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Parmi les rapports examinés par les conseillers départementaux ce vendredi 11 décembre lors de leurs retrouvailles en présentiel figurent un dossier très sensible pour l’attractivité de notre territoire. Celui de l’installation de la fibre optique. Un avenant à la convention de délégation de service public entre le Département et ALTITUDES Infrastructures pourrait être adopté. Différant d’une année de plus, s’il était accepté, la pose des prises pour trois secteurs de l’Yonne…

AUXERRE : Il est très inquiet le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI. La lecture de l’ordre du jour qui articulera la prochaine assemblée plénière du Conseil départemental lui a laissé un profond goût d’amertume au palais.

Notamment, l’alinéa se rapportant au traitement d’un dossier spécifique qui sera soumis à approbation des élus lors de la session de ce vendredi 11 décembre.

Cela concerne un avenant à la convention de délégation de service public (DSP) établi entre le Département de l’Yonne et la société ALTITUDE Infrastructures.

Avec en toile de fond, l’arrêt des modalités de réalisation des prises de fibre à l’abonné sur trois zones géographiques de notre territoire, appelées à être traitées en 2021. Dont la sienne.

Rappelons que le leader national, spécialiste du déploiement, de l’exploitation et de la commercialisation de réseaux fibre optique, assure la mise en œuvre de cet aménagement numérique depuis plusieurs mois avec l’aval du Département dans l’Yonne.

Ce différé d’un an supplémentaire, s’il était validé par l’assemblée départementale, ne satisfait pas du tout le président de la CCPF. Il l’a fait savoir en adressant un courrier à Patrick GENDRAUD, président de l’exécutif icaunais.

 

 

Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI y exprime ses doutes et surtout son refus de cautionner une telle décision. Au nom de l’attractivité économique.

« En cette période compliquée mais propice au développement des territoires ruraux, écrit-il, l’installation de la fibre optique est primordiale. Un tel équipement est indispensable pour le développement économique de notre département et son attractivité sans lequel les investisseurs, privés ou professionnels, ne s’installeront pas… ».

Espérant qu’un vote « malheureux » ne vienne pas compromettre l’essor des territoires ruraux, le Conseiller régional et maire de Moulins-sur-Ouanne conclut qu’il « serait inadmissible et intolérable d’envisager un tel retard préjudiciable aux acteurs économiques de ces territoires… ».

Lors d’une réunion se déroulant avant-hier avec l’opérateur SFR, l’élu de Puisaye-Forterre s’est vu confirmer que les six communes de la Nièvre rattachées à son organe communautaire seraient équipées de la fibre optique au plus tard au premier semestre 2023. Ce qui ferait de notre voisin un département intégralement couvert au terme de cette année-là…

 

Thierry BRET

 


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Certes, le vote du budget 2021 sera l’incontournable morceau de résistance de l’ultime assemblée plénière du Conseil régional de l’année. Celle-ci débutera ce jeudi en début d’après-midi en présentiel au Zénith de Dijon. Mais, d’autres dossiers très consistants ne manqueront pas de capter l’intérêt des observateurs : les accords entre l’Etat et la Région, l’élaboration d’une charte de la laïcité et la cession du domaine de Pontigny…

DIJON (Côte d’Or) : Du pain sur la planche attendent les élus du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ces deux prochains jours. Non seulement, le vote du budget 2021, orienté sur la relance économique, tiendra le haut du pavé de ces retrouvailles institutionnalo-politiques, mais d’autres dossiers de grande envergure viendront se greffer parmi l’ordre du jour de ce qui sera la dernière assemblée plénière de l’année 2020.

Parmi ceux-ci, l’un interpelle plus spécifiquement les observateurs de l’actualité icaunaise que nous sommes. Il s’agit bien sûr de la vente du domaine de Pontigny, propriété de la Région depuis 2003.

Abordant le sujet lors de la conférence de presse qu’elle tenait ce mercredi en fin de matinée, la présidente de l’exécutif régional a évoqué les enjeux de la cession de ce bien historique et patrimonial dont l’avenir sera tout tracé au terme de ces deux journées de séance.

A ce jour, deux porteurs de projet se disputent encore le bien. D’une part, la Fraternité Saint-Pierre, congrégation religieuse promouvant la vie apostolique et le droit pontifical qui voudrait redorer le blason de Pontigny en en ravivant sa flamme spirituelle ; d’autre part, la fondation portée par l’homme d’affaires François SCHNEIDER (un industriel de l’agro-alimentaire) qui souhaiterait apporter à ce lieu qui entoure l’une des plus importantes églises abbatiales de l’ère cistercienne une dimension axée davantage sur l’économie et le rayonnement culturo-touristique.

 

 

Deux projets intéressants mais que tout oppose…

 

C’est ce second dossier qui a l’assentiment de Marie-Guite DUFAY et d’une large majorité de conseillers. Instruit par la présidente, il a fait l’objet de concertations entre les élus. La présidente a, en outre, expliqué qu’en cas de validation de ce dossier par l’assemblée régionale, un compromis de vente serait très vite soumis à signature avec le représentant de la Fondation SCHNEIDER. Une vente qui rappelons-le est estimée à 1,8 million d’euros. Elle serait envisagée dans un délai de six mois.

Toutefois, charge à l’industriel potentiellement acquéreur de ce bien, de respecter l’une des clauses suspensives à cette transaction immobilière peu commune. Il lui faudra trouver rapidement un exploitant devant assurer la gestion de la future partie hôtelière du domaine ; soit la clé de voûte du modèle économique annoncé.

Confiante sur ce point, Marie-Guite DUFAY devait conclure ses propos en précisant que « les contacts en ce sens étaient en bonne voie… ».

 


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Les cibles soutenues correspondent aux personnes les plus fragiles de notre société. Des mires hétéroclites parmi lesquelles s’ajoutent les générations futures. Celles qui doivent retourner à l’école. Celles qui sont en quête d’un emploi. Celles aussi qui ont opté pour un retour à la vie active par le prisme de l’insertion. Celles, enfin qui se reconnaissent dans les valeurs vertueuses de l’économie circulaire. EDF, c’est sûr, ne s’est pas trompé d’objectif dans son engagement éco-citoyen altruiste…

DIJON (Côte d’Or) : Le montant total de l’intervention s’élève à 72 000 euros pour la région Bourgogne Franche-Comté. Une somme rondelette que se répartissent une douzaine de projets issus du milieu associatif.

Obtenue grâce au Fonds d’urgence et de solidarité COVID-19 géré par la Fondation EDF, cette manne financière n’a rien de providentielle. Elle favorisera, en substance, des opérations solidaires en faveur du retour à l’école, vers l’emploi, dans l’insertion et la promotion de l’économie circulaire.

Bref, c’est une aide précieuse qui arrive à point nommé pour faire face aux effets de la crise sanitaire et sociale qui affecte durablement notre territoire. Le premier producteur d’électricité de France ne pouvait rester inactif devant ce contexte si particulier qui aura, d’une certaine manière, anéanti bon nombre de velléités de la vie associative et économique cette année.

Lancé le 10 juillet dernier, le Fonds de solidarité pour pallier les fragilités et encourager la relance de l’activité en France, y compris à l’international, aura un semestre plus tard déjà répondu aux attentes initiales.

 

Près de 60 000 bénéficiaires peuvent dire merci à la fondation !

 

A l’heure du bilan, certes encore liminaire en ce mois de décembre, ce sont 89 projets d’associations évoluant dans l’Hexagone mais aussi ailleurs dans le monde (Inde, Kenya, Mozambique, Pérou…) qui bénéficie du million d’euros dont est doté ce fonds. Une démarche soutenue par le mécénat territorial et international.

Aujourd’hui, ce sont près de 60 000 bénéficiaires qui ont pu reprendre le chemin de l’école, effectuer leur retour à la vie active ou développer des projets favorables à une société durable et solidaire.

Ainsi, dans notre région, le groupe EDF, par le biais de sa fondation, a décidé de s’investir aux côtés des clubs Convergences. En offrant tout bonnement un soutien scolaire à des jeunes en difficulté.

Mais, le retour à l’emploi représente un autre item où le distributeur d’énergie a su faire montre de sagacité. L’accès à une forme durable d’autonomie, l’insertion sociale et le soutien à la qualification intègrent les priorités.

Prenons l’exemple de l’association Genèses. Le groupe EDF a décidé d’y jouer un rôle bienveillant en favorisant l’insertion sociale et professionnelle de jeunes gens, considérés comme vulnérables, par le développement du travail au sein d’une micro-ferme.

 

Un soutien inconditionnel à l’économie circulaire…

 

Chez Humanity, cette intégration se rapporte aux personnes issues de l’immigration, exilées et réfugiées en France, en leur redonnant le goût de vivre grâce à des stages en immersion dans un centre agro-écologique.

Enfin, le dernier exemple concerne l’association « Les Invités au festin ». Où la Fondation EDF n’a pas ergoté pour contribuer avec son obole à l’insertion professionnelle de personnes psychologiquement fragilisées afin que ces dernières se sentent plus épanouies dans la société.

L’encouragement de nouveaux modèles économiques, et en particulier l’économie circulaire, interpelle les représentants de la Fondation EDF. Favoriser la production locale, créer de l’emploi de proximité  et soutenir toutes sortes d’initiatives judicieuses en ce sens se sont manifestés par une aide destinée à TRIVIAL COMPOST à Besançon.

La structure achemine à vélo électrique les bios déchets des restaurateurs vers de petits sites de compostage locaux. Une idée insolite et lumineuse qui aura séduit les responsables du groupe EDF !

Thierry BRET

 


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La crise sanitaire a ouvert la boîte de pandore ! Quid des activités des centres villes ? Comment endiguer la faillite des TPE ? Comment contrer la concurrence des géants de la distribution comme « Amazon » ? C’est quoi un commerce non essentiel ? Un journal télévisé nous informe qu’un armurier vend trois fois plus d’armes de défense qu’à l’habitude ! On peut donc conclure qu’il s’agit d’un commerce bien plus essentiel que les fleuristes ou les coiffeurs… Même si les règles de confinement semblent s’assouplir, mieux vaut anticiper le retour de confinements durs et contraignants…

TRIBUNE : Les fédérations de commerçants proposent des solutions pour rouvrir les boutiques et leur éviter le dépôt de bilan. Rouvrir les vitrines pour Noël, c’est éviter la multiplication des faillites ! Parmi les solutions avancées, la mise en place de rendez-vous dans les magasins, par plage horaire et en jauge réduite, a le vent en poupe. Une mesure qui s’ajouterait au protocole sanitaire et au système de « click and collect » déjà existant.

Pour les magasins, Noël c’est 60 % du chiffre d’affaires dont 40 % pour la seule maroquinerie ! Que dire des parfumeries, des fleuristes, des producteurs et distributeurs de sapins de Noël…

Les commerçants ont déjà fait énormément d’efforts pour la mise en place des mesures sanitaires. Mais pour rouvrir, « ils sont prêts à faire encore plus de concessions », assure le président de la CPME François ASSELIN. Les premières solutions proposées peuvent aussi se décliner dans la suite des activités, pandémies ou pas.

L’une des principales propositions des fédérations serait l’organisation de rendez-vous pour pouvoir aller chez les commerçants. « Un nombre limité de clients pourrait prendre rendez-vous sur un créneau horaire défini. Un peu comme chez le médecin. Une possibilité pour ceux qui ne veulent pas attendre ! ».

 

Le  « click and collect » : une solution complémentaire…

 

Des solutions déjà structurées lors du premier confinement se développent allégrement. Dont le fameux « click & collect ». Le problème avec ce système, c’est qu’il n’est pas adapté à tous les commerces. D’abord, parce que certains n’ont même pas de site Internet ou de compte Facebook. Ou tout simplement parce que cela ne marche pas pour certains produits. Par exemple, lorsque vous achetez des chaussures, vous ne savez pas toujours quel modèle vous voulez à l’avance, vous devez les essayer. Toutefois, les commerçants peuvent certainement s’organiser collectivement ou individuellement en créant des sites Internet.

Une campagne de mise en place de sites Internet, individuels ou collectifs (association ou groupes de commerçants) est opportune. On peut mobiliser les étudiants pour la création des sites, demander des subventions locales afin de mettre en place lesdits sites, solliciter les journaux locaux pour en assurer la promotion…

 

 

 

 

Agir suppose sortir des a priori !

 

A la question : « pourquoi êtes-vous installé à cet endroit ? ». La réponse des commerces est trop souvent : « parce qu’il n’y avait personne ! » ou « parce que ce n’est pas cher ». S’il n’y a personne, c’est qu’il n’y a pas de marché ! Les grandes enseignes s’installent au beau milieu de marchés présupposés et après étude. L’étude de marché est l’une des grandes absentes de la ligne stratégique des petits commerces ! A la suite des confinements successifs, l’étude de marché devient vitale. Pour ce faire, mobilisons les chambres professionnelles, les INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), les étudiants des écoles de commerce, ceux des filières « DUT Action Commerciale », en insistant sur la kyrielle de BTS commerciaux (commerce international, digitalisation de la relation commerciale, communication des entreprises, management commercial,…)…

Sortir du désir de vendre ou de produire ce que j’aime bien faire pour mieux s’attacher aux besoins des clients demeure la priorité. S’installer au cœur de la concurrence, là est le marché. Cela permet de rafler la mise avec un service et un savoir-faire différentiateur. Il faut aussi mobiliser les élus qui ne demandent qu’à servir la cité, contacter des journalistes locaux qui sont prêts à réaliser des reportages sur des sujets originaux. L’inventivité est un facteur clef de succès indispensable aujourd’hui comme hier.

 

Le prix ne fait pas tout eu égard aux nombreux atouts des petits commerces…

 

On doit contacter son expert-comptable. Il possède aussi des compétences en gestion. Il faut lui demander des prévisions qui sortent des référentiels habituels, avec le calcul du seuil de rentabilité et le moment où il sera atteint. Connaître le volume du chiffre d’affaires minimum qui, compte tenu des charges fixes, permet de réaliser le bénéfice égal à zéro est indispensable. Le plus : identifier le moment dans l’année à partir duquel je commence à gagner réellement de l’argent. Le petit commerce doit sauver sa peau, supplanter les géants du « retail » à plus long terme et autres GAFA !

« La grande distribution, c’est moins cher » ! Certes, pourtant, le prix ne fait pas tout. Le commerce de proximité possède aussi des atouts qui lui sont propres : le conseil, la proximité, le service, l’originalité de l’offre à défaut de sa profondeur, la compétence du personnel, la qualité de l’accueil, l’authenticité du cadre…

 

Banque Populaire

 

La normalisation des rapports humains avec plus d’humanité et de fraternité dans les contacts est un passage obligé. Ce lien humain suscite l’émotion et le plaisir d’acheter. Il reste l’atout numéro un du commerce de proximité : « l’homme est un animal social » nous disait Aristote. C’est la carte maîtresse du petit commerce de nos chers « centres villes ». Il est possible de mettre en place un système collectif de livraisons à domicile : des expériences positives sont déjà menées. En moins d’une heure, on peut se faire livrer fruits, légumes, côtes de bœuf… Des commerçants ont ainsi créé des emplois sans générer des coûts exorbitants. Dans cette course au temps, les petits commerces présentent un atout majeur : les courtes distances et la réactivité d’exécution permet des délais très courts à la demande avec des fenêtres extrêmement précises. La grande distribution n’est pas en mesure de fournir autant de possibilités en centre-ville, du « click & collect », en passant par le coup de téléphone ou l’e-mail, à la livraison « express ». Des situations de concurrence commerciale existent : elles offrent une ponctualité et une flexibilité sans égales et un suivi très précis de la distribution à des coûts réellement compétitifs.

 

Une réflexion autour des chèques-cadeaux…  

 

Aujourd’hui, les services de livraison remettent ainsi les commerces de proximité en selle face à leurs grands concurrents. Nous connaissons l’adage : « no parking – no business ». Les communes sont dans l’obligation de poursuivre leurs efforts vers davantage de flexibilité dans l’amélioration des conditions de parkings gratuits lors des périodes « court terme » des courses. Les conditions de circulation et d’arrêts momentanés dans les zones piétonnes, voire la création de nouvelles aires de stationnement s’imposent…

La crise sanitaire fait naître la solidarité et la fraternité entre les commerçants, elle mobilise les énergies. Les chèques-cadeaux, distribués par les comités d’entreprises pourraient, par exemple sur une proposition de Bercy, voir leurs montants augmenter, assortis d’une incitation à les dépenser dans les petits commerces. Bercy réfléchit à ces mesures incitatives pour les entreprises distributrices de chèques cadeaux qui peuvent aussi s’orienter vers le commerce de proximité. On en est encore au stade de la réflexion…On peut aussi lui suggérer de supprimer (ou réduire) la TVA sur certains articles sur la durée des cadeaux de fin d’année…

Nous devons sortir impérativement de nos habitudes, du ronron quotidien, des solutions éculées et inopérantes du passé,…Même notre Premier ministre trouve des solutions originales qui sortent des sentiers battus : « On va pouvoir aller dans les stations de ski mais sans skier (sans remontées mécaniques, ni hôtels, ni restaurants, ni boîtes de nuit…) » ! Vous savez du genre : « Les salles de cinéma sont ouvertes mais sans projection de films… » ! Ce serait risible si ce n’était pas tragique !

 

Le petit commerce doit croire en son avenir : il en a un !

 

Le commerce de proximité se trouve à une époque charnière où, pour ne pas péricliter, il lui faut saisir les opportunités de la technologie et de l’évolution des modes de vie pour se réinventer. Cela ne réclame pas d’investissements énormes. Mais, il faut être prêt à se retrousser les manches et à faire le pari de l’innovation. Pour les commerçants, le moment est venu de croire en l’avenir. N’attendons pas que les solutions viennent de « l’Etat providence ». Développons notre propre créativité. Donnons une belle finalité aux solutions proposées : plus de solidarité et davantage de fraternité. Encore 17 dodos et c’est Noël ! Encore trois confinements et c’est l’été : que du bonheur !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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« Il faut remettre l’urgence climatique au cœur de l’actualité ! ». Il est vrai que les vagues successives qui déferlent en cascades depuis plusieurs mois sur notre quotidien (sanitaire, sécuritaire, économique…) en auraient presque fait oublier les grands enjeux sociétaux propres au réchauffement du climat. Pourtant, il y a cinq ans, 195 pays étaient signataires de l’« Accord de Paris ». Une promesse de limiter coûte que coûte la prolifération des gaz à effet de serre…

AUXERRE : Après les manifestations contre la loi « Sécurité globale » et son très décrié article 24, et les revendications professionnelles de plusieurs syndicats patronaux pour recouvrer le droit de travailler en rouvrant les établissements de l’hôtellerie/restauration, voilà le réchauffement climatique et ses conséquences apocalyptiques pour la planète Terre qui font un clin d’œil narquois à l’actualité ! Celle-ci n’en demandait pas tant, faute d’éléments informatifs à se mettre sous la dent à l’heure actuelle !

Rappel des faits : il y a cinq ans, le 12 décembre 2015, se signait dans la capitale de l’Hexagone le fameux « Accord de Paris » ! Ce texte ratifié par 195 pays dont les Etats-Unis qui depuis l’ont dénoncé sous l’ère de Donald TRUMP, visait à limiter le réchauffement climatique de la planète en diminuant la propagation des gaz à effet de serre, qualifiés de très dangereux pour notre équilibre.   

Parmi les promesses faites, pleines de bons sentiments : la limite de ce réchauffement pour qu’il se situe nettement en dessous de 2° par rapport aux niveaux préindustriels d’ici 2100.

Cinq années plus tard, soit le week-end du 11 et 12 décembre prochain, de nombreuses associations se réuniront de par le globe pour célébrer le cinquième anniversaire de cet accord.

 

 

De belles pancartes écolos et une petite bougie…

 

Un accord qui malheureusement est très loin d’avoir atteint ses objectifs initiaux alors que le scénario catastrophe nous guette en permanence avec l’accélération de la fonte des glaces, la montée des eaux, la multiplication des phénomènes météo extrêmes (ouragans, pluies diluviennes, crues rapides, sécheresse et incendies…).

Aussi, des associations qui ont pour nom « Friday for Future », « Youth for Climat », « Unis pour le Climat », « Extinction Rébellion » ou encore « Citoyens pour le Climat » en appellent à la mobilisation générale lors d’une action planétaire en faveur de la sauvegarde de la planète.

Dans l’Yonne, à Auxerre, c’est le collectif « Citoyens pour le Climat » qui servira de structure coordinatrice à l’organisation de cet évènement devant se dérouler sur les quais de l'Yonne, à proximité de la passerelle, esplanade Irène Jolit-Curie.

Leurs responsables (Laura TOURNAND et Laurane BEGUINE, pour le collectif « Citoyens pour le Climat » et Florence LOURY et Denis ROYCOURT, pour Auxerre Ecologie) suggèrent aux Icaunais de venir à cette manifestation munis de leurs plus belles pancartes aux slogans écologistes évidents et d’une petite bougie.

Ces objets joueront un rôle prépondérant lors de ce rassemblement pacifique. Chacune d’elles sera disposée sur le sol afin d’y écrire dans la langue de Shakespeare la locution suivante (« fightfor 1point5 ») ; ce qui signifie après traduction, « se battre pour les 1,5 degrés ».

Une allusion toute en lumière et en finesse au fameux signe de ralliement de cet évènement mondial…

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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