Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Les exercices professionnels se suivent et se ressemblent avec une certaine persistance et lassitude dans le milieu du bâtiment et des travaux publics départemental. Déjà présent au sortir de l’année 2018, le doute s’installe un peu plus dans les têtes pensantes de la filière, qui à l’heure des bilans n’y trouvent pas leur compte. C’est le cas du président de la FFB 89, Xavier PAPIN, forcément déçu de constater, une fois de plus, que le marché icaunais patine dans l’inertie. Explications…

AUXERRE: Une fois encore, la montagne du BTP dans l’Yonne aura accouché d’une souris au terme d’une année 2019, qualifiée de très décevante par l’un de ses observateurs attitrés, le président Xavier PAPIN, porte-étendard de la puissante Fédération départementale des entrepreneurs et des artisans du BTP.

Force est de constater que l’espérance tant souhaitée au début de la nouvelle année 2019 n’aura pas été au rendez-vous de ce qui avait été escompté lors du tombé de rideau le 31 décembre.

A l’heure du bilan, Xavier PAPIN ne se berce d’aucune illusion pour expliquer ce que vit à l’heure actuelle la filière sur notre territoire.

Convaincre les donneurs d’ordre locaux, qu’ils soient privés ou publics, de faire travailler les entreprises locales ne représente plus, à ses yeux, une priorité mais bel et bien un devoir.

Comme l’année dernière, Xavier PAPIN relève que la baisse de l’offre rencontrée dans le département accentue l’hétérogénéité des situations vécues par les entreprises.

Certes, les plus importantes d’entre elles peuvent prétendre encore rebondir dans une conjoncture toujours assez morose. Elles réalisent, en effet, majoritairement leurs travaux hors du département icaunais.

 

 

 

Pas d’indicateurs optimistes dans l’Yonne hormis l’emploi…

 

Les structures dites « intermédiaires », c’est-à-dire employant entre dix et vingt salariés, se focalisent davantage sur la commande publique, synonyme d’affaires. Mais, la baisse de ce marché est désormais indéniable et n’a jamais été une source de garantie absolue de pouvoir démarrer un chantier.

Reste en bout de course les plus petites de ces entités professionnelles, qui n’exercent leurs compétences presque exclusivement sur le territoire immédiat de leur établissement. Ces dernières souffrent terriblement : c’est une évidence.

Côté chiffres, l’Yonne ne présente pas d’indicateurs positifs à faire sauter au plafond les responsables du syndicat patronal. A la fin août 2019, et sur une période de douze mois glissants, le nombre de logements mis en chantier a décru de 32,7 % ! Malgré les 19,2 % de logements autorisés. Sachant que le logement demeure le principal vecteur de croissance et d’activité de la filière.

 

 

Quant aux chiffres collectés pour le bâtiment non résidentiel neuf, ils se situent sur une veine similaire : inappropriés pour rendre le sourire au patron de la FFB 89. Il y a eu – 36,3 % de surfaces de locaux mises en chantier en 2019 pour 27 % de surfaces de locaux autorisés.

La seule note d’optimisme enregistrée dans ce tableau atone à broyer du noir vient de l’emploi salarié. Il a cru de 0,6 %. Une augmentation, sous forme de légère embellie, qui sera compensée par la baisse du recours à l’intérim : soit – 3,9 % en moyenne des trois derniers mois à fin juin 2019.

Une lueur, toutefois, illumine ce ciel passablement assombri par ces résultats de mauvais aloi. C’est la volonté que souhaitent impulser Xavier PAPIN et ses troupes à vouloir changer les choses dans le landerneau en espérant en modifier le constat à terme.

Cela passe par le développement de nouvelles solidarités auprès des entrepreneurs qui sont en proie à de plus importantes difficultés. Cela permettrait de renforcer le travail de ces entreprises dans le département. Voire d’y attirer des compétences novatrices, gage d’un potentiel regain d’attractivité.

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le gâteau d’anniversaire n’offre que deux bougies à souffler. Ce qui traduit encore l’aspect juvénile de la structure qui, petit à petit, fait son nid dans le paysage de l’Yonne. Pourtant, après Auxerre, la marque des FESTINS rencontre aujourd’hui le succès dans le Sénonais. Régalant au passage celles et ceux qui effectuent journellement la liaison par chemin de fer entre Paris et la ville la plus septentrionale de notre département pour se rendre à leur travail. Via une application qui leur permet de réserver leur repas au camion-dépôt avant de l’emporter à bord du train.

SENS : C’est une manne de clientèle qui ne cesse d’augmenter chaque année. Près de 4 300 personnes effectuent au quotidien le trajet reliant la capitale de l’Hexagone à la ville du nord de l’Yonne. Des déplacements qui s’inscrivent dans un cadre purement professionnel.

Cette aubaine stratégique apparaît comme indéniable pour l’un des référents des arts culinaires, de la réception et du traiteur de notre contrée, FESTINS de BOURGOGNE. La société artisanale de CHEMILLY-sur-YONNE ne pouvait passer à côté de ce filon de consommateurs avides d’être interpellés par une offre de restauration rapide mais de belle facture quant à sa gamme de produits proposés et au niveau de la qualité.

Déjà testées durant une saison à Auxerre, il n’en fallait pas davantage pour décliner à son tour les prestations de service de TOQTOQUE sur le Sénonais. Si dans la capitale de l’Yonne, la cible potentielle visée concernait au tout début les particuliers désireux de dîner tranquillement à leur domicile sans ressortir de leurs pénates, à Sens, l’enseigne de ce prêt-à-consommer à l’estampille des FESTINS s’est immédiatement intéressée à celles et ceux qui empruntaient la voie ferroviaire pour se rendre sur leur lieu de travail.

Une application numérique a même été créée à leur intention sur smartphone afin de pouvoir réserver son repas et venir le récupérer au camion-dépôt, désormais positionné depuis janvier en zone des Vauguillettes dans les locaux du Village d'entreprises de la Chambre de Commerce et d'Industrie, entre 12 h et 14 h.

 

 

Viser les travailleurs nomades mais aussi la clientèle sédentaire…

 

Le concept de réservation commence à obtenir ses premiers résultats encourageants. Même si 80 % de la clientèle préfèrent encore prendre la commande en direct au point d’approvisionnement.

Il s’avère également, à la lecture des analyses initiales qui ont été réalisées par le directeur de développement de la marque, Matthieu CHAPUIS, que 50 % des clients assidus de l’offre TOQTOQUE ne sont pas nécessairement des voyageurs ferroviaires attitrés !

Bref, cela signifie que le bouche-à-oreille fonctionne plutôt bien dans le landerneau alors qu’aucune stratégie de communication n’avait été réellement déployée jusque-là. Et que la potentialité consumériste née de ce projet original et de proximité est beaucoup plus élargie qu’il n’y paraît !

Nonobstant, FESTINS a décidé de passer outre en maximisant la distribution de flyers dans les boîtes aux lettres du centre-ville. Puisque que le concept séduit celles et ceux qui ne bougent pas nécessairement de Sens la journée, autant profiter de ce cœur de cible qui désire déjeuner différemment.

 

 

Un produit d’appel dans le vent pour une clientèle rajeunie…

 

Quant aux retours de satisfaction exprimés par les habitués, ils comblent d’aise la direction des FESTINS. Les indices gradués sur une échelle de zéro à cinq tutoient les sommets, accréditant la judicieuse initiative qui est développée par le groupe de l’Yonne depuis vingt-quatre mois déjà.

L’offre de produits se décline autour de plusieurs formules comprenant entrées, plats de résistance et desserts. Parmi les spécialités alléchantes proposées, les gourmands peuvent se sustenter d’une fricassée de volaille agrémentée de morilles, de saumon à l’oseille ou à titre d’exemple à faire saliver le plus gourmet d’entre nous, un succulent rizotto au homard.

