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Avec ce nouveau reconfinement, le gouvernement doit donc forger l’avenir des entreprises françaises. Ainsi, entre l’enclume de l’économique et le marteau du sanitaire, il lui appartient de réaliser la forme aussi parfaite que possible qui permettra à notre économie de survivre à cette nouvelle épreuve. Une tribune de Claude VAUCOULOUX, délégué général du MEDEF et de l’UIMM dans l’Yonne…

TRIBUNE : Je dis qu’il lui appartiendra de, car en la matière, et malgré les déclarations répétées d’une volonté de concertation sensée enrichir la réflexion et, pourquoi pas participer à la prise de décision (on peut toujours rêver), on voit bien que tout semble finalement se concentrer dans les sous-sols de l’Elysée.

Dans une telle situation, il ne faut pas alors s’étonner que des interrogations émergent çà et là, et plus encore, des mécontentements. Lesquels se fondent sur l’incompréhension des mesures qui sont prises.

Prenons l’exemple de la fermeture des petits commerces. En voilà une affaire ! Dans sa volonté louable de limiter au maximum les déplacements et les interactions sociales, le gouvernement a donc décidé que les petits commerces non indispensables fermeraient.

Dans le même temps, les grandes surfaces qui peuvent rester ouvertes, continuent à vendre y compris les articles que les petits commerces, qui ont dû fermer, ne peuvent donc plus vendre.

Rupture d’égalité de traitement manifeste qui fait justement s’indigner les petits commerçants qui menacent d’organiser une fronde. Ils sont d’ailleurs de plus en plus souvent soutenus par leurs élus locaux. Le gouvernement mesurant le risque, prend alors une mesure de rééquilibrage, en interdisant aux grandes surfaces de vendre autre chose que des produits indispensables. Faut-il d’ailleurs s’entendre sur ce qui est indispensable et sur ce qui ne l’est pas !

Ainsi, saisissant le marteau du sanitaire, il se met à frapper sur l’enclume de l’économique. Résultat, tout le monde finit par être perdant ! Le petit commerçant est certes rétablit dans une égalité de traitement vis-à-vis de la grande distribution. Mais, ce n’est pas pour autant qu’il va pouvoir reprendre ses activités.

 

 

Vers la paralysie complète de notre économie…

 

La grande distribution, quant à elle, va perdre des pans entiers de ses ventes pour se retrouver fragilisée en fin de compte. On semble oublier ici, que l’économie fonctionne suivant un principe de mécanique des fluides, dont on sait bien que lorsque l’on empêche la sortie, c’est tout le circuit que l’on bloque !

Ainsi, en empêchant l’écoulement des produits et marchandises, nous allons provoquer à terme la paralysie complète de notre économie ! A quoi bon alors

continuer de faire tourner les usines, si aucun commerçant n’est en mesure de vendre les productions ?

D’ailleurs, les commandes vont très vite se raréfier et les industriels vont une fois encore se retrouver face à des carnets vides, alors que sans doute, il aurait été possible de l’éviter.

 

 

Si l’on avait voulu prendre une mauvaise décision, on n’aurait pas fait autrement ! En tout cas, s’il y en a qui se frottent les mains, ce sont bien les géants du « net » qui eux, vont une nouvelle fois rafler la mise !

Pourtant, dès les annonces du reconfinement prononcées, le président du MEDEF Geoffroy ROUX DE BEZIEUX a alerté les pouvoirs publics sur les risques engendrés par ce nouveau confinement, notamment pour les plus petites de nos entreprises, et plus largement aussi pour toute l’économie nationale.

La réponse de l’Etat fut alors une nouvelle fois le « quoiqu’il en coûte nous allons les sauver » ! Entre nous, qui aujourd’hui peut bien encore croire que l’Etat sera en capacité de creuser ad vitam aeternam des déficits déjà abyssaux ? Mais malheureusement, dans son souci de ne pas se déjuger, il préfère placer des cautères, fussent-ils sur une jambe de bois ! Le tapis des générations futures ressemble pourtant dès à présent à une espèce d’Himalaya, tant le volume des dettes que nous avons glissé dessous depuis des décennies est considérable !

