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Auxerre et Sens ne sont plus les seules des agglomérations d’importance de l’Yonne à devoir adopter le port du masque rendu obligatoire dans leurs cœurs de ville. Un nouvel arrêté préfectoral en date du 04 décembre s’applique désormais à d’autres localités : Avallon, Joigny, Migennes, Saint-Florentin et Tonnerre. Preuve manifeste que l’épidémie connaît une surprenante recrudescence à quelques semaines de Noël…Inquiétant.

AUXERRE : Compte tenu des résultats négatifs observés à l’heure actuelle autour de la propagation de la COVID-19, le préfet de l’Yonne n’avait d’autres alternatives que de réagir. Vite et avec pragmatisme.

Un nouvel arrêté est entré en vigueur ce vendredi 04 décembre. Le texte préfectoral oblige désormais celles et ceux qui se déplacent dans les limites de l’acceptable eu égard aux conditions imposées par le confinement dans les cœurs de ville de se munir obligatoirement d’un masque.

Une mesure contraignante pour la qualité d’une saine respiration mais ô combien nécessaire dans le but de se protéger et de préserver les autres que les Auxerrois et les Sénonais connaissent bien.

Les habitants des deux agglomérations de l’Yonne pratiquent cet exercice de sauvegarde sécuritaire depuis plusieurs semaines dans la plupart des rues qui composent leur centre-ville.

Dorénavant, cinq autres localités devront s’y conformer. Il s’agit d’Avallon, de Joigny, de Migennes, de Saint-Florentin et de Tonnerre. Des villes qui enregistrent des hausses dans le nombre de cas de contamination.      

Se référant aux derniers avis de l’Agence régionale de Santé (ARS), Henri PREVOST rappelle que le port du masque concerne toutes personnes âgées de onze ans et plus susceptibles de déambuler, avec des motifs circonstanciés et autorisation de sortie, dans les rues de ces villes.

Vécu pour beaucoup comme une contrainte, le port du masque n’en demeure pas moins l’élément névralgique majeur de ces gestes barrières qui empêchent le coronavirus de circuler librement autour de nous.

Leur acceptation et leur respect relèvent de la prise de conscience et de la responsabilité de chacun. Au nom de la citoyenneté et de l’esprit d’altruisme envers autrui.

 


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Pour le Jura, le manque à gagner s’élèvera à plus de dix millions d’euros. Dont 30 % se réalisent aux vacances de Noël. La fermeture des 139 remontées mécaniques qui font la joie d’ordinaire de plus de 632 000 skieurs sonne le glas pour la filière cette saison. La Franche-Comté, à l’instar d’autres territoires de montagne, n’avait pas besoin de cela : solidaire, la Région le fait savoir !

DIJON (Côte d’Or) : La nouvelle est proprement catastrophique tant au plan humain qu’économique. La fermeture des remontées mécaniques dans nos massifs montagneux prive les adeptes de ski alpin de leurs plaisirs de détente et d’évasion.

Et ce jusqu’à nouvel ordre, c’est-à-dire le 20 janvier 2021.

Date à laquelle sera réévaluée par le gouvernement la possibilité ou non en cas de persistance du coronavirus de pratiquer sa discipline hivernale préférée : le ski de descente.

Pour l’heure, deux des départements de Bourgogne Franche-Comté sont directement impacté par ces décisions. Ils tentent tant bien que mal de panser leurs plaies : le Jura et le Doubs.

Le Jura dispose de nombreuses pistes sur ses versants. Le territoire voit ainsi l’activité de cinq cents personnes se réduire à peau de chagrin. Tandis que plusieurs milliers de familles qui vivent indirectement ou directement de cette activité de loisirs par le biais de la location de matériels, l’hébergement, les commerces de proximité s’inquiètent de l’avenir. De quoi sera faite réellement cette saison de sports d’hiver ? De vache maigre, assurément.

 

 

L’ouverture des pistes de ski nordique ne fera pas avaler la pilule pour autant…

 

Plusieurs conseils départementaux de montagne ainsi que les cinq régions de l’Hexagone concernées par ces fermetures administratives (Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté, Sud, Occitanie et Grand-Est) se sont regroupées pour engager une procédure en référé devant le Conseil d’Etat.

Un message qui se veut solidaire à l’adresse des professionnels de la filière mais aussi de protestation à la gouvernance.

S’associant à cette initiative, la Bourgogne Franche-Comté, par l’intermédiaire de sa présidente Marie-Guite DUFAY, a fait part de son total soutien aux territoires du Doubs et du Jura. Ainsi qu’à l’ensemble des professionnels de la filière.

La présidente de l’exécutif régional a qualifié cette décision (la fermeture des remontées mécaniques) comme une réelle « injustice alors que les pistes helvètes voisines sont ouvertes au public » !

Et de rappeler « qu’un équilibre entre le respect des normes sanitaires et le souci de l’activité économique des zones de montagne devait être préservé ».

Seul motif de satisfaction pour l’élue originaire de Franche-Comté, l’autorisation préfectorale donnée aux exploitants des stations de sports d’hiver de damer et tracer les pistes de ski nordique afin d’y accueillir les adeptes de cette discipline à partir du 15 décembre.

Un lot de consolation, certes, qui ne fera pas avaler la pilule au goût amer pour ces milliers de personnes frappées de plein fouet au portefeuille par ces fermetures...

 

 


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Cent-quarante-cinq communes de notre territoire ont déjà fait confiance au Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) dans le cadre de travaux de rénovation de leur éclairage public. Elles ont en effet choisi les techniques dites des « LED connectées ». Ne dérogeant pas à cette règle qui permet de réduire de moitié la consommation d’énergie, Saint-Georges-sur-Baulche vient de rejoindre cette liste non exhaustive…

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : C’est presque Noël avant l’heure pour la localité de Saint-Georges-sur-Baulche et son élue, Christiane LEPEIRE ! L’édile vient en effet de ratifier la convention de partenariat qui la lie désormais avec le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne dans le cadre de la rénovation de l’éclairage public.

Une signature en bonne et due forme qui s’est effectuée dans les règles protocolaires et le respect sanitaire le mercredi 02 décembre.

Madame le maire a apposé son paraphe au bas d’un document qui autorise le début des travaux. Ceux qui se rapportant à la rénovation complète de l’éclairage public et du stade.

 

 

Ainsi, 934 points lumineux et huit projecteurs devront être changés et bénéficiés de ces ampoules LED de grande performance. Un chantier qui s’échelonnera sur l’année 2021. Coût global de la manœuvre : 1,3 million d’euros. Son budget profitera des subsides du SDEY à hauteur de 747 000 euros.

Dans l’Yonne, 337 communes ont confié la gestion de leur éclairage au syndicat départemental d’énergies présidé par Jean-Noël LOURY, l’un des deux signataires de cette nouvelle convention.

Rappelons que la maintenance incombe au SDEY pendant cinq ans sans que les communes aient à débourser le moindre centime. Une incitation à la transition énergétique dont les collectivités doivent impérieusement profiter !  

 


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L’idéal serait de posséder à brève échéance une quarantaine d’automobiles. De tout type et de toutes marques. Ne faisant pas la fine bouche, il n’y a pas réellement de préférence aux yeux des administrateurs de la structure associative. Une entité qui agit dans l’intérêt des demandeurs d’emploi et des personnes en réinsertion dans la vie active. Alors quoi de mieux qu’un appel aux dons et à la solidarité citoyenne avant la période de Noël pour voir ses vœux être exaucés ?

VILLENEUVE-SUR-YONNE : On ne présente plus l’association MOBIL ECO qui œuvre depuis sa création au service des demandeurs d’emploi et des personnes soucieuses de se réinsérer dans le monde du travail.

Sur une large frange de notre territoire, la structure a acquis ses lettres de noblesse depuis ses origines pour remettre au goût du jour en les accompagnants les velléités professionnelles de celles et ceux de ces personnes qui ne veulent plus rester inactives.  

L’un de ces passages obligés se nomme la mobilité. Avec la réappropriation de la conduite automobile qui n’est pas une simple gageure dans un pays tel que la France. D’autant que la réflexion actuelle de son président, René CORNET, passe désormais au plan sectoriel sur une vraie dimension à l’échelle du département. Jusque-là, MOBIL ECO et ses équipes n’interviennent que sur la zone septentrionale de l’Yonne, et sa partie centrale. Mais, ceci est un tout autre débat !

