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La fracture numérique ne prendra pas le dessus, c’est sûr ! La Poste, dans un esprit citoyen et actrice de l’inclusion numérique éthique via le plan France Relance, s’engage à la résorber ! Et de belle manière, en y installant dans l’un de ses bureaux, près d’Auxerre, une conseillère ad hoc ! Ancienne factrice et guichetière, Mélanie G’SSIR est cette personne qui fera montre dorénavant de pédagogie et d’écoute, venant en aide aux habitants…

 

MONETEAU : Belle reconversion que celle-là ! Autrefois factrice et guichetière, Mélanie G’SSIR officie désormais en qualité de conseillère numérique pour le compte de la grande maison postale. Celle qui est proche de la population. Celle qui déploie son supplément d’âme pour apporter pédagogie, service et proximité. Comme c’est le cas dans le bureau de la commune périphérique d’Auxerre.

C’est ici, dans le fief de la conseillère départementale et édile des lieux, Arminda GUIBLAIN, que le Groupe au logo jaune vient d’ouvrir un espace spécifique, « l’Etape numérique ». On dirait presque l’appellation d’un cyber café où l’on se sustenterait de choses gourmandes au palais en sirotant un petit noir tout en surfant sur la toile !

Ici, tout est connecté ! Lutte contre l’illectronisme, oblige ! L’espace, des plus cosy et confortable, peut accueillir jusqu’à huit personnes. Mais, aussi et uniquement sur rendez-vous, en individualité afin d’y recevoir des conseils personnalisés.

C’est l’antre de Mélanie. C’est jour de fête pour la jeune femme, au centre de beaucoup d’intérêts ! Logique, la direction régionale, pilotée par une Sylvie GUILLAUME au top de sa forme, a mis les petits plats dans les grands pour expliquer en long, en large et en travers au cours d’une cérémonie protocolaire le rôle et les missions qui incombent à la nouvelle conseillère. Même le président de la Commission départementale de Présence Postale Territoriale (CDPPT), Gilles DEMERSSEMAN, écoute avec grande satisfaction les explicatifs.

 

Réduire la fracture numérique : un enjeu capital !

 

Elle a dû suivre une formation particulière, Mélanie G’SSIR pour occuper la fonction. Sans doute, avec une phase de psychologie poussée car il n’est pas aussi simple pour les personnes désireuses d’en connaître davantage sur le numérique et ses innombrables opportunités d’évoquer leurs carences et leurs fragilités. Car, c’est bien de cela dont il s’agit. De cette fracture numérique que jadis évoquait déjà dans ses propos, à l’instar de la fracture sociale, – le corollaire existe aussi manifestement – le regretté Jacques CHIRAC.

Mélanie, elle, doit identifier ces difficultés numériques qui concernent bon nombre de citoyens. Les invisibles de l’emploi et de la couverture sociale comme les seniors ou les personnes en situation de handicap. Sans oublier, les ressortissants étrangers qui ne maîtrisent pas forcément bien notre langue. Les initier aux usages pratico-pratiques du quotidien – non, elle n’en fera pas des programmateurs avérés ! – est son bâton de maréchal !

Elle le dit d’ailleurs : « Je suis heureuse d’accompagner et d’aider les usagers pour une satisfaction client optimale ». Un discours, un brin marketing entre les lignes, mais tellement vrai dans son application quotidienne dans la bouche de la responsable de l’espace médiation numérique local !

 

 

Accompagner chaque année un million de nos concitoyens…

 

Quant à la déléguée territoriale de La Poste dans l’Yonne, Christine MORANGE, elle embraie sur le même registre vocal : « cette « Etape numérique » est une excellente opportunité pour Monéteau et ses environs afin de pouvoir profiter d’ateliers numériques gratuits, ainsi que des accompagnements individualisés… ».

A ceci près que la déléguée territorial a lâché le mot magique : la gratuité !