Les perspectives affichent leur insolence grâce à l’obtention de résultats à deux chiffres. Preuve que la qualité de la table, même dans une optique de déjeuner rapide sur son lieu de travail ou à son domicile ne rebute pas les consommateurs, bien au contraire, sans même trop bourse déliée.  

A l’aide de cette jeune enseigne, FESTINS de Bourgogne, groupe qui exerce ses activités sur une large zone de chalandise depuis plus de deux décennies, a souhaité en développant cette marque à la manière d’une start-up digitalisée créer un produit d’appel sympathique.

Il vise à s’attirer les faveurs d’un nouveau public, désireux de joindre l’utile à l’agréable en y ajoutant parmi les ingrédients incontournables à leur confort, la qualité et la traçabilité des mets dans leur mode nourricier. Réussi…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Constructive et utile. C’est le sentiment qui prévaut à l’issue de la rencontre organisée le 14 février entre les professionnels de l’agriculture et les élus du département autour d’une thématique chère à la filière, l’eau. Pédagogique, la session à laquelle participait le directeur départemental des Territoires Didier ROUSSEL servira de support à la présentation des résultats d’étape inhérents aux essais agronomiques actuellement en cours de programme…

MALIGNY : Ces échanges ont été qualifiés de riche et de positif par le porte-parole de l’UPVY (Union des Productions végétales de l'Yonne), Laurent PONCET, au terme de la session. La séance de travail réunissant élus et agriculteurs avait surtout pour objectif de permettre aux intervenants de procéder à un état des lieux précis de la qualité de l’eau, l’un des précieux auxiliaires à la pratique d’une agriculture saine et respectueuse de l’environnement.

Au vu des débats et de leur intérêt passionnel, UPVY (structure qui fédère des acteurs clés de la filière agricole comme 110 Bourgogne, YNOVAE, le groupe SOUFFLET ou encore la société RUZE) n’exclut pas de reproduire le rendez-vous à période régulière.

Engagés de longue date dans la déclinaison quotidienne de l’agro-écologie, les professionnels de l’Yonne se mobilisent afin de préserver la qualité de leur matière première nourricière. Car, le territoire, il est vrai, présente des signes de faiblesse du fait de sols et sous-sols fragilisés par la présence de zones de calcaire, de sable et d’argile.

Toutefois la qualité de l’eau s’avère conforme aux normes après analyses. Un constat qui se confirme depuis près de vingt ans, période à laquelle les services de l’Etat, assurés par l’Agence Régionale de Santé (ARS), ont renforcé les contrôles sanitaires.

 

 

L’eau de l’Yonne conserve sa potabilité…

 

Une cinquantaine de paramètres physico-chimiques étaient recherchés dans chaque prélèvement d’eau en 2000. Il y en a 596 aujourd’hui ! Même dans le cas où des métabolites, c’est-à-dire des produits liés à la dégradation des molécules-mères, et des herbicides sont repérés, les taux quantifiés restent inférieurs de 2 400 à 3 000 fois à la valeur sanitaire maximale, seuil d’impact potentiel sur la santé.

Les récents prélèvements de l’eau n’ont pas démontré de situations complexes : peu reste supérieure à la valeur guide proposée par l’ANSES, soit 0,9 microgramme/litre.

Ce qui signifie que l’eau reste potable et de qualité dans notre département. Cependant, et malgré l’optimisme de ces résultats, les agriculteurs recherchent toujours la progression.

De nombreux essais agronomiques étayent cette stratégie. Certains sont à l’heure actuelle effectués sur la commune de Maligny.

Parmi les leviers de progrès testés : le désherbage mécanique proposé avec l’aide d’une bineuse, la présence de solutions de bio-contrôles et de plantes faisant office de leurres naturels pour piéger les insectes ravageurs afin de les détourner du colza ou encore des semis réalisés à des dates différentes sur les bandes de culture pour mieux déterminer la période la plus adaptée à ces essais.

 

 

Soutenir la filière colza qui reste encore une culture névralgique…

 

Cette phase de tests offre une utilité particulière pour le colza qui demeure encore essentielle dans le paysage icaunais. Et national, du fait de ses qualités protéiniques nourricières. Or, on le sait, le grenier de l’Yonne s’amenuise avec une baisse de 25 % des surfaces cultivables.

La première ressource florale destinée aux abeilles a ainsi perdu 62 000 hectares pour ne conserver que 23 000 hectares en 2019 !  

Fort de ces observations, les premiers enseignements qui ont été dévoilés lors de cette séance de travail permettent de préciser la meilleure date à laquelle les agriculteurs peuvent implanter le colza. Soit le 09 août.

Des plantations qui ne nécessitent pas de plantes compagnes avec une fertilisation localisée sur le rang et un désherbage complet. En effet, c’est ce qui correspond à un meilleur compromis entre le nombre pieds implantés, le développement de la biomasse du colza et la gestion du développement des mauvaises herbes.

Ce n’est qu’en fin de campagne, au moment de la récolte, qu’une analyse économique globale et finale analysera les stratégies les plus pertinentes et les plus respectueuses de l’environnement à développer.

Décidément, on n’arrête pas le progrès dans la sphère agricole !

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le B.N.B. serait-il un principe utopique ? Une belle promesse électorale de plus ? Un rêve inaccessible ? Une réalité qui ne s’applique qu’au Bhoutan ? En France, comme partout ailleurs, on se focalise sur le P.I.B. (Produit intérieur brut). Soit la somme des richesses qui est créée par les acteurs économiques nationaux. Seul Nicolas SARKOZY a évoqué en son temps ce fameux « bonheur national brut » au cours de son mandat. Alors illusion ou opportunité ?

TRIBUNE : Depuis, la seule évolution concrète, c’est la création d’un système de climatisation gratuit dans nos ministères. On répartit d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre, tous ceux qui nous privent d’air !

Du « vouloir vivre », on exprime de plus en plus le « vouloir être », les « ardents » selon THEILLARD de CHARDIN. Dans sa propédeutique de la spiritualité, ce dernier les oppose aux « pessimistes » et aux « jouisseurs ». Quelle est la place de l’homme dans les choix économiques et dans l’évaluation des pays ?

En France, on recense neuf millions de pauvres, quatre millions de mal logés, 150 000 sans domicile fixe. Rien qu’en 2018, 600 SDF sont morts tristement dans la rue. De simples faits au regard de la mesure du P.I.B. !

On compare les pays grâce au sacro-saint P.I.B. Mais que vaut réellement un pays, encore mieux que vaut l’individu ? La mesure est la suivante : le PIB par habitant s’élève à 43 000 dollars américains en France. Il est de 600 $ en Centrafrique, 126 000 $ au Qatar…et 3 000 au Bhoutan.

 

Le Bhoutan, petit pays d’Asie vertueux ?

 

Ce pays de l’espace himalayen a décidé de reléguer le PIB bien après le bonheur de ses habitants. Ainsi, le B.N.B (bonheur national brut) fût décidé en 1972 par l’ancien Roi, Sigme Singye WANGCHUK. C’est une approche transversale et holistique dans les domaines concernés. Elle se base sur les techniques qui couvrent neuf domaines (vitalité, éducation, bien-être psychologique…). Trente-trois indicateurs et cent-vingt-quatre variables déclinent ces domaines.

La place de l’économie au Bhoutan est centrée prioritairement sur l’écologie (Bilan carbone négatif). L’évaluation du B.N.B. se fait par enquêtes et chaque loi doit être validée par la commission ad hoc. Celles-ci permettent de s’intéresser à la population non encore heureuse : celle dont le seuil de suffisance est atteint dans moins de six domaines et définie par un pourcentage.

 

 

 

Ledit pourcentage est donné par X. On étudie ensuite l’ampleur des insuffisances : c'est-à-dire le pourcentage des domaines en insuffisance dans cette population. Ledit pourcentage est appelé Y. La formule magique pour calculer la valeur du B.N.B. est celle-ci : 100 % - (X) (Y)]. Afin d’améliorer l’indice, il faut donc diminuer X et Y !

 

Il est grand temps de changer de paradigme…

 

On peut étudier des modèles mis en pratique qui semblent pertinents ! Le beurre oui, mais pour l’argent du beurre, il faut attendre un peu. Le Bhoutan a la réputation d’être le pays le plus heureux de la planète mais il reste très pauvre.

Pour une transposition dans nos pays, il faudra se poser la question centrale : qui est légitime pour définir ce qui compte le plus pour évaluer le bonheur du citoyen ?

Changer de paradigme, c’est transformer nos modèles et les orienter  vers une meilleure répartition des richesses. Les freins à notre bonheur sont les inégalités sociales, la crise écologique…

Autant de thèmes qui appellent de toute urgence un changement des mentalités et du cadre de référence. Le B.N.B. rappelle l’article 1 de la constitution du 24 juin 1793 : c’est-à-dire le but de la société, « le bonheur commun » !

Il n’y a pas de déductions hâtives à avoir : le chanvre pousse comme du chiendent au Bhoutan, certes, mais ce n’est pas pour autant que les bhoutanais fument du cannabis pour exprimer leur bonheur !

 

Jean-Paul ALLOU 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Plus jeune, il aurait souhaité consacrer du temps à cette activité citoyenne. Comme le font aujourd’hui beaucoup de filles ou de fils qui emboîtent leurs pas dans les traces de leur père. Oui mais voilà : le destin en a voulu autrement. Même s’il a côtoyé de fort près le milieu militaire avant de s’engager dans la préfectorale, le directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, Tristan RIQUELME, n’aura jamais été un sapeur-pompier volontaire !

AUXERRE : Un voile de nostalgie, teinté d’un zeste humoristique, s’est manifesté lors de la signature de la convention-cadre entre le Département de l’Yonne et le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) vendredi 21 février. Et c’est au directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, Tristan RIQUELME, qu’on le doit !   

Le fonctionnaire d’Etat s’est quelque peu épanché lors de sa prise de parole en avouant que « devenir sapeur-pompier volontaire (SPV) aurait été un moment fort de son existence ».

Si et seulement si, il avait pu bénéficier d’un entourage familial déjà immergé au préalable dans cette sphère corporatiste. Ce qui n’était pas le cas.

Tristan RIQUELME n’a donc pu accomplir ce désir de jeunesse. Ce qui ne l’a empêché d’en évoquer ce souvenir avec franchise face à une assistance fortement représentative du noble corps de secouristes. Incitant ses enfants à le faire si l’occasion s’en présentait.

« Si j’avais été fils de sapeur-pompier, souligna le proche collaborateur du préfet Henri PREVOST, il aurait sans doute plus facile de suivre cette voie qui mène au SPV… ».

 

Promouvoir les SPV dans le cadre du Plan d’action 2020…

 

Le recrutement de la filière par le biais de la filiation n’est plus à démontrer, il est vrai. Puis, poursuivant sa digression orale, Tristan RIQUELME, féru d’histoire, rappela les origines des services de secours se référant au seul volontariat. Un principe hérité de la Garde nationale sous la Révolution.

Avant d’évoquer le rôle des employeurs, fondamental à ses yeux, et garant du succès d’un Plan d’action mis en œuvre depuis deux ans sur le territoire qui court jusqu’en 2021.

Jugeant efficace et performant les tâches quotidiennes des SPV dans leurs interventions, l’ancien sous-préfet d’Issoire encouragea pour conclure les acteurs institutionnels et le SDIS 89 à promouvoir ce mode de secours vers le plus grand nombre. Se remémorant l’une des célèbres citations de l’écrivain Albert CAMUS, forte de symboles : « La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent… ».

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil