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Le gâteau d’anniversaire n’offre que deux bougies à souffler. Ce qui traduit encore l’aspect juvénile de la structure qui, petit à petit, fait son nid dans le paysage de l’Yonne. Pourtant, après Auxerre, la marque des FESTINS rencontre aujourd’hui le succès dans le Sénonais. Régalant au passage celles et ceux qui effectuent journellement la liaison par chemin de fer entre Paris et la ville la plus septentrionale de notre département pour se rendre à leur travail. Via une application qui leur permet de réserver leur repas au camion-dépôt avant de l’emporter à bord du train.

SENS : C’est une manne de clientèle qui ne cesse d’augmenter chaque année. Près de 4 300 personnes effectuent au quotidien le trajet reliant la capitale de l’Hexagone à la ville du nord de l’Yonne. Des déplacements qui s’inscrivent dans un cadre purement professionnel.

Cette aubaine stratégique apparaît comme indéniable pour l’un des référents des arts culinaires, de la réception et du traiteur de notre contrée, FESTINS de BOURGOGNE. La société artisanale de CHEMILLY-sur-YONNE ne pouvait passer à côté de ce filon de consommateurs avides d’être interpellés par une offre de restauration rapide mais de belle facture quant à sa gamme de produits proposés et au niveau de la qualité.

Déjà testées durant une saison à Auxerre, il n’en fallait pas davantage pour décliner à son tour les prestations de service de TOQTOQUE sur le Sénonais. Si dans la capitale de l’Yonne, la cible potentielle visée concernait au tout début les particuliers désireux de dîner tranquillement à leur domicile sans ressortir de leurs pénates, à Sens, l’enseigne de ce prêt-à-consommer à l’estampille des FESTINS s’est immédiatement intéressée à celles et ceux qui empruntaient la voie ferroviaire pour se rendre sur leur lieu de travail.

Une application numérique a même été créée à leur intention sur smartphone afin de pouvoir réserver son repas et venir le récupérer au camion-dépôt, désormais positionné depuis janvier en zone des Vauguillettes dans les locaux du Village d'entreprises de la Chambre de Commerce et d'Industrie, entre 12 h et 14 h.

 

 

Viser les travailleurs nomades mais aussi la clientèle sédentaire…

 

Le concept de réservation commence à obtenir ses premiers résultats encourageants. Même si 80 % de la clientèle préfèrent encore prendre la commande en direct au point d’approvisionnement.

Il s’avère également, à la lecture des analyses initiales qui ont été réalisées par le directeur de développement de la marque, Matthieu CHAPUIS, que 50 % des clients assidus de l’offre TOQTOQUE ne sont pas nécessairement des voyageurs ferroviaires attitrés !

Bref, cela signifie que le bouche-à-oreille fonctionne plutôt bien dans le landerneau alors qu’aucune stratégie de communication n’avait été réellement déployée jusque-là. Et que la potentialité consumériste née de ce projet original et de proximité est beaucoup plus élargie qu’il n’y paraît !

Nonobstant, FESTINS a décidé de passer outre en maximisant la distribution de flyers dans les boîtes aux lettres du centre-ville. Puisque que le concept séduit celles et ceux qui ne bougent pas nécessairement de Sens la journée, autant profiter de ce cœur de cible qui désire déjeuner différemment.

 

 

Un produit d’appel dans le vent pour une clientèle rajeunie…

 

Quant aux retours de satisfaction exprimés par les habitués, ils comblent d’aise la direction des FESTINS. Les indices gradués sur une échelle de zéro à cinq tutoient les sommets, accréditant la judicieuse initiative qui est développée par le groupe de l’Yonne depuis vingt-quatre mois déjà.

L’offre de produits se décline autour de plusieurs formules comprenant entrées, plats de résistance et desserts. Parmi les spécialités alléchantes proposées, les gourmands peuvent se sustenter d’une fricassée de volaille agrémentée de morilles, de saumon à l’oseille ou à titre d’exemple à faire saliver le plus gourmet d’entre nous, un succulent rizotto au homard.

Les perspectives affichent leur insolence grâce à l’obtention de résultats à deux chiffres. Preuve que la qualité de la table, même dans une optique de déjeuner rapide sur son lieu de travail ou à son domicile ne rebute pas les consommateurs, bien au contraire, sans même trop bourse déliée.  

A l’aide de cette jeune enseigne, FESTINS de Bourgogne, groupe qui exerce ses activités sur une large zone de chalandise depuis plus de deux décennies, a souhaité en développant cette marque à la manière d’une start-up digitalisée créer un produit d’appel sympathique.

Il vise à s’attirer les faveurs d’un nouveau public, désireux de joindre l’utile à l’agréable en y ajoutant parmi les ingrédients incontournables à leur confort, la qualité et la traçabilité des mets dans leur mode nourricier. Réussi…

 

 

 


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Constructive et utile. C’est le sentiment qui prévaut à l’issue de la rencontre organisée le 14 février entre les professionnels de l’agriculture et les élus du département autour d’une thématique chère à la filière, l’eau. Pédagogique, la session à laquelle participait le directeur départemental des Territoires Didier ROUSSEL servira de support à la présentation des résultats d’étape inhérents aux essais agronomiques actuellement en cours de programme…

MALIGNY : Ces échanges ont été qualifiés de riche et de positif par le porte-parole de l’UPVY (Union des Productions végétales de l'Yonne), Laurent PONCET, au terme de la session. La séance de travail réunissant élus et agriculteurs avait surtout pour objectif de permettre aux intervenants de procéder à un état des lieux précis de la qualité de l’eau, l’un des précieux auxiliaires à la pratique d’une agriculture saine et respectueuse de l’environnement.

Au vu des débats et de leur intérêt passionnel, UPVY (structure qui fédère des acteurs clés de la filière agricole comme 110 Bourgogne, YNOVAE, le groupe SOUFFLET ou encore la société RUZE) n’exclut pas de reproduire le rendez-vous à période régulière.

Engagés de longue date dans la déclinaison quotidienne de l’agro-écologie, les professionnels de l’Yonne se mobilisent afin de préserver la qualité de leur matière première nourricière. Car, le territoire, il est vrai, présente des signes de faiblesse du fait de sols et sous-sols fragilisés par la présence de zones de calcaire, de sable et d’argile.

Toutefois la qualité de l’eau s’avère conforme aux normes après analyses. Un constat qui se confirme depuis près de vingt ans, période à laquelle les services de l’Etat, assurés par l’Agence Régionale de Santé (ARS), ont renforcé les contrôles sanitaires.

 

 

L’eau de l’Yonne conserve sa potabilité…

 

Une cinquantaine de paramètres physico-chimiques étaient recherchés dans chaque prélèvement d’eau en 2000. Il y en a 596 aujourd’hui ! Même dans le cas où des métabolites, c’est-à-dire des produits liés à la dégradation des molécules-mères, et des herbicides sont repérés, les taux quantifiés restent inférieurs de 2 400 à 3 000 fois à la valeur sanitaire maximale, seuil d’impact potentiel sur la santé.

Les récents prélèvements de l’eau n’ont pas démontré de situations complexes : peu reste supérieure à la valeur guide proposée par l’ANSES, soit 0,9 microgramme/litre.

Ce qui signifie que l’eau reste potable et de qualité dans notre département. Cependant, et malgré l’optimisme de ces résultats, les agriculteurs recherchent toujours la progression.

De nombreux essais agronomiques étayent cette stratégie. Certains sont à l’heure actuelle effectués sur la commune de Maligny.

Parmi les leviers de progrès testés : le désherbage mécanique proposé avec l’aide d’une bineuse, la présence de solutions de bio-contrôles et de plantes faisant office de leurres naturels pour piéger les insectes ravageurs afin de les détourner du colza ou encore des semis réalisés à des dates différentes sur les bandes de culture pour mieux déterminer la période la plus adaptée à ces essais.

 

 

Soutenir la filière colza qui reste encore une culture névralgique…

 

Cette phase de tests offre une utilité particulière pour le colza qui demeure encore essentielle dans le paysage icaunais. Et national, du fait de ses qualités protéiniques nourricières. Or, on le sait, le grenier de l’Yonne s’amenuise avec une baisse de 25 % des surfaces cultivables.

La première ressource florale destinée aux abeilles a ainsi perdu 62 000 hectares pour ne conserver que 23 000 hectares en 2019 !  

Fort de ces observations, les premiers enseignements qui ont été dévoilés lors de cette séance de travail permettent de préciser la meilleure date à laquelle les agriculteurs peuvent implanter le colza. Soit le 09 août.

Des plantations qui ne nécessitent pas de plantes compagnes avec une fertilisation localisée sur le rang et un désherbage complet. En effet, c’est ce qui correspond à un meilleur compromis entre le nombre pieds implantés, le développement de la biomasse du colza et la gestion du développement des mauvaises herbes.

Ce n’est qu’en fin de campagne, au moment de la récolte, qu’une analyse économique globale et finale analysera les stratégies les plus pertinentes et les plus respectueuses de l’environnement à développer.

Décidément, on n’arrête pas le progrès dans la sphère agricole !

 

 


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Plus jeune, il aurait souhaité consacrer du temps à cette activité citoyenne. Comme le font aujourd’hui beaucoup de filles ou de fils qui emboîtent leurs pas dans les traces de leur père. Oui mais voilà : le destin en a voulu autrement. Même s’il a côtoyé de fort près le milieu militaire avant de s’engager dans la préfectorale, le directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, Tristan RIQUELME, n’aura jamais été un sapeur-pompier volontaire !

AUXERRE : Un voile de nostalgie, teinté d’un zeste humoristique, s’est manifesté lors de la signature de la convention-cadre entre le Département de l’Yonne et le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) vendredi 21 février. Et c’est au directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, Tristan RIQUELME, qu’on le doit !   

Le fonctionnaire d’Etat s’est quelque peu épanché lors de sa prise de parole en avouant que « devenir sapeur-pompier volontaire (SPV) aurait été un moment fort de son existence ».

Si et seulement si, il avait pu bénéficier d’un entourage familial déjà immergé au préalable dans cette sphère corporatiste. Ce qui n’était pas le cas.

Tristan RIQUELME n’a donc pu accomplir ce désir de jeunesse. Ce qui ne l’a empêché d’en évoquer ce souvenir avec franchise face à une assistance fortement représentative du noble corps de secouristes. Incitant ses enfants à le faire si l’occasion s’en présentait.

« Si j’avais été fils de sapeur-pompier, souligna le proche collaborateur du préfet Henri PREVOST, il aurait sans doute plus facile de suivre cette voie qui mène au SPV… ».

 

Promouvoir les SPV dans le cadre du Plan d’action 2020…

 

Le recrutement de la filière par le biais de la filiation n’est plus à démontrer, il est vrai. Puis, poursuivant sa digression orale, Tristan RIQUELME, féru d’histoire, rappela les origines des services de secours se référant au seul volontariat. Un principe hérité de la Garde nationale sous la Révolution.

Avant d’évoquer le rôle des employeurs, fondamental à ses yeux, et garant du succès d’un Plan d’action mis en œuvre depuis deux ans sur le territoire qui court jusqu’en 2021.

Jugeant efficace et performant les tâches quotidiennes des SPV dans leurs interventions, l’ancien sous-préfet d’Issoire encouragea pour conclure les acteurs institutionnels et le SDIS 89 à promouvoir ce mode de secours vers le plus grand nombre. Se remémorant l’une des célèbres citations de l’écrivain Albert CAMUS, forte de symboles : « La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent… ».

 

 

 

 


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Ce n’est pas un secret : les Offices publics de l’habitat de France et de Navarre appliquent à la lettre les éléments de la loi Elan, adoptée par les parlementaires le 23 novembre 2018. Le texte législatif rend obligatoire leur regroupement. Ceux, en particulier, qui assurent la gestion de parcs de logements comprenant moins de douze mille unités. Dans notre contrée, trois structures (DOMANYS, ORVITIS et Grand Dole Habitat) ont décidé, dès l’année dernière, de convoler en justes noces. Ce 17 février, leur hyménée a pris la forme d’une société de coordination : celle-ci a été rendue publique…

DIJON (Côte d’Or) : Il aura fallu la réunion de l’assemblée générale constitutive pour formaliser de façon officielle ce qui avait été entrepris depuis un peu plus d’une année. C’est-à-dire le fruit d’une longue période de concertations entre les trois acteurs au centre de ce projet.

Constituée sous la forme juridique d’une société anonyme à directoire et conseil de surveillance, la structure IDELIANS, puisque tel est son nom de baptême, est désormais opérationnelle en Bourgogne Franche-Comté.

Elle fédère trois offices publics de l’habitat, la jurassienne Grand Dole Habitat, celle de Côte d’Or, ORVITIS et l’icaunaise, DOMANYS. Leur rapprochement trouve sa légitimité dans la déclinaison concrète du texte de la loi Elan, votée à l’automne 2018.

Ce lundi 17 février, dans la capitale des ducs de Bourgogne, l’objectif de la réunion constitutive n’avait autre vocation que d’installer l’ensemble de la gouvernance, le conseil de surveillance et le directoire de ce nouvel organe. Une assemblée importante à laquelle prenait par le responsable de l’exécutif du Département de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, en sa qualité de président de DOMANYS.

 

 

 

 

François-Xavier DUGOURD et Yves MAGDELAINE en tandem complémentaire…

 

Une fois le conseil de surveillance désigné (Pascal HENRIAT y représentera la collectivité territoriale de l’Yonne ; Sonia PATOURET, Hervé COUTEILLE et Marc SAVEAN y siègeront en représentant les intérêts de l’office public de l’habitat DOMANYS), l’élection de son président et du vice-président devint une judicieuse évidence.

Le poste de président échoit à François-Xavier DUGOURD, actuel président d’ORVITIS, l’office public de l’habitat de Côte d’Or. La fonction de vice-président –en l’occurrence de vice-présidente - revient à la conseillère départementale de l’Yonne, Sonia PATOURET. Le président de Grand Dole Habitat, Mathieu BERTHAUD, étant nommé second vice-président.

Le conseil de surveillance a procédé ensuite à la nomination des trois membres du Directoire qui assumera la direction collégiale de la structure. Ce sont les trois directeurs des offices, à savoir Karine LASCOLS, pour DOMANYS, Christophe BERION, pour ORVITIS et Yves MAGDELAINE, de Grand Dole Habitat qui assureront la gouvernance.

Sachant que le dernier nommé officiera en qualité de président du Directoire.

L’intégration du quatrième partenaire, l’office public de l’habitat de Haute-Marne, HAMARIS, approuvée en décembre 2019, se déroulera durant l’été.

De fait, l’entité interrégionale recensera plus de 31 000 logements sur son périmètre d’intervention.

 

 


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Dans le centre de Joigny, non loin du Conservatoire de musique, se trouve une boutique avec une gamme variée de produits. Quand on pousse la porte de la maison, on est accueillie par Prunelle, souriante et enjouée, la maîtresse des lieux. Rencontre…

JOIGNY: Esthéticienne depuis 45 ans, Prunelle a ouvert sa première boutique en 2003. Installée depuis février 2015 dans sa nouvelle maison, située Rue neuve, elle propose ses services d’esthéticienne les lundis et mardis, une semaine sur deux. Elle se consacre le reste de la semaine, à sa deuxième passion : le papier japonais.

Riche en couleur et motifs, elle en fait des bijoux, lampes, guirlandes lumineuses ou encore des photophores, vendus aux quatre coins de sa coquette boutique.

On y trouve également de quoi se vêtir, des sacs en cuir mais aussi des produits cosmétiques aux origines « bio ». Du café ou du thé, mais aussi des parfums pour la maison constituent ce patchwork de diversités insolites.

Ses produits proviennent de fournisseurs européens, particulièrement les vêtements et les sacs en cuir. Voire de l’Inde où elle va se réapprovisionner régulièrement en bijoux, argent et vêtements auprès de partenaires fidèles.  Elle travaille aussi avec des créateurs entre autres pour la joaillerie

Excellente cuisinière, en ouvrant ce lieu typique, Prunelle régale les papilles en proposant une table d’hôte et un salon de thé à base de produits faits maison, à déguster au pied de la grande cheminée, ou dans le jardin selon la saison.

 

 

Se relooker en dégustant un thé avec un dessert maison !

 

Le site le permettant, elle a fini d’aménager deux pièces pour accueillir ses « bonnes fées », au total dix-sept professionnelles du bien-être qui proposent des cours et ateliers les soirs et les week-ends. Certains plus occasionnellement : yoga, sophrologie, réflexologie, aromathérapie, fleurs de Bach, bulle à couple, rigologie, méditation…

Elle rêvait d’une maison, qui apporte du bonheur au quotidien, aussi bien par les produits qu’elle propose que par les personnes compétentes qu’elle fait intervenir.

Depuis quatre ans Prunelle œuvre pour que tout soit en place. L’objectif étant atteint, elle se laisse porter par de nouvelles propositions qui arrivent, profite de temps pour elle et le consacre aux voyages aux quatre coins de la planète.

De nouveaux projets devraient prochainement voir le jour…

 

 

Pour en savoir plus :  

 https://www.facebook.com/lamaisondeprunelle/

https://www.lamaisondeprunelle.fr 

 

Maryline GANDON

 


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