage obtenu lors du dernier recensement, aux 21,1 % de propriétaires fonciers (il y a 28,1 logements au kilomètre carré !) et aux trente collèges publics !

Car, si le président de la vénérable institution, entouré de deux de ses collègues (Isabelle JOAQUINA et Pascal HENRIAT) qui siègent dans l’hémicycle, a réuni la presse en ce début d’après-midi au Département, ce n’est certes pas pour faire des plans sur la comète pour qu’il y ait enfin un changement d’appellation géographique sur le nom des rivières ! Non, cette invitation faite aux médias se veut plus passionnante que cela. Articulée autour de la présentation et du lancement officiel d’un open data, spécifique à l’Yonne.

 

 

Une base de données évolutive qui cerne tous les aspects du territoire…

 

D’ailleurs, la conjonction de ces deux termes, fruit de l’anglicisme qui régente la moindre de nos décisions contemporaines (open) et celui issu du latin que bon nombre d’entre nous peuvent remiser au rayonnage des oubliettes dans la catégorie des versions enquiquinantes, engendre déjà des commentaires. Ceux de Pascal HENRIAT, vice-président en charge du développement du numérique et naturellement, de Patrick GENDRAUD.

Open Data : cela devient presque un sésame ouvre-toi dans la bouche de l’élu. Une sacrée ouverture vers le monde et ses fantastiques possibilités technologiques, à dire vrai.

Faites de graphiques, de visuels, de vignettes explicatives (plus de 250), de renvois vers d’autres opportunités techniques (Internet), de statistiques, de chiffres et aussi de lettres : les explications détaillées et fournies puisées parmi les références incontournables de la démographie, de l’économie, des analyses et des études à tout crin !

 

 

L’INSEE, cela va de soi mais pas que. Puisque que la construction de ce support à consulter sans modération pour celles et ceux qui veulent devenir des érudits sur leur département de prédilection privilégie également des ressources informatives émanant des ministères, d’organismes étatiques, etc.

Bref : l’outil qui est gratuit et consultable par tous et pour tous est une sorte d’encyclopédie harmonieuse par la qualité de son contenu bien ficelée autour de douze thèmes principaux (économie, tourisme, santé, éducation, etc.) à vocation évolutifs.

C’est l’une des grandes forces de ce dispositif élaboré par les têtes bien pensantes du Département de se doter d’un organe de communication numérique référentiel devant répondre aux besoins de ses futurs utilisateurs tout en évitant d’être figé dans le marbre.

Ainsi, la version 1 de ce support prônant les vertus de l’attractivité territoriale verra déjà des innovations informatives s’ajouter dès le printemps 2022 !  

 

Un concept facile d’accès et très agréable à l’utilisation…

 

Le concept n’apparaît pas comme par magie dans notre environnement. Sa genèse correspond au fruit d’une obligation légale : celle d’assurer une publication de données en open data, conformément au texte législatif du 08 octobre 2016. Une loi qui promeut l’ère de la République numérique partout en France !

Initié en juin de cette année, et nécessitant une ligne budgétaire honorable à sa réalisation d’autant qu’elle se rapporte à d’autres orientations de l’ordre de 30 000 euros à peine, cet outil justifie son utilité afin de favoriser la réflexion et les prises de décisions de ses usagers. En externe ou en interne du Conseil départemental.

D’autant que les cibles utilisatrices potentielles sont très éclectiques. De l’entrepreneur qui souhaite affiner telles ou telles problématiques aux élus des communes et des EPCI, des journalistes (si, si !) en quête de données statistiques poussées aux étudiants et scolaires préparant un exposé, aux investisseurs et autres passionnés de tourisme en recherche de bonnes idées, bref, cet open data newlook devrait très vite s’imposer comme un élément incontournable de notre quotidien digital. Facile d’accès et ergonomique à sa pratique : à consommer désormais sans modération !

 

 

En savoir plus :

La référence est la suivante :

Opendata.yonne.fr

 

Thierry BRET

 

 


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Le matin à Druyes-les-Belles-Fontaines, le soir même à Saint Privé. Mais entre les deux destinations, le même dénominateur commun. Celui de la défense de la téléphonie mobile et de la fibre optique pour qu’elles soient accessibles à tous ! Présent lors de la pose du 36ème nœud de raccordement optique dans le fief de la comtesse Mahaut de Courtenay, le député Guillaume LARRIVE souhaite que le territoire de l’Yonne soit enfin connecté au monde…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : La froidure du petit matin blafard, annonciateur des premières chutes de neige sur la Puisaye-Forterre, ne l’aura pas arrêté en si bon chemin. Le député de la première circonscription de l’Yonne ne voulait manquer à aucun prix la pose officielle de ce NRO (nœud de raccordement optique), précieux auxiliaire utile au déploiement de la fibre à grande vitesse sur le territoire. Preuve manifeste alors qu’on aurait pu encore en douter il y a quelques semaines, entre deux sempiternelles coupures de réseau Internet, que les choses avancent sur ce registre.

Lors de sa prise de parole, survenant en conclusion de la phase cérémoniale de l’exercice, le parlementaire a rappelé que la Bourgogne et par évidence le territoire de l’Yonne ne pouvaient être privés durablement de la fibre optique.    

« Nous sommes la porte de la Bourgogne par rapport à Paris et à l’Ile-de-France, un territoire qui possède une très forte identité, de la gastronomie et des pieds de vigne, une richesse patrimoniale. C’est pourquoi nous voulons être résolument connectés sur la dynamique de la métropole francilienne… ».

 

 

L’efficacité de l’ingénierie administrative et financière au service de la fibre…

 

Mais, attention, la vision stratégique de l’élu Les Républicains qui avait également en corollaire une pensée pour le verdict devant confirmer la présence de Valérie PECRESSE qu’il soutient mordicus au second tour de cette pseudo élection primaire LR ne s’inscrit pas dans un prolongement sans fard de cette relation.

« Nous ne voulons pas devenir une banlieue moche de Paris, proclame Guillaume LARRIVE, nous, nous voulons nous connecter de manière positive à la première métropole de France et profiter de nos atouts… ».

Certes, reconnaîtra l’élu, peut-être y a-t-il eu trop de retard sur la prolifération de l’équipement numérique dans l’Yonne.

« Oui, mais aujourd’hui, ce retard est en passe d’être comblé ! ». A sa grande satisfaction. Grâce au Conseil départemental dont il salue l’efficience, grâce à une ingénierie administrative et financière de qualité, le déploiement de la fibre est beaucoup plus qu’une simple réalité.

 

 

S’adressant à Lionel ANSELMO, vice-président d’ALTITUDE Infra, « l’acteur technique que vous êtes est solide ! ».

Il destinera un autre de ses remerciements au président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, « les EPCI, établissements publics de coopération intercommunale apportent au nom des communes également leur contribution au financement de ces opérations ».

Des gestes effectués au nom du sacro-saint principe de l’union du territoire afin de faire ruisseler vers les entreprises et les ménages cet indispensable outil de communication qu’est la fibre optique.

 

Ne pas oublier l’autre volet de la communication technologique : la téléphonie mobile !

 

La fibre à la maison sera disponible pour les habitants de ce secteur de la Puisaye-Forterre d’ici la fin 2022. Au plus tard, début de l’année suivante.

Pour autant, le député LR n’en oublie pas l’autre volet capital de ce renforcement de la communication technologique sur le territoire. Celui de la téléphonie.

Car trop de zones géographiques restent encore murées dans le silence absolu du vidé sidéral. D’où la rencontre le soir même, concoctée à Saint Privé entre les élus locaux, le vice-président en charge du dossier numérique au Département Pascal HENRIAT et les responsables départementaux des opérateurs ORANGE et de SFR. Histoire de faire bouger les lignes (téléphoniques !) et d’accélérer le processus de modernisation ?

Il est impossible en effet de dissocier le numérique de la téléphonie mobile quand on parle de progrès techniques en matière de communication. L’un ne va pas sans l’autre, évidemment et de cela Guillaume LARRIVE en a la parfaite conscience.

Lui qui peine à envoyer des images filmées par ses soins alimentant les réseaux sociaux (plus de trois heures de connexion sont nécessaires depuis son appartement d’Auxerre) contre 75 secondes chrono dans son pied à terre parisien ! Vivement 2022 !

 

Thierry BRET

 

 


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« Nous avons besoin de numériser notre démocratie, avec le vote électronique qui élargira la participation, réduira les coûts et modernisera l’image de la politique… ». Cette déclaration était inscrite dans le programme d’Emmanuel MACRON en 2017. Ragots et fake news vont bon train. L’Etat est soupçonné de vouloir faire aboutir cette réforme pour le scrutin 2022 ! Est-ce raisonnable à cinq mois du vote ?

 

TRIBUNE : On peut arguer de trois raisons majeures en faveur du vote électronique : face au développement de la pandémie, on limite les déplacements dans les bureaux. C’est le pouvoir de voter en toute tranquillité depuis  son ordinateur ou son smartphone. C’est peut-être le moyen judicieux de réduire l’abstention.

Mis à part le fait qu’on a déjà réfléchi à la création d’une carte d’identité électronique, on peut rester dubitatif face aux fraudes possibles. Le gouvernement avait déjà renoncé à cette mise en place lors des dernières élections régionales. L’idée reste présente dans l’esprit de beaucoup, y compris dans la tête de députés LREM comme Alain PEREA.

 

Le vote électronique va à l’encontre des grands principes électoraux !

 

Sur le plan juridique, le vote électronique pose aussi question. Car il interroge trois des principes fondamentaux du droit électoral : l’indépendance du vote, sa sincérité, et la dignité du scrutin. L’intimité et le secret du vote sont indispensables pour garantir son indépendance. Mais « qui dit que personne ne sera manipulée par une tierce personne derrière son écran lors du vote ?, s’interroge Gilles TOULEMONDE, maître de conférence à l’université de Lille et spécialiste du droit constitutionnel. Personne ne peut le garantir ! ».

En matière de sincérité, comment être sûr que le candidat validé sur son écran soit bien comptabilisé tel quel lors du recensement des voix ? Là encore, la fiabilité des plateformes peut interroger, même si une technologie comme la blockchain faciliterait le contrôle de la conformité du scrutin, dans la mesure où elle permet un horodatage et une vérification croisée des opérations de vote.

Qu’en est-il de la dignité du scrutin ? « Voter, c’est se rendre dans un espace dédié pour ça. C’est un moment précieux de la démocratie, estime Gilles TOULEMONDE. Le vote électronique va donc à l’encontre des grands principes électoraux... ».

 

 

Gabriel ATTAL crie à la fake-news !

 

Le gouvernement envisagerait très sérieusement la possibilité de pouvoir faire voter électroniquement pour la prochaine présidentielle. C'est ce qu'affirme, ou plutôt dénonce, un message très partagé sur les réseaux sociaux. La publication, relayée notamment par Florian PHILIPPOT, président des Patriotes, affirme que le vote électronique sera mis en place et qu'il permettra des « fraudes massives ». 

Les messages, partagés plusieurs milliers de fois, alertent sur des « fraudes à venir ». C'est faux et archifaux s’égosille le porte-parole du gouvernement Gabriel ATTAL. Si le vote à distance a été évoqué pendant le quinquennat, il ne sera pas mis en place pour 2022. 

 

De quelles fraudes avons-nous peur ?

 

Il peut exister une possibilité de vote électronique, en préfecture et par anticipation, une semaine avant l’élection. Rien n’est certain ni même voté et à quoi cela peut-il servir ? Pour beaucoup, c’est juste pour favoriser les fraudes au profit du pouvoir.

Il existe déjà des machines électroniques mais selon Chantal ENGUEHARD, maître de conférence à l’université de Nantes : « personne ne peut savoir ce qui s'est passé dans l'ordinateur de vote pendant son utilisation : ni les électeurs, ni les membres du bureau de vote, ni la puissance publique ». Et de poursuivre en affirmant que la liste des incidents techniques liés au vote électronique est longue comme le bras ! En conclusion : « la fraude est possible et démontrée ». Ce qui n’est pas très rassurant…

Même si rien n’a été prouvé, l’élection présidentielle de Donald TRUMP fut largement écornée par la fraude électronique dans quelques états majeurs comme le Wisconsin, la Pennsylvanie et le Michigan. A l’heure de la dématérialisation, dans les entreprises comme dans les administrations, un secteur résiste toujours à l’envahisseur numérique.

Au cœur de la pratique démocratique, le vote reste, dans nombre d’états modernes, un rituel très physique. Ce rituel est pourtant largement boudé par les électeurs dans nombre de démocraties participatives, dont la modernisation est considérée, de l’Estonie à l’Inde, comme un levier de participation.

En rendant le vote plus accessible physiquement et/ou plus facile matériellement, on le rendrait plus massif. L’hypothèse justifie des expériences, plus ou moins développées, comme en Suisse ou à Moscou, mais elle pose aussi de nombreuses questions. A commencer par celle, centrale, de la fiabilité et de la véracité du scrutin. Même si le vote papier n'est pas idéal ni sans défaut : en raison de bulletins complexes (Etats-Unis) ou à cause de bureaux de vote trop petits, voire tenus par des personnes peu expérimentées (lors des primaires françaises).

La confiance des Français vis-à-vis de tous les pouvoirs, politiques, scientifiques ou économiques, est déjà au plus bas. Alors, permettre le vote électronique pour les prochaines présidentielles risquerait de mettre le feu aux poudres. Pour celles et ceux qui connaissent les aventures d’Astérix le Gaulois, après vouloir jouer « La surprise du chef », notre président désirerait se draper des « Lauriers de César »…En version numérique ?!

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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L’instant se veut solennel. Il est servi à température ambiante, à ne pas mettre un journaliste dehors ! Un vent frisquet ébouriffe les participants enthousiastes de ce qui fera dans un bref moment des souvenirs pour la postérité. Ici, sur les terrains artificialisés de l’ancien centre d’enfouissement technique des déchets de l’agglomération de Dijon-Valmy se dresse désormais 43 000 panneaux photovoltaïques. Tous opérationnels et déployés dans le cadre du plan solaire d’EDF. Une première en France pour sa capacité !

 

DIJON (Côte d’Or) : Seize hectares de terrain et des installations techniques à perte de vue ! La version liminaire offerte par la centrale solaire, implantée au nord de Dijon, se veut très impressionnante. Une rangée traverse par son milieu ce champ énergétique renouvelable, assurant la séparation de ces constructions aux allures futuristes mais pourtant bien réelles. Ici, s’appréhendent l’avenir et le salut de la planète dans toute sa maîtrise. Parfaite, voire absolue.

Dans quelques minutes, le site entrera dans l’histoire en étant inauguré de manière officielle. Devenant de facto le premier de l’Hexagone par ses caractéristiques. D’une puissance totale de 15,5 MWC, pouvant alimenter les besoins en électricité en équivalence annuelle de 8 000 habitants ! Soit environ 5 % de la population de la métropole dijonnaise. Excusez du peu !

Tout ceci étant obtenu grâce à la présence des 43 000 panneaux photovoltaïques, érigés telles les mystérieuses statues de l’île de Pâques, leurs petites cellules capturant le moindre rayon de l’astre diurne dirigées vers le ciel. La comparaison avec d’antiques civilisations s’arrêtent là !

 

 

Redonner un second souffle de vie à un site peu flatteur…

 

Ici, sur ce plateau de Valmy qui surplombe la capitale de la Bourgogne, c’est bien de prouesses technologiques et de futur dont on parle. Le futur avec un grand « F », tant le concept semble abouti, ciselé au centimètre carré près, bien pensé.

Pouvait-on imaginer un jour redonner un second souffle de vie à ce périmètre de terrain en disgrâce qui a accueilli depuis des lustres les déchets inertes appartenant à Dijon Métropole ?

Ici ont été enfouies des tonnes et des tonnes de détritus lors de l’exploitation de cet endroit. Aujourd’hui, c’est bien la revalorisation du lieu qui est mise en exergue. Mieux que revalorisation, terme peut-être trop technique et moderne, pourra-t-on préférer du côté de la sémantique les mots de renaissance, voire de la revitalisation. Tel un Phénix !  

Même le vice-président du groupe SNEF Paul BROSSIER, celui qui est intervenu à la réalisation de ces travaux d’aménagement ayant duré une dizaine de mois le concède sans ambages : c’est une grande première dans l’Hexagone que d’avoir marié ce type de terrain artificialisé avec ce projet d’envergure.

Pourtant, la société dont il représente les intérêts depuis Marseille en a vu d’autres au niveau de la conception de projets novateurs à travers le globe, y compris au Brésil où SNEF est fortement implantée.

 

 

Des « alchimistes » des temps modernes qui ne transforment pas le plomb en or…

 

Joindre l’utile (ressusciter un centre d’enfouissement de déchets) à l’agréable (en lui redonnant une nouvelle dimension environnementale à vocation économique) équivaudrait presque à un tour de passe-passe, digne d’un prestidigitateur.

Les magiciens, on les connaît ! Car, ils se sont dévoilés au grand jour, ôtant même leurs masques de protection sanitaire le temps de la séance photo où, les doigts gourds, les journalistes tentèrent vaille que vaille d’immortaliser l’instant sans trembler de froid !

Ces « alchimistes » des temps modernes ne transforment pas le plomb en or. Ils font mieux que ça, renvoyant l’illustre Nicolas FLAMEL à ses chers grimoires poussiéreux !

Ils se nomment EDF (la fée électricité), sa filiale dédiée à l’essor et au déploiement sur le territoire national des nouvelles énergies (EDF Renouvelables), Dijon Métropole qui œuvre en faveur du développement durable depuis 2015 en obtenant le statut de « territoire à énergie positive », la Région Bourgogne Franche-Comté qui ne cesse d’appuyer sur l’accélérateur des transitions, qu’elles soient énergétiques, de la mobilité ou environnementales.

 

 

Même la population locale a joué sa partition participative !

 

Une synergie faite de compétences et de bonnes volontés ayant reçu l’adoubement de l’Etat. Via sa préfecture de Région et sa préfecture départementale, par effet logique de capillarité.

Il serait regrettable d’oublier le principe vertueux qui a animé ce projet unique. Celui de sa campagne de financement participatif qui a connu un franc succès avec 100 % de fonds récoltés en un laps de temps record (une vingtaine de jours) par des habitants de la métropole dijonnaise. Preuve s’il s’en fut de leur implication !

En résumé, tout respire la nouveauté et le désir de bien faire dans ce projet original qui offre à partir de son installation la transition énergétique locale. Un satisfecit évident pour EDF qui vise à devenir l’un des leaders du photovoltaïque avec 30 % de parts de marché à horizon 2035.

Joindre l’utile à l’agréable, nous l’avons dit. Réhabiliter un site à la destinée originelle peu envieuse au service de la sauvegarde de la planète tout en répondant aux besoins énergétiques de ses habitants mérite amplement de braver le froid lors de la découpe du ruban tricolore ! Personne n’aurait voulu manquer ce rendez-vous !

 

 

En savoir plus :

Les principales personnalités présentes à cette inauguration :

Marie-Guite DUFAY, présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté,

François REBSAMEN, président de Dijon Métropole et maire de Dijon,

Fabrice SUDRY, préfet de la Région Bourgogne Franche-Comté et préfet de Côte d’Or,

Bruno BENSASSON, directeur exécutif EDF Groupe Energies Renouvelables,

Yves CHEVILLON, délégué régional EDF Bourgogne Franche-Comté.

 

Thierry BRET

 

 


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Retour en grâce pour la plus grande manifestation européenne consacrée à l’évènementiel ! Le Salon HEAVENT demeure le must de la discipline avec plus de 18 000 visiteurs et près de 450 exposants, répartis dans les différents halls de la Porte de Versailles. La start-up d’Auxerre, DOYOUREVENT, en est. Avec la ferme intention de briller aux Vénus de l’Innovation…

 

PARIS : Qu’ils soient issus de la sphère associative, du milieu des agences ou de l’univers entrepreneurial, les principaux prescripteurs en matière d’évènements professionnels aiment se retrouver dans les allées du salon HEAVENT à Paris chaque année. Logique quand on sait que les chiffres de fréquentation de l’animation tutoient les sommets avec plus de 18 000 visiteurs !   

C’est pourquoi la start-up auxerroise, DOYOUREVENT, ne manque jamais l’une de ces éditions. Histoire de consolider davantage sa réputation et d’accroître ainsi son vaste réseau d’influence sur le segment qui lui est cher : l’accompagnement à la mise en place d’évènementiels.

Du 23 au 25 novembre, Jérôme CASSEGRAIN, dirigeant de la structure, lauréat du Réseau Entreprendre Bourgogne 2020, mettra tous les atouts dans son jeu pour figurer de la plus belle manière sur ce rendez-vous business qui célèbre son vingtième anniversaire.

 

 

 

L’entreprise a décidé de se présenter aux Vénus de l’Innovation. Dont la huitième édition se déroulera lors de ce salon parisien. Un trophée sera décerné dans les quatre catégories suivantes : animation, objets de communication, réception et réceptifs et start-up et nouvelles technologies. C’est précisément dans cette dernière catégorie que DOYOUREVENT candidatera afin de mettre en exergue son savoir-faire en matière de créativité, une des composantes fondamentales de l’ADN des entreprises en phase de progression et de développement.

On en saura plus le 24 novembre où les produits, les technologies et les services seront plébiscités par un jury composé d’experts…

 

Thierry BRET

 


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