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La Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) a d’ores et déjà confirmé par la voix de son président départemental, Jean-Pierre RICHARD, sa présence aux futures réunions consultatives. Voulues par la présidence de la République, elles ont été explicitées par la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, lors de sa visite aux artisans et commerçants à Sens.  

SENS : Convié à rencontrer la représentante du gouvernement, au cours d’une réunion d’échanges ouverte aux artisans et commerçants à l’Institut de l’Enseignement supérieur de Sens, le président de la CAPEB de l’Yonne, Jean-Pierre RICHARD, a assuré que l’organisation professionnelle dont il assume la représentativité apporterait sa contribution active à ce processus de démocratie participative.

Qui plus est, la CAPEB de l’Yonne, structure institutionnelle qui fédère à ce jour plus de 550 chefs d’entreprise de la filière du bâtiment, fera entendre sa voix et ses nombreuses propositions.

Réagissant à chaud à cet entretien bilatéral tenu de manière formelle entre les corps intermédiaires et l’Etat, Jean-Pierre RICHARD s’est dit satisfait de la tournure constructive de cette réunion.

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Valoriser le bien-fondé des corps intermédiaires…

Qualifiant l’attitude de la ministre de « très attentive et à l’écoute des différents interlocuteurs » (près d’une trentaine de représentants d’organismes patronaux), le président de la CAPEB a été surpris de la prise de notes abondantes de la jeune femme.

« Cette rencontre était fort utile et opportune, devait-il confier, lors de son interview.

Dans sa discussion avec la représentante de l’Etat, le président devait rappeler les fondamentaux et l’éthique de son organisme, apparu en 1948.

Son souci permanent dans cet entretien aura été de valoriser le rôle et le bien-fondé des corps intermédiaires, éléments indispensables à ses yeux pour conserver une harmonisation fonctionnelle en France, quelque peu malmenée par la gouvernance actuelle.

 


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Leader européen de la fabrication de portes, blocs-portes et huisseries, le groupe d’Outre-Rhin, HORMANN, a accueilli sur le site industriel de TUBAUTO, sa filiale française localisée à GRON, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER. En déplacement sur le Sénonais pour porter haut les préparatifs du futur « Grand débat national », annoncé par la présidence de la République, la représentante du gouvernement s’est entretenue avec des entrepreneurs locaux dans le cadre du programme « Territoires d’industrie », justifiant ainsi son immersion au cœur de cette unité de production.    

GRON : Outre les explicatifs nécessaires à la compréhension du futur « Grand débat national » et ses déclinaisons pragmatiques, la secrétaire d’Etat auprès du ministère de l’Economie et des Finances a pu aborder l’autre thème, suscitant son déplacement en Bourgogne du Nord : les enjeux économiques des territoires.

C’est sous l’angle industriel que cette dernière a évoqué l’indispensable complémentarité à initier désormais entre les communes et les entreprises dans le cadre d’un soutien aux projets créateurs d’emplois industriels. Une concordance de points de vue qui recevra l’adoubement de l’Etat et de la Région, facilitateurs de financement et d’expertise.

Ce dispositif, « Territoires d’industrie » a été expliqué par le Premier ministre Edouard PHILIPPE, lors du récent Conseil national de l’industrie tenu le 22 novembre.

Accueillie par le directeur de la filiale française du groupe HORMANN, Markus STUMP, la secrétaire d’Etat a écouté avec beaucoup d’intérêt les explications fournies autour du développement de ce site qui emploiera à terme jusqu’à 370 collaborateurs.

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Des perspectives alléchantes pour TUBAUTO en 2019…

Bien que fondé en 1932, le spécialiste de la conception de portes de garage, de portes d’entrée, de blocs-portes et de systèmes de motorisation est depuis 1991 sous le pavillon de l’industriel allemand.

Aujourd’hui, le groupe HORMANN qui a délocalisé au printemps 2017 le siège de sa filiale française de Gonesse à GRON, représente un chiffre d’affaires en continuelle progression. Il excède le milliard d’euros.

Le site Icaunais est le seul à avoir intégré la fabrication de produits. Il représente l’un des éléments marquants du maillage hexagonal, articulé autour de sept structures (Lyon, Orléans, Lille, Rennes…).

L’agrandissement de ce site se poursuit. Dès 2019, TUBAUTO SAS possédera de nouveaux bureaux administratifs, conçus sur deux étages, soit une surface de 2 700 mètres carrés. L’entreprise industrielle s’étend sur plus de 30 000 mètres carrés dont 11 500 m2 sont spécifiquement destinés à la fabrication. L’unité de production dispose aussi de stocks très importants : soit plus de 25 000 portes. Ce qui constitue un panel représentatif d’une gamme de plus de cinq mille références.

Enfin, côté emplois, TUBAUTO recrute et recherche des profils de responsables qualité et méthodes ainsi que des commerciaux, nerfs de la guerre du développement économique de toute entreprise qui se respecte.


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Faire preuve de solidarité auprès des petits commerces en souffrance après l’épisode des « Gilets jaunes » passe par une plus grande mobilisation des consommateurs. Et surtout un réel besoin de changer de paradigme. Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, a exhorté les citoyens consuméristes de notre territoire à faire davantage abstraction de leurs actes d’achat sur les plateformes numériques pour soutenir les commerçants de quartier. Une démarche solidaire, qu’elle applique à elle-même au quotidien. Elle devait l’expliquer lors d’un point presse succinct à l’issue de sa rencontre qualifiée de constructive avec des artisans et commerçants de l’Yonne…

SENS : En déplacement sur le Sénonais, la secrétaire d’Etat auprès du ministère de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, a profité du court temps d’expression accordé à la presse pour inciter les ménages français à consommer autrement à l’avenir.

Certes, les propos de la secrétaire d’Etat n’ont pas appelé de manière officielle à boycotter les plateformes numériques à vocation commerciale. Elles exercent une complémentarité parmi l’offre existante dont on ne pourrait raisonnablement se passer aujourd’hui.

Bon nombre d’entre elles, internationales, exercent dans les règles vertueuses de l’art leur pratique de vente en ligne, tout en respectant les normes et les fondamentaux de la saine concurrence. Y compris la fiscalité.

A contrario, la secrétaire d’Etat a pointé du doigt, sans toutefois les désigner de manière précise, celles qui cassent les prix et envahissent le marché de produits issus de la contrefaçon.

Or, face aux difficultés de trésorerie observées depuis plusieurs semaines par les boutiques traditionnelles, la représentante de l’Etat n’hésite pas à froncer les sourcils.

Il est désormais nécessaire de revoir la copie de l’activité commerce en France, en privilégiant les échoppes de quartier et les enseignes de proximité.

Etre responsable dans ses actes d’achat…

S’interrogeant ensuite sur la véritable création de valeurs offertes par les plateformes numériques, Agnès PANNIER-RUNACHER a insisté sur la responsabilité de chacun par rapport à cette thématique insidieuse qui plombe le chiffre d’affaires de ces  commerces.

Las, le phénomène inopportun des « Gilets jaunes », à quelques semaines des fêtes de fin d’année, aura eu un impact néfaste et considérable sur la trésorerie de nombreuses boutiques. D’où l’insistance de la ministre qui devait clore ce chapitre en invitant à aller consommer chez le petit commerçant de quartier.

« Moi-même, précisa-t-elle, j’achète mes livres uniquement chez mon libraire…Il faut être en accord avec ce que l’on préconise… ».

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Des facilités de paiement comme pistes d’accompagnement…

Constatant que la situation financière des petits commerces frisait à ce jour la correctionnelle, Agnès PANNIER-RUNACHER a assuré que la question des facilités de paiement et des couvertures assurantielles serait inscrite à l’ordre du jour des futures consultations territoriales.

Dans l’Yonne, à l’instar des autres départements, ce serait les édiles des communes qui porteraient le flambeau créatif de ces initiatives populaires, auxquelles se rallieraient les députés et sénateurs, les représentants consulaires et les milieux économiques.

« Parmi l’ensemble des diagnostics émis par les Français, il existera certainement des solutions locales qui seront adoptées uniquement sur leur territoire originel, ajouta la ministre.

Enfin, parmi les thèmes qui devraient structurer ces prochains débats, ceux concernant la transition énergétique, la participation citoyenne, la refonte de la fiscalité ou la réorganisation des services publics seront prépondérants.

