Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

C’est le prélude à une passionnante saison sportive. Elle se terminera en apothéose à Paris, l’été prochain, avec l’accueil des Jeux olympiques. L’une des disciplines qui en est reine et réussie aux équipes de France qu’elles soient féminines et masculines se nomme le handball. Tout attaché, côté grammatical, car le mot est originaire d’outre-Rhin. Un sport qui possède ses aficionados dans l’Yonne, grâce au Handball Club Auxerrois, organisateur du « Trophées des Champ’Yonne ».

 

AUXERRE : Le rendez-vous tient d’ordinaire toutes ses promesses. Gageons qu’il en sera encore de même avec cette édition 2023 qui verra s’affronter sur le terrain du gymnase René-Yves AUBIN ce mercredi 23 août en fin d’après-midi la fine fleur des équipes féminines régionales. De celles qui tutoient avec accoutumance les sommets. Soit en division 1. Soit dans la classe inférieure, en nationale 2.

Une initiative que les responsables du Handball Club Auxerrois – le président Raphaël BESANCENOT en tête ! – se plaisent à réitérer chaque année, à pareille époque presque au sortir de l’été afin d’arrimer de nouvelles recrues, un nouveau public et des partenaires potentiels qui désirent encourager ce sport si spectaculaire et indécis tant les formations sont proches l’une de l’autre dans leurs championnats respectifs.

Le plateau 2023 est de qualité. La JDA Dijon, l’ES Besançon – deux des ténors de la D1, mais aussi Longvic – la Côte d’Or reste une terre de prédilection pour l’essor du handball qui fait appel aux universitaires -, et Fleury, localité proche d’Orléans. Du lourd et de la technicité. De la haute voltige, assurée, devant les cages adverses.

Innovation, cette année, l’entière gratuité de l’évènement. Un choix mûrement réfléchi par les dirigeants du club auxerrois qui veulent vulgariser à l’extrême la beauté et l’intensité de ce sport offrant le plus souvent de superbes joutes. En outre, l’évènement permettra de mettre en lumière l’esprit sportif en règle générale à travers de ses dignes représentantes. A apprécier sans modération…  

 

 

Le programme :

Date : mercredi 23 août à  partir de 17h00. 

Lieu : Complexe Sportif René-Yves AUBIN Auxerre

17h00 : ouverture du village handball 

18h15 : inauguration de neuf places du club, avec son nouvel habillage : ce sera l’occasion de remercier les partenaires dont la ville d'Auxerre, le Conseil départemental de l'Yonne, la région Bourgogne Franche-Comté et les partenaires privés.

19h00 : Match élite entre la JDA Dijon Handball et ES Besançon Féminin 

20h30 : Remise du trophée

21h00 : Match N2 : Fleury – Longvic

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le secteur du e-commerce est toujours en progression, en réponse aux difficultés rencontrées pour obtenir des biens matériels, matières premières et autres ainsi qu’à la hausse des tarifs. En particulier, les achats en ligne réalisés avec de nombreux fournisseurs de l’Union européenne.

TRIBUNE : Les entreprises immatriculées dans les états membres de l'Union européenne (UE) qui réalisent du commerce de marchandises entre elles (« acquisitions » et « livraisons » de biens) sont soumises à des règles particulières au regard de la TVA, à ne pas négliger.

Voici tout ce que vous devez savoir pour comprendre le fonctionnement d’un achat intracommunautaire d’un bien ou la vente intracommunautaire d’un bien et la TVA associée. L’administration fiscale est très attentive au bon respect des mentions obligatoires sur les factures, également celles concernant les achats dans l’Union européenne.

Elle refusera la déduction de la TVA si elle est appliquée et facturée par votre fournisseur de l’UE alors qu’il s’agit d’une acquisition intracommunautaire. Elle refusera l’exonération de TVA pour vos livraisons intracommunautaires si, de la même façon, les conditions requises ne sont pas réunies.

L’imposition à la TVA du commerce entre deux pays de l’Union dépend : de la nature de l’opération, les règles seront différentes s’il s’agit d’un échange de biens ou de prestations de services ; et de l’identité du client, dans le cas de ventes, c’est le statut de l’acheteur particulier ou professionnel qui est déterminant.

 

Les acquisitions de biens intracommunautaires (AIC)

 

Une AIC est un achat de marchandise effectué par une entreprise assujettie établie en France auprès d'une entreprise assujettie établie dans un autre état membre de l'Union européenne. Un régime de droit commun s’applique aux AIC et, par exception, il existe un régime dérogatoire.

Le régime de droit commun énonce le principe suivant : la taxation à la TVA française. Celle-ci est exigible dès que le lieu de livraison de la marchandise est réputé se situer en France et doit être acquittée par l'acquéreur de la marchandise.

En pratique, quand l’acquéreur français reçoit la facture d'un vendeur établi dans un autre état membre de l'Union européenne, cette dernière ne contient pas de TVA du pays du vendeur. C'est donc l'acquéreur français qui doit payer la TVA française sur le prix de la transaction.

Toutefois, cette taxe acquittée par le redevable lors de l'acquisition intracommunautaire n’est déductible que sous réserve que les règles de facturation soient bien respectées, notamment : la mention du prix hors taxe et  les numéros d'identification à la TVA intracommunautaire du fournisseur et de l’acquéreur.

L’acquéreur redevable doit procéder à « l’auto-liquidation de la taxe » en mentionnant la TVA collectée et la TVA déductible sur sa déclaration (opération blanche au niveau de la TVA). Rappelons que chaque entreprise assujettie à la TVA dans un état membre de l’Union européenne doit, préalablement à tout échange de biens intracommunautaires, se voir attribuer un numéro individuel d’identification par les services des impôts.

Une déclaration d’échanges de biens (DEB) doit en plus être établie par l’acquéreur français et remise aux services des douanes si le montant total de ses introductions de marchandises intracommunautaires au titre de l’année précédente dépasse le seuil de 460 000 euros.

Elle sera obligatoirement établie pour ses expéditions (ou livraisons intracommunautaires) que leur montant soit inférieur ou supérieur au seuil de 460 000 euros.

 

 

Quel est le régime dérogatoire ?

 

Un régime dérogatoire s’applique à certaines personnes, nommées PBRD (Personnes Bénéficiant d'un Régime Dérogatoire). Ce régime « dérogatoire » permet de ne pas soumettre leurs acquisitions intracommunautaires à la TVA. Elles sont donc exonérées de TVA. Les PBRD concernées sont les personnes morales non assujetties à raison de l'acquisition pour laquelle l'activité est réalisée ; les assujettis ne réalisant que des opérations n'ouvrant pas droit à déduction (bénéficiaires de la franchise en base ou micro-entreprise) et les exploitants agricoles au remboursement forfaitaire.

Attention, les PBRD n'ayant pas de numéro de TVA intracommunautaire, acquièrent la marchandise au taux de TVA applicable dans le pays de départ de la marchandise.

Une exclusion à l’application du régime dérogatoire : les acquisitions intracommunautaires concernant les moyens de transport neufs (c'est-à-dire les véhicules de moins de six mois ou de moins de 6 000 kms) et les produits soumis à accises (alcools, huiles minérales, tabacs, etc.).

Le régime s'applique si le montant des achats intracommunautaires ainsi déterminé n'a pas excédé durant l'année précédente et n'excède pas durant l'année en cours le seuil de 10 000 euros.

En dessous de ce seuil, les acquisitions en cause ne sont pas soumises à la TVA. En revanche, au-dessus du seuil, ces acquisitions suivent le régime de droit commun des acquisitions intracommunautaires. La taxe ainsi due doit alors être obligatoirement liquidée et déclarée à la TVA.

 

Sandrine LHUILLIER

Expert-comptable

NB : Le deuxième volet de cet article concernera les livraisons intracommunautaires…

 

ordre des experts comptables de bourgogne franche comte newsletter

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Paris-Nice, ce sont 1 088 kilomètres ferroviaires par la voie classique du PLM. C'est aussi une course cycliste renommée,  symbole du début de saison. Dans la cité des « maillotins », ce nom évoque un établissement connu de longue date : dès les années 50 dans le guide Michelin. Ses chambres comportaient alors le chauffage central, la salle de bains avec bidet à eau courante ! En 1955, il y avait aussi trois tables étoilées à Joigny : le « Modern'Hôtel » des frères GODART, « L'Escargot », mais aussi la « Rôtisserie jovinienne », sise route de Montargis…

 

JOIGNY : Notre « Paris-Nice », quant à lui, sera référencé au Michelin jusqu'au milieu des années 80. Plus tard, viendra à sa tête, un jeune couple valeureux Claire (une fille GODART) et David, son mari en cuisine. Comme Serge LAMA qui chantait aimer les ports de l'Atlantique, c'est au bord de l'eau saline qu'ils se sont désormais établis. 
En ce début août,  on penserait légitimement s'installer en terrasse, jouxtant le pratique stationnement. Las ! Ce jour-là, une sorte de « mousson icaunaise » en décida autrement ! A l'entrée, un panonceau indiquait le changement de propriétaire. En poussant la porte, on aperçut Auguste le jeune chien débonnaire de la maison, qui telle une sorte de maître d'hôtel canin, faisait discrètement le tour des tables !

 

 

L’ADN de la maison : des assiettes bien copieuses !


La salle est lumineuse. Elle est aux couleurs du moment (gris et variante) et décorée de diverses cartes des terroirs vineux de France. C'est alors que, fort élégamment, le verre de vin au verre commandé pour l'apéritif est servi à la bouteille (et non point apporté directement depuis l'office... comme trop souvent).
Divers menus sont proposés au déjeuner : l'ardoise du jour (22 euros) et le menu découverte, sans oublier celui intitulé « La Cuisine du Paris-Nice » qui fut mon choix. Le service s'active, il est efficace et sans précipitation. 
Un des invariables « ADN » de la maison, ce sont des assiettes copieuses, peut-être un peu trop parfois d'ailleurs ! En entrée, l'original crumble d'escargot est apprécié.  Je choisis l'indémodable salade César, un classique des tables du monde entier, créé voici un siècle au Mexique, par le chef Cesare GARDINI. Ce plat est bon. Son assaisonnement douceâtre s'éloigne de la recette originelle. Mais, cette entrée est plaisante et inattendue avec ses lardons fumés.

 

 

 

 

 

Un flan de légumes aussi insipide que pâteux…


En plat, le vol au vent de la mer m'a quelque peu déçu. L'assiette me semble un brin trop copieuse (lieu noir, saumon, moule...) et ce, même pour un convive au solide coup de fourchette, suivez mon regard ! Quant au feuilletage, il est tout détrempé,  car baignant dans la sauce. Il perd ainsi de sa croustillance, mais aussi  de son intérêt. C'est dommage. Car, la sauce est bonne, et un brin plus travaillé, ce plat gagnerait quelques lettres de noblesse !

Quant au flan de légumes, c'est à l'unisson que nous pouvons écrire...qu'il n'est franchement pas terrible. Il est aussi insipide que pâteux. Comme le disait antan fort légitimement,  M. PAUL, le général de GAULLE de la gastronomie française, « de temps en temps, les cuisiniers devraient goûter leur cuisine ! ». En effet, ce flan n'a pas sa place dans cet agréable restaurant, me semble-t-il...

 

 

La tarte Tatin : un régal qui mérite le détour !


En dessert, la tarte tatin est délicieuse. La pâte beurrée est délicatement croustillante. Les pommes sont compotées, comme il le faut. La boule de glace surmontant ce bon dessert semble aussi superflue qu'inutile, car la vedette gourmande de cette fin de repas, c'est bien elle, cette tarte, une pâtisserie solognote très ancienne, mise à la mode par les sœurs TATIN en leur hôtel-restaurant de Lamotte-Beuvron (Loir-et-Cher), département popularisé aussi par la chanson de l'excellent Michel DELPECH ! ). Voici un siècle, CURNONSKY, prince des gastronomes, contribua à la faire connaître lors de son tour des provinces gastronomiques !
La poursuite du parcours de cet établissement réputé depuis de longues années  fait plaisir aux Joviniens, mais aussi à tous les autres ! Sur la route de Paris, Nice (ou d'ailleurs), il fait bon s'y arrêter ! 

 



En savoir plus :

Les - : désolé,  mais ce flan de légumes, c'est non ! Il n’est pas au niveau de l'ensemble du repas.

Les + : le vin au verre est servi à la bouteille. On a apprécié le service des miettes enlevées avant le dessert !

 



Contact :

Hôtel-Restaurant Le Paris Nice

8, Rond-point de la Résistance

89300 JOIGNY

Fermé le lundi

Tel : 03.86.62.06.72.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il ne fait pas bon prendre un verre, histoire de se désaltérer à l’heure de l’apéritif, sur le parvis de la basilique Marie-Madeleine, haut-lieu du patrimoine spirituel de la « Colline Eternelle » ! Après le coup de chaleur pour gravir avec peine et à pied l’unique voie d’accès de Vézelay menant au célèbre édifice, fleuron de l’art roman, c’est le coup de bambou, côté tarifs, si l’on désire tremper ses lèvres dans un verre contenant une salvatrice boisson !