Et nous voudrions encore aggraver la situation au-delà de ce qui déjà est totalement déraisonnable ? On voit bien que la solution n’est pas là. L’Etat doit absolument changer de paradigme.

 

L’Etat doit absolument changer son logiciel…

 

Le MEDEF et les branches professionnelles vont formuler des propositions pour que l’économie puisse reprendre à minima une marche nous permettant de sauver l’essentiel, par des moyens non artificiels.

Bien sûr que les entreprises et les salariés qui y travaillent ont besoin de l’accompagnement de l’Etat. Mais plus que de cela, elles ont besoin pour vivre, de pouvoir travailler et vendre leurs productions ou services ! Et si pour une fois, on les écoutait ?

Plus jamais, nos vies ne seront celles que nous avons connues avant cette pandémie, car il va nous falloir apprendre à vivre avec le virus. Alors si nos vies doivent changer, nous devons dès à présent aussi changer nos logiciels. En premier lieu, l’Etat doit changer le sien.

Ce changement dans nos existences, qui nous est imposé par une situation exogène, ne doit pas se traduire par une avalanche de règlements tombés du haut !

Nul doute cependant que la tentation est, et restera grande en la matière, puisque c’est toujours comme ça qu’il a pratiqué. Le changement doit au contraire donner l’occasion à nos dirigeants de faire enfin confiance à la population et de faire le pari de l’associer à ces changements.

Comment pouvons-nous espérer que les Français se sentent redevables d’une confiance envers l’Etat, si celui-ci ne la lui accorde pas ? Il ne nous est pas permis d’attendre que l’autre commence. Cette fois, seul l’Etat peut donner l’impulsion.

 

 

La réflexion utile plutôt que la sanction inutile !

 

On le voit bien avec le sujet des attestations. Gare à celui qui n’aura pas coché la bonne case, ou bien qui aura oublié sa carte d’identité en changeant de veste ! On ira alors au bout de la logique du règlement et invariablement on collera la prune au dangereux contrevenant qui ainsi, aura mis la race humaine en danger !

Remarquez, si sauver l’humanité ne coûte que 135 euros, ce serait dommage de s’en priver, n’est-ce pas ! Aller au bout de la logique du règlement mène toujours quelque part à s’interdire de réfléchir.

Eh bien en ce moment, je pense qu’il est ô combien préférable de réfléchir, tant la situation est inédite et complexe, que d’appliquer des règlements à la lettre et d’ailleurs pas toujours dans l’esprit !

Et puis réfléchir, ça veut dire aussi se donner des chances de comprendre, donc d’apprendre et par conséquent de se mettre en mesure d’anticiper. En la matière, les entreprises ont appris du premier confinement et elles sont en capacité de fonctionner (lorsqu’elles ne sont pas administrativement fermées bien sûr), y compris dans le mode dégradé que nous connaissons.

Mais le moins que l’on puisse dire, à tort ou à raison, c’est que nous n’avons pas vraiment l’impression que l’Etat ait quant à lui beaucoup appris de la première période !

En tout cas, il n’en fait pas toujours la démonstration. Je ne prendrai qu’un seul exemple, dont je veux bien admettre qu’il est un peu anecdotique, mais que je considère néanmoins comme révélateur.

Qui ne s’est pas étonné lors de la dernière intervention du Président de la République, de la piètre qualité persistante du sous-titrage de son allocution ? Comment voulez-vous alors donner une impression de maîtrise de la situation, si vous n’êtes même pas capable de régler un si petit détail !

 

Laisser travailler les entrepreneurs en leur accordant de la confiance…

 

Les chefs d’entreprises, notamment des petites et moyennes, c’est-à-dire celles qui constituent 90 % du tissu icaunais, vont donc une nouvelle fois se débattre pour essayer de survivre.

Eux aussi attendent qu’on leur fasse confiance. Ils ont d’ailleurs démontré toute leur capacité à mettre en œuvre les mesures et les organisations du travail permettant de conjuguer à la fois raison sanitaire et nécessité économique.

Ils n’ont pas besoin qu’on leur impose des règles supplémentaires, mais au contraire, qu’on leur facilite la tâche, alors que celle-ci est devenue aujourd’hui incroyablement compliquée. Ils n’ont pas besoin des menaces de contrôles et de sanctions, si d’aventure par exemple, le télétravail ne se trouverait pas universellement déployé.

Pourtant chacun le sait bien, le télétravail n’est qu’un outil, certes très intéressant lorsqu’il correspond à la résolution de certaines problématiques, mais il ne peut bien évidemment pas être érigé en solution unique et universelle ! 

Non ! Ils ont besoin qu’on les laisse travailler, en ayant confiance dans leur sens des responsabilités, pour que vive leur entreprise et leurs salariés. Il en va de l’avenir de notre économie et donc de la France !

Je terminerai d’ailleurs cette tribune sur une petite pirouette. A quoi bon faire le choix de préserver la santé des gens, s’il s’agit dans le même temps de les faire mourir économiquement ?

Entre nous, mourir en bonne santé ; c’est tout de même ce qui pourrait nous arriver de plus stupide ! Ne croyez-vous pas ?

Claude VAUCOULOUX

Délégué général du MEDEF et de l’IUMM de l’Yonne

 


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Accessibilité des services et accompagnement renforcé : avec la nouvelle période de crise sanitaire qui s’installe durablement, le Conseil départemental de l’Yonne mobilise ses équipes afin de poursuivre ses missions auprès des personnes les plus fragilisées. Des priorités ont été ciblées. Elles répondront de la façon la plus fluide aux situations individuelles, indique son président Patrick GENDRAUD…

AUXERRE : Compétence régalienne du Conseil départemental de l’Yonne, l’activité sociale est au centre des préoccupations de l’exécutif. De la pure logique, en vérité, avec le retour en force de la vague épidémiologique qui frappe de plein fouet la Bourgogne Franche-Comté et son territoire le plus septentrional.

L’organe institutionnel n’aura donc pas tardé à réagir face à cette deuxième vague. Surtout, en matière de solidarité. Le renforcement des dispositifs spécifiques est devenu nécessaire pour son président, Patrick GENDRAUD.

« Des priorités ont été clairement identifiées, explique-t-il, pour répondre de la façon la plus fluide possible aux situations individuelles et aux besoins des personnes les plus fragilisées… ».

En premier lieu, les personnes âgées. Auxquelles, il est judicieux d’ajouter les personnes en situation de handicap, l’enfance et les familles, et celles concernées par la prévention insertion.

 

Des services toujours fonctionnels au service de la population…

 

Concrètement, les services du Pôle des Solidarités départementales poursuivent leurs activités. Celles-ci se traduisent par l’opérationnalité des UTS, les fameuses « Unités Territoriales de Solidarité ».

Ce sont des lieux d’accueil inconditionnels pour recevoir les plus démunis d’entre nous. Les permanences physiques et téléphoniques y sont assurées. A l’instar des rendez-vous prévus avec les différents professionnels de l’équipe pluridisciplinaire en présentiel : à savoir, les acteurs de la protection maternelle et infantile, les intervenants sociaux ou encore les référents de l’enfance.

Du côté de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées), l’activité continue. Avec la possibilité aux horaires habituels de pouvoir échanger via des accueils physiques et téléphoniques.

