Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Ce n’est pas encore le Nirvana propice aux grandes embrassades. Mais, à défaut de grives, on se contentera des merles comme le précise l’adage. Alors que le variant à l’origine britannique monopolise toutes les attentions des spécialistes du fait de sa large présence sur notre territoire (près de 90 % des cas de contamination), le nombre de personnes admises dans les centres hospitaliers de l’Yonne décroit légèrement. Enfin, le reflux ?

 

AUXERRE: Tiendrait-on enfin le bon bout, cette fois-ci, dans la gestion de la crise sanitaire à l’aune de la sacro-sainte période estivale, synonyme de départs en vacances et de retrouvailles festives jusqu’à plus soif ? On ne peut que l’espérer !

Ou du moins y croire un peu plus après l’intervention passionnante de la déléguée de l’Agence régionale de Santé (ARS) pour l’Yonne, Eve ROBERT. Invitée à venir s’exprimer lors de la conférence de presse ce lundi 03 mai tenue dans les salons de la préfecture, la jeune femme a présenté un tableau optimiste, à défaut d’être idyllique, du contexte sanitaire qui préoccupe les esprits depuis plus d’un an.

Un mot prononcé par la représentante de l’agence régionale aura résumé tout l’intérêt de cet exercice oratoire faisant office de repère : « embellie » ! Les signes avant-coureurs de ce nouvel état de fait ne se contentent pas d’être signalés, ils se corroborent à travers les exemples chiffrés qui ont parsemé ces explications.

Primo, le taux d’incidence pour cent mille habitants d’ordinaire très élevé dans notre département est de 166 à date. Seuls trois départements de la couronne francilienne (Val-de-Marne, Val d’Oise et Seine-Saint-Denis) dépassent encore allègrement le taux d’incidence, soit 400 !

Secundo : le nombre de personnes hospitalisées dans les établissements de soins icaunais régresse. Elles ne sont plus que 228 à recourir aux soins pour se sortir de cette mauvaise passe. Confirmant ainsi ce mouvement de décrue, certes sensible, mais qui redonne espoir.

 

Un recul moins progressif dans l’Yonne qu’ailleurs…

 

Toutefois, Eve ROBERT n’aura pas manqué d’insister sur le fait que l’épidémie recule moins vite dans l’Yonne que dans d’autres territoires de l’Hexagone. Cependant, la progression rapide du nombre de décès constaté en si peu de temps relativise l’ensemble de ces informations moins pessimistes. Pour mémoire, 539 décès viennent ternir le bilan de cette crise depuis ses débuts.

Si près de 1 800 personnes se soumettent volontiers à un test quotidien dans l’Yonne, précisons que le taux de positivé demeure à la hausse, affichant 10 % des cas enregistrés.

Côté réanimation, la situation reste tendue. Surtout dans le Sénonais, zone plus affectée que d’autres secteurs du département. Au total, vingt personnes y sont traitées avec moult précautions par les services hospitaliers.

Quant à l’origine du coronavirus qui circule dans le nord de la Bourgogne, elle est très majoritairement issue de sa variante britannique (une dominante à 90 %). Les souches originaires du Brésil et d’Afrique du Sud ne représentent que 3,4 % des cas, bien inférieures à ce que les scientifiques observent sur l’ensemble du territoire national.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le poste ne sera pas resté vacant très longtemps. Quelques jours après l’envol de son prédécesseur Tristan RIQUELME vers les Antilles, la nouvelle directrice de cabinet du préfet de l’Yonne, Marion AOUSTIN-ROTH, a pris ses fonctions le 26 avril. Elle arrive de la préfecture du Doubs où elle officiait en qualité de cheffe du bureau de la sécurité intérieure et de l’ordre public. 

AUXERRE: Il n’est pas si courant pour la préfecture de l’Yonne d’accueillir en son sein une personne passée successivement par le Centre pénitentiaire de Fresne, la Maison d’arrêt de Bois-d’Arcy et celle de Besançon ! Un parcours pourtant des plus classiques si l’on se réfère au cursus de Marion AOUSTIN-ROTH.

De formation juridique, la nouvelle directrice de cabinet du préfet de l’Yonne a en effet par la suite intégré l’Ecole Nationale d’Administration Pénitentiaire (ENAP) et fait ses classes dans le Val-de-Marne, puis dans les Yvelines, avant de diriger pendant quatre ans la Maison d’arrêt de Besançon. Depuis septembre 2018, elle avait en charge le pôle sécurité intérieure et ordre public de la préfecture du Doubs, en qualité d’attachée de liaison Intérieur/Justice.

Sa nomination dans le département ne relève pas d’un « choix subit », mais bien de la volonté de parfaire un parcours entamé en Franche-Comté : « j’aurai ainsi une vision globale de la nouvelle région en continuant à la découvrir… ».

 

Dans l’Yonne, le premier poste dans l’administration préfectorale…

 

« Plus qu’une fierté, c’est surtout une grande responsabilité ! ». Bien décidée à trouver un équilibre entre la gestion des dossiers, les urgences et la proximité avec les gens sur le terrain : « si vous n’aimez pas le contact, si vous n’aimez pas aller vers autrui, avec l’envie de comprendre, d’écouter, vous ne parvenez pas en deux ans, à vous imprégner d’un département… Vous ne pouvez pas donner des décisions et conduire des stratégies d’ordre public si vous ne visualisez pas les lieux ».

Sa feuille de route est déjà tracée : s’articulant sur des enjeux de sécurité publique au premier rang desquels bien sûr, la gestion de la pandémie et la perspective de sortie de crise, comme annoncée par Emmanuel MACRON, mais aussi la préparation des prochaines élections en juin ou la mise en œuvre de la période estivale en matière d’ordre public.

Si les derniers chiffres concernant l’accidentologie routière dans le département sont encourageants, en lien avec le confinement et le couvre-feu en vigueur, faut-il s’attendre à un retour à la hausse une fois les restrictions levées ?

Marion AOUSTIN-ROTH se refuse à une telle éventualité : « alcool, vitesse, comportements infractionnels sont une réalité pour ce département et nous resterons vigilants… ».

Cette jeune sportive de 33 ans, passionnée de trails et autres courses nature se dit par ailleurs bien décidée à en perpétuer la discipline le temps de son séjour icaunais. Nul doute que les coteaux du Chablisien ou les forêts morvandelles lui en offriront la redoutable opportunité !     

 

Dominique BERNERD

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Christine AITA, maire de Courtoin, Loïc BARRET, maire de La Belliole, Annie AMBERMONT, première adjointe au maire de Vallery et Étienne SÉGUELAS, premier élu de Lixy, ont officialisé, jeudi dernier, leur candidature aux élections départementales qui se dérouleront les 20 et 27 juin 2021. Une conférence de presse tenue au foyer communal a permis à ces candidats de dévoiler leur programme...

 

VILLENEUVE-LA-DONDAGRE : Soutien aux politiques de sécurité en place (vidéo de surveillance, etc.), aux agriculteurs, souhait de développer le commerce local, demande d’élaboration d’un programme global de rénovation et de modernisation du réseau routier, les candidats aux départementales affichent des volontés plutôt familières, déjà engagées par leurs prédécesseurs.

Sur la couverture numérique du département, les élus déplorent la lenteur de la mise en route de la fibre optique, indispensable pour le développement de l’emploi.

En 2019, le département de l’Yonne a lancé un vaste chantier qui assurera la fibre à tout le territoire icaunais d’ici 2023 selon un calendrier précis. Une feuille de route quelque peu ralentie par des conditions restrictives qui sont dues à la crise sanitaire. Elus et habitants devront donc prendre leur mal en patience.

Côté culture, les candidats ambitionnent d’amplifier ce secteur sur tout le territoire du Gâtinais et de continuer à soutenir la sphère associative.

« Aujourd’hui, les associations n’ont pas le réflexe de s’adresser aux conseillers départementaux. Pourtant leur rôle, c’est de les écouter » explique Loïc BARRET, maire de La Belliole.

D’ailleurs, c’est surtout là que le bât blesse. Chacun réclame plus de cohésion entre les élus territoriaux.

 

 

« Nous ne sommes pas représentés »…

 

Les conseillers départementaux sont « très peu présents. Quand nous ne sommes pas sur le terrain, on ne peut pas être à l’écoute des demandes » d’après Christine AITA, maire de Courtoin.

« Il y a ce vide qui est là ». « Un vide intersidéral » confirme Loïc BARRET. Mais « ce n’est pas notre sujet. On ne se présente pas contre, mais pour quelque chose » tente-t-il de rectifier par cette phrase pleine de sagesse. Malgré tout, les hostilités sont bel et bien lancées.

Les candidats n’ont pas masqué leur amertume envers le Département en raison d’un déficit de communication avec les élus locaux, trop peu consultés. Étienne SÉGUELAS, maire de Lixy évoque avec nostalgie « un lien très fort » passé entre les élus de l’Yonne et ceux du canton.

Il souhaite aujourd’hui « retrouver cet esprit de collaboration et parler le même langage ».

Ils ont même fait de cet « abandon » l’axe principal de leur campagne.

« Sur le département, on a un manque de terrain. Et je crois que le terrain, de faire remonter les informations de la base jusqu’au département, c’est l’essentiel » assure Christine AITA, maire de Courtoin. Pour Loïc BARRET, il est temps « de faire exister le département comme il se doit ».

Les candidats comptent ainsi resserrer les liens entre les mairies, la Communauté de communes, le Conseil départemental et la population. Ils estiment en effet que la fonction de conseiller départemental est aujourd’hui méconnue du grand public en raison d’un manque évident de communication.

 

Floriane BOIVIN

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé par le gouvernement à l’été 2020. Il a pour vocation d’offrir la possibilité à chaque jeune d’être accompagné, d’être formé et de faciliter son entrée dans la vie professionnelle. Ce dispositif vient en aide auprès des jeunes au sujet de leur avenir qui reste particulièrement flou avec la crise sanitaire de la COVID-19.