 

VEZELAY : Les voies du Seigneur sont impénétrables, dit-on avec une certaine religiosité. Mais là, dans le cas présent, le coup du sort semble être fatal aux pauvres consommateurs que nous sommes. Celles et ceux qui sont désireux d’étancher leur soif et profiter du point de vue en toute sérénité, permettant de contempler l’immense portail de la magnifique basilique qui renferme dans sa crypte les reliques de la sainte, ayant donné son nom à l’édifice multiséculaire.

Il faudra, en effet, débourser pas moins de 9 euros (fichtre !) chez l’unique établissement ayant pignon sur rue sur le parvis de la basilique, accueillant touristes et pèlerins, pour la dégustation, à titre d’exemple, du fameux apéritif, « sanctifié » régulièrement dans nos colonnes par notre chroniqueur gastronomique Gauthier PAJONA – le célèbre « Américano », breuvage à l’amertume délicatement prononcée -, et encore, au vue de la quantité servie du précieux liquide dans sa version minimaliste avec moult glaçons et zestes d’orange, le mot dégustation prend ici une dimension presque « quasi mystique » !

 

 

Qui parle de  baisse des prix et d’inflation maîtrisée dans ce pays à l’heure où le tourisme est à son paroxysme estival !?

Et si en plus de cela, la dose proposée à la consommation par l’estaminet se résume à la portion congrue au fond du verre, pas si sûr que les gogos que nous sommes tous se laisseront piéger deux fois de suite dans le même endroit !

A moins que les prières adressées à Marie-Madeleine ne viennent changer les règles du jeu de ce commerce d’attrape-touriste, exagérément inflationniste qui se répand comme de la mauvaise herbe dans les sites réputés par leur fréquentation…

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Huit cents. Pas un de plus, pas un moins. Mais, au bout du compte, c’est une collection d’objets hétéroclites et insolites de par leur diversité et leur provenance qui est présentée là. Phileas peut donc endosser le titre honorifique de « sauveur » - le Messie dans le langage divin ! – de ces innombrables cadenas, accrochés çà et là sur le Pont des Arts de la capitale hexagonale, arborant autant de messages d’amour éternels, entrelacés et gravés dans le métal. Une exposition à découvrir au Musée Romain Rolland de Clamecy jusqu’au 13 août prochain…

 

CLAMECY (Nièvre) : Phileas FIQUEMONT est un « sauveur ». Presque au sens « biblique » de l’expression ! Un « Messie » des temps nouveaux qui est venu au secours de ces centaines de cadenas – objets ô combien ordinaires – accrochés sur les grilles du Pont des Arts de Paris par une myriade de touristes venus des quatre coins de la planète pour y clamer leur amour. Amour de l’autre, l’être aimé(e) dont la pose de ce petit objet si familier qui aide à protéger des secrets et son territoire en obstruant toute tentative de pénétration dans la vie intime.

Lors de ses diverses pérégrinations sur le fameux pont parisien, Phileas s’est ému de la situation d’alors : enlever tous ces objets mémoriels le plus vite possible qui garnissaient le Pont des Arts ; c’était le choix de l’équipe municipale. En juin 2015, le garçon, originaire de l’Yonne, coach et artiste dans sa tête et son cœur, a pu en prélever huit cents exemplaires. Une paille alors que la fameuse construction enjambant la Seine en accueillait plus d’un million de ces cadenas.    

 

 

Aujourd’hui, il écrit la suite de l’histoire, si pittoresque et atypique qui fit la une des médias de la planète, en exposant ses « trophées ». Ces cadenas de l’amour, sauvés par Maître Phileas – le prénom idoine pour vivre de pareilles aventures qui n’auraient pas déplu à Jules VERNES – sont dévoilés pour la première fois sous les projecteurs médiatiques dans des compositions que l’artiste, vivant depuis peu à Armes, souhaite partager.

Ils sont accueillis au Centre culturel du Musée Romain Rolland de Clamecy jusqu’au 13 août. Le public y découvrira des œuvres présentant des fragments de grilles, identiques à celles d’origines, proposant un flash-back sur le Pont des Arts à l’époque. Nous aurons l’opportunité d’en reparler…

 

 

En savoir plus :

Exposition Les Cadenas d’Amour de Paris sauvés par Phileas

Du 01er au 13 août

Musée Romain Rolland de Clamecy

De 15h à 19 h

Renseignements : www.cadenasdamour.paris

Instagram @cadenasdamourparis

Facebook @cadenasdamourparis 

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil