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En exclusivité, nous avons pu goûter le nectar blanc 2021 du Domaine des SENONS, grâce à Thierry CHARPENTIER qui y œuvra au cœur des ceps replantés. Cette bouteille porte le numéro 140 sur les 856 produites…Une pièce de collection ?

 

SENS: Joli nez, une belle élégance, de la rondeur en bouche (petit bémol peut-être sur l’effet boisé un rien trop prononcé) : en tous les cas, ce vin est une bonne surprise et fort plaisant à la dégustation.

Il se dit que la bouteille serait vendue autour de trente euros. Ce n’est pas donné le prix de la rareté retrouvée !

 

 

Bravo en tous cas à ces courageux vignerons qui travaillent activement au retour de la vigne dans le Sénonais.

D’ailleurs, quelle belle vue depuis le chai implanté sur les hauteurs de Paron. Un bon restaurant y serait des plus légitimes, serait-on en droit de penser. Une suggestion à suivre de près…

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Avant de mesurer les pistes d’une saine capitalisation pour financer notre retraite, nous sommes en droit de nous interroger sur l’état de la ressource fondamentale de la retraite par répartition et sur ce qui peut justifier une modification de l’âge de départ en retraite.

TRIBUNE : Les débats à l’Assemblée nationale ne brillent pas par leur sérénité. On s’invective, on bloque la réforme par tous les moyens, et nous sommes en droit de supposer que la NUPES souhaite par toutes ses actions, pousser le gouvernement à trancher avec le fameux « 49.3 ». Ils pourront ainsi s’offusquer et affirmer que la Première ministre Elisabeth BORNE ne joue pas le jeu du débat parlementaire démocratique.

Parlons-en. Si, à cause de la pression de la rue (67 % des Français sont contre la réforme), le gouvernement venait à la retirer ; cela reviendrait à consacrer les bases d’une future révolution : improbable ! Les députés et le président sont élus au suffrage universel, de manière démocratique. Alors, pourquoi râle-t-on ?

Depuis François MITTERRAND, nos présidents ne sont plus élus pour leurs idées, mais contre un adversaire. Pour Emmanuel MACRON, c’était contre Marine LE PEN. La NUPES appelle à voter pour MACRON et les électeurs sont perdus. Aujourd’hui, les syndicats adressent une lettre à tous les partis présents à l’Assemblée nationale, sauf au Rassemblement National !

Où est la démocratie quand tout ce joli monde veut ignorer le premier parti de l’opposition parlementaire, et afficher leur mépris pour les millions de Français  qui ont voté pour la candidate bleu marine ? On s’engage vers la révolte de tous celles et ceux qui ne se sentent plus représentés dans leurs aspirations.  Ajoutons à cela, le mépris du locataire de l’Elysée, pour ceux qui défilent. Non, il ne s’agit pas de « c’est toujours les mêmes », dans les manifestations ; on rencontre des personnes défilant pour la première fois de leur vie. Et si les marcheurs contestataires défilent en nombre, le pouvoir pourrait s’interroger sur le pourquoi…La sérénité est dans la rue et le désordre au Parlement…

 

La réforme des retraites : la manipulation des chiffres…

 

Actuellement, le budget des retraites est excédentaire (3,2 milliards en 2022) mais il sera très prochainement déficitaire. Il ne retrouvera son équilibre que dans dix ans ! Quel crédit accordé alors à une prédiction, pardon, une prévision financière sur une décennie ? Ces prévisions gardent un caractère aléatoire. Elles sont susceptibles d’être modifiées. Car, selon l’évolution de la démographie, de l’espérance de vie, de la croissance économique, du taux de chômage ou d’un événement imprévisible (crise financière, pandémie, guerre…), les projections d’équilibre financier pourraient être bouleversées, dans le positif comme dans le négatif.

