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Ah ! Enfin la belle rentrée des classes sur fond d’automne et de ses parfums de fougères, de champignons… La joie de retrouver les copains dans l’anxiété de connaître celle ou celui qui allait passer un an à enseigner les rudiments de la grammaire et de l’arithmétique : l’institutrice ou l’instituteur. Vous le devinez : on vous parle d’un temps que les moins de soixante ans ne peuvent pas connaître… Aujourd’hui nos braves enseignants se nomment « professeur des école ». C’est un peu plus pompeux et bien moins romantique…

TRIBUNE : La rentrée à la communale commençait par la tenue. L’occasion d’inaugurer une nouvelle culotte courte. Dans la tradition, on ne portait le pantalon qu’à partir de la classe de 6ème ! Pas de montre bien sûr : elle n’était arborée qu’après la communion solennelle… Et  enfin une nouvelle blouse. Celle-ci donnait de la fierté aux impétrants de l’Education nationale.

Pour être obligatoire, la blouse permettait malgré tout de se distinguer des amis par une couleur ou un imprimé. La blouse grise avec ceinture restait le grand classique. Les enseignants portaient également une blouse, sans fioriture ni originalité particulière. Certains ont sûrement gardé dans la mémoire ces odeurs de rentrée des classes : des parfums de cahiers neufs et de livres poussiéreux qui se mêlent aux fragrances de l’encre versée dans les encriers et du matériel scolaire prêté ou donné.

On remettait également la plume « sergent-major » qui permettait de remplir un cahier de belles lettres de l’alphabet. Il ne fallait pas oublier les pleins et les déliers. Les premiers mots écrits sur le tableau noir : la date et la phrase du jour.

« Nul ne doit se faire justice lui-même » : une citation de l’éducation civique était commentée par l’instituteur. La morale républicaine imprégnait les jeunes esprits. Le bon point récompensait une bonne réponse. Dix bons points donnaient droit à une image et dix images se voyaient récompensées par un tableau d’honneur. Les tablettes n’existaient pas, les ordinateurs non plus. Pour les leçons de vocabulaire, un tableau représentant par exemple un sous-bois en automne permettait de découvrir le langage et le vocabulaire de cette belle saison. C’était mieux dans le temps ? Que nenni !

Mais à une exception près : le respect de la loi : « l’école est laïque et gratuite jusqu’à 16 ans ». Aujourd’hui qu’en est-il ?

 

Une école qui a beaucoup évolué…

 

Pour l’école laïque : des pressions d’ordre religieux ont abouti à interdire la viande de porc à la cantine. L’histoire doit prendre en compte un récit de la guerre d’Algérie afin de ne pas heurter les élèves d’origine musulmane !

Pour la gratuité : depuis Jules Ferry, l’école est gratuite et obligatoire, ainsi l’école crée un espace sans distinction sociale. Pour l’obligation de scolarisation : l’école est toujours obligatoire jusqu’à seize ans mais la scolarité do

it commencer dès l’âge de trois ans.

Dans le cadre de la prévention et de lutte contre la pauvreté, la loi de 2020 instaure l’obligation pour tous les jeunes âgés de 16 à 18 ans, de faire une formation.

En France, près de 80 000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans aucune qualification. Notre pays compte 60 000 jeunes mineurs ni en emploi, ni en formation, ni en études. Ces jeunes mineurs se heurtent à de grandes difficultés pour s’insérer dans le marché du travail et sont les premières victimes de la pauvreté. Avec l’obligation de formation, le gouvernement entend répondre aux besoins des personnes les plus fragiles en les accompagnants mieux et plus longuement, pour faciliter leur insertion et les faire sortir de la pauvreté.

Malgré tout, les contrôles sont peu pratiqués. De nombreux élèves de moins de seize ans ne vont plus à l’école et les parents ferment les yeux ! Quant aux jeunes plus âgés, ils refusent fréquemment les formations proposées. Ils alimentent parfois les faits divers : délinquance et réseaux de trafic de drogue !

 

La tentation du marketing a été la plus forte…

 

Dans le Morvan, au début des années 2000, l’Assistance Publique a récupéré une jeune fille de 16 ans, élevé officiellement par des habitants d’un petit village et qui ne savait ni lire ni écrire : elle n’avait jamais été à l’école, passant ainsi au travers de tous les contrôles possibles ! Elle eut la chance d’être placée chez des apiculteurs, qui en plus de l’école, lui ont appris leur beau métier.

Ecole gratuite : oui ! Jusque dans les années 60, l’école communale fournissait livres, cahiers, plumes et porte-plume, encre, double décimètre, règle. Compas et  équerre étaient prêtés lors des cours de géométrie. Le plumier et le cartable était remis par les parents. Quelle fierté d’emporter le plumier du grand-père ou du père ! Les familles devaient également recouvrir les livres : du papier épais, marron-clair pour les plus humbles. Pour certains une grosse courroie de cuire faisait office de cartable pour emporter livres et cahiers.

Nous avons fini par céder à la tentation des marques et autres artifices de la publicité : les trousses, les cartables et autres chaussures de sport qui peuvent frôler les deux cents euros !

Alors que fait-on ? Pour la communale, on peut tenter l’expérience : envoyer la gamine et le gamin avec juste un cartable et une trousse…

De toute façon « L’école, ça sert à rien ! ». Français : je le parle déjà. Technologie : je suis sur Facebook. Histoire : de toute façon, ils sont tous morts. Géographie : j’ai un GPS. Musique : j’ai You Tube.  Maths : j’ai la base : 2+2 = 4. Anglais : je regarde « Dora ». Physique chimie : je regarde « C’est pas sorcier ! ». Pour l’EPS, je regarde « Euro sport ». Ainsi va notre monde moderne !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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La présence accrue de l’Etat au cœur de la ruralité justifiait la venue de la ministre de la Cohésion des Territoires Jacqueline GOURAULT dans le nord de l’Yonne ce vendredi. Un déplacement en nombre puisque trois secrétaires d’Etat en charge de la ruralité, du numérique et du tourisme accompagnaient la représentante du gouvernement. L’Etat adopte le grand braquet afin de rendre plus accessible les services publics dont ont besoin les citoyens avant 2022…

SERGINES: Deux ans avant le terme du quinquennat, l’Etat décide de mettre les bouchées doubles pour accroître sa présence opérationnelle au plus près de ses administrés. C’est une évidence à l’écoute de la feuille de route explicative déclinée par la ministre de la Cohésion des Territoires Jacqueline GOURAULT, qui profitant de son déplacement dans le nord de l’Yonne, s’en est fait l’écho. Lors de l’inauguration de la Maison France Services locale. Tout un symbole, en vérité.

L’ex-maison de services au public (MSAP) officie désormais sous le pavillon de France Services. Un label de référence nationale qui traduit cette volonté de polyvalence et de qualité de service à déployer aux villageois mais pas seulement. Prolixe dans ses commentaires, le directeur de cet établissement confirmera par ailleurs que les urbains n’hésitent pas à parcourir des kilomètres pour bénéficier des prestations proposées par ce guichet unique de la citoyenneté. Un concept soutenu par la Communauté de communes Yonne-Nord, présidée par Thierry SPAHN.

Que ce soit pour des problématiques de retraite, de passeport à établir, de carte grise à réaliser ou autres, jeunes et moins jeunes fréquentent depuis son ouverture cette maison avec la régularité constante d’un métronome. Preuve si l’on en doutait encore que le système fonctionne ; et qu’il séduit ses utilisateurs.

 

 

 

 

 

Dès lors, face à cet engouement de la population, le gouvernement appuie sur le champignon. En se donnant des objectifs de conquête précis pour que chaque canton de l’Hexagone dispose d’ici 2022 de ce précieux outil de coordination des services et de communication directe avec les Français. Et toujours avec l’estampille de ce label garant de la charte à respecter.

Il existe aujourd’hui 534 maisons France Services en France. Trois cents nouvelles de ces réalisations (de véritables couteaux suisses !) vont éclore dans les prochaines semaines. A terme, deux mille établissements accueilleront les Français dans un intervalle de deux ans. Dans la stricte application du cahier des charges et de ses exigences, à savoir un minimum de services accessibles à tous.

 

 

 


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Le secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques a paraphé la semaine dernière l’autorisation de déploiement de huit nouveaux pylônes de téléphonie mobile 4G devant être implantés sur le territoire nord-bourguignon. Cela portera à quarante-et-un le nombre de ces précieux relais dont l’Yonne a grandement besoin pour sortir de l’ornière…

SERGINES : Le département septentrional de la région Bourgogne Franche-Comté accusait jusque-là un certain retard dans l’installation d’équipements lui permettant d’accéder avec davantage d’aisance à la téléphonie mobile.

Il semblerait que les choses évoluent dans le bon sens après la mise en œuvre du new deal mobile orchestré entre l’Etat, les opérateurs ad hoc et l’ARCEP (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes).

Un concept visant à réduire la fracture numérique dans les zones rurales dont le porte-étendard n’était autre à l’époque de son lancement que Julien DENORMANDIE ; ce dernier inaugurant le premier pylône de téléphonie 4G sur le site emblématique du château de GUEDELON le 11 juillet 2019.

La semaine dernière, son successeur, Cédric O, secrétaire d’Etat rattaché au ministère de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les Collectivités territoriales, a donné son feu vert pour le déploiement de huit nouvelles structures métalliques équipées d’électronique devant s’ériger vers le ciel.

Ces pylônes devraient être déployés dans les semaines à venir sans qu’il ait été cependant mentionné avec précision les localités icaunaises bénéficiaires.

« Nous travaillons en bonne coordination avec les collectivités territoriales, a simplement souligné le secrétaire d’Etat lors d’un point presse organisé à l’issue de l’inauguration de la maison France Services à Sergines (voir article spécifique à paraître). Manifestation où il accompagnait la ministre de la Cohésion des Territoires Jacqueline GOURAULT et ses homologues, Joël GIRAUD, secrétaire d’Etat en charge de la Ruralité et Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’état auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères chargé du tourisme.

Reconnaissant toutefois que les délais administratifs et ceux imputables à la réalisation des travaux d’installation pouvaient être à géométrie variable au niveau temporel, Cédric O rappela néanmoins que l’accélération de ces équipements en France représentait l’une des priorités maximales du gouvernement.

« L’accès au numérique est comparable au raccordement à l’eau et à l’électricité il y a quelques années : il est nécessaire de l’apporter à tous nos concitoyens dans les meilleurs délais… ».

 

 

1 800 pylônes supplémentaires d’ici deux ans dans l’Hexagone…

 

Le secrétaire d’Etat s’est voulu rassurant. Même après certaines questions de la presse ayant porté sur les zones blanches encore persistantes sur notre territoire qui annihilent tout espoir de communiquer avec le monde extérieur, tant au niveau téléphonique que numérique.  

« D’ici deux ans, les choses vont considérablement se modifier en France, a assuré le ministre. De gros efforts sur la 4G vont être réalisés avec tous les acteurs en présence dans le new deal. Mille huit cents pylônes devraient être inaugurés dans ce laps de temps dont une quarantaine répartis sur le territoire de l’Yonne… ».

En revanche, Cédric O a admis que sur notre département, le déploiement de la fibre optique se faisait avec plus de difficultés que dans d’autres secteurs géographiques. Encore un mystère qui n’aura pas été résolu à l’issue de cette visite qui porte son lot de promesses et d’espérance…

 

 


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Nouveau déplacement estival en Bourgogne Franche-Comté pour la ministre de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, Jacqueline GOURAULT. Après la visite accordée à la Saône-et-Loire le 20 juillet dernier où accompagnée d’Agnès PANNIER-RUNACHER, la représentante du gouvernement évoquait le plan de relance économique, c’est au tour de l’Yonne septentrionale d’être choisie pour une prise du pouls grandeur nature sur le terrain…

SENS : Quand les membres du gouvernement se déplacent en province, ils ne pratiquent pas l’art de la demi-mesure, visiblement ! Ce ne sont pas moins de quatre représentants de l’équipe de Jean CASTEX qui se rendront dans deux localités du nord de l’Yonne ce jeudi 27 août en milieu de matinée.

Outre Jacqueline GOURAULT, ministre de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, les autorités départementales auront l’opportunité de pouvoir s’entretenir avec Cédric O, secrétaire d’Etat en charge de la Transition numérique et des Communications électroniques, de Joël GIRAUD, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Cohésion des Territoires et…le régional de l’étape, l’Icaunais Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères chargé du tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie.

Pour l’heure, le programme de ce quadruple déplacement est à considérer en filigrane, étant présenté comme « prévisionnel ». Dans la logique des choses, c’est à Sergines que débutera après un accueil républicain (en fait, une réception dans la salle des fêtes locale) cette visite étatique officielle. L’inauguration de la maison France Services (MSAP) s’inscrit sur l’agenda ministériel.

 

 

Ce site offre la possibilité d’assurer le maintien des services de proximité en milieu rural, de manière gratuite et sans rendez-vous. L’Hexagone recense 534 établissements de ce type, aujourd’hui fonctionnels.

Puis, c’est au hameau de La Petite Ramée, à quelques encablures de Bussy-en-Othe, qu’un nouveau pylône téléphonique spécifique à la 4G deviendra opérationnel.  

A chaque fois, les ministres auront un temps de parole conséquent pour expliquer les différentes stratégies mises en œuvre par l’Etat dans son souci d’améliorer les situations parfois ubuesques qui peuvent encore exister dans certaines zones reculées de nos campagnes.

Un déjeuner républicain réunira ensuite l’ensemble des personnalités invitées à suivre cette visite exceptionnelle.

 

 


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Dans un contexte sportif marqué à la culotte par l’omniprésence du coronavirus et la physionomie nouvelle de rencontres avec très peu de public, le coach auxerrois navigue à vue. Il le reconnaît sans fard : le manque de repères est bien réel. Y compris sur l’état physique et mental de ses joueurs. Même si son groupe sera presque au grand complet pour affronter l’un des premiers ténors de ce championnat, le FC Sochaux samedi soir…

AUXERRE : C’est la rentrée des classes avant l’heure pour le milieu footballistique national ce week-end. Ligue 1 et Ligue 2 reprennent du service sur les pelouses de l’Hexagone après un long semestre de coupure inopportune, due à la pandémie de coronavirus.

Une impatience qui transparaît à fleur de peau dès la prise de parole de l’entraîneur de l’AJ Auxerre Jean-Marc FURLAN lors du traditionnel point presse d’avant match. Un exercice dans lequel le sémillant technicien se prête volontiers sans langue de bois. Comme à son habitude.

Affublé de son t-shirt à l’estampille du club auxerrois, l’ex-coach de Strasbourg et de Brest retrouve ses marques à la tribune. Répondant avec minutie et réflexion à chacune des interrogations posées par les journalistes. Une manière créative de brosser un état des lieux exhaustif des items incontournables qui interpellent le tacticien.

Grand retour à la compétition, phase préparatoire inachevée après l’annulation de l’alléchante rencontre amicale face aux Girondins de Bordeaux (« cela m’a mis hors de moi, déclare celui qui fut formé dans le club du Sud-Ouest), contexte sanitaire très particulier… : rien n’aura manqué dans cette copieuse série de questions ouvertes qui appelaient des réponses précises.

A 62 ans, le cadre entame sa seconde saison au sein du club bourguignon avec la ferme intention de se distinguer face aux meilleurs. D’ailleurs, le tempo aura été donné quelques heures auparavant par le président Francis GRAILLE, qui ambitionne parmi les objectifs une place parmi le Top Cinq à l’issue de cette longue compétition d’endurance.

Un projet réalisable à bien des égards tant les potentialités individuelles et collectives de l’équipe existent cette saison même si le recrutement ne semble pas être encore terminé pour autant. Jean-Marc FURLAN plaide en faveur d’un ou deux éléments supplémentaires afin de renforcer ses blocs offensifs et défensifs même si la concurrence s’annonce rude dans le secteur de l’attaque déjà bien pourvu de compétences.

 

Deux contrôles PCR chaque semaine depuis deux mois…

 

Certes, le coach de l’équipe icaunaise était partisan de la poursuite de ce championnat tronqué qui aura permis in fine à l’AJA de se classer parmi le ventre mou de l’épreuve à la onzième place.

Un classement définitif qui engendre toutefois l’ombre d’un regret persistant : où se serait réellement situé le club si les dix dernières rencontres avaient été disputées jusqu’à leurs termes ?

Faisant montre d’humilité, l’entraîneur pédagogue confie s’adapter à la réalité des choses en appliquant les règlements sanitaires. Ne se voilant pas la face sur les risques possibles de contamination de ces joueurs.

« C’est notre plus grande crainte, explique-t-il, et nous nous appliquons à respecter les consignes en procédant à deux tests PCR hebdomadaires depuis deux mois… ».

Chantre du positivisme, Jean-Marc FURLAN pense que cette période délicate à traverser influencera de la meilleure manière ses protégés. Peut-être au niveau psychologique et dans l’implication.

En revanche, l’homme est catégorique sur la nécessaire présence des supporters dans les travées de l’Abbé Deschamps. « Jouer au football dans un stade, c’est comme si l’on évoluait devant sa famille ! ». Une enceinte vide pourrait impacter le moral des troupes.

 

Etre en Ligue 2, c’est développer du caractère et de la personnalité…

 

Même si la perspective de jouer les premiers rôles en espérant un accessit en division supérieure s’imprègne dans son esprit, le coach de l’AJ Auxerre n’en reste pas moins lucide sur la façon de mener son groupe d’une vingtaine d’unités cette saison.

« Je leur demande de la solidarité, de la dynamique, de l’implication, des compétences…Mais, il est vrai que j’ai une meilleure perception des choses cette année qu’à pareille époque la saison dernière… ».

En parfaite connexion identitaire avec le président Francis GRAILLE et le directeur sportif Cédric VAURY sur les axes de travail à mettre en place pour franchir un nouveau pallier, Jean-Marc FURLAN sait qu’il peut compter sur la maturité de ses joueurs pour réussir l’entame de ce championnat au flou artistique.

La réception du FC Sochaux-Montbéliard, dans un derby bourguignon-franc-comtois très relevé, fait déjà office de test sérieux en guise de mise en bouche.

Athlétique, solide, la formation du Doubs opposera sans aucun doute une très belle résistance face à des Auxerrois avertis. D’autant qu’elle n’encaisse très peu de buts.

Il faudra toute la science et l’apport des premiers repères pour que Jean-Marc FURLAN en vienne à bout avec succès !

 


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