 

AUXERRE : La mesure gouvernementale « 1 jeune, 1 solution » permet de rassurer la jeune génération et de la préparer à un avenir plus certain. Le gouvernement met trois priorités en avant dans ce dispositif : faciliter l’entrée dans la vie active, orienter et former 200 000 jeunes vers les secteurs et métiers d’avenir. Enfin, il s’agit d’accompagner 300 000 jeunes éloignés de l’emploi en construisant des parcours d’insertion sur mesure.[1]

Cela concerne celles et ceux qui souhaitent trouver un job, qui désirent participer à un évènement, qui ont besoin d’un accompagnement avec une conseillère d’orientation. Celles et ceux qui s’engagent aussi dans une mission de Service Civique ou encore qui sont en recherche d’un stage par exemple.

 

 

Le plan « 1 jeune 1 solution » séduit des entrepreneurs…

 

C’est le cas pour la SAS Joël LEFEVRE. Le concessionnaire de poids lourd DAF dans l’Yonne accueille des jeunes de classes de troisième afin qu’ils puissent découvrir le métier de mécanicien.

Mathys, un jeune garçon de 14 ans actuellement en troisième année de collège, profite de sa semaine de vacances pour découvrir le métier. Il avait déjà effectué un premier stage obligatoire dans le même secteur d’activité. Mais, il a souhaité en réaliser un second sur la base du volontariat pour satisfaire son choix.

 

 

 

 

Fabrice LEFEVRE, directeur général de la PME, souhaite recruter des mécaniciens afin d’étoffer ses équipes dans ses ateliers. Cette opportunité lui permet de former les jeunes. En moyenne générale, l’entreprise reçoit de cinq à six adolescents dans l’année en ayant pour but de les conserver par la suite. L’entrepreneur travaille pour le futur de sa société en continuant de prendre des stagiaires malgré la crise sanitaire.

 

 

 

Un simulateur pour obtenir des aides fonctionnel au 01er avril…

 

Depuis le lancement de ce plan jusqu’au 15 janvier 2021, en Nouvelle-Aquitaine à titre d’exemple, 36 434 jeunes ont bénéficié des aides du Plan France Relance : 13 247 d’entre eux ont pu profiter d’une formation en 2020.

Le 01 décembre 2020, le site du ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion a annoncé qu’au total environ un million de jeunes ont été embauchés en contrat à durée déterminée de plus de trois mois ou en CDI depuis début août.

Ce plan pour aider la jeunesse à s’insérer dans la vie active semble plutôt bien agir. Le Gouvernement a même décidé de le renforcer.

Le 19 février 2021, le Premier ministre Jean CASTEX rappelait que « cent mille offres d’emploi étaient disponibles dès le 19 février et que 300 000 offres de stages seraient disponibles au 01er mars 2021 ». 

Parmi les autres annonces faites ce jour-là par le chef du gouvernement, la création dès le 01er avril d’un simulateur qui sera mis à disposition pour accéder aux aides comme les bourses, les aides au logement et à la mobilité, etc.

 

En savoir plus :

[1] https://www.education.gouv.fr/plan-jeunes-1jeune1solution-305317

 

Jordane DESCHAMPS

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Coupler les Assises de l’Energie au traditionnel Salon de l’Eclairage public et de l’Innovation en les réunissant à la même date est une hypothèse de plus en plus pertinente pour le président du Syndicat départemental des Energies de l’Yonne, Jean-Noël LOURY. D’autant que le rendez-vous initial prévu le 03 juin devant accueillir le second évènement est désormais passé à la trappe, crise sanitaire oblige…

 

AUXERRE : Les prémices d’une sortie de crise s’échafaudent dans les têtes bien pensantes de nos gouvernants. Mais cela n’empêche nullement le lot continu de reports d’événementiels de persister dans les agendas.

Annoncé en date du 03 juin prochain, le Salon de l’Eclairage Public et de l’Innovation intègre une fois de plus la case des pertes et profits. Du moins pour un temps qui serait provisoire car la manifestation pourrait refaire surface dès l’automne, d’après les récentes déclarations du président du SDEY (Syndicat départemental des Energies de l’Yonne), Jean-Noël LOURY.

Le contexte sanitaire est encore bien trop malléable pour que la structure organisatrice de cet évènement ouvert aux élus et représentants des collectivités prenne des risques.

L’évènementiel qui avait réuni la bagatelle de plus de 350 participants l’année dernière (il était l’une des rares manifestations d’envergure à avoir été maintenue sur le parvis de la salle des fêtes des Joinchères à Venoy) devrait être décalé en octobre. La date n’est pas encore arrêtée.

 

 

 

 

Le particularisme de ce report pourrait être la tenue en simultanée des Assises de l’Energie, autre moment fort du calendrier évènementiel du SDEY.

Partant du simple postulat que la cible demeure la même (les collectivités via leurs élus et leurs techniciens interpellés par la transition environnementale et les économies d’énergie), le président Jean-Noël LOURY placerait cette année 2021 sous le sceau de la mutualisation en offrant à ce public les deux animations à une date unique.

Un concept « du deux en un » qui apparaît presque comme une évidence et qui ne demande qu’à être testé en grandeur nature à l’automne !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil