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Nouvelle scénographie et déjà les signes d’un futur succès pour le complexe touristique de Côte d’Or ? Après la découverte des lieux par une cohorte de journalistes dont la plupart provenaient de la capitale, ce sont désormais les touristes de l’Hexagone et de la région qui investissent ce site retraçant les péripéties de la fameuse bataille livrée entre Romains et Gaulois…

 

ALISE-SAINTE-REINE (Côte d’Or) : En avant-première, les représentants de la presse spécialisée étaient venus nombreux pour s’imprégner de l’endroit, dévoilant en exclusivité sa nouvelle exposition permanente.

Une franche réussite pour les organisateurs puisque l’effectif de ce groupe d’influenceurs consacrant sa journée sur ces lieux à vocation touristique flirtait allègrement avec le chiffre quatre-vingt !

 

 

Cela se déroulait fin juin.

Quelques jours plus tard, et après plusieurs mois de fermeture imputables à la crise sanitaire, le MuséoParc d’Alésia accueillait ses premiers visiteurs.

Force est de constater que depuis, le hall d’entrée circulaire donnant accès à la nouvelle exposition ne désemplit pas !

 

 

 

Les premières tendances confirment la bonne impression…

 

 

Une tendance significative a été relevée le week-end dernier, les 10 et 11 juillet. Le complexe a enregistré une fréquentation record de 1 300 visiteurs en un  laps de temps très court. Effaçant ainsi des tablettes le précédent pic de visites, observé depuis 2012 !

Certes, le protocole sanitaire (port du masque et gestes barrières) est respecté à la lettre. Mais, selon les responsables du site, « les sourires même dissimulés derrière le masque et les yeux ébahis d’un public de tout âge ne trompent pas… ».

 

 

Ludique, interactive, originale, éducative… : la scénographie newlook séduit le public qui n’en demandait pas tant pour s’évader en ces lieux chargés d’histoire et d’aventures.

Certes, il est encore trop tôt pour pouvoir en juger. Mais, une chose est sûre, le MuséoParc d’Alésia devrait figurer en bonne position dans les destinations touristiques préférées de nos compatriotes cet été.

D’ailleurs, nous vous en proposerons très vite une immersion détaillée, devant inciter à vous y rendre sans tarder !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le lifting prévu dès le terme de l’été vise à réhabiliter l’ouvrage d’art en lui permettant de retrouver son étanchéité. Un programme de rénovation et de consolidation de huit mois qui s’inscrit dans le cadre de l’OGS (Opération Grand Site) de Vézelay. Edifice au lourd passé cinématographique (la célèbre scène où l’on voit Louis de FUNES et BOURVIL fuir des soldats allemands accompagnés de leurs chiens), le pont Vauban de Pierre-Perthuis va se refaire une beauté avec le concours de l’Etat…

 

 

PIERRE-PERTHUIS : L’endroit est bucolique. Perturbé par une légère brise de vent à l’inspiration automnale qui souffle dans les arbres. Le clapotis de l’eau apporte une musicalité supplémentaire à cet espace naturel dénué de toute présence nuisible. Un agréable glouglou qui en ferait presque oublier la noirceur persistante du ciel. Par chance, aucune goutte de pluie ne s’abat sur le petit groupe qui s’approche de l’ouvrage d’art.

Habillés chaudement tels des gentlemen-farmers visitant leurs terres, ils s’arrêtent et contemplent le décor. Le premier des deux ponts, immense viaduc placé haut au-dessus de leurs têtes, les domine. Mais, c’est le plus petit de ces édifices facilitant la traversée de la Cure qui intéresse ces promeneurs qui n’ont rien de cueilleurs de champignons.

On y distingue le député de la circonscription, André VILLIERS, muni d’un solide parapluie au cas où ! A ses côtés, sa coreligionnaire de la Chambre haute : la sénatrice Marie-Agnès EVRARD. Elle profite de quelques instants de répit pour immortaliser l’endroit (magnifique de joliesse de surcroît) sur la fonction photographique de son IPhone. S’éclipsant quelques instants pour humer le charme champêtre de l’endroit, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST apprécie depuis le rivage la perspective de la construction.

 

 

Un pont à attribuer à Vauban ou pas ?

 

Ce pont de pierre aux origines si lointaines que nul des interlocuteurs présents, pourtant bien instruits sur le sujet, ne peut dater avec exactitude. L’un avance la date de 1770, faisant référence à un élément significatif visible sur l’une des pierres séculaires de l’ouvrage. Un autre parle de multiples constructions réalisées au fil du temps et de destructions successives imputables aux crues violentes. Bien sûr, il y a l’allusion ouverte à Vauban !

Illustre personnage, proche du Roi-Soleil (il en fera un maréchal de France), l’homme cumule à la fois les fonctions d’ingénieur, d’urbaniste, d’essayiste, de militaire, mais surtout d’architecte et de spécialiste de l’hydraulique. Alors qu’on lui attribue la paternité de ce petit pont ne serait pas en soi une forfaiture. Certains y croient dur comme de la…pierre !

En revanche, s’il est une date qui est fiable, c’est bien celle de 1924, année où le pont de Pierre-Perthuis fut porté au registre des monuments historiques. D’ailleurs, un an plus tard, l’ouvrage bénéficia d’un sérieux toilettage se rapportant à son étanchéité. Déjà. Preuve que les ravages du temps et l’usure imputable à la météo savent faire leurs œuvres.

 

 

Un reste à charge de 3 % pour la commune…

 

Emprunté jadis par les mules se rendant d’un rivage à l’autre de la Cure, le pont Vauban, puisque telle est son appellation retenue officiellement par les instigateurs du Plan de relance qui lui permet grâce à la DSIL (Dotation de soutien à l’investissement local) d’en financer les travaux, va connaître un exercice de restauration, long de plusieurs mois. Jusqu’au terme des travaux devant se conjuguer avec le printemps 2022.

D’un coût global de 300 000 euros hors taxes, le projet profite d’une manne financière conséquente, représentant 60 % du coût total des travaux. C’est-à-dire une enveloppe de 180 000 euros afin de restaurer et sécuriser cet édifice faisant figure de patrimoine référentiel dans la contrée.

Le chantier comprendra la dépose et la pose de pavage, l’étanchéité de la voûte, la reprise en pierres neuves, la réfection d’enduits…L’objectif est aussi de renforcer la construction, malmenée par les infiltrations d’eau. Parmi les autres financeurs, la Région et la DRAC interviendront à hauteur de 20 % chacune. Le reste à charge revenant à la commune. Il n’excèdera pas 3 % !

 

 

Un emblème architectural universellement reconnu grâce au cinéma…

 

Petit par sa dimension mais grand par sa célébrité ! C’est ce qui caractérise le mieux le pont Vauban. Choisi comme lieu de tournage d’une multitude de longs métrages, on peut l’admirer dans le classique « Mon oncle Benjamin » d’Edouard MOLINARO avec Jacques BREL, Claude JADE et Bernard BLIER en 1969 ; « La Révolte des innocents », téléfilm signé par Philippe NIANG en 2018 sans omettre la comédie culte par excellence, « La Grande Vadrouille » datant de 1966 avec les inoubliables DE FUNES et BOURVIL.

Entre 30 et 40 000 visiteurs, au minimum, admirent chaque année ce pont mythique qui aura aussi inspiré les spécialistes de marketing de HYUNDAI dans l’une de leur présentation publicitaire.

Il était naturel que cet ouvrage d’art profite d’une salvatrice cure de jouvence devant le faire perdurer dans le temps…

 

Thierry BRET

 


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La légitimité du concept n’est plus à faire. Quelques mois à peine auront suffi à imposer dans le paysage informatif et commercial de l’Yonne la plateforme numérique, bénéficiant du coup de pouce de la Région. « J’veux du local », au terme de sa première année d’existence, se porte bien. Elle envisage l’avenir sous ses meilleurs auspices, en souhaitant augmenter la jauge côté producteurs à promouvoir…

 

AUXERRE : Lancé en mai 2020, « J’veux du local », à l’appellation si explicite, fonctionne depuis à son rythme. Que l’on qualifierait volontiers de croisière. Adoubé par les organismes du territoire, à l’instar de la Région, du Département ou de la Chambre d’Agriculture, l’outil offre une fenêtre de tir opportune aux professionnels des métiers de bouche, agriculteurs, viticulteurs et dans une moindre mesure, restaurateurs et artisans, désireux optimiser leur visibilité.

Alors quand il s’agit de commémorer le premier anniversaire de ce concept, le président de la chambre consulaire agricole ne cache pas son enthousiasme. Arnaud DELESTRE sait que la plateforme a su faire mouche en l’espace de douze mois auprès de ses fidèles suiveurs. Et cela ne semble pas devoir se terminer dans un proche avenir.

 

 

De belles références parmi les 228 producteurs répertoriés…

 

Deux cent vingt-huit acteurs des filières agricoles et des métiers de bouche bénéficient à ce jour du référencement judicieux proposé par la plateforme, ayant pris sa source originelle en Saône-et-Loire. L’objectif du second exercice serait d’en ajouter 120 autres dans un laps de temps plutôt court ! Un potentiel de nouveaux contacts qui ne manquera pas d’interpeller les quatre mille visiteurs fréquentant déjà le site avec assiduité.

Parmi les producteurs référencés, 26,4 % sont convertis à l’agriculture biologique, 19,4 % ont rejoint le réseau « Bienvenue à la Ferme » et 7,5 % disposent d’une distinction honorifique obtenue au concours général agricole.

Ce sont les producteurs de fruits et légumes qui sont les plus représentés dans ce panel éclectique du savoir-faire départemental. Ils sont au nombre de 57. A noter qu’une cinquantaine de viticulteurs figure en bonne place dans ce dispositif digitalisé.

On notera pour l’anecdote la présence de trente-neuf marchés (ils ne sont pas tous répertoriés), une douzaine de collectifs de vente, six caves et autres lieux agro-alimentaires (brasserie). La présence de boucheries se limite pour l’heure à deux commerces. Trop peu encore, de l’avis du président de la Chambre départementale d’Agriculture.

 

 

Un premier objectif avec 120 nouveaux producteurs à convaincre…

 

Si le nombre de pages consultées dépasse le palier de 8 200 unités, précisons que 50 % des utilisateurs emploient leur smartphone pour aller à la quête d’une information pertinente.  

Présente sur la totalité des départements que compte la Bourgogne Franche-Comté, la plateforme promotionnelle (elle n’est pas un site marchand) pourrait accueillir encore près de cent vingt producteurs supplémentaires, en particulier ceux issus du domaine viticole, au cours de ces prochains mois. C’est le vœu le plus cher du président DELESTRE qui prend conscience de la force de frappe offerte par cette vitrine de communication.

D’ailleurs, l’outil connaît un regain d’intérêt de la part d’autres chambres consulaires même éloignées de notre secteur géographique. C’est le cas en particulier avec le département de l’Ardèche qui devrait bientôt en être pourvu.

Outre les viticulteurs qui figurent parmi la liste de prospects à convaincre afin de rejoindre le concept, les restaurateurs s’inscrivent en priorité dans la boucle pour renchérir une offre à l’éclectisme accru que propose à date le dispositif.

C’est certain : la plateforme n’en est qu’au balbutiement de ses possibilités…

 

Thierry BRET

 


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Première étape des actions menées par la Communauté d’intérêt MOVIN’ON pour faire du véhicule autonome une réalité, le rapport issu de ses travaux a été rendu public lors du Salon AUTONOMY à Paris. Deux autres axes prioritaires, portés par ce groupement à l’initiative de la MACIF et une douzaine de grandes entreprises, devraient suivre : l’analyse de la mobilité dans les territoires ruraux et périurbains et une phase d’expérimentation dès 2022…

 

PARIS : Profitant d’une conférence de presse donnée au Salon AUTONOMY à Paris (les 19 et 20 mai derniers), la Communauté d’intérêt « MOVIN’ON » a fait part de ses analyses sur les travaux consacrés au véhicule autonome et à sa réalité, loin d’être virtuelle.

Convaincue que ce moyen de locomotion partagé pourrait être une solution enviable permettant de favoriser la mobilité inclusive et durable, notamment dans les territoires ruraux et périurbains, la MACIF devait lancer courant 2019 cette entité où se sont agrégées depuis une douzaine d’entreprises dont GROUPAMA, FAURECIA, MICHELIN, MICROSOFT, VINCI, ORANGE ou encore la SNCF.

L’objectif de ce groupe de travail est de déployer des solutions de véhicule autonome au sein de MOVIN’ON qui réunit au niveau planétaire les entreprises, les villes, les pays mais aussi les citoyens désireux de faire avancer la mobilité durable.

La cellule de réflexion a engagé un certain nombre de travaux sur une période de douze mois visant à appréhender les dimensions environnementales, sociales, économiques, juridiques et politiques du véhicule autonome.

Pilote des travaux de la Communauté d’intérêt, Yann ARNAUD, directeur réponses besoins sociétaires et innovation de la MACIF, résume la philosophie de ce vaste chantier : « Si demain, le véhicule autonome peut redonner de la mobilité à celles et à ceux qui en sont privés, de partager un bien, de moins peser sur l’environnement et de remettre de la vie et de l’activité dans les centres villes, alors ce sera une réelle avancée positive pour la société… ».

 

Une réflexion explorant une mobilité plus durable et plus inclusive…

 

Ainsi, à titre d’exemple, la navette autonome partagée serait l’un des vecteurs de cette mobilité pouvant désenclaver les territoires, accélérer la transition écologique et surtout faciliter les déplacements des populations, aidant notamment à un meilleur accès à l’emploi.

Parmi les constats et recommandations essentiels qui découlent de cette étude intéressante, quatre axes majeurs y ont été répertoriés.

 

 

Primo, les travaux de la Communauté d’intérêt montrent la nécessité de penser le développement des véhicules autonomes à partir des besoins des publics exclus de la mobilité. Conséquence : le déploiement du véhicule autonome ne s’établirait pas en concurrence de l’automobile traditionnelle mais en complément de celle-ci dans les territoires ruraux et périurbains. Les développer inciterait à la mobilité optimale des seniors ou des personnes victimes d’un handicap ainsi que les déplacements des habitants de zones périphériques et rurales qui restent dépendants de la voiture et n’ont pas ou peu d’accès à des transports collectifs. Cela concerne environ 15 millions de nos concitoyens dans l’Hexagone !

Résoudre l’équation de la mobilité (le « droit des droits » selon le sociologue Eric LE BRETON) solutionnerait sans doute les problématiques liées à l’insertion sociale, l’accès à l’emploi, à la santé, à l’éducation, à la culture, aux loisirs.

 

Seulement 6 tests réalisés sur des zones à faible densité de population…

 

Second volet analytique de ce rapport : celui de la mobilité durable. L’étude souligne la forte incertitude qui demeure quant à l’impact environnemental des véhicules autonomes. Tout dépendra de la volonté de l’Etat à favoriser à l’avenir une mobilité collective et la plus partagée possible. Un enjeu majeur pour contenir, voire réduire les émissions de Co2 puisque 29 % de ces rejets nocifs à la planète sont imputables aux transports en France.

Tertio, le rôle des territoires est prépondérant. Le rapport insiste lourdement sur l’importance d’associer les collectivités locales (gestionnaires des voiries, garantes de l’ordre public et pourvoyeuses des services régulant la mobilité) aux expérimentations technologiques et à la stratégie nationale de développement des véhicules autonomes.

Précisons que depuis 2015, si plus de 120 expérimentations se sont déjà déroulées dans le pays, seulement six d’entre elles l’ont été dans des zones peu denses. Là où précisément les besoins de mobilité autonome y constitueraient pourtant un véritable progrès servant l’engagement des élus…

 

 

Les premières expérimentations grandeur nature prévues en 2022…

 

Dernier item fondamental pour la Communauté d’intérêt : le sens de la technologie. Un axiome élémentaire qui donne la priorité à une réflexion sur le sens et les effets induits de l’émergence du véhicule autonome. Jusqu’ici, les acteurs de ce secteur ont majoritairement privilégié une approche technologique de cet objet. Sur cent mille publications scientifiques consacrées au véhicule autonome, seulement 185 se rapportent à son impact tangible sur la mobilité.

S’interrogeant sur le droit, la mobilité inclusive et durable, les modèles d’affaires, les données, l’assurance, l’acceptabilité ou encore les politiques publiques, les travaux de l’entité ont permis d’identifier et de recenser les controverses non-techniques qui entourent le véhicule autonome.

Cette démarche pose dans les faits les fondations essentielles à la réussite du déploiement de ce mode de locomotion dans le futur.

Avant le terme de l’année, il sera judicieux d’identifier ceux des territoires ruraux et périurbains de notre pays qui seront alors susceptibles d’accueillir les futurs véhicules autonomes et préparer ainsi une phase d’expérimentation.

Dès 2022, l’idéal sera de tester dans une zone à faible densité un modèle de véhicule autonome pouvant être répliqué ailleurs. Et si le département de l’Yonne qui en comporte quelques-unes de ces zones peu denses se portait candidat à ce test grandeur nature aux retombées nationales ?

 

Thierry BRET

 


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Copieux programme que celui des Conseillers départementaux de l’Yonne lors de leurs retrouvailles ce vendredi 16 juillet qui se dérouleront en présentiel sur le site de la Pyramide. Avant qu’ils ne se réunissent à huis clos en commission permanente, les 42 élus examineront différents points portés à l’ordre du jour…

 

AUXERRE : La session d’installation et l’élection du président de la nouvelle assemblée départementale sont déjà loin dans les mémoires (le 01er juillet dernier) ; place désormais aux choses plus opérationnelles avec ces retrouvailles concoctées ce vendredi 16 juillet en salle des délibérations.

Les 42 élus, présents sur le site de la Pyramide dès 09 heures, se retrouveront pour examiner plusieurs points inscrits à l’ordre du jour : la composition des commissions thématiques au nombre de sept, l’élection des membres de la Commission d’Appel d’Offres, l’élection des membres de la Commission de délégation de service public (DSP) ainsi que la désignation des représentants de l’organe institutionnel au sein de commissions et organismes divers. 

Côté signature, il sera question de parapher la convention liant l’Etat et le Département se rapportant au Contrat départemental « Lecture Itinérance 2021/2023 ».

Enfin, le Contrat territorial « Eau et Climat » du Syndicat mixte Yonne Médian sera également porté à la connaissance des édiles.

Précisons que la session sera retransmise dès 09 heures sous la forme d’une vidéoconférence à suivre sur la page Facebook du Département. La référence est la suivante : https://www.facebook.com/FildelYonne/live/

 

 

En savoir plus :

 

Pour mémoire, la liste des douze vice-présidents et leurs délégations proposées par le président Patrick GENDRAUD est la suivante :

  1. Gregory DORTE, premier Vice-président, en charge de l’Éducation (dont les collèges) et de la Jeunesse
  2. Marie-Laure CAPITAIN, en charge des Finances
  3. Christophe BONNEFOND, en charge des travaux, des routes et de l'immobilier (dont les bâtiments, à l'exception des collèges)
  4. Isabelle FROMENT-MEURICE, en charge de la promotion touristique et culturelle
  5. Alexandre BOUCHIER, en charge des Ressources humaines
  6. Elisabeth FRASSETTO, en charge des personnes âgées, ainsi que de l'enfance et de la famille
  7. François BOUCHER, en charge de l'attractivité, des partenariats avec les collectivités, et du sport
  8. Catherine MAUDET, en charge des personnes handicapées
  9. Gilles PIRMAN, en charge de la Santé
  10. Sonia PATOURET, en charge de l'Insertion par l'emploi
  11. Pascal HENRIAT, en charge du Numérique
  12. Colette LERMAN, en charge de l'environnement, de l'agriculture et de l'alimentation.

Les vice-présidents et l'ensemble des conseillers départementaux seront répartis au sein de sept commissions, répondant aux compétences du Département et à des priorités d'actions du mandat :

  • 1èreCommission :Attractivité et animation territoriale
  • 2eCommission :Administration générale
  • 3eCommission :Emploi, insertion et santé
  • 4eCommission :Solidarités familiales et générationnelles
  • 5eCommission :Éducation et jeunesse
  • 6eCommission :Infrastructures et aménagements d’avenir
  • 7eCommission :Environnement, agriculture et alimentation durable

 

Thierry BRET

 

 


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