Revenons à cette mobilité dans le cadre de l’emploi qui est devenue le cœur de cible des préoccupations de l’organisme mobilisateur de compétences. Aussi, ce dernier a un besoin exponentiel de véhicules de seconde main pour assurer les rouages de sa fonctionnalité. Comment ? En faisant appel aux dons et à la générosité de chacun !

 

 

 

La vente de véhicules d’occasion instaurée avec succès depuis 2017…

 

L’équation se veut simpliste. MOBIL ECO exprime le désir de posséder une quarantaine de véhicules servant à la fois à sa cellule locative mais aussi à la vente. En 2017, l’association procédait ainsi à la première cession tarifée d’un modèle d’occasion à une jeune femme qui avait été retenue pour la qualité de son projet professionnel.

Une opportunité vécue avec réel bonheur à l’époque qui depuis a fait son bonhomme de chemin auprès des responsables de la structure dont la directrice Patricia FLAVIEN. On l’oublie un peu trop souvent mais la mobilité géographique représente l’un des freins à l’emploi considérable sur notre territoire qui se paupérise davantage chaque jour.

 

 

Cette problématique polymorphe (les impacts concernant l’absence du permis de conduire pour une personne précaire sont très nombreux) représente le cheval de bataille de MOBIL ECO qui entend apporter des solutions concrètes vaille que vaille.

Location de véhicule, cours de conduite dispensés par ses soins, vente d’automobiles ont fait de cet organisme solidaire l’un des acteurs clés dans le paysage de l’Yonne sur ce segment.

Toutefois, pour que la mécanique ne se grippe pas et ne contraigne pas la cellule salvatrice à revoir sa copie, il faut à cette dernière sa dotation constante de véhicules.

 

Collectivités et entreprises peuvent également donner…

 

Des dons qui peuvent émaner de particuliers en délicatesse avec un modèle déjà ancien qui n’aurait plus de cotation à l’argus ! Voire les collectivités et les entreprises (la plupart des grosses sociétés disposent d’un parc auto bien fourni) qui peuvent également se montrer généreuses envers cette initiative faisant preuve de solidarité dans un esprit d’éco-citoyenneté. Eco équivaut à ce titre au mot, économie, il va de soi.

Outre le transport à la demande, la diversification des activités de MOBIL ECO lui est favorable aujourd’hui. Acteur essentiel de la mobilité solidaire auprès des publics fragilisés vivant à la ville comme à la campagne, l’organisme s’intéresse aussi à une frange de la population le plus souvent oubliée de la réalité économique : les personnes atteintes de handicap et les seniors.  

C’est pour cela que l’association a cru bon de s’ancrer dans le maillage territorial en proposant des suggestions fortes comme l’auto-école solidaire ou la vente de véhicules à prix modérés (avec des tarifs qui n’excèdent jamais le seuil de trois mille euros).

Cerise sur le gâteau : la carte grise grâce à une autorisation préfectorale, le plein de carburant, le kit de sécurité et même un bidon d’huile, histoire de remettre le niveau du lubrifiant liquide  sur sa bonne jauge, sont englobés dans ce prix.

En savoir plus :

Contact teléphonique au 03.86.83.03.58.

 

Thierry BRET

 

 


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Une tâche noire figure sur la cartographie sanitaire de notre pays : elle identifie l’Yonne. L’un des plus mauvais départements de France eu égard au plus fort taux d’incidence des cas confirmés. Communiqués par l’Agence régionale de Santé (ARS), les derniers chiffres ne plaident pas pour un optimisme béat. Le seuil d’alerte du retour de la contamination s’élève à 218 contre 98 au niveau de l’Hexagone. Pas de quoi être rassuré d’ici le 15 décembre, date de la seconde étape de sortie de crise…

AUXERRE : En verra-t-on un jour le bout de cette satanée crise sanitaire ? Si le coronavirus semble aujourd’hui un peu moins circulé dans notre pays, les indicateurs de référence demeurent à ce stade encore très élevés. Chaque jour, ce sont plus de dix mille cas de personnes contaminées qui sont ainsi confirmés par nos services de santé.

Dans son rapport épidémiologique daté du 03 décembre, Santé Publique France a pointé du doigt les zones géographiques où le coronavirus agit avec toujours autant de virulence : Auvergne-Rhône-Alpes (et en particulier la Haute-Savoie), Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Bourgogne Franche-Comté. Un signe négatif envoyé à celles et ceux qui luttent avec abnégation contre ce fléau malgré la mise en œuvre de mesures visant à protéger et à rassurer la population.

Au cours de la première vague survenue au printemps dernier, les départements de la Franche-Comté (dont le Doubs et le Jura) et ceux de la Bourgogne du Sud, la Côte d’Or et la Saône-et-Loire, n’avaient pas été épargnés par les effets dévastateurs de l’épidémie. Un lourd tribut aux accents mortifères tant dans les hôpitaux que les EHPAD qui laissera des traces indélébiles.

Or, si les indicateurs actuels placent toujours notre territoire parmi les régions ayant à subir les pires conséquences de la maladie, que dire du département de l’Yonne. Quelque peu préservé au printemps, il occupe désormais une peu flatteuse position de « département ayant le plus mauvais taux d’incidence pour cent mille habitants du pays ». Un taux au résultat médiocre auquel il faut ajouter, dans la logique des choses, le taux de positivité des tests qui s’établit à 19 % contre 11 % au niveau national.

Pour être tout à fait complet au niveau des chiffres, précisons que, sur cette même période, ont été enregistrées dans le département 724 personnes testées positives, 209 personnes hospitalisées, 17 personnes admises au service de réanimation et un décès qui est à déplorer.

 

Des causes multifactorielles surveillées par la préfecture et l’ARS…

 

Une interrogation se pose nécessairement à nos esprits : pourquoi le département de l’Yonne présente-t-il à l’heure actuelle de si mauvais résultats au niveau de ces indicateurs ? Alors que les services de la préfecture ont mis tout en œuvre pour faciliter l’adoption des gestes barrières par la population.

Sans omettre les contrôles réguliers établis par les forces de l’ordre qui incitent à les faire appliquer.

Sans doute, le relâchement de nos concitoyens exaspérés par le retour du deuxième confinement apparaît comme l’une des explications les plus évidentes. Pour autant, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST affirme de son côté que « les causes de cet état de fait sont multifactorielles… ».

 

 

 

En effet, le trop long délai observé par l’ARS et la préfecture pour obtenir les résultats des tests de contamination sous un delta temporel acceptable est l’une des autres raisons de cette dichotomie avec la réalité nationale. L’abaissement de ces délais s’inscrit donc parmi les priorités administratives du moment pour le représentant de l’Etat. D’autant que l’Yonne teste beaucoup de personnes au quotidien, soit un équivalent de 800 individus.

Il semblerait sur ce point que les efforts demandés à la dizaine de laboratoires qui effectuent ces prélèvements soient en phase de concrétisation. La plupart de ces établissements se voient dans l’obligation d’adresser les échantillons pour analyse dans des centres spécifiques et équipés, implantés dans le Loiret, la Côte d’Or, le Jura ou encore le Rhône.

 

L’amélioration des délais pour les résultats des tests : une nécessité…

 

Si la semaine dernière, un délai de 1,7 jour était nécessaire pour récupérer les précieux résultats de ces examens ; celui-ci s’est amélioré de manière encore peu significative pour s’établir à un délai de 1,4 jour.

Rappelons, toutefois, que certaines personnes ayant procédé au test nasal reçoivent leurs analyses médicales au terme de trois à quatre jours d’attente.

Un délai, évidemment jugé bien trop long pour l’exécutif préfectoral et l’ARS qui ne permet pas de casser véritablement la chaîne de contagion imputable au virus.

Un virus qui circule de manière très importante dans certains secteurs du territoire à l’instar de l’Avallonnais, la Puisaye-Forterre, le Chablisien (surtout dans les EHPAD), le Centre Yonne, l’Aillantais et l’Auxerrois.

Seule note positive à ce tableau qui n’a rien d’idyllique avant la date butoir du 15 décembre, terme de la première étape de ce confinement, l’Education nationale ne déplore plus la fermeture de la moindre classe parmi ses établissements.

Preuve supplémentaire qui rappelle que la contagiosité du COVID-19 impacte avant tout les adultes plutôt que les jeunes têtes blondes…

Thierry BRET

 


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