Le déficit des retraites reste bien limité au regard de la dette globale de l'Etat. Il peut être facilement comblé ou compensé, à moindres frais selon les stratégies du pouvoir. Selon les préférences politiques, il est parfaitement légitime de défendre l’idée qu’une réforme des retraites n’est pas indispensable…

Le Conseil d’Orientation des Retraites (COR) informe qu’il n’y a pas d’urgence à la réforme. De plus, le Haut Conseil des Finances Publiques juge plutôt optimistes certaines prévisions de l’Etat pour 2023 : 4,2 % d’inflation et 1 % de croissance…

Notre système de retraite ne pourra pas être excédentaire en 2030, ni même en 2040 ! Compte tenu des modifications du projet, afin de séduire les Républicains, Elisabeth BORNE accepte de passer l’âge de la retraite à 64 ans au lieu des 65 ans et d’accorder ainsi quelques avantages supplémentaires, non prévus dans le budget initial.

 

 

Dans la réalité, la situation est bien plus dégradée. Le calcul du COR oublie une trentaine de milliards d'euros de déficits liés à la fonction publique. L'organisme se focalise en effet sur les régimes par répartition, et ne tient pas compte des retraites versées par l'État aux anciens fonctionnaires.

Lors de la publication de son premier rapport, en 2001, le COR a posé, par « convention », que les retraites versées par l'État sont toujours à l'équilibre au motif qu'elles sont financées par le budget. Les excédents prévus dans le budget initial du financement des retraites s’amenuisent au fur et à mesure des concessions accordées par Elisabeth BORNE. Quels crédits accorder aux chiffres présentés ? On peut donner raison à Winston CHURCHILL lorsqu’il annonçait : « Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées ! ».

Les dés sont pipés, et notre président répond au diktat de la finance : la réforme des retraites en France répond aux pressions de l’Europe, des marchés de capitaux et des entreprises du CAC 40 ! On peut en déduire que notre président fera de la retraite son cheval de bataille pour son dernier quinquennat. Pourquoi ne pas dire la vérité aux Français ? Pourquoi manipuler les informations statistiques, pour affirmer faussement, que si nous n’allongeons pas la durée du travail, notre retraite par répartition sera en faillite dès 2023 ? La réalité est plus simple et nous avons la capacité de comprendre !

 

 

Plus de 3 000 milliards de dettes : quel impact pour la réforme des retraites ?

 

Nous dépassons les 3 000 milliards de dettes pour un PIB de 2 800 milliards d’euros. Le fameux « ça coûtera ce que ça coûtera » a été très bien accepté par les citoyens mais n’est plus audible par les marchés et par l’Europe ! Les taux d’emprunts sont repassés positifs. François HOLLANDE et Emmanuel MACRON, lors du  premier quinquennat, ont largement profité des taux négatifs : plus je m’endette et plus je gagne…

Alors qu’au 01er janvier, on empruntait à 0,1 %, en 2023 nous devrons emprunter 270 milliards, mais au taux record de 2,71 %. Le poids des intérêts dans le budget représente le deuxième poste le plus important, après l’Education nationale avec 60,1 milliards) : soit 60 milliards. En fait, pour rembourser nos dettes et payer nos intérêts, nous devons emprunter…

Les prévisions concernant les taux d’intérêts que nous devrons subir en 2023, peuvent atteindre très rapidement les 3 %. L’Europe fait pression sur l’état français pour que l’âge de la retraite passe à 65 ans, les marchés financiers affirment que si nous augmentons la durée du travail, nous serons moins contraints sur les taux de nos emprunts. Les grandes entreprises du CAC 40 souhaitent ardemment passer la retraite à 65 ans, pour deux raisons. D’abord un chantage à l’investissement mais surtout, si la confiance des marchés est établie, les investisseurs internationaux apporteront des financements aux efforts de croissance.

Une augmentation des taux et une dette de plus en plus importante peuvent nous conduire à une faillite similaire à la Grèce ! Alors que faire ? Ce que le pouvoir ne souhaite pas avouer, c’est sa soumission aux diktats de l’Europe, des marchés de capitaux et des grandes entreprises. Il n’y à rien de honteux à reconnaître que notre survie passe par une retraite à 64 ou 65 ans, compte tenu de notre situation financière et budgétaire. Notre survie financière et budgétaire en dépend ! A nous de trouver les moyens de donner du travail aux seniors. De 62 à 64 ans, si rien ne bouge, ils seront au chômage ! L’emploi des seniors constitue le point nodal de toute réforme concernant les retraites.

Autres menaces concernant la réforme des retraites : Laurent FABIUS admet en coulisse que certains articles du projet de réforme pourraient être anticonstitutionnels. Le Conseil d’Etat, concernant le projet de loi de finance de la Sécurité Sociale (impacté par les retraites) a émis des réserves… Le projet de loi, dès son retour du Sénat, fera l’objet d’une demande au Conseil Constitutionnel si on croit le Parti Socialiste.

Dernièrement, députés et sénateurs ont refusé de renoncer à leur régime particulier de retraite. Parmi les sacro-saintes vertus quasi théologales, de notre République, nous trouvons la Liberté, l’Egalité et la Fraternité. La plus grande des trois est sans nul doute la Fraternité. Alors Mesdames et Messieurs les député(e)s et sénatrices/sénateurs, quand on veut assurer la promotion d’une valeur, il est préférable d’avoir un échantillon sur soi !

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Le choix est responsable. Il émane de manière consensuelle des élus siégeant au conseil municipal. Suite à leur dernière séance de travail cette semaine, ils ont pris la décision, dans un climat qualifié d’harmonieux par le premier d’entre eux Magloire SIOPATHIS, de ne pas accroître la fiscalité et de pénaliser ainsi les habitants cette année malgré un contexte conjoncturel particulièrement sensible…

 

APPOIGNY : C’est un ouf de soulagement que peuvent pousser depuis vingt-quatre heures les habitantes et habitants de la commune de l’Auxerrois. La fiscalité n’augmentera pas cette année même si les incertitudes inhérentes à la crise économique et énergétique planent au-dessus des têtes des élus de la collectivité et de leurs administrés.

Réuni jeudi soir, le Conseil municipal a donc tranché en son âme et conscience – et surtout dans un climat consensuel harmonieux – pour ne pas revoir à la hausse les taxes qui auraient pu interférer avec les orientations budgétaires 2023, examinées durant la séance.

 

 

Le maire, Magloire SIOPATHIS devait le rappeler durant son analyse de la situation – et malgré le contexte inflationniste qui perturbe l’environnement des collectivités -, « nous sommes en mesure de dégager un résultat plus que correct en 2022 ».

Conséquence immédiate, le choix de ne pas faire progresser les impôts lors de ce nouvel exercice s’imposait donc comme une évidence.

Une heureuse nouvelle accueillie avec satisfaction par le Conseil qui en  profitera ensuite pour célébrer comme il se devait le départ de l’ancienne directrice générale des services et l’assistante du maire, parties sous d’autres cieux professionnels.

 

Thierry BRET

 

 


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On la disait légèrement stressée, un peu soumise au trac avant qu’elle ne prenne la parole et officialise ainsi sa nouvelle fonction, celle de présidente du mouvement des « incubateurs citoyens », soit la Jeune Chambre Economique d’Auxerre. Force est de constater que l’oratrice d’un soir, Maud DUSSOL qui a succédé au président en chair, Jean-Baptiste HORTON, a produit une prestation de belle facture, lors de la passation de pouvoir, cérémonie orchestrée dans la parfaite des traditions…

 

MONETEAU : Elle est à l’aise dans ses baskets, la nouvelle présidente de la structure associative. Faisant démentir avec le plus bel effet celles et ceux de ses camarades qui avaient laissé courir le bruit – une blague de potache sympathique ! - quelques minutes avant qu’elle ne débute la cérémonie de passation de pouvoir que le trac l’a gagnait !

Certes, même si les membres de la JCE sont rompus à ce genre d’exercice, multipliant les colloques, séminaires, conférences et autres commissions tout au long de l’année – si, si, il existe aussi des ateliers de prise de parole en public, - il n’est jamais aisé de s’exprimer devant un parterre d’invités, lorsque l’interlocuteur devient l’astre diurne de la manifestation.

En l’occurrence, dans le cas présent, la nouvelle responsable d’une Jeune Chambre Economique auxerroise, située la saison dernière tout en haut de l’affiche comme le clamait un Charles AZNAVOUR au meilleur de sa forme et de sa plume avec « Je me voyais déjà » ! Une JCE sur le toit du monde, le temps d’une convention nationale épique et populaire – plus de six cents visiteurs – accueillie dans la capitale de l’Yonne…

 

 

Alors, c’est sûr, il en fallait davantage pour déstabiliser la manager de commerce exerçant ses activités professionnelles au sein de l’Agglomération de l’Auxerrois et vice-présidente de ce club en charge des actions – et dieu sait qu’il y en a qui ponctue le calendrier de cette entité ! - : Maud DUSSOL au pupitre, c’était un sans-faute assuré !

Impliquée, motivée, souriante, dynamique : la jeune femme a déroulé son laïus explicatif, mettant en exergue son bureau et annonçant la feuille de route à tenir au cours de ces prochains mois, sans que rien ne vienne la perturber d’un iota. La parfaite maîtrise de soi-même, en vérité !  

Mais qui a dit que la nouvelle capitaine de ce navire dont le cap est bien solide était sujette au stress ?! Une bonne blague, en résumé…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Heureuse initiative que celle-ci ! Elle concerne nos têtes blondes et se développe sur le versant méridional du territoire, accueilli chez « Radio Avallon ». Désormais, le secteur du périscolaire possède sa déclinaison radiophonique, vivement encouragée par la directrice d’antenne du média, l’infatigable Maria DA SILVA. Objectif : les enfants proposent selon leur propre sens analytique une relecture de l’actualité…

 

AVALLON : Le concept se nomme « Atelier Radio Junior » ! Un rendez-vous hebdomadaire qui s’est installé sur la grille de « Radio Avallon », tous les lundis – l’idéal pour bien entamer la nouvelle semaine ! – sur les temps périscolaires de la soirée. Volontaires pour vivre cette aventure radiophonique novatrice, les élèves participent à des ateliers d’initiation. Sous la férule de la journaliste et grande prêtresse de l’information locale, Maria DA SILVA qui les initie aux techniques particulières de ce média sonore, la radio étant l’un des plus prisés des Français.

Autant dire que l’émulation est bien présente chez ces jeunes pousses de l’information qui prennent part à ces ateliers reposant sur l’écoute collective du journal. Ceci induit moult échanges et explications, avec déjà du discernement !

Explication de texte fourni par Maria : « Les enfants doivent comprendre ce qu’est une émission radiophonique en repérant les différents sujets qui y sont traités, précise-t-elle, cela permet aux élèves de mieux comprendre la rédaction sur le choix des sujets et l'organisation de leur propre émission… ».

Pour se faire, à l’aide d’exercices concrets – tout cela est très sérieux au plan de la construction pédagogique -, les élèves doivent repérer des formules qui ont pour but de tenir en haleine l’auditeur (le buzz !) et de faire des transitions entre les sujets. La relève de Stéphane BERN ou de Julien COURBET est assuré, visiblement !

 

Des temps d’antenne et la construction technique d’un journal sonore…

 

Parmi les tâches à accomplir, la création d’un journal occupe les esprits. Avec la phase de montage, d’habillage, de choix de titres, de lancement, d’interviews, de brèves et de chroniques ! Bref, du sur mesure radiophonique adapté, jetant les bases saines des fondamentaux du journalisme, tout en recoupant les informations. Et comme ils doivent passer à l’antenne, ces jeunes néophytes travaillent aussi leurs intonations !

Ce sont les enfants eux-mêmes qui sélectionnent de façon collective à la manière d’une conférence de rédaction leurs sujets à traiter. Chacun se met dans la peau de son personnage. Un « Tintin » reporter en herbe !

Au terme de ces ateliers ludiques et éducatifs, les enfants intègrent le projet « Des sons animés », un concept porté par Radio Avallon. Il a pour objectif de proposer aux enfants des temps d’antenne radio afin de travailler l’éducation aux médias. Cela leur offre l’opportunité de devenir, le temps d’une saison, des animateurs de Radio Avallon en puissance. Et peut-être d’y prendre goût et de les inciter à choisir cette voie professionnelle ?

A l’aise, derrière le micro, prolixe et plutôt désinvolte, la nouvelle génération avallonnaise prend du plaisir à la découverte des richesses transmises par ces actualités qui font le monde.

Pour mieux l’appréhender, sans doute, et la bousculer avec son opinion et ses commentaires constructifs, sans pratiquer la politique de l’autruche dont bon nombre d’adultes d’aujourd’hui sont de fervents adeptes…

 

Thierry BRET

 


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