 

 

Les personnes en proie à une extrême vulnérabilité peuvent aussi joindre via deux numéros spécifiques les services ad hoc : soit pour les personnes handicapées le 03.86.72.89.72. MDPH et le mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., ou pour les personnes âgées, le 03.86.72.85.00. (MAIA) et mail, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Enfin, les directions administratives supports, c’est-à-dire la Direction Prévention Insertion, la Direction PMI, la Direction Autonomie et la Direction Enfance ainsi que la Direction générale peuvent être joignables à partir des numéros téléphoniques usuels ou par e-mail. Mode de communication numérique à privilégier en priorité.

 

La liste des bénéficiaires de l’APA et de la PCH transmise aux élus locaux…

 

D’autre part, le président du Conseil départemental est intervenu pour prendre des dispositions concernant la remise des listes des bénéficiaires de l’Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA) et de la Prestation de Compensation Handicap (PCH) aux élus locaux qui en feraient la demande.

Ces listes viendront compléter leur plan canicule. Elles permettront aux solidarités locales de renforcer l’accompagnement mis en place par le Département et ses partenaires.

On le voit, le Conseil départemental de l’Yonne demeure très attentif aux besoins des Icaunais en cette délicate période de crise sanitaire.

 


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Dans la nouvelle période tendue qui se présente à nous, ils souhaitent être efficaces, pragmatiques, mais aussi critiques et constructifs. « Ils » ? Ce sont les présidents délégués des chambres consulaires de Bourgogne Franche-Comté qui, à l’invitation du premier d’entre eux le président régional Emmanuel POYEN, n’expriment qu’une seule volonté : accompagner du mieux possible les artisans face à ce contexte sanitaire difficile…

DIJON (Côte d’Or) : Le message est, on ne peut plus clair. Il a fait l’objet d’une déclaration commune qui a été validée par les huit présidents des délégations départementales de l’organisme consulaire. Une initiative placée sous la houlette du président régional de Bourgogne Franche-Comté, Emmanuel POYEN.

En leur qualité de responsables de proximité de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, les signataires s’engagent à soutenir et à trouver tous les moyens nécessaires à la sauvegarde des structures artisanales. Celles-ci sont confrontées, une nouvelle fois, aux affres de l’inertie économique.

Soucieux de connaître avec exactitude l’évolution de la situation au plus près du terrain, les instances suprêmes de la chambre ont pris la décision de réactiver les cellules d’écoute, de conseil et d’accompagnement dès le 30 octobre. L’ensemble des services demeurent opérationnels ; l’accueil physique, téléphonique et en ligne est assuré.

Parallèlement, la plateforme numérique, www.artisanat-bfc.fr, fonctionnelle lors du premier confinement, offre l’opportunité de rester en contact avec la base.

 

 

Considérant que l’économie de proximité reste essentielle pour que vivent les entreprises durablement, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat suggère l’instauration d’une contribution de solidarité durant la période de reconfinement.

Celle-ci devant s’appliquer sur les transactions commerciales réalisées en ligne auprès des grands opérateurs ainsi que dans les grandes et moyennes surfaces. Cette proposition repose sur le principe de l’équité et de la solidarité au service des acteurs économiques de proximité.

Une réponse complémentaire aux mesures d’indemnisation déjà déclinables qui ne seront pas suffisantes pour les têtes pensantes de l’artisanat régional…

 


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Un communiqué de presse émanant de l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Bourgogne Franche-Comté en appelle aux responsabilités de chacun. Le document invite les auteurs des arrêtés municipaux à se ressaisir au plus vite. Respecter le confinement représente un enjeu prioritaire alors que la vague de malades déferle sur les centres hospitaliers de notre territoire…

DIJON (Côte d’Or) : L’Agence Régionale de Santé (ARS) ne comprend pas l’attitude polémique de plusieurs maires de notre contrée qui ont manifesté leur soutien aux commerces non-essentiels, aujourd’hui fermés par décision du décret gouvernemental daté du 29 octobre.

L’organisme sanitaire s’est donc fendu d’un communiqué de presse succinct mais très évocateur sur la situation afin de dénoncer toutes les mesures qui visent à fragiliser le respect du confinement.

Et par effet gigogne d’augmenter l’ampleur de cette nouvelle déferlante qui s’abat sur les services de réanimation des hôpitaux de Bourgogne Franche-Comté, déjà saturés.

Le document rappelle que « ce sont des milliers de vie qui sont désormais en jeu dans cette course effrénée contre le coronavirus ».

L’ARS déplore que « le débat public ne se soit presque exclusivement focalisé que sur les polémiques consternantes à la faveur de quelques arrêtés municipaux aussi clientélistes qu’illégaux, au risque de perdre de vue l’enjeu vital que constitue la réussite du confinement ».

Et le communiqué de presse de poursuivre en précisant que « si de nombreux établissements recevant du public étaient aujourd’hui fermés, cela n’était ni dans une logique de sanction à l’égard des commerces non-essentiels, ni de stigmatisation de leurs activités, mais bien dans l’objectif de réduire drastiquement toutes les occasions de contacts propices aux contaminations… ».

Une manière de remettre les points sur les « i » de la part de l’organisme régional. Des arguments suffisants pour calmer la colère des commerçants concernés et des élus mobilisés ?

 


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Elle est déjà loin dans les mémoires la précédente assemblée générale du premier réseau d’associations de gestion et de comptabilité de France ! Pas de présentateur vedette de la météo (n’est-ce pas Louis BODIN !) pour égayer le rendez-vous annuel de l’organisme, cette fois-ci ! Pas plus d’ailleurs que des retrouvailles en présentiel, nouveau confinement oblige. Pour autant, les deux responsables de CERFRANCE ont tranché dans le vif en maintenant leur rendez-vous déclinable en visioconférence…

AUXERRE : Initialement programmée en date du mardi 03 novembre 2020 dans l’amphithéâtre du Conseil départemental de l’Yonne (le « 89 »), l’assemblée de territoire de CERFRANCE ne sera pas annulée pour autant malgré le contexte sanitaire si particulier.

Simplement, les organisateurs ont décidé de faire table rase de l’animation physique habituelle en s’adaptant au contexte restrictif du moment par le biais d’une visioconférence.

Les deux responsables de la structure icaunaise, le président Eric COQUILLE et le directeur général Laurent BEURIENNE, ont après concertation choisi de maintenir le rendez-vous annuel.

Face aux nouvelles mesures restrictives imputables à la pandémie de coronavirus, les deux dirigeants ont opté pour une manifestation ayant recours au modernisme technologique. A savoir, la visioconférence.

Une réaction rapide et efficiente plutôt que de passer dans la case des pertes et profits ladite assemblée.

 

 

Un ordre du jour maintenu pour une assemblée différente des autres années…

 

De ce fait, ce qui était prévu dans les sièges confortables du « 89 » se déroulera finalement devant un écran d’ordinateur à domicile ce même jour entre 14 et 16 heures. Même à distance, l’ordre du jour ne changera pas d’un iota. Seront examinés ce jour-là les activités et les projets de la structure financière, la présentation des comptes arrêtés au 31 mai 2020 avant que l’auditoire ne procède au vote des délégués de territoire.

Plusieurs entrepreneurs invités à témoigner apporteront leurs contributions testimoniales en évoquant leur stratégie de diversification et le développement de leurs nouvelles activités.

Rappelons que CERFRANCE exerce son savoir-faire depuis plus de six décennies et s’appuie sur un réseau d’une vingtaine d’agences réparties sur les départements de Côte d’Or, Haute-Saône, Territoire de Belfort et Yonne. L’organisme propose ses services dans les domaines de la comptabilité, la fiscalité, la paie, les conseils juridiques et économiques, le patrimoine et la finance, ou encore les solutions informatiques et numériques.

Rien d’étonnant que la réactivité fut de mise pour pallier à l’absence d’une assemblée en présentiel au bénéfice de la réalité virtuelle en un laps de temps record !

 


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