Fin novembre 2023 : La Poste avait installé une centaine de ces espaces dédiés sur l’Hexagone, privilégiant les zones rurales et les quartiers prioritaires de la ville. Comprenant bureaux, ordinateurs et grand écran. En parfaite cohérence avec son engagement en faveur de l’inclusion numérique. Prévoyant de créer via ce dispositif judicieux 4 000 places de conseillers numériques à l’image de Mélanie. In fine, le groupe hexagonal envisage l’accompagnement chaque année d’un million de personnes en déshérence numérique. Un sacré plus que ne manquent pas de relayer les collectivités locales, comme Monéteau, afin d’en informer le public. Soit à l’accueil de la mairie ou sur des panneaux électroniques. Un sacré challenge, en vérité…

 

 

En savoir plus :

L’Etape numérique de Monéteau propose :

  • L’accompagnement et la formation aux outils essentiels du monde numérique : découverte des fonctionnalités simples d’une tablette ou d’un ordinateur, création d’adresses mail, prise de RDV médicaux en ligne…
  • L’apprentissage des usages du numérique : premiers pas dans la programmation informatique, sensibilisation aux bonnes pratiques sur les réseaux sociaux….
  • La formation aux compétences numériques professionnelles : accompagner le retour à l’emploi et la réinsertion professionnelle (outils collaboratifs et bonnes pratiques du numérique dans le monde professionnel…).

Outre l’Etape Numérique du bureau de Poste de Monéteau, Mélanie G’SSIR se déplace également dans les bureaux de poste d’Auxerre ZAC Saint-Simon, Toucy, Champs-sur-Yonne et Saint-Georges-sur-Baulche pour exercer sa mission. 

Rappel de l’horaire d’ouverture du bureau postal : du mardi au vendredi de 09h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00.

 

Thierry BRET

 

 


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Une nouvelle installation, c’est un grand moment dans la vie d’une entreprise. Micro bien calé devant son visage, Lionel MION déroule, sans trop sourciller, son discours qu’il propose aux nombreuses personnes présentes à cette soirée inaugurale. Celle d’un nouveau bâtiment. Ergonomique, bien conçu et évidemment fonctionnel. Le nouveau siège de ID’EES 89, filiale du groupe éponyme, et référence structurelle dans le milieu de l’insertion depuis son avènement en 1990, méritait bien une cérémonie…

 

MONETEAU : Séquence nostalgie : elle est déjà loin, la première expérience entrepreneuriale vécue dans la rue Camille Desmoulins. Quelques clichés de l’époque, en noir et blanc, exposés sur les murs de la grande pièce faisant office de hall d’entrée confirment les dires du directeur de l’antenne icaunaise de l'entreprise ID’EES 89, Lionel MION. « Vous pouvez le voir, il se faisait déjà de très belles choses à l’époque ! ».

Puis, il y eut l’installation de l’entité dans des locaux de la rue Gérot, sur le site historique des anciennes usines GUILLIET à Auxerre. Un univers de 5 000 mètres carrés, un tantinet vétuste mais qui fera office de très belle vitrine pour ce spécialiste de l’agencement et de la menuiserie, employant une majorité de collaborateurs en insertion professionnelle.

Désormais, c’est au 43 avenue de Paris, dans la localité voisine de la capitale de l’Yonne que l’entreprise trouve sa place, avec ces locaux flambants neufs, à l’impeccable esthétique.

 

La genèse de ce concept novateur, encouragé par beaucoup

 

Aux côtés de nombreuses personnalités du sérail, de la maire de la localité d’accueil, Arminda GUIBLAIN, de la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT, et de Patrick CHOUX, directeur général du groupe et cheville ouvrière de son développement, Lionel MION lance ainsi la soirée protocolaire, agrémentée d’une courte vidéo de présentation – un court métrage plutôt bien ficelé et rythmé – lui permettant de poser le décor.

Si les patronymes de quelques fervents acteurs et supporters historiques de la société d’insertion résonnent dans la salle par le biais des enceintes (celui de Jean-Pierre SOISSON, notamment, qui aura toujours soutenu la belle initiative permettant aux défavorisés de l’emploi de retrouver une salvatrice porte de sortie…), Lionel MION n’en oublie pas de revenir au présent, expliquant la genèse de cet emménagement dans ces locaux admirés en ce jour inaugural par le public. Et des indéfectibles acteurs économiques de l’enseigne, en les citant, Pierre CHOUX, Patrick CHOUX, directeur général ou encore Christophe MATHEY, directeur administratif et financier.

Sans omettre un nécessaire salut à l’ensemble des collaborateurs qui ont su réaliser des prouesses homériques en assurant un déménagement pendant que l’unité de production demeurait opérationnelle.

 

 

Se servir des expériences réussies sur la Côte d’Or…

 

Employant aujourd’hui 107 salariés, 24 permanents et 83 salariés en CDD insertion, ID’EES 89 fait aussi de la place pour former des alternants, au nombre de deux à date. Deux domaines d’activités justifient sa présence dans le monde du travail : les services dont le secteur nettoyage et propreté des locaux professionnels, particuliers et collectivités ainsi que le secteur tri et valorisation des déchets depuis 2015 sur le site d’Ormoy pour le compte de la COVED PAPREC. La télérelève des compteurs d’eau fait également son apparition au bénéfice de SUEZ

« On s’appuie sur les compétences qui ont été déployées sur la Côte d’Or avec ID’EES 21 afin d’optimiser nos interventions sur le territoire de l’Yonne, ajoute Lionel MION, démontrant la parfaite symétrie entre les différentes structures que possède ce groupe d’envergure régional. Cela nous permet d’appréhender les nouveaux marchés avec beaucoup de sérénité ! ».

Puis, le responsable de l’antenne de l’Yonne évoqua l’autre axe prioritaire du groupe : le bâtiment. Celui-ci comprend cinq secteurs d’activité : un atelier de menuiserie, servant à la fabrication et la conception de mobiliers servant ensuite à l’agencement de locaux professionnels mais aussi pour les collectivités sur appel d’offres, un atelier qui pratique à bon escient les principes vertueux de l’économie circulaire avec des matériaux de récupération de chantiers. La pose de menuiserie (portes, fenêtres, huisseries…) mais aussi de cuisines, la peinture, plâtrerie et cloisons, le carrelage et la faïence constituent les autres déclinaisons de ce pôle bâtiment, décidément en verve.

Cette réorientation des champs d’application du groupe sur son territoire date de 2022. Elle sera naturellement confortée avec l’appui de ce nouveau bâtiment qui recevra en son antre d’ici quelques semaines un show-room illustratif, permettant à la société de présenter son savoir-faire en accueillant davantage de public.

« Un show-room qui sera utile afin de valoriser les compétences et le savoir-faire des salariés, y compris ceux qui sont en insertion professionnelle, explique Lionel MION,

Ce projet pédagogique et entrepreneurial au service de l’insertion est un moyen d’accéder à l’emploi durable… ».

En sus, la coordination de tous les acteurs intervenants sur les chantiers est également assurée par ID’EES 89 : une incontestable plus-value pour mieux se démarquer à l’avenir.

 

Thierry BRET

 

 


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Extérieurement, on voit bien qu’il bouillonne le président du Conseil départemental de l’Yonne ! Un rapide coup d’œil jeté dans la salle de la Pyramide – le fameux hémicycle qui accueille d’ordinaire les sessions de l’organe institutionnel – lui procure un léger rictus sur le visage. Une contraction qui en dit long sur le fond de sa pensée. Habitué, comme il le stipulera lui-même lors de ses propos introductifs, « de dire les choses comme il les ressent ! », Patrick GENDRAUD est agacé. Tout en restant modéré dans son verbatim, il ne comprend pas l’absence, nous non plus par ailleurs, des 180 praticiens, invités à la réunion du GEPS, le Groupement d’Employeurs des Professionnels de Santé. A quelques exceptions, près !

 

AUXERRE : Une poignée, à peine, de médecins icaunais représentait la filière sanitaire lors de cette réunion d’échange programmée, certes un jeudi soir à partir de 19 heures, dans l’hémicycle de la Pyramide, haut lieu des débats du Conseil départemental. La faute en incombait-elle à la froidure météorologique de plus en plus persistante, du fait de sa pluie fine et de la baisse régulière des températures ? A l’horaire peut-être un peu trop tardif ? Au choix de la journée, un jeudi ? On ose imaginer, en revanche, que cette carence de représentativité des « blouses blanches » ne provienne de la thématique proposée par le Département ! C’eut été un comble !

Tout au plus, quelques praticiens se répartissaient de manière très éparse, dans la grande pièce aux fauteuils de cuir, très confortables à l’assise. Mais, visiblement, ceux-là étaient intéressés par les informations délivrées par le Conseil départemental et le GEPS, le Groupement d’Employeurs des Professionnels de Santé. D’autant plus qu’il était question d’une des préconisations judicieuses majeures déclinées par cet organe, le développement de la formation des assistants médicaux sur notre territoire. Nous y reviendrons par ailleurs dans un article complémentaire…

 

La santé n’est pas du domaine de compétence du département

 

Quant à cette absence constatée de visu dans les rangs, elle provoqua, nous l’avons dit, un léger agacement de la part du patron du Conseil départemental.

« Je ne suis pas là pour distribuer des bons points, devait-il souligner, mais je le rappelle une fois encore la santé n’est pas dans le domaine de compétences de l’institution départementale. Comme cela ne dépend pas d’une intercommunalité ni d’une collectivité locale. Toutefois, nous les élus de proximité, nous essayons de faire le maximum avec vous et pour vous – il s’adressait aux rares médecins présents – en étroite collaboration avec l’Agence Régionale de Santé, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, etc. Quant à l’Ordre des Médecins et à ses membres, je les respecte, je les apprécie, mais quand on invite le représentant de cet ordre à assister à une rencontre spécifique comme celle-ci et qu’il n’y a pas de réponse ni de mot d’excuse, cela a le don de m’irriter ! ».

Sans tambour ni trompette, pour Patrick GENDRAUD qui ne s’est pas privé en guise de préambule de distiller ces remarques pertinentes et sans hypocrisie ! Non mais ! Une pensée qui fait référence aussi à la courtoisie et aux règles élémentaires du civisme et de la politesse !

 

 

Un budget de 5,5 millions d’euros pour le poste santé

 

Dommage, pour l’intérêt du débat et de cette réunion alors que le Conseil départemental souhaite franchir une nouvelle étape dans sa politique menée en faveur de la santé depuis plusieurs années déjà ; celle-ci se traduisant par  l’ouverture d’une classe préparatoire aux études de médecine avec l’IUT d’Auxerre, au soutien de l’émergence des Maisons de Santé, à l’encouragement de l’installation de nouveaux praticiens, et au déblocage d’un budget de 5,5 millions d’euros en la matière pour financer le tout.

« Ce n’est pas une obligation de le faire, insistait Patrick GENDRAUD, c’est une politique volontariste que nous menons avec le soutien de l’ARS et la CPAM. On ne le fait pas pour nous, ni pour moi ! On le fait pour nos concitoyens… ».

Une manière concrète pour le président de l’institution départementale, un peu courroucé par le contexte de remettre les points sur les i en passant ainsi ce « coup de gueule », tout en déplorant l’absence d’excuses officielles de l’Ordre médical de notre territoire.

 

Thierry BRET

 


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C’est sûr : le sujet à aborder à l’heure de l’apéritif, voire du déjeuner n’avait vraiment rien de très folichon ! Sensibiliser aux risques des cancers masculins, une initiative programmée dans le cadre de l’opération « MOVEMBER », pouvait donner des sueurs froides au personnel de l’entreprise, réuni en la circonstance à la cafétéria. Mais, chez AFTRAL, on prend ces choses-là très au sérieux. Logique, lorsque l’on évolue en grande majorité avec un milieu masculin, se formant aux métiers du transport et de la logistique…

 

APPOIGNY : Petite réunion entre camarades professionnels à la cafétéria du centre de formation de l’Auxerrois. Jusque-là, tout semble sympathique sur le papier. D’autant que l’horaire prévu se situe aux alentours de 12h45, un peu tard pour l’apéritif (quoique !), mais suffisamment tôt pour se mettre à table !

Bref, c’est donc pavé de bonnes intentions que les salariés et les stagiaires fréquentant le centre AFTRAL devaient converger vers ce havre de paix et de détente, décoré curieusement de ballons bleu ciel et de moustaches noires apposées sur les vitres. Soit le signe distinctif de « MOVEMBER » pour celles et ceux qui y sont déjà initiés !

Un mouvement citoyen caritatif qui se mobilise pour faire bouger les lignes en matière de santé mentale, dans la prévention du suicide et…surtout dans la lutte contre les cancers de la prostate et des testicules.

 

Des pathologies à ne pas prendre à la légère…

 

Mais, c’est l’un des représentants du CERHOM ! (la contraction de la fin du mot cancer et du début du mot homme), structure associative nationale accueillant d’anciens et nouveaux patients atteints d’un cancer masculin, qui prit la parole afin de faire les présentations une fois la salle pleine. Et poser ainsi la problématique cruciale du jour : les risques de ces cancers (prostate et testicules) qui touchent la gent masculine.

Des pathologies à ne pas prendre à la légère, messieurs, puisque selon les dernières statistiques, un homme meurt toutes les heures du cancer de la prostate. Une tendance alarmiste balancée dès l’introduction du propos de l’intervenant, Olivier JEROME, fondateur de CERHOM ! – de belle qualité, instructif sans être dénué d’humour pour apporter un peu de légèreté à l’ensemble – mais qui a eu le mérite d’éveiller les participants les moins attentifs à la discussion. Si, si, il y en avait parmi l’assistance !

Petit à petit, la cafétéria du centre de formation, transport et logistique, se mue en  une salle de conférence où l’orateur, sans se départir de son immuable sourire, va dérouler son exposé en présentant dans les moindres détails les symptômes et les conséquences de ces cancers masculins qui, il est vrai, ne font guère la une de l’actualité. Hormis en règle générale le cancer du sein et sa fameuse déclinaison évènementielle d’Octobre Rose, essentiellement féminine, via le giron des collectivités et des entreprises, qui se soucie réellement des cancers touchant les hommes ? Pauvre de nous !

 

 

Recherche de nouveaux adhérents et de fonds pour CERHOM !

 

Conscient des enjeux propres à la sensibilisation, conduisant nécessairement à la prise de rendez-vous auprès de son médecin traitant (pour celles et ceux de nos concitoyens qui ont encore la chance d’en posséder un !) ou du dépistage dès le moindre doute dans les instituts médicaux spécifiques, Joannick PECHENOT, directeur du centre AFTRAL local, a pris soin d’initier cette animation.

Une première au sein de l’entreprise. Selon la formule consacrée, elle en appellera d’autres avec des items déclinés autour des cancers de l’enfant, la nouvelle édition d’Octobre Rose avec la participation physique d’une équipe sur l’évènement et MOVEMBER en 2024.

Quant à Oliver JEROME, il expliqua les motivations de l’association, créée par ses soins (CERHOM !), tout en présentant de courtes vidéos où le public reconnut l’acteur Bruno SOLO mis en scène pour une juste cause. Il parlera aussi des traitements et des soins disponibles sur le secteur sanitaire.

Plus généralement, CERHOM  recherche aussi la récolte de fonds et d’adhérents afin d’aider la recherche et améliorer les traitements, la prise en charge globale et la vie pratique de ces patients atteints de ces pathologies. Il n’en oublia pas d’évoquer les techniques de l’autopalpation des  testicules, à réaliser en cas de grosseurs suspectes et anormales de l’appareil reproductif masculin.

Conclue une demi-heure plus tard, l’intervention du responsable de CERHOM fut saluée par une salve d’applaudissements. Espérons que le personnel d’AFTRAL ait pu conserver l’appétit après coup !

 

Thierry BRET

 

 


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Est-il un féru de la fameuse chanson popularisée en 1981 par le regretté Hervé CRISTIANI ? « Il est libre, Max » ! On peut se le demander après l’analyse de sa posture politique actuelle. En décidant de couper avec fracas le cordon ombilical qui le reliait à ses mandats de « grand argentier » de l’Agglomération de l’Auxerrois et de la Ville d’Auxerre, tout en conservant ses fonctions d’élu, Pascal HENRIAT a repris son indépendance. Une autonomie utile pour se projeter vers l’avenir avec en point d’orgue une certaine échéance municipale, prévue en 2026…

 

AUXERRE: Il le dit lui-même sans ambages : auparavant, il avait des complexes à assumer ses responsabilités, désormais, il ne les a plus ! Pur « produit » intellectuel à l’estampille de la maison Jean-Pierre SOISSON, voilà le président départemental du MoDem de l’Yonne placé de nouveau sous le feu nourri des projecteurs médiatiques, depuis sa tonitruante annonce survenue il y a quelques semaines signifiant, non pas son retrait de la chose politique – on le sent d’ailleurs totalement revigoré l’élu auxerrois ! – mais de ses fonctions régaliennes d’adjoint aux finances de l’Agglomération de l’Auxerrois et de la Ville d’Auxerre.

Un « tremblement de terre » de force 6 ou 7 sur l’échelle sismique de la vie politique icaunaise qui n’a pas l’heur de le perturber, outre mesure : Pascal HENRIAT revendique et assume ses actes, surtout quand il n’est plus en phase concrète ni en harmonie intellectuelle avec la gouvernance actuelle.

Et ses choix d’augmenter, à titre d’exemple, la taxe foncière sur l’Auxerrois ou de procéder à des investissements superfétatoires qui, d’après lui, ne se justifient pas, sinon de grever durablement les budgets des entités institutionnelles dont il assurait jusque-là les finances.

Le garçon s’offre donc le luxe de reprendre sa destinée en main, tout en conservant ses prérogatives d’élu au sein des deux assemblées où il prendra toujours la parole mais avec un regard de plus en plus critique et tranché sur la vie de l’intercommunalité et du conseil municipal.

 

L’élu du futur devra être un maire de proximité…

 

Un désaccord profond que ne réfute pas le nouvel homme libre de l’Auxerrois. Cela se savait dans les coursives, le torchon brûlait depuis un moment déjà entre Crescent MARAULT, le maire-président et sa personne. Oublié la vice-présidence de l’Agglo, évaporé le poste d’adjoint aux finances, le soldat HENRIAT redevient donc un homme de base dans cette armée institutionnelle, prêt à livrer une partie d’échec politique qui pourrait bien désormais le faire travailler uniquement pour lui-même !

Il le dit d’abord à demi-mot – « pour l’avenir, il faudra un homme de transition qui possède l’expérience nécessaire au service de la ville… » -, puis, avec davantage de certitudes (« pour le prochain mandat, à partir de 2026, le maire élu devra refaire de l’argent, ce sera une nécessité afin de pouvoir désendetter la ville avec des emprunts et de la fiscalité… »). Avant de se lâcher un peu plus au fil de ses analyses, « l’élu auxerrois de 2026 devra être avant toute chose un édile de proximité, qui ait de l’empathie avec ses concitoyens, et qui propose une réelle vision pour l’avenir ».

Toute ressemblance avec l’orateur du jour ne serait-elle donc que fortuite ?!

Allez, allez, on pousse le bouchon du questionnement un peu plus loin, histoire de corroborer ces dires : « il est possible que je prenne tous ces éléments en considération, à condition de travailler avec une équipe qui se serait formée autour d’un véritable esprit d’ouverture politique pour mieux préserver l’intérêt des concitoyens… ».   

Puis, prudent et réaliste, Pascal HENRIAT le dit tout de go, histoire de jeter le trouble sur ses réelles intentions : « mais de tout cela, je n’en fais pas un dogme ! ».

Ne siégeant désormais ni dans l’opposition, ni aux côtés de la majorité, Pascal HENRIAT occupe donc un positionnement pour le moins original dans le paysage auxerrois et pas aussi inconfortable qu’il n’y paraît aux premiers abords. Un peu centriste comme son maître à penser du MoDem, François BAYROU !

Il se considère tel un indépendant. Donnant ainsi sa voix sur certains dossiers, présentés par la majorité. Comme rejetant les propositions qui ne correspondraient pas à son éthique politique.

« Je m’autorise le droit de vigilance et d’alerte sur des thèmes qui s’ils étaient appliqués, iraient à l’encontre des intérêts des Auxerrois et des habitants de ce bassin. Soucieux des deniers publics, je vais m’arroger le rôle de vérificateur du fait de ma longue expérience exercée aux finances… ».

Des paroles en conformité avec ses récentes prises de position où le conseiller départemental de l’Yonne clamait haut et fort qu’il fallait diminuer les investissements sur l’Auxerrois, et dans sa capitale où les ratios d’endettement viraient vers le rouge vermillon !

 

 

42 % de propriétaires contribuent au bonheur de 58 % de locataires !

 

Sur les motivations exactes qu’ils l’ont poussées à jeter l’éponge de manière définitive et à abandonner  ses deux mandats tout en se désolidarisant de la gouvernance, Pascal HENRIAT n’est pas tendre dans ses commentaires vis-à-vis de l’équipe en place. Il a la dent dure, façon « Aiguille d’Etretat » sur les problématiques de gouvernance et financières ! Les deux causes qui ont précipité son retrait.

« Le roi est seul et décide tout seul ! ». Bing, une première flèche décochée par l’élu à la fameuse casquette. On dirait du Shakespeare ! « D’ailleurs, renchérit-il, les élus n’existent pas et sont placés devant les faits accomplis ! ». Boum, là, c’est franchement Robin des Bois !

Peu avare dans les formules caustiques et ironiques, Pascal HENRIAT envoie ses « SCUD » comme s’il égrenait un chapelet !

« On est entrés dans une véritable aventure financière avec beaucoup de dépenses parce que l’Agglo a trop investi. Avec des hausses d’impôts à la clé, alors que le nouveau maire d’Auxerre avait promis qu’il n’y en aurait pas durant sa mandature… le maire a donc trahi ses promesses de campagne ! ».

Sur la taxe foncière, l’ex-argentier de l’Auxerrois ne s’en remet toujours pas. Les propriétaires ne vont donc pas être à la noce en 2024 avec des augmentations de près de 8 % dans la périphérie de la capitale de l’Yonne et de 15 % dans Auxerre intra-muros ! Les propriétaires représentent tout de même 42 % des habitants de cette zone. C’est eux qui financeront pour le compte des locataires ! Dans un vrai esprit de péréquation ?!

 

 

Des ratios d’endettements alarmistes !

 

Une progression haussière pour faire face, il est vrai, à l’inflation à deux chiffres imputable à une conjoncture internationale et macro-économique que personne n’a su prédire en 2022 ! On ne peut quand même pas tout mettre sur le dos de la gouvernance locale, que diable !

En revanche, Pascal HENRIAT tire à boulet en rouge sur le trop plein d’investissements de la Ville, soit une somme de 32 millions d’euros injectés dans une multitude de projets alors que le budget total ne s’élève qu’à 60 millions d’euros.

« Ce n’est pas tenable, à court terme ! Dans le mandat précédent – celui où Pascal HENRIAT était déjà aux manettes des finances sous l’ère de Guy FEREZ – le budget consacré aux investissements n’excédait pas les douze millions d’euros... ».

Oui mais, les mauvaises langues diront en substance que cela n’empêchera pas le patron du MoDem de l’Yonne de rendre aussi son tablier au maire socialiste de la ville en fin de mandat ! Autre temps, mêmes effets !

S’inquiétant de la période de désendettement de la ville, celui qui eut à gérer les finances d’Auxerre durant neuf ans estime qu’il faudra des années supplémentaires à la collectivité afin de pouvoir s’acquitter de ses dettes. Le nombre d’années était de sept en 2020 au début de la nouvelle mandature. Il est de onze ans en 2023. Les projections de 2025 l’évaluent à 13,5 années. Péremptoire, l’élu indépendant d’insister qu’à partir de 15 ans pour se désendetter, c’est la mise sous tutelle de la collectivité !

« Les ratios sont alarmistes et encore, tout n’est pas provisionné, ajoute-t-il en faisant allusion au projet de la déviation sud d’Auxerre.

Surnommant l’actuel maire-président de l’Auxerrois, « l’homme du passif », Pascal HENRIAT rappelle qu’une collectivité telle que celle d’Auxerre doit se gérer en « bon père de famille ».

Surtout pour éviter de figurer un jour sur le podium des villes de Bourgogne Franche-Comté où les hausses d’impôts vont battre tous les records ! Un mauvais signe adressé à leur développement et à leur attractivité !

Qu’à cela ne tienne, Pascal HENRIAT, bien dans ses baskets et libre comme l’air au niveau de son mental, intègre désormais le peloton des potentiels prétendants à la succession de Crescent MARAULT en 2026. L’élu du MoDem a donc vaincu ses complexes…et veut le faire savoir ! Sera-t-il entendu ?

 

Thierry BRET

 


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