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Existait-il un autre choix que celui d’allonger la dette sur une période plus longue tout en assumant ce cap de la dégradation ? La capacité de désendettement de la Bourgogne-Franche-Comté, bien inférieure à celles de bon nombre de contrées de l’Hexagone, se situait à deux années et demie. Avec les nouvelles mesures prises par l’exécutif dans le cadre du plan de relance économique, soit 400 millions d’euros de plus destinés aux investissements, elle devrait s’étaler sur les neuf prochaines années. Un delta maximal qu’il conviendra de respecter sans aller au-delà pour ne pas tout mettre en péril…

DIJON (Côte d’Or: « J’ai choisi de frapper un grand coup parce que tous les efforts réalisés jusque-là dans les exercices budgétaires précédents nous le permettent… ». La présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY est montée au créneau avec détermination ce vendredi en fin de matinée afin de clarifier sa stratégie avant l’assemblée plénière de ce lundi 16 novembre. Une séance où seront débattues les orientations budgétaires de l’institution régionale pour l’exercice 2021.

Face à la presse mais à distance grâce au principe de la visioconférence, l’élue qui a été contrainte de décaler le rendez-vous prévu initialement le vendredi 13 novembre a détaillé les grandes lignes directrices d’un projet budgétaire, très impacté par la crise sanitaire actuelle.

Si de facto, les débats seront prioritairement concentrés sur les dépenses, la présidente n’en omettra pour autant pas les recettes. Le nerf de la guerre, à ses yeux. Sans qu’il n’y ait de solutions miracle. Car, dans le domaine, il n’existe aucune certitude.

Tout se fera en fonction de la capacité de reprise de l’économie et des…aides fournies par l’Etat. Un état qui s’est porté par ailleurs garant de subvenir aux besoins des collectivités régionales qui en éprouveraient le besoin. La Région aura recours à cette manne quasi providentielle mais indispensable car les nouvelles orientations budgétaires qui seront décidées lors de la prochaine réunion de la commission permanente le 20 novembre s’établissent à 400 millions d’euros de financement supplémentaires. Une enveloppe destinée à l’investissement.

 

Un numéro d’équilibriste qui est très complexe...

 

D’un côté, il faut entretenir l’espoir auprès des commerçants mais aussi des cafetiers et hôtels/restaurants qui ont perdu gros dans l’affaire en les soutenant de la meilleure façon possible (une aide de 7,3 millions d’euros) tout en sachant de l’autre côté que les recettes imputables à la fiscalité (TVA, taxes sur le carburant, rentrées d’argent inhérentes au trafic des TER) seront moindres.

Un véritable numéro d’équilibriste qui nécessite une cohésion dans le pilotage de ce dossier. Rien que la perte des recettes sur les TER a été provisionnée à vingt millions d’euros à titre d’exemple en espérant que l’Etat compense le manque à gagner…

A contrario, dans ce combat qu’elle mène pour favoriser le plan de relance économique avec le soutien des EPCI via la signature d’un pacte, Marie-Guite DUFAY souhaite que la Région soit présente en investissement et en fonctionnement dans son intervention budgétaire.

 

 

Via une équation qui est la suivante : six euros prélevés par habitant dont quatre se destinent à l’investissement, un par le biais de la Région vers le fonctionnement et le reliquat qui émane des intercommunalités.

Toutefois, face aux nouvelles difficultés imputables à la seconde période de confinement, la représentante du pouvoir régional va autoriser les EPCI à intervenir sur les paiements de loyer. Avec quelques bémols, notamment pour les intercommunalités de moins de 15 000 habitants qui seront dispensées de la parité requise.

In fine, c’est une somme de 5,6 millions d’euros qui couvrira les frais de fonctionnement des professionnels qui devra être validée.

 

Pas de coupes sombres ni de hausse de la fiscalité…

 

Quant à réaliser des coupes sombres en réduisant drastiquement les budgets de fonctionnement de certains postes clés, il n’en est pas question. Ainsi, la formation des demandeurs d’emploi ne sera pas pénalisée par une quelconque décision arbitraire.

Ni même le monde de l’éducation nationale via les lycées dont la Région a les compétences en matière de gestion. Alors que la Bourgogne Franche-Comté peut s’enorgueillir de posséder au plan national le plus grand nombre d’établissements répartis sur ses huit départements. Il en va de même pour des secteurs, moins prioritaires certes mais tout aussi importants comme la culture, le sport ou l’enseignement supérieur.

De là à augmenter la fiscalité afin de contenir ces importantes dépenses, il n’y aurait qu’un pas. Que Marie-Guite DUFAY balaie d’un revers de la main définitif : « Il n’en est pas question, et je m’y engage… ».

Enfin, un geste hautement symbolique sera envisagé à destination des soignants. Et  plus spécifiquement des infirmières et des infirmiers de première et deuxième année qui ont contribué à renforcer les équipes sanitaires dans les centres hospitaliers du territoire depuis le printemps. Un subside de deux millions d’euros sera ainsi versé auprès des IFSI (Institut de Formation en Soins Infirmiers) qui devront s’assurer de séances de rattrapage au niveau des formations sans qu’il y ait de préjudices pour les apprenants…

Quant à la préservation de l’emploi, elle reste une grande priorité, notamment auprès des personnes en instance d’insertion dans la vie active. Quatre mille places supplémentaires vont être intégrées à ce projet qui sera supporté avec une manne financière accordée par l’Etat.

Thierry BRET

 


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Qu’importe la crise, pourvu qu’il y ait l’ivresse ! Le principal bailleur social de notre département ne déroge pas d’un iota à sa politique d’investissement déclinable sur l’année 2021. C’est donc une enveloppe de 26 millions d’euros qui va être injectée dans l’économie locale à la construction, la rénovation ou la démolition de logements sur le territoire de l’Yonne. Une manne providentielle pour les artisans du bâtiment qui n’en espéraient pas tant !

AUXERRE : Pour son soixante-dixième anniversaire, DOMANYS vient de faire un magnifique cadeau aux artisans du bâtiment de notre territoire. Eux qui, comme tant d’autres de professionnels, vivent avec une réelle anxiété les turpitudes de l’entrepreneuriat soumis aux périodes de confinement à répétition.

Profitant de la soirée de présentation de sa politique d’investissement à l’aune de 2021, le premier bailleur social de l’Yonne leur a donné du baume au cœur. Et une mirifique manière de garnir leurs carnets de commandes, quelque peu en berne depuis plusieurs mois pour certaines de ces entreprises.

Excusez du peu mais DOMANYS va tout de même injecter l’équivalent de 26 millions d’euros l’année prochaine dans les travaux de construction, de réhabilitation et de démolition de logements sur son secteur de prédilection. Une excellente nouvelle qui devait mettre en pamoison le président de la structure lors de sa prise de parole introductive : Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne.

Ce dernier fera part dans sa brève allocution de son immense fierté et de sa joie de contribuer au bien-être de cette économie territoriale qui en a tant besoin en pareille période de disette imposée par le volet sanitaire. Car, devait-il le rappeler en substance, 79% de ce programme d’investissement 2021 reviendront au plan financier du fait de leur sollicitation sur appel d’offres aux TPE et PME de l’Yonne. Une vraie bouffée d’oxygène pour sortir de l’ornière actuelle !

Après la visualisation d’une courte vidéo sur l’antériorité de l’organisme (on ne peut décemment pas résumer soixante-dix années d’existence sur un clip de trois minutes !), la directrice de DOMANYS Karine LASCOLS d’un pas alerte rejoindra le pupitre de l’amphithéâtre du 89 afin de détailler les grandes lignes de sa politique managériale et stratégique, à la fois sur le bilan 2020 et en se projetant vers l’avenir.

Les slides se succédaient à volonté sur la chaîne You Tube du bailleur social. De précieux auxiliaires visuels pour bien mémoriser les chiffres essentiels qui caractérisent une entreprise forte de 180 collaborateurs au service des habitants de l’Yonne.

 

 

Une bonne santé financière malgré le contexte difficile sur le marché HLM…

 

Dans les faits, le principal bailleur du département gère 9 000 logements pour l’accueil de 18 000 locataires qui sont ainsi répartis dans l’une des habitations implantées dans près de deux cents communes de l’Yonne. 32 % d’entre eux intègrent la catégorie des seniors.

