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Depuis le 01er juin, le réseau commercial de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val de Loire accueille toute personne ayant besoin d’une carte grise à la suite d’un achat automobile. Ce nouveau service, qualifié de citoyen par ses auteurs, se décline en collaboration avec un partenaire, « cartegrise.com ». Ce système avantage le possesseur du véhicule, en lui faisant gagner beaucoup de temps, et aussi…de l’argent !

 

SENS : Responsable du marché des particuliers sur le nord de l’Yonne, Loïc CHIRIOT est parti d’un simple postulat pour suggérer l’implication stratégique de l’entreprise dans ce projet.

« Ce n’était qu’une question de pure logique, explique-t-il, car pour assurer un véhicule, nous avons besoin du permis de conduire, d’un relevé d’information sur les trente-six derniers mois et de la carte grise, obtenue sous un délai d’un mois. Je me suis aperçu après analyse qu’il existait un vrai cadre de non-conformité sur les cartes grises. La plupart du temps, ces documents ne sont pas fournis dans le mois qui suit leur souscription. Deux raisons à cela : la durée de traitement en préfecture et le manque de temps pour les assurés car il n’est guère aisé quand on est actif de se rendre disponible en semaine aux horaires de bureaux pour effectuer les démarches nécessaires… ».

Une prise en charge globale des aspects administratifs

Précision qui possède son importance : si cette pièce administrative n’est pas conçue dans ce fameux delta temporel de trente jours, une amende qui s’élève à 135 euros peut s’appliquer au futur acquéreur du véhicule. L’absence de carte grise dans le portefeuille de l’automobiliste, en outre, peut même aboutir à…deux ans d’emprisonnement...

Pour contourner ces problématiques délicates, la direction de GROUPAMA Paris Val de Loire a décidé de mettre en place un véritable service clientèle en prenant à sa charge toutes les démarches administratives. En les traitant, du lundi au samedi en agence, en face à face avec le sociétaire.

« En fait, ajoute Loïc CHIRIOT, afin d’éradiquer les tracasseries habituelles liées à l’attente de ce genre de démarche, nous créons ensemble le dossier et gagnons un temps considérable…Le coût, lui, reste très modique pour la personne…».

Quelques mois après la mise en route de cette phase expérimentale au sein du groupe (seule la caisse régionale Paris Val de Loire la teste à l’heure actuelle), les retours s’avèrent très positifs pour celles et ceux qui en sollicitent la demande.

« Jusqu’alors, nous étions le troisième interlocuteur rencontré après le garage et la banque. Le fait de pouvoir gérer les cartes grises nous positionne dorénavant après le garage, voir le vendeur particulier. Nous répondons donc à l’ensemble de l’administratif qui entoure le véhicule, nous l’assurons, nous le finançons et nous l’immatriculons » confirme le cadre de l’assureur mutualiste.

Déjà 300 documents effectués depuis le lancement de ce nouveau service

Aujourd’hui, sur la zone de couverture de GROUPAMA Paris Val de Loire dont celle de l’Yonne, les sociétaires reçoivent leur carte grise sous une semaine de délai, après envoi du dossier initial.

Et Loïc CHIRIOT de conclure : « Pour nous, les délais ont été raccourcis car nous sommes en copie du mail adressé au sociétaire ; de ce fait, nous possédons les documents nécessaires sous un délai maximum de cinq jours... ».

Côté chiffres, plus de 300 cartes grises ont déjà été réalisées dans la caisse régionale dont une centaine d’unités pour le seul territoire de l’Yonne. Cet acte citoyen se veut différenciant pour l’entité, à l’heure actuelle seule structure à proposer cette prestation parmi les professionnels de l’assurance.


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La signature d’une convention tripartite entre l’AJ Auxerre SAS, l’association Famille AJA et le District de l’Yonne de football représente déjà un premier temps fort dans l’actualité de ce début de saison pour le club pensionnaire de Ligue 2. Cet accord a pour but de rapprocher le monde des sportifs amateurs et des professionnels dans un esprit citoyen. 

 

AUXERRE : Ne jamais oublier ses racines et sa base historique tout en prônant les valeurs vertueuses de la citoyenneté : c’est en substance la finalité de la convention de partenariat qui a été paraphée le 04 septembre entre le président de l’AJ Auxerre SAS, Francis GRAILLE, le représentant du District de l’Yonne de football, Christophe CAILLIET et le responsable de l’association Famille AJA, Alain HEBERT, au siège du club.

Cet exercice empreint d’humilité et de réalisme favorisera dans l’absolu la jonction nécessaire entre les milieux de l’amateurisme et le monde professionnel incarné par les joueurs de la Ligue 2. Un théorème profondément humain qui impliquera aussi par ricochet les supporters de l’AJA…

Dans les faits, le nouveau président de la structure sportive Francis GRAILLE inscrit cette initiative dans le besoin de renouer les liens avec le territoire. Et de jouer la carte de la proximité.

« On sait qu’il existe un vrai élan populaire autour de ce club, et ce depuis très longtemps. Le complexe de l’Abbé Deschamps est l’une des rares infrastructures en France où ses différents stades demeurent ouverts en permanence et peuvent accueillir des adeptes du ballon rond. En ce sens, et pour faire honneur à l’esprit du patronage voulu par l’Abbé Deschamps, ce club développe une politique sociale très forte autour de lui… ».

A l’avenir, les professionnels s’immergeront davantage dans les quartiers de la ville afin d’y rencontrer les jeunes autour d’un cadre pédagogique et participatif.

  

Soutenez l’AJA, faites gagner votre club !

Près de 11 500 licenciés s’adonnent chaque week-end à la pratique de la première discipline sportive au monde sur les terrains de l’Yonne. Le District départemental, instance officielle régie par la Fédération française de football, ne pouvait manquer pareille opportunité pour qu’il y ait grâce à cette démarche un renforcement des liens entre le monde professionnel et les amateurs.   

« Ce partenariat instillera plus de rapports et d’actions communes entre le poids lourd du football icaunais et les autres structures, expliquait Christophe CAILLIET, nous voulons que cet accord soit gagnant pour tous ! ».

Rappelant, lors de la conférence de presse, que la puissante fédération de football a initié un programme éducatif auprès des jeunes et des clubs amateurs, le président du District de l’Yonne s’est dit très satisfait de la complémentarité de ces nouvelles actions avec Famille AJA et l’AJ Auxerre SAS.

Un volet financier est également inclus dans ce protocole. Une rétrocession sur la vente de billets par les petits clubs (il en existe 117) lors des matches disputés par l’AJA est d’ores et déjà effective. Elle s’élève à 10 %.

Les entraînements des professionnels sur les terrains des amateurs !

Quant aux séances d’entraînements décentralisées sur les pelouses des clubs amateurs, elles se multiplieront au cours de ces prochaines semaines. De prime abord, elles concerneront quatre clubs labellisés par le District, à savoir le Football Club de Sens, l’Union sportive d’Héry, celle de Joigny et le club d’Avallon.   

Délivrés pour saluer les performances sportives et administratives de ces structures associatives, ces labels espoirs, valables une année, reposent sur des critères spécifiques ayant attrait à l’encadrement, la présence de techniciens diplômés et surtout l’état d’esprit qui y règne.  

Comme le soulignait Alain HEBERT, président de Famille AJA, en résumant ses missions : « le football reste avant tout une école de tolérance et du civisme à partager entre tous…».


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Après le succès observé sur le Florentinois, le support numérique Icaunais ajoute de nouvelles zones de chalandise dans sa panoplie afin d’optimiser la découverte des commerces traditionnels auprès des particuliers. Le Sénonais et le Chablisien bénéficient désormais de leurs propres éditions dont les annonces sont elles aussi relayées via les réseaux sociaux. Le Tonnerrois constituera la prochaine étape de ce programme ingénieux avant que l’ensemble du territoire de l’Yonne ne soit couvert par cette offre commerciale de proximité…

AUXERRE : Baptisé « RATATATA », en souvenir du roulement de tambour prodigué autrefois par le garde-champêtre lors de ses tournées matinales dans les communes, cet outil de communication numérique permet d’accompagner les commerces de proximité dans leur stratégie marketing.

Plus d’un an après son lancement (juin 2016), survenu sur le secteur de Saint-Florentin, ce support possède déjà ses inconditionnels. Des artisans et commerçant, certes, mais pas seulement puisque les collectivités de la zone (22 communes pour un fort potentiel d’habitants) diffusent elles-aussi leurs annonces promotionnelles sur ce média.

Constatant les tendances prometteuses de l’outil, le spécialiste de communication numérique et consultant, Joël CHAUDY, qui porte ce projet à travers son cabinet J.CONSEIL, a élargi son socle sectoriel. Deux cantons supplémentaires de l’Yonne ont été ajoutés depuis : le Sénonais et le Chablisien.

S’appuyer sur la VDI ou la franchise à l’avenir

« Le mode opératoire de « RATATATA » reste le même : il s’apparente à un service mutualisé qui offre à ses annonceurs un accès facile pour alimenter FACEBOOK. Les réseaux sociaux ne doivent plus être ignorés des indépendants que représentent les commerces de proximité, les artisans, voire certaines associations. Un Français sur deux consulte avec régularité constante le multimédia aujourd’hui. Par le biais d’un ordinateur ou grâce à une application destinée aux smartphones » précise Joël CHAUDY.

Le bilan se veut positif. Non seulement ce service répond aux attentes des utilisateurs particuliers, mais en outre, il accroît l’attractivité des commerçants avec davantage de flux dans leurs boutiques. Cette bourse d’annonces locales requiert une souscription à la base, demandée aux futurs adhérents. Ces derniers perçoivent prospectus et vitrophanie afin de faire connaître leur appartenance à ce réseau.

Le concept génèrera sans doute de l’emploi. Son responsable étudie à l’heure actuelle la possibilité de contractualiser des postes de conseillers commerciaux dans les secteurs respectifs où l’organe est implanté. Selon les principes de la VDI, la vente directe indépendante. Le modèle pouvant se délocaliser hors de l’Yonne, l’hypothèse de son développement par la franchise n’est pas utopique.


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Reprise des activités scolaires oblige, le chef de l’exécutif de l’Yonne sillonne cette semaine le territoire afin de s’entretenir avec l’ensemble des acteurs professionnels et institutionnels de l’éducation. Un contact initial a eu lieu dès le 31 août  à Pont sur Yonne en présence des médias. Une communication servant à rappeler que le travail, main dans la main, avec l’Inspection d’académie représentait une priorité essentielle pour le président. Il s’est aussi fendu de quelques messages pertinents, voire enthousiastes pour que chacun aborde mieux l’avenir…

 

PONT SUR YONNE : « Nous essayons au quotidien de faire le maximum pour que les élèves du territoire de l’Yonne soient accompagnés de la meilleure manière possible durant leur parcours… ».

Volubile et plutôt à l’aise face aux journalistes, le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD a balayé d’un net revers de la main le pessimisme récurrent qui habite nos concitoyens depuis déjà pas mal de temps. Surtout en s’attachant à un thème qui lui tient particulièrement à cœur : les enjeux de l’éducation.

« Dans notre pays, je considère que les scolaires sont assez bien lotis et disposent d’infrastructures potables pour y suivre leur enseignement, si je compare cet état de fait avec d’autres contrées européennes. Que dire, à titre d’exemple, des conditions d’apprentissage, elles y ont excellentes. Nos élèves sont tout de même gâtés…et notre devoir est de répondre aux responsables d’établissements pour subvenir à leurs besoins puisque telle est notre mission…alors, cessons d’être pessimistes et mettons à profit l’aspect positif des choses ! »

Les devoirs du Département vis-à-vis de l’éducation

En marge de sa visite au collège Restif de la Bretonne de Pont sur Yonne et de la présentation faite des aménagements de la SEGPA (Section d’enseignement général et professionnel adapté), le nouveau président du Département a voulu se montrer rassurant auprès de la secrétaire générale de l’Inspection d’académie sur ses futures intentions. Malgré les contraintes budgétaires imposées de manière drastique depuis cinq ans par l’Etat (une dotation en baisse de 30 millions d’euros), l’organe institutionnel icaunais tient toujours ses engagements.

« Nous avons un devoir partagé avec l’Education nationale, devait-il expliquer, cette dernière gère la phase pédagogique tandis que le Conseil départemental assure le confort des élèves en améliorant et en construisant de nouveaux bâtiments… ».

Les dotations de fonctionnement mais aussi celles en mobilier et matériel, y compris l’informatique, ainsi que la gestion des personnels techniques, de la restauration scolaire et du recrutement incombent à l’instance départementale.

« Face à un contexte économique tendu, devait ajouter le président, le maintien de l’enveloppe totale des dotations de fonctionnement reste à l’identique que la saison passée… ».

En 2016, cette enveloppe budgétaire s’élevait à 6,2 millions d’euros. La somme se répartissant pour les collèges publics à hauteur de 4,8 millions d’euros et 1,4 million pour les établissements du privé. Détaillant cette manne financière conséquente, Patrick GENDRAUD évoqua ensuite l’enveloppe consacrée aux investissements en matériel et mobilier en 2017 : 212 000 euros destinés au plan numérique, 340 500 euros pour les équipements informatiques, 231 000 euros de mobilier scolaire et technique Puis, le pôle restauration avec 151 000 euros. Soit un budget global de 934 500 euros.  

Un programme de réhabilitations d’environ 10,5 millions par an

Depuis 2011, le Conseil départemental a engagé une vaste opération autour des collèges. D’importants investissements y ont été consentis. La saison dernière, des travaux de réhabilitations se sont déroulés à Chablis (9,3 millions) ou à Aillant sur Tholon (10,6 millions). Auxquels s’ajoutent la cité scolaire de Toucy avec des travaux estimés à 2,5 millions avec le soutien de la Région, la réfection du collège Monpezat à Sens (4,4 millions) ou l’amélioration thermique du collège Denfert Rochereau à Auxerre, pour un coût définitif de 16,1 millions.

Sur un budget global qui s’élève à 430 millions d’euros, et une fois retirée la partie sociale et la masse salariale, le Département consacre 130 millions d’euros pour assurer l’entretien et l’amélioration des 33 collèges de l’Yonne. Et répond ainsi à ses devoirs et obligations…


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Cinq décès, trente blessés dont dix-sept hospitalisés : le bilan de l’accidentologie n’est guère fameux sur les routes du territoire icaunais à la fin du mois de juillet. Malgré une baisse de 29 % par rapport à la période équivalente de 2016, automobiles, deux roues et piétons sont toujours aussi exposés avec  le non-respect des règles de circulation comme cause prioritaire…

 

AUXERRE : A peine installé, le nouveau préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, a dû découvrir les chiffres des services de la Sécurité routière, faisant état de l’accidentologie sur les routes du département. Et au vu des premières indications, et de l’analyse de ces statistiques, il devrait rester inflexible à toute velléité d’assouplissement des règles de circulation.

Au contraire, le représentant de l’Etat a même souhaité renforcer les opérations de contrôle de vitesse et d’alcoolémie en cette fin de période estivale. Pour s’en expliquer, son service de communication a insisté sur la hausse du nombre de véhicules circulant sur les autoroutes et routes de l’Yonne ; cela entraînant une dégradation des conditions de circulation.

Si la conduite sous l’emprise de l’alcool représente 17 % des accidents, soit 6 personnes tuées depuis ces douze derniers mois, les pertes de contrôle imputables à une vitesse excessive occasionnent encore 20 % des sinistres (7 décès). Mais, l’essentiel de l’accidentologie prend sa source dans le non-respect du code de la route et de l’application des bonnes règles de conduite. 32 % des accidents sur la saison 2016/2017, ce qui aura engendré 11 morts.

Un taux de gravité des accidents supérieur à la France

Rapporté à la population, le nombre de personnes tuées par million d’habitant demeure très élevé dans l’Yonne, avec un taux de gravité de 102 alors que l’indice de référence nationale n’excède pas…54 !

Seule lueur d’espérance dans ce tableau assombri par tant de mauvais chiffres, les résultats de la plupart des indicateurs de l’accidentalité de ce mois de juillet sont en diminution : baisse de 29 % du nombre d’accidents (22 sinistres contre 31 en 2016), baisse de 21 % du nombre de blessés (30 blessés contre 38 en 2016) et baisse de 35 % du nombre de blessés hospitalisés (17 personnes hospitalisées contre 26 en 2016).

Mais, hormis le nombre de tués sur nos routes (il s’élève à cinq décès en juillet 2017 contre sept l’année antérieure), les évolutions du cumul de ces indicateurs sont par contre toutes en hausse pour 2017. Et le mois d’août, point culminant des départs en vacances, n’a pas encore livré son verdict.


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