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Instance de concertation officielle entre les élus et La Poste, la Commission Départementale de Présence Postale Territoriale (CDPTT) profite du retour à la vie presque normale pour accueillir lors de trois réunions ses partenaires institutionnels mais aussi agents communaux et relais commerçants. Un seul objectif se dresse derrière ce triple rendez-vous : les remercier pour leur réelle implication dans la défense des services publics au cœur de la ruralité…

TOUCY: Déclinées en un triptyque finement ciselé, les rencontres « Tous Partenaires dans l’Yonne » se déroulent à l’heure actuelle sous le prisme de la convivialité et de la détente sur notre territoire.

Une fois n’est pas coutume, La Poste a choisi de joindre l’utile à l’agréable dans sa méthodologie applicative pour véhiculer ses messages pertinents et surtout adresser ses sincères remerciements à l’ensemble de ses partenaires. Celles et ceux qui permettent encore de faire subsister les services publics au plus près des milieux ruraux !

Après le premier galop d’essai concocté à Nuits le 07 septembre, la CDPTT poursuivait son périple communicatif dès le lendemain, privatisant au passage l’un des lieux emblématiques et insolite du tourisme environnemental de Puisaye, la Pyramide du Loup à quelques encablures de Toucy.

 

 

 

C’est dans l’antre de ce mammifère qui peuplait jadis les campagnes environnantes que les organisateurs accueillaient leurs invités aux alentours de 18 heures, un rayon de l’astre diurne en plus pour illuminer l’ensemble !

A chaque rendez-vous, La Poste et les représentants de la CDPPT (huit élus en composent par ailleurs le bureau départemental) procèdent au même déroulé avec le mot introductif de bienvenue, un rappel sur le rôle de la fameuse commission ad hoc, la projection d’une vidéo succincte du directeur général du réseau postal Jean-François QUILLET et la présentation des diverses animations, qui égayent la soirée.

 

 

En Puisaye, Gilles DEMERSSEMAN, l’un des deux élus régionaux membres de la CDPTT (l’organisme est présidé dans l’Yonne par le Conseil départemental Xavier COURTOIS) prit la parole pour évoquer l’importance de maintenir et de défendre les services publics au plus près de leurs utilisateurs dans les zones champêtres.

La Poste possède 185 points de contact, 115 agences sur notre territoire et 33 relais commerçants ; ce qui traduit une présence encore riche et implicative de ses composantes comme devait le souligner Marielle SOMMET, déléguée territoriale du groupe La Poste dans l’Yonne, lors de son intervention.

Une continuité et une accessibilité du réseau qui aura perduré durant la période chaude de la crise sanitaire ce printemps.

 

 

Détente et bien-être comme moyens pour créer de la convivialité

 

Puis, l’heure de la détente et du bien-être (les credo de ces rendez-vous bien suivis dans leur ensemble) permit à Yannick DAVOUSE, dirigeant de la société évènementielle IDXPROD de dévoiler le menu de la soirée, canalisée autour de mini-ateliers où l’on évoqua la gestion du stress et le lâcher-prise avec Sandra CACHON (EPONA Coach), la relaxation par les massages « habillés » selon les techniques du shiatsu d’Eva GUENOT ou encore la découverte de soi-même grâce aux gammes chromatiques commentées par Florence POULAIN.

En sus, les convives pouvaient deviser avec Séverine sur l’approche de la photographie ou prendre part aux ateliers d’inclusion numérique proposés par le Tiers-Lieu Les Riverains ou la Grange de Beauvais.

Sans omettre, évidemment, les stands spécifiques aux multiples services postaux qui étaient répartis de manière très représentative lors de ce rendez-vous.

Pour celles et ceux qui auraient manqué les deux premières séances, il reste un rendez-vous à honorer ce mardi 15 septembre à partir de 17h30 au Château du Feÿ à Villecien.

 

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L’heure du bilan a sonné. C’est un retour logique à la vie publique en cette période de rentrée. Riche en échéances électorales avec les sénatoriales qui pointent déjà le bout de leur nez fin septembre, le 27. L’occasion était trop belle pour vouloir s’exprimer. Le premier secrétaire fédéral du Parti Socialiste de l’Yonne, prolixe en la matière, est en ce sens un orateur volubile. Il manie le verbe avec aisance et sans langue de bois pour mieux affirmer ses prétentions…

AUXERRE: Certes, ce n’est pas la question existentielle de la rentrée ! Et pourtant, elle mérite que l’on y accorde un intérêt très particulier, compte tenu de l’urgence du calendrier. Alors que se profilent dans le viseur les premiers rendez-vous électoraux de la saison avec les sénatoriales. Elles seront suivies en mars 2021 par les départementales et régionales, couplées sur la même journée de scrutin.

Où en est réellement le PS en ce mois de septembre déjà crucial pour certains états-majors de notre territoire qui fourbissent leurs armes et multiplient leurs stratégies politiques ?   

Une interrogation louable après la victoire de la droite aux municipales qui supposait à l’évidence des  réponses claires de la part des intéressés. Jamais avare en commentaires analytiques, Mani CAMBEFORT s’est donc prêté au jeu de la conférence de presse, pour faire connaître sa position.    

Le premier secrétaire fédéral de la formation à la rose profita de la phase introductive pour rappeler que le PS demeure la première force de gauche nationale. Même si la présence écologiste est indéniable. « Il y a une réelle poussée, constate-t-il, toutefois, il ne faut pas la surestimer… ». De là à parler d’une véritable vague, il ne faudrait pas exagérer !

Dans l’Hexagone, le parti d’Olivier FAURE à l’instar de l’ensemble de la gauche conserve de la prestance et surtout de la présence avec 42 villes de plus de cent mille habitants dans leur escarcelle. Un résultat confirmé pour les villes de trente mille habitants où le PS et ses alliés ont renoué avec le succès.  

Dans l’Yonne, le PS a su maintenir ses positions en plaçant l’un de ses jokers emblématiques dès le premier tour du scrutin sur un piédestal à Joigny, le conseiller départemental et président de la CC Nicolas SORET. Plusieurs communes rurales connurent une réussite similaire avec des édiles encartés au PS reconduits pour un bail supplémentaire de six ans.

 

Rassembler à gauche pour aller à la victoire…

 

Reste le cas des deux agglomérations phare de notre département : Auxerre et Sens. Dans la ville septentrionale de l’Yonne, le Parti Socialiste progresse en disposant de deux élus, membres du conseil municipal. Idéal pour s’immerger au plus près des décisions de la gouvernance. Sera-ce suffisant néanmoins pour espérer tôt ou tard une alternance à moyen terme ?

Dans la capitale de l’Yonne où les résultats définitifs se sont soldés par un échec cuisant de la liste de progrès conduite par le maire sortant Guy FEREZ (ancien socialiste), Mani CAMBEFORT se montre lucide et réaliste.

« Nous avons eu à faire à une droite très unie du fait de l’absence d’une liste RN, souligne-t-il, avec une gauche divisée comme jamais ! ».

Mani CAMBEFORT ne s’attardera pas trop sur l’union à l’emporte-pièce, apparue entre les deux tours : elle n’eut pas les effets escomptés, loin s’en faut !

 

 

Regardant devant lui, le jeune loup de la gauche départementale se projette désormais sur les rendez-vous à venir. Un avenir qui passe par trois échéances importantes dont le premier acte se joue le 27 septembre où il faudra convaincre les grands électeurs.

La position du PS est claire. Tout est en faveur de l’union des forces progressistes ! Un rapprochement déjà inscrit dans le marbre avec la présentation de la double candidature de Gilles SACKEPEY et de Florence LOURY, deux candidats issus de ces accords, aux sénatoriales.

« J’en appelle au rassemblement et à l’union des forces de gauche, déclare-t-il, c’est une stratégie que nous allons mettre en place pour les trois prochaines élections… ».

 

 

Trop tôt pour juger la nouvelle gouvernance à Auxerre…

 

Commentant la situation de l’Agglomération de l’Auxerrois et de la capitale de l’Yonne, Mani CAMBEFORT reste circonspect quant à l’attitude du nouvel homme fort qui incarne le pouvoir, Crescent MARAULT.

Certes, les cent jours d’après élection ne sont pas encore atteints pour porter un premier jugement. Pourtant, des signaux déjà perceptibles sur les intentions du leader de la droite et du centre droit élu en juillet l’inquiètent.

« La composition de l’équipe est révélatrice de certaines pratiques contraires à nos principes. Certains intitulés fonctionnels, à l’instar de la démocratie participative, n’apparaissent plus dans les délégations de service des adjoints. En outre, j’observe que la parité n’est pas à l’ordre du jour de la nouvelle gouvernance : peu de femmes (quatre sur dix-huit) occupent des positions stratégiques dans ce bureau. Or, on était en droit de s’attendre à tout autre chose en la matière… ».

Reprochant à la nouvelle équipe son absence de vision au niveau de l’Agglo, le premier secrétaire fédéral du PS ne comprend pas les priorisations faites au cours de ce prochain semestre.

« J’espérais un programme précis et arrêté de l’exécutif, or c’est le flou artistique à l’heure actuelle sur les réelles intentions de la gouvernance. Même si, on entend parler de projet de territoire auquel je souscris volontiers mais pour y parvenir cela nécessite du temps. Or, nous n’en avons pas et dans l’attente, on se doit de gérer au mieux la crise et ses effets coûte que coûte… ».

Constat similaire sur le dossier de l’hydrogène où l’Etat a décidé d’amorcer la pompe en injectant sept milliards d’euros à sa faisabilité.

« C’est une énergie de demain, martèle Mani CAMBEFORT convaincu par la pertinence de cette thématique, donc, il ne faut pas que cela prenne trop de temps pour souscrire à son adoption… ».

Beau joueur, le leader du socialisme dans l’Yonne reconnaît toutefois l’esprit d’ouverture du président de la Communauté d’Agglomération. Citant les exemples du PETR et de l’agence de développement économique, Yonne Développement où l’opposition est davantage dans la concertation.

Mani CAMBEFORT le rappelle sans ambages en évoquant les règles du jeu : « nous souhaitons être une opposition constructive et dire quand cela ne va pas ! ».

La première conférence de presse de la nouvelle saison aura permis de remettre les pendules à l’heure. C’était bien là, la moindre des choses…

 


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Construite dans le prolongement de la section Sens-Est-Maillot et de la rocade Nord-Ouest, la déviation sud de Sens poursuit sa phase deux sans encombre depuis la reprise du chantier le 15 avril. Cette voie de 14 kilomètres permettra d’assurer la liaison de la RD 660 entre les giratoires de Gron et en sortie de l’A19. Elle sera mise en service en 2022…

SENS : Plus trente ans plus tard, le projet poursuit sa route. Le projet de déviation de la RD 660, initié à la fin des années 80, avait pour objectif de soulager le centre-ville de Sens et de réduire le bruit à l’intérieur de la ville et dans les traversées des bourgs de Paron et de Subligny.

Une entreprise de longue haleine dont une bonne partie a été dédiée aux négociations avec les propriétaires pour l’acquisition des terrains ainsi qu’au réaménagement des parcelles.

« Je suis arrivé à Gron en 2000. Le maire adjoint de l’époque M. GUIBELIN m’avait dit : d’ici 2005, on aura la déviation. Elle a vingt ans de retard, mais elle va bien arriver » plaisante Gauthier PAJONA, adjoint à la mairie de Gron en charge des travaux, de l’urbanisme et de la voirie.

Cette rocade fut déclarée d’utilité publique le 18 septembre 1996 et la construction de la première section reliant la RD 606 à la RD 72 à Gron, alors pris en charge par l’Etat, s’est achevée en 2002. Mais en 2006, la RN 60 est déclassée par décret du 05 décembre 2005. Cela entraîne un transfert de la maîtrise d’ouvrage et du financement des travaux au département de l’Yonne. Ce que déplore Patrick GENDRAUD, président du Conseil Départemental, vue l’ampleur de l’ouvrage.

 

 

L’un des projets les plus lourds supportés par le département

 

Hormis les procédures foncières et le temps alloué aux sondages archéologiques, le montant des travaux pris en charge par le département en raison du désengagement de l’Etat a été particulièrement contraignant. Mais ces travaux, qui doivent relier la RD 660 et la sortie de l'A19, devenaient une nécessité.

« Quand on a été conduit à prévoir les investissements routiers, j’ai tout de suite pensé à la déviation de Sens pour diverses raisons » explique Patrick GENDRAUD. Des ouvrages d’art construits en amont, dont le pont de Collemiers, qui se dégradent, une bande de roulement inutile, « c’était un peu ce que j’appelle du gâchis » estime le président qui souhaitait « une utilisation plus rationnelle des deniers publics ». Il s’agissait tout bonnement de terminer la déviation.

 

 

D’un montant total de 30 millions d’euros, dont plus de 11 767 067 euros dédiés à la phase II, la construction de la déviation sud est un chantier de très grande envergure à l’échelle locale et même nationale.

« Le chantier global représente plus qu’une année de budget » précise Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil Départemental de l'Yonne (9 millions en 2019 et 26 millions en 2020).

Le Département a financé ce chantier pour un montant de 16,5 millions d’euros. La Région Bourgogne-Franche-Comté et le Grand Sénonais ont contribué financièrement à sa réalisation à hauteur de 22,5 % chacun.

 

Une seconde phase dans les délais

 

Lancée au début de l’année 2020, la seconde phase de construction de la déviation sud trouve son rythme de croisière en dépit de la période de confinement pendant l’épidémie de SRAS CoV-2.

« On a avancé dans le rythme prévu initialement, on est même allé un peu plus vite grâce à l’entreprise et aux partenaires mais aussi grâce à l’implication des maires » affirme Vincent JUNG, directeur de l’ingénierie routière au Conseil départemental.

Les travaux sur cette portion de 7,2 kilomètres, menés par l’entreprise EUROVIA, ont démarré par le terrassement. Aujourd’hui, la société assure la création de 14 kilomètres de tranchées drainantes larges de 50 cm. Le planning prévoit également l’exécution de la couche de forme traitée dès le 15 septembre. La couche de grave bitume (couche de structure) sera posée dans la foulée. Puis, la réalisation de l’ouvrage d’art n°6, un pont qui permettra le franchissement de la RD 660 par le rétablissement du chemin d'exploitation, débutera en novembre et durera environ six mois.

Les travaux se poursuivront en 2021 toujours dans le respect de l’environnement. Vincent JUNG a précisé que l’extraction de plusieurs dizaines de milliers de tonnes avait été évitée par respect pour l’environnement. L’excédent de matériaux est un maximum réutilisé sur place ainsi que sur d’autres projets locaux. Une nouvelle couche de roulement, les marquages, la signalisation et la pose d’autres équipements, la rocade sera finalisée en fonction des conditions météorologiques. Le giratoire de Gron sera également refait.

Floriane BOIVIN

 

 


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En accueillant le premier colloque d’envergure consacré à la mobilité électrique, la Maison de l’Entreprise a entamé la nouvelle saison sous de très bons auspices. D’une part, le public, composé d’industriels et décideurs, a répondu favorablement à cette invitation (180 inscrits). D’autre part, le plateau d’intervenants était de tout premier choix autour d’une thématique capitale de l’avenir automobile…

AUXERRE : Initialement prévue au mois d’avril, la manifestation dût être reportée en dernière minute aux calendes grecques pour cause de coronavirus. Au grand dam  du trio d’organisateurs, les chevilles ouvrières de ce concept : Florence POULAIN, Jean-Marc DENIS et Claude VAUCOULOUX.

La mort dans l’âme, l’ossature directionnelle de la Maison de l’Entreprise avait dû ronger son frein en annulant sine die l’événementiel, espérant un horizon meilleur et dégagé de toutes ses aspérités sanitaires pour remettre l’ouvrage sur la table.

Cela fut chose faite ce jeudi 10 septembre dès 8h30 sur le site auxerrois. Où il régnait une certaine fébrilité quelques minutes avant d’officialiser ce rendez-vous d’importance sur le parvis.

 

 

Réfléchir ensemble à la transition de la mobilité…

 

Signe de réussite : l’animation aura été très mobilisatrice auprès des chefs d’entreprise qui s’inscrivaient en nombre pour suivre son déroulé.

Il est vrai que le sujet concernait réellement celles et ceux qui entreprennent. La place de la mobilité professionnelle n’étant pas une mince affaire à gérer dans les entreprises. Sans omettre les flux financiers qu’elle peut engendrer dans la constitution d’une flotte à titre d’exemple.

 

 

 

Alors, forcément réfléchir de manière participative et collective aux rêves et aux réalités offerts par ces automobiles d’aujourd’hui et de demain (électrique, hybride, hydrogène…) ne pouvait que faire mouche auprès de ce public très ciblé : les entrepreneurs.

Micro en main, le délégué général de l’UIMM/MEDEF de l’Yonne Claude VAUCOULOUX pouvait lâcher les chevaux à bride abattue avec la verve habituelle qu’on lui connaît en ouvrant de manière officielle ce colloque. Un rendez-vous auquel prenait part en qualité d’observateur le président de l’Agglomération et maire d’Auxerre Crescent MARAULT, sensibilisé par ces items.

 

 

Après métro/boulot/dodo, place à écolo/bobo/vélo ?

 

Pléthore d’interrogations étayaient les propos introductifs du délégué général de la Maison de l’Entreprise. Comment les sociétés feront-elles face à ces enjeux inéluctables que représente la transition énergétique ?

Les solutions sans carbone préconisées avec l’usage de l’électrique, de l’hybride et de l’hydrogène n’apparaissent-elles pas déjà trop obsolètes ? Voire « ringardes » comme le soulignera avec un zeste d’humour Claude VAUCOULOUX en faisant référence à une possible téléportation et ses risques éventuels en mentionnant le film « La Mouche » !

 

 

Lui succédant sur la scène de l’amphithéâtre, Jean-Marc DENIS insista sur les raisons de ce colloque de rentrée. Une réunion qui raviva les souvenirs d’autrefois (ce n’est pas si loin que cela !) où les animations à l’air libre et sans à avoir à supporter les contraintes des masques protecteurs égayaient les calendriers évènementiels de notre territoire. Avec accolades et embrassades de surcroît !

Néanmoins, le désir de valoriser le territoire mais aussi une filière automobile en plein tsunami post-COVID (référence à la sous-traitance) supposait une réaction visible et palpable de la part des trois organismes ayant décidé de porter ce projet : l’UIMM, le MEDEF et le groupement aéronautique GISAéro.

Avoir maintenu la manifestation et la proposer après moult atermoiements en cette période de rentrée est déjà une réussite en soi…

 

 

  


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Lancement de campagne pour le RN dans l’Yonne avec la présentation du binôme qui tentera de jouer les trouble-fêtes en faisant démentir les pronostics lors de ce scrutin guère favorable pour la formation de Marine LE PEN. Mobiliser les grands électeurs serait-il plus difficile que l’électorat populaire ? Faisant fi de ce constat, Xavier ROSALIE et sa suppléante Audrey LOPEZ se présentent comme les candidats de la France réelle. Celle qui connaît l’ascension sociale par le travail…

AUXERRE : Avec un unique élu siégeant dans les travées de la chambre haute du Parlement, le Rassemblement national veut profiter du scrutin du 27 septembre pour espérer accroître le nombre de ses représentants.

Intégrant pour la première fois de son histoire et sous une autre dénomination (Front national) le palais du Luxembourg, le parti de Marine LE PEN avait salué à l’époque, en 2014, ce « succès » qualifié d’historique qu’il souhaite aujourd’hui convertir, non pas en un raz-de-marée, mais en y envoyant plusieurs de ses candidats issus de ce vote spécifique.

Pour mémoire, Stéphane RAVIER, élu des Bouches-du-Rhône à Marseille, fut le seul à gagner la confiance des grands électeurs…Un bilan famélique pour celui des partis qui considère posséder le leadership auprès des électeurs dans l’Hexagone.

 

Des candidats non inféodés au sérail ayant les mains dans le cambouis

 

S’appuyant sur le simple postulat (« on a besoin d’un véritable sénateur d’opposition et pas d’un pantin d’opérette ! »), le président du Groupe RN à la Région Bourgogne Franche-Comté Julien ODOUL a présenté les deux prétendants qui se lancent dans cette nouvelle joute électorale.

Réaliste toutefois sur le cheminement si particulier qui conduit à ce scrutin et qui ne leur est pas favorable, la figure médiatique du RN voudrait dépoussiérer une assemblée qu’il considère comme très archaïque dans son approche.

 

 

 

Avec plusieurs leitmotivs en substance qui animent la double candidature de ses porte-étendards : la défense de la ruralité, le respect des élus locaux plutôt mis à mal ces dernières semaines ou le retour des services publics dans les campagnes isolées.

Fustigeant les forces en présence, qu’elles soient déjà en poste ou candidats déclarés, qui « pensent tous pareils » et accordent un blanc-seing à la politique gouvernementale, Julien ODOUL croit en des élus locaux, non inféodés au sérail habituel ; celles et ceux qui ont les mains dans le cambouis.

 

 

« Etre la voix du peuple » : le credo de candidats

 

Agé de 57 ans, Xavier ROSALIE est l’un de ses candidats qui veut porter la voix de l’Yonne parmi les hautes sphères sénatoriales. Premier adjoint de la commune de Piffonds, membre du bureau départemental d’un parti qu’il a rejoint en 2013, il veut se montrer incisif contre la politique d’Emmanuel MACRON s’il est élu.

Sa carrière s’est déroulée pour l’essentiel à la SNCF en qualité de conducteur ferroviaire durant seize ans avant d’être nommé instructeur au dépôt Paris Sud-Est.

Se présenter lui permet de faire entendre sa voix auprès des grands électeurs de l’Yonne. Un territoire où « tout est à reconstruire » selon lui ; à l’image du « Titanic qui sombre vers les abîmes mais sans l’orchestre qui l’accompagne ! ».

Ce retraité aux origines morvandelles (il en revendique l’accent) veut relancer le fret ferroviaire et inciter à la pratique de l’écologie. Quant à la campagne, il se désole que la liste des grands électeurs lui ait été communiqué si tardivement.

Sa suppléante, âgée de 44 ans, se nomme Audrey LOPEZ. Ancienne fonctionnaire de police, la conseillère municipale de Villeneuve-sur-Yonne porte aujourd’hui un projet professionnel dans le domaine de la décoration. Originaire de Meurthe-et-Moselle, cette passionnée de moto et d’équidés a accepté de s’engager en politique pour « être la voix du peuple ».

Mais, il faudra en récolter beaucoup, des voix, pour espérer se faire entendre en position d’élue auprès des arcanes du Sénat…

 

 


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