 

 


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En 2018, il y a dans la Communauté européenne 512 millions d’habitants. Parmi cette population, on peut considérer que 49,99 % des habitants sont contre l’Europe, 49,99 % s’en moquent éperdument et 0,02 % sont en faveur de l’Europe. Explications…

TRIBUNE : Voyons le premier groupe qui est contre l’Europe. En fait, il n’est pas contre l’Europe stricto sensu. Il est contre la Commission européenne telle qu’elle est constituée et telle qu’elle fonctionne. Du moins selon l’impression qu’ils en ont. Ils rejettent les institutions européennes dans leur ensemble, d’où la montée de ce que certains appellent avec dédain « le populisme ». En passant, n’oublions pas que le mot populisme vient du latin « populus » au même titre que le mot « peuple ». Ceux qui parlent avec dédain du « populisme » ne voient pas qu’ils manifestent un mépris sous-jacent du peuple.

Les autres 49,99 % qui se moquent éperdument de l’Europe ont une bonne raison à cela : cette Europe de vaudeville ne correspond pas à leurs soucis quotidiens et à leur inquiétude du lendemain pour eux et pour leurs enfants. Leur question est la suivante : « En quoi l’Europe ajoute-t-elle quoi que ce soit de positif à mon niveau de vie, au chômage, à la dégradation de l’éducation nationale, etc… En un mot à ma vie ? ».

Et bien malin qui le leur expliquera. Certes, direz-vous, ils ont la même attitude de défiance vis-à-vis de leurs dirigeants nationaux. Et nous allons voir sur quoi est fondée cette défiance du « peuple » tant à l’égard de l’Europe qu’à l’égard de leurs dirigeants politiques. Vous comprendrez alors que le mouvement des « Gilets jaunes » comme celui du Brexit et de la montée du populisme n’en sont qu’aux prémisses.

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Un pourcentage infime de personnes favorables à la cause européenne…

Qui sont les 0,02 % en faveur de l’Europe ? Ce sont ceux qui bénéficient de ses largesses à Bruxelles, à Strasbourg et où se retrouvent tous les « politiques » recyclés dans un Parlement européen qui ne sert rigoureusement à rien. Ce sont des bureaucrates qui se meuvent dans de multiples organismes dérivés et quelques idéologues de tout poil.

L’aspect farce du « machin », comme disait De Gaulle de l’ONU, vient d’apparaître de façon criante dans l’affaire du budget de l’Italie. Et dans celui de la France de 2019. L’Italie est tancée depuis des mois par Bruxelles parce que son budget présente un déficit de 2,4 %... or il est très largement en dessous des 3 % que serine Bruxelles depuis 1999.

Et qui brandit cet avertissement avec la foudre du Zeus bruxellois ? Monsieur Moscovici ! Qui est Pierre Moscovici ? Il a été le ministre de l’économie de François Hollande lorsque ce dernier est devenu Président de la République en 2012 avec le magnifique slogan : « Le changement, c’est maintenant » !

Effectivement, on a vu le changement : le déficit du budget de la France en 2014 lorsque Pierre Moscovici est devenu un pimpant ministre de l’économie, a atteint 4,5 %. Soit près du double de celui qui est inscrit dans le budget de l’Italie pour 2019. Or, rappelons-le, ce formidable déficit du budget de la France s’est accompagné d’un tsunami d’impôts sur les Français au point que le même Pierre Moscovici a utilisé les mots de « ras-le-bol fiscal ».

C’est le bourreau qui dit au condamné qu’il torture sur l’échafaud de la place de Grève : « Est-ce que je vous fais mal ? ».

Les « Gilets jaunes », au départ, sont ceux qui ont subi le ras-le-bol fiscal orchestré par Monsieur Pierre Moscovici. Néanmoins, il convient de souligner que cette pression fiscale est le résultat de l’incurie depuis 40 ans par tous les gouvernements de la France sans aucune exception. Mais revenons-en à notre farce européenne.

Selon les calculs de nos multiples économistes de tout crin, le budget de la France en 2019 accusera probablement un déficit de 3,5 %. Il sera largement au-dessus du déficit inscrit dans le budget italien de 2,4 %. Beaumarchais pourrait répéter sa merveilleuse phrase : « Il faut se hâter d’en rire avant d’être obligé d’en pleurer… ».

Mais la farce n’est pas finie. Le même Monsieur Pierre Moscovici qui brandit de Bruxelles sa foudre contre l’Italie trouve mille excuses au déficit français très supérieur au déficit italien.

Étonnez-vous après cela que le peuple italien nourrisse une rancœur contre les farceurs de Bruxelles et vote pour des partis que nos moralistes de pacotille appellent « populistes ».

Le « populisme » et « les Gilets jaunes » ne sont qu’à l’aube de leur histoire. Elle risque bien de se confondre avec l’Histoire. Qui vivra verra…

Emmanuel RACINE


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Unanime, moins deux abstentions aux couleurs de la majorité présidentielle (celles du secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE et de la députée Michèle CROUZET), le soutien des élus de l’Yonne contre la suppression du cursus « sciences de l’ingénieur » au lycée Chevalier d’Eon à Tonnerre a reçu le plébiscite enthousiaste de visiteurs inattendus. Ceux d’une importante délégation d’enseignants, d’administratifs et d’élèves de l’établissement qui, accompagné de l’édile Dominique AGUILAR, ont assisté à la session départementale qui demande davantage d’équité au niveau des enjeux éducatifs en zone rurale défavorisée…

AUXERRE : « Par le biais de cette motion de soutien que nous avons adoptée, l’assemblée départementale montre son entière solidarité envers le Tonnerrois et ses habitants… ». Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne, n’aura donc pas été insensible à la situation ubuesque vécue par le lycée de Tonnerre depuis peu.

« Face à ce type de décision, devait-il asséner devant un hémicycle attentif, la responsabilité départementale doit être engagée… ». Et ce ne sont pas les abstentions de Michèle CROUZET, députée LREM, et du secrétaire d’Etat, Jean-Baptiste LEMOYNE (absent), somme toute logiques sur la forme, qui y changeront quelque chose.

Longuement applaudie par la délégation d’enseignants et de lycéens qui constituaient une tribune impromptue à l’écoute de la moindre intervention oratoire, la décision définitive du pouvoir exécutif territorial traduisait une nette opposition au choix arbitraire du rectorat de Bourgogne Franche-Comté.

L’organe décisionnel de l’Académie régionale a en effet acté il y a peu la suppression de la filière emblématique, enseignée au lycée Chevalier d’Eon à Tonnerre.

Ce fameux cursus « sciences de l’ingénieur », fleuron de l’établissement, offrait jusque-là d’intéressantes perspectives aux élèves qui avaient choisi d’en suivre le cheminement. Le rectorat se contentera de ne maintenir in fine que sept des huit spécialités pédagogiques proposées sur le site.

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Condamner les espoirs des territoires ruraux…

Dès l’annonce de ce refus qui devait éliminer une formation qualifiante, la réaction ne manquait pas de subjuguer les enseignants, les élèves et la population dans leur désir de manifester leur mécontentement.

A l’écoute, leurs élus de proximité que sont Anne JERUSALEM, présidente de la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne et vice-présidente du Conseil départemental de l’Yonne et Maurice PIANON, premier vice-président du Département de l’Yonne, auquel devait se greffer le député de la seconde circonscription André VILLIERS, lui-même conseiller départemental de Joux-la-Ville, décidèrent d’être les signataires de cette motion de soutien. Portée à l’attention de chacun.

Soustraire cette discipline de l’offre d’enseignement déclinée sur le Tonnerrois est un incontestable signe de paupérisation intellectuelle. Le maintien des huit cursus, en l’état, renforce précisément l’attractivité de l’établissement tonnerrois. Lui couper une branche amoindrirait sa fonctionnalité.

Zone rurale de l’Yonne parmi les plus précaires au plan économique et sociétal, le bassin du Tonnerrois ne méritait pas ce nouveau coup de boutoir sur la tête. Le lycée accueille 44,3 % de jeunes gens dont les parents sont issus de catégories socio-professionnelles défavorisées en section générale et 66,7 % en section professionnelle.

Mais, nonobstant la fragilité de la situation sociale actuelle, les taux de réussite au baccalauréat demeurent exceptionnellement bons. Cette année, 94 % des candidats au bac général ont obtenu leur diplôme. Que dire des résultats inhérents au bac professionnel : les lycéens ont réalisé en juin 2018 le carton plein avec 100 % de reçus parmi les récipiendaires du fameux sésame !

Comme le stipula le président GENDRAUD, « cette réussite est à mettre au crédit des équipes enseignantes de l’établissement… ».

Il était dans la nature des choses que le Conseil départemental de l’Yonne apporta son soutien inéluctable à ce bassin de vie locale, en défendant les intérêts de l’enseignement secondaire. Ce qui n’est que justice.


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