Le cinquième pourvoyeur de la commande publique icaunais (168 marchés en 2019) a consacré une enveloppe financière de 23,5 millions d’euros l’an passé à la réhabilitation et l’édification des logements sur son secteur. La crise sanitaire, on le constate, n’aura donc pas eu d’impact tangible sur la volonté de la structure à aller plus en avant pour servir au mieux les intérêts des locataires. Le budget 2020 étant à la hausse !

Humaine, pratico-pratique, l’entité DOMANYS a pris de soin de régler rubis sur ongle et dans des délais de grande réactivité à trente jours ses fournisseurs et prestataires via les dix mille factures traitées cette saison !

 

 

Même si le contexte économique n’est pas aussi idyllique que cela dans la sphère HLM avec la réduction du loyer solidarité (soit une fourchette de moins-value oscillant entre 1,6 et 2,6 millions d’euros cette année), grevant de 7,3 % le chiffre d’affaires global de la structure.

Il n’empêche que la santé financière reste d’actualité pour l’un des quatre représentants de la société de coordination IDELIANS. Un état des lieux positif qui aura permis de maintenir cette année ce programme d’investissement aussi prometteur pour 2021.

 

 

Un plan stratégique de patrimoine adopté le 17 décembre 2019

 

La stratégie de développement de DOMANYS repose sur un PSP, plan stratégique de patrimoine. Il en définit la ligne directrice avec 36 % de production nouvelle et 64 % de préservation de l’existant. Soit l’exercice en cours, 1 733 logements à réhabiliter, 495 nouveaux logements à construire, 244 logements trop vétustes à démolir et la vente de 344 logements à des néo-propriétaires.

Ainsi, parmi les principaux projets à biffer sur les tablettes, citons au niveau des acquisitions une résidence sociale de trente logements à Auxerre à horizon du premier semestre 2022, des réalisations équivalentes à Charbuy et à Saint-Moré, l’acquisition de trois logements à Sens et de huit logements à Migennes. Soit un total de 54 logements pour un équivalent de 5,4 millions d’euros de travaux.

Côté réhabilitation (celle-ci se rapporte le plus souvent à l’établissement d’études, de diagnostics, de concertations avec les habitants, de programmes de travaux avec pour objectif la maîtrise de la facture énergétique), des consultations sont en cours à Saint-Julien-du-Sault pour 56 logements (budget de 2,5 millions d’euros avec ATRIA), à Joigny pour 124 habitations et un équivalent de 4,4 millions d’euros avec les équipes de la Ville, à Cheny pour 42 logements avec un enjeu financier de 2,1 millions d’euros avec ATRIA, à Avallon pour quarante logements avec 2 millions d’euros de travaux.

Mais, aussi à Sens 26 logements (780 000 euros), Monéteau (cent logements pour 4 millions d’euros) ou encore Vallan avec cinq logements pour 125 000 euros de budget. Soit un total de 393 logements pour 16 millions de travaux.

Reste le chapitre de la démolition : il concerne la destruction de logements implantés à Champignelles (24 logements pour 350 000 euros), Cheny (39 logements), Migennes, Druyes-les-Belles-Fontaines, Saint-Florentin et Thorigny-sur-Oreuse où il est question pour ces trois derniers exemples de supprimer une unique habitation. Au total seront concernés 79 logements pour un coût d’1,6 million d’euros.

Avis aux artisans du secteur bâtiment : la consultation des marchés publics est accessible sur la référence de Territoires numériques https://marches.ternum-bfc/

Thierry BRET

 

 


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« C’est une simple question de bon sens. Et de pratique puisqu’il était possible de réunir l’assemblée plénière du Conseil régional en respectant le quorum habituel assorti des consignes sanitaires obligatoires... ». Selon le président du groupe Rassemblement national Julien ODOUL qui siège à la Région, le report de la séance restreinte, initialement programmée ce vendredi 13 au lundi 16 novembre, n’aurait pas dû être. Il dénonce un manque d’anticipation et surtout le gaspillage de l’argent des contribuables…

DIJON (Côte d’Or) : Le report de l’assemblée plénière du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté de soixante-douze heures (voir l’article publié à ce sujet le 13 novembre) suscite depuis des réactions dans le microcosme politique.

A commencer par celles de l’un des porte-voix de l’opposition à la majorité actuelle, le président du groupe RN Julien ODOUL.

Ce dernier s’est fendu d’un communiqué de presse afin de faire part de sa stupéfaction, ne comprenant pas les motivations réelles de l’exécutif qui a choisi d’annuler en dernière minute cette séance importante où il était question de débattre entre autres des orientations budgétaires pour l’exercice 2021.  

Pour l’élu de l’Yonne, « au regard de la législation actuelle, la présidente du Conseil régional pouvait tout simplement réunir l’assemblée en respectant le quorum habituel avec l’application des consignes sanitaires obligatoires, à savoir le port du masque pour les élus, la présence de gel hydro-alcoolique, l’aération de la salle et l’absence de public ».

Précisons que le texte de loi sur la prolongation de l’état d’urgence sanitaire n’ayant pas encore été promulgué de manière officielle, il était donc impossible de maintenir la séance régionale en ces circonstances ce vendredi 13 novembre. Même si celle-ci était prévue en mode restreint pour accueillir dans l’hémicycle trente-quatre conseillers régionaux au lieu de la centaine qui devait y assister d’ordinaire. 

 

 

Une surcharge financière de plusieurs milliers d’euros…

 

Outre le manque d’anticipation de la gouvernance sur ce report, le leader du Rassemblement national dénonce en priorité le surcoût financier occasionné par ce décalage dans le temps.

« Cette annulation va coûter des milliers d’euros aux contribuables de Bourgogne-Franche-Comté, précise-t-il, entre les frais de déplacements des élus et des agents, les nuitées d’hôtel à prendre en charge, la commande de plateaux repas auprès de traiteurs prévus pour le déjeuner… ».

Puis, il poursuit : « C’est un gaspillage qui tombe au plus mauvais moment alors que la crise économique liée à l’épidémie de la COVID-19 devrait mobiliser chaque euro d’argent public pour sauver les commerces, les entreprises et les salariés dûment touchés… ».

Julien ODOUL s’insurge contre ce report qui le laisse pantois. Ironisant sur l’image terne renvoyée par cette décision.

« Si l’assemblée plénière s’était tenue ce vendredi dans les circonstances habituelles du respect sanitaire autorisé, nous aurions également pu gagner du temps quant à la prise de décisions sur les orientations budgétaires… ».

Interrogé sur la probable décision du report des élections régionales en juin 2021, Julien ODOUL n’y voit pas d’inconvénient.

« Au contraire, estime-t-il, cela favorisera la tenue de la campagne électorale dans de bonnes conditions après la sortie de la crise… ».

A contrario, la tenue de ces échéances régionales, assorties des départementales, serait très malvenue à l’automne 2021 car beaucoup trop proches des futures présidentielles de mai 2022.

Thierry BRET

 


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L'intervention du Premier Ministre hier soir a confirmé, sans grande surprise, la prolongation de la fermeture des commerces considérés comme « non essentiels ». L'effort demandé aux dirigeants des entreprises concernées est considérable et nécessitera un soutien financier sans faille de la part de l'ensemble des acteurs publics.

TRIBUNE : Si ce soutien financier est indispensable, il nous paraît salutaire de rappeler que l'essence même du travail de l'artisan, c'est la production, la transformation ou la réalisation d'un service grâce à un savoir-faire bien précis.

Un artisan ne pourra jamais se satisfaire de survivre grâce aux subsides publics. Les artisans sont avant tout des femmes et des hommes passionnés et fiers de leur travail.

Quand leur métier le permet, nous avons mobilisé les équipes de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat pour les accompagner dans leur évolution numérique. Ces outils permettent à n'en pas douter d'amortir les effets de cette crise et représentent même parfois l'opportunité de s'ouvrir à de nouveaux marchés.

Ils ne suffiront malheureusement pas à compenser l'énorme distorsion de concurrence introduite par les géants du numérique. Notamment du point de vue fiscal au titre duquel les contributions demandées à chacun sont disproportionnées.

N'oublions pas non plus, les efforts consentis ces dernières années par nombre de collectivités territoriales pour redynamiser les centres villes et y faire revenir les commerces et les consommateurs.

 

 

Il est nécessaire de trouver le juste équilibre pour une économie de proximité connectée tout en maintenant un lien social puissant dans nos villes et nos villages.

Grace aux partenariats que nous construisons et renforçons chaque jour avec les collectivités locales, notamment avec les EPCI, nous voulons être les garants d'un artisanat ancré dans les territoires, proche de la population tout en l'accompagnant dans son appropriation des outils numériques.

Depuis toujours, l'artisanat a su évoluer, se transformer, se réformer, innover au gré des évolutions sociétales et technologiques. Il les a même souvent précédées.

Soyons sûr qu'aujourd'hui encore, malgré la violence de cette crise, il saura montrer sa capacité de résilience si nous lui en donnons les moyens.

Emmanuel POYEN

Président de la CMAR BFC

 

Les signataires :

 

Régis PENNECOT

Président de la Délégation Côte d’Or

 

Manuela MORGADINHO

Présidente de la Délégation Doubs

Michel CHAMOUTON

Président de la Délégation Jura

Sébastien THOMAS

Président de la Délégation Nièvre

 

Frédéric CAVAGNAC

Président de la Délégation Haute-Saône

Jean-Philippe BOYER

Président de la Délégation Saône et Loire

 

Jean-François LEMAITRE

Président de la Délégation Yonne

Christian ORLANDI

Président de la Délégation Territoire de Belfort

 

 

 

 


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Pour la première fois de son existence, le scrutin de liste est introduit au sein de l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité de l’Yonne. Une nouveauté singulière qu’a souhaitée l’actuel président Mahfoud AOMAR. Celui-ci briguera le renouvellement de son siège lors de l’assemblée statutaire de l’organisme ce mardi 17 novembre…

VENOY: Prévue en présentielle mais limitée en nombre de participants, l’assemblée statutaire de l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité de l’Yonne révélera le nom de son nouveau responsable au soir de cette séance de travail.

En l’occurrence, le suspens devrait se réduire à peau de chagrin. Une seule liste portée par l’actuel président Mahfoud AOMAR a été déposée dans la corbeille des candidatures. Ce qui permet d’entrevoir avec déjà une certaine exactitude le résultat définitif de ce vote.

Pour ce nouveau mandat électoral, le scrutin se déroulera par correspondance, compte tenu de la crise sanitaire. Le processus est le suivant : il repose sur l’existence de trois collèges : celui de vingt maires, celui de trois présidents de communauté de communes et celui de deux anciens maires, un corollaire qui a été ajouté dans les statuts depuis deux ans.

La liste proposée par le maire de Valrevillon se compose de vingt élus municipaux. Elle est le reflet représentatif de notre territoire, avec ses zones rurales et ses secteurs urbains. Huit représentantes de la gent féminine y figurent en bonne place.

Jusque-là, une seule femme siégeait au conseil d’administration de la structure associative parmi ses vingt-deux membres. Renouvelé pour six ans, ce conseil d’administration détermine les lignes stratégiques de cet organisme qui accueille aujourd’hui 397 maires adhérents.

 

 

S’appuyer davantage sur les compétences des élus…

 

Il s’articule autour d’un président, d’un vice-président représentant de communautés de communes, d’un vice-président ancien maire, de cinq vice-présidents maires représentant chaque secteur géographique, d’un trésorier et de son adjoint, d’un secrétaire et de son suppléant, ainsi que les membres du bureau.

Le projet de cette liste est de poursuivre dans la continuité le travail déjà accompli dans la défense et la représentativité des élus sur le territoire. L’AMF 89 décline également un panel éclectique de formations destinées aux élus afin de mieux les familiariser avec les arcanes de la fonction.

Le président-candidat souhaite également que les membres du conseil d’administration occupent davantage de responsabilités et gagnent en autonomie. L’idée serait de recourir au domaine de compétences des élus adhérents pour représenter l’AMF et porter le plus haut possible la voix des élus dans l’Yonne.

Le dépouillement de ce rendez-vous électoral se déroulera le 17 novembre à la salle des fêtes de VENOY en fin d’après-midi. La session sera retransmise par le biais d’une visioconférence. Dans la foulée, le conseil d’administration procédera à l’élection de son président. On s’en doute, sans réelle surprise quant au nom du vainqueur…

Maryline GANDON et Thierry BRET

 

 


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