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Un communiqué émanant du bureau de l’antenne icaunaise du MoDem explique la franche poussée de fièvre que vit depuis quarante-huit heures le parti centriste à Auxerre. A quelques jours du premier tour des municipales, il traduit l’opposition, farouche, qui existe entre le président du mouvement des démocrates, Pascal HENRIAT, et certains membres de l’appareil exécutif. Avec en toile de fond, un mot qui revient en force tel un dénominateur commun : celui de la démission !

AUXERRE : Le ton monte au sein du Mouvement des Démocrates de l’Yonne. A une encablure du premier round officiel offert par les élections municipales le 15 mars, il semblerait que le ring où doit s’affronter par bulletins de vote les oppositions se soit déplacé ailleurs. Précisément au sein de la formation politique incarnée dans l’Hexagone par François BAYROU.

Il est clair qu’à la simple lecture du communiqué de presse adressé par le bureau du MoDem de l’Yonne dimanche en fin de journée aux rédactions, le torchon brûle entre le président de l’organe associatif politique, Pascal HENRIAT, et une frange contestataire de son bureau.

 

Exiger une nouvelle élection et choisir un autre président…

 

La raison est, on ne peut plus claire : ledit organe décisionnel ne peut plus cautionner la dérive de son président en chair. Ainsi, peut-on lire :

« Retrouver le président du MoDem Pascal HENRIAT dans une liste soutenue par Les Républicains, dirigé dans le département par Guillaume LARRIVE, sans l’accord de son bureau et voir maintenant que cette même liste où il est en troisième position est soutenue par Debout La France, le parti de Nicolas DUPONT-AIGNAN, n’est pas en adéquation avec les valeurs du mouvement démocrate… ».

Un peu plus loin, l’un des signataires de ce texte à charge contre Pascal HENRIAT précise que « les membres du bureau départemental n’ont jamais été concerté par la démarche prise par leur président ».

Et d’ajouter : « son refus de s’expliquer nous pousse aujourd’hui à demander officiellement la démission de Pascal HENRIAT qui bafoue la vision humaniste d’une Europe unie… ».

La conclusion de ce document n’offre pas d’autre alternative pour le bureau du parti en proie à une déchirure interne que de procéder à de nouvelles élections afin d’élire un nouveau représentant à sa tête, plus en accord avec les valeurs du mouvement.

Interrogé à la suite de la diffusion de ce texte via les réseaux sociaux, la réaction du premier intéressé ne s’est pas fait attendre !

Pascal HENRIAT, jamais avare de bons mots, dénonce la « fourberie » de certaines personnes du bureau alors que beaucoup de ses membres n’avaient pas été contactés au préalable par les instigateurs de ce courrier.

Rappelant qu’il avait été nommé chef de file du MoDem pour Auxerre pour discuter et négocier avec les candidats en lice aux municipales, Pascal HENRIAT avait fait le choix en janvier dernier de rejoindre la liste d’ouverture portée par Crescent MARAULT. Avec l’absolution de son président national : François BAYROU.

 

 

 

Une situation complexe dans bon nombre de villes en France…

 

Puis, ciblant volontiers Laurent DEVELLE (ce dernier est l’un des colistiers de la liste conduite par Guy FEREZ « Un Nouvel équilibre »), le leader départemental du MoDem précise de son côté qu’il n’avait été informé de ce choix.

Il est vrai que les orientations stratégiques du MoDem, d’une ville à l’autre dans l’Hexagone, ne sont pas régies sous le sceau de l’uniformisation et l’harmonie.

Et Pascal HENRIAT d’énumérer le soutien du parti centriste au maire sortant de Bordeaux qui est LR, voire celui de la même obédience idéologique du Touquet qui se bat contre les candidats de La République en Marche. Dans le fief d’Emmanuel MACRON, paradoxe !

Bref, difficile de s’y retrouver dans ce kaléidoscope nébuleux sur les choix politiques et stratégiques !

« Parlons du député Guillaume LARRIVE, ajoute un Pascal HENRIAT détendu, ce dernier qui est membre du bureau politique des Républicains apporte son soutien aux maires de Nice et de Toulouse alors que ces derniers sont investis pat LREM ! Or, je n’ai pas entendu Laurent DEVELLE protester contre ces investitures aux candidats soutenus au plan national par l’élu de l’Yonne. Existerait-il deux poids, deux mesures ?! ».

Le mot démission revient sous le feu des projecteurs. Pascal HENRIAT a lui-même demandé, il y a un mois, le retrait de Laurent DEVELLE pour cause de double appartenance anormale.

« Ce monsieur cumule des responsabilités importantes au sein du MoDem et de La République en Marche dont il est coordonnateur pour Auxerre, alors que cela est formellement interdit… ».

Serein face à ce qu’il qualifie d’un « peu d’affolement » dans le camp de Laurent DEVELLE, le chef de file du Modem n’accorde que peu de crédits à ces « petites manœuvres politiques » visant à le déstabiliser.

« Vous savez, conclut-il, dimanche prochain, les électeurs voteront en leur âme et conscience pour une liste d’ouverture du centre droit ou une liste LREM/PS menée par Guy FEREZ et ses dix-neuf années de mandature en tant que maire… C’est cela le plus important à mes yeux, pas les gesticulations de Laurent DEVELLE à qui on fait jouer le rôle du petit toutou charger de mordiller les mollets ! ».

Quoi qu’il en soit, la cohésion au sein du MoDem départemental méritera que l’on s’y intéresse de plus près après ces élections…

 

 


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L’opus trône en plusieurs exemplaires sur la grande table qui accueillera d’ici peu la réunion. Sur sa couverture, se présente le visage tout sourire du candidat quadragénaire à la ville d’Auxerre. En arrière-plan : une Tour de l’Horloge à la vision symbolique. Le contenu, élaboré en vingt-quatre pages, déroule une multitude d’informations illustrées selon un sens graphique moderne et aéré. La double page centrale ne manque pas de focaliser les esprits. Y sont répertoriés les trente-neuf membres de l’équipe avec leurs portraits. Une iconographie originale, qui casse les codes photographiques habituels, à l’instar de ce programme ?

AUXERRE : « Soyons fiers d’Auxerre ». Fruit d’un travail de près de vingt-quatre mois de réflexions, la feuille de route du candidat rassembleur de la droite et du centre Crescent MARAULT se dévoile sous la forme d’un document à l’esthétisme plutôt abouti.

Ce livret récapitulatif des orientations stratégiques du principal opposant à l’édile en place a pour vocation d’être copieusement diffusé. Cela sera chose effective dès vendredi.

Au-delà de sa calligraphie et de l’abondance de photographies qui le parsème, l’auxiliaire en papier glacé n’a d’autre vocation que d’étayer la ligne d’horizon à six ans du prétendant au poste suprême.  

L’éditorial signé de la plume du candidat pose les jalons de sa politique sans vergogne. Et caractérise ses principales ambitions : sortir la capitale de l’Yonne du long marasme qui l’habite depuis si longtemps, selon ses écrits. Soit le renfort de la paupérisation, la perte de plusieurs milliers de ses résidents et le déclin de sa force économique.

« Dix-neuf ans à la gouvernance, c’est beaucoup trop long, plaisante presque innocemment un Pascal HENRIAT en grande verve et qui affichera sa constance orale tout au long de cet exercice si particulier que représente une conférence de presse.    

Pas de doute, la cible ouverte de ces énumérations alarmistes se personnifie clairement en un Guy FEREZ, édile aux trois mandats, aux manettes depuis le 25 mars 2001.

Pour écrire une nouvelle page de l’histoire d’Auxerre, il n’existe qu’une seule opportunité, dixit le candidat chalenger : porter sur le piédestal électoraliste une équipe novatrice, faite de compétences et possédant une véritable vision d’avenir. D’ailleurs, au plan de la sémantique, il n’est pas opportun d’employer le mot « liste » dans le sérail. Mais plutôt le terme « ambassadeur », louable, puisqu’il désigne celles et ceux qui se sont investis au fil des mois pour collecter les informations et insuffler la dynamique requise à ce groupe.

 

 

Un programme d’actions articulé en six actes…

 

Le programme se séquence en différents actes. Comme une scénographie théâtrale qui serait déjà bien huilée : économie, environnement, mobilité, aménagement, sécurité, bien-vivre ensemble…

Six actes pour convaincre avant que ne tombe le rideau de la générale au soir du 15 mars.

Cœur de ville, contournement sud de la ville, mobilité intelligente, transports urbains répondant aux réelles aspirations des utilisateurs : le mot d’ordre dans la bouche de Crescent MARAULT se nomme la transversalité.

« Huit millions d’euros sont dépensés pour le coût de fonctionnement du transport urbain aujourd’hui alors que celui-ci n’apporte pas la diversité nécessaire à celles et à ceux qui travaillent au quotidien, lâche le candidat, il nous faut une vision globale aux projets à décliner, une capacité d’anticipation qui doit être propre à l’élu qui exerce la gouvernance de la ville… ».

Ce qui ne serait pas, visiblement, le cas aujourd’hui d’après lui.

« Comment peut-on croire que la construction d’un nouveau parking, situé dans l’hyper centre, peut à lui seul sauver du mauvais pas notre centre-ville, s’interroge le challenger à l’élection, revisiter la gouvernance de notre agglomération s’impose comme une évidence aujourd’hui : elle doit être plus collective et conçue avec davantage de concertation… ».

Autre volet de préoccupation : la sécurité. Devant la prolifération des actes d’incivilités, Crescent MARAULT veut répondre par une hausse des moyens. Y compris humains. Mais, recruter des policiers municipaux supplémentaires semble être une sinécure : faute de candidats intéressés manifestement par la fonction !

Pascal HENRIAT livrer ensuite son analyse pertinente de la situation financière d’une collectivité qui s’est néanmoins désendettée depuis 2014. Malgré la perte d’une coquette enveloppe de dotations, évaluée à 9,6 millions d’euros.

« C’est vrai, observe l’actuel adjoint en charge des finances de la mandature FEREZ, la barre a été redressée de manière significative en 2015. Mais, il aura fallu, et j’en suis navré, accroître les impôts de 8 % dès l’année suivante pour y parvenir : il n’y avait pas d’autres alternatives… ».

 

 

Défendre les intérêts d’Auxerre en haut lieu grâce à un VRP…

 

Avec une épargne brute estimée à 2,3 millions d’euros et sept millions de désendettement, la situation d’Auxerre s’est quelque peu assainie.

« Il ne faudrait pas que la chaudière nous lâche de manière subite en cours de route, lance à la cantonade la figure emblématique du MoDem de l’Yonne, nos dépenses annuelles ne devront pas excéder dix millions d’euros. Cela va nous permettre d’investir de manière raisonnée sans dépasser nos objectifs… ».

Alors quand l’élu du Département évoque la nature des promesses faites par Guy FEREZ, son sang ne fait qu’un tour : il prophétise que le bas de laine actuel ne le permettra pas.

« La plupart des projets annoncés par le maire sortant ne sont pas budgétés : on peut les évaluer à environ cent millions d’euros. Autant dire que si ce programme venait à être appliqué, nous irions droit dans le mur ! ».

Sans réel levier fiscal pour glaner des fonds, les élus d’Auxerre n’auraient alors qu’une seule carte à jouer pour doper leurs projets : frapper aux bonnes portes pour en trouver !

A commencer par celles des ministères et de la Région Bourgogne Franche-Comté, qui sont restées trop longtemps hermétiques, voire ignorées par l’équipe en place.

« Ce qu’il nous manque pour dynamiser la ville, ajoute Pascal HENRIAT, c’est un VRP pour défendre nos valeurs et intérêts au niveau national : je veux bien endosser ce rôle ! ».

Les parlementaires deviendraient alors, et dans l’hypothèse de cette future mandature, des points relais névralgiques sur lesquels il serait de bon aloi de s’appuyer.

 

 

« Dans le seul souci de préserver les intérêts de notre ville et de son agglomération, complète Crescent MARAULT, ce sont ces personnes qui possèdent les clés des ministères et des administrations… ».

Cap vers Paris et l’Ile-de-France, donc pour les acteurs d’Auxerre au Cœur, qui souhaitent que la 157ème ville de France sorte enfin de l’ornière de l’indifférence dans laquelle elle se trouve depuis des lustres.

Un challenge pas si simple à relever, en vérité. D’autant qu’Orléans, Troyes, Reims, voire Dijon, ne nous ont pas attendues et font déjà figure de sérieux concurrents (voire de précurseurs) sur cette voie.

Qu’à cela ne tienne, de gros efforts de communication, bien ciblés, verront le jour en cas de scrutin positif. A destination des actifs, des entreprises et du secteur touristique.

Et Crescent MARAULT d’ajouter en guise de conclusion : « Si vous êtes élu à la tête d’une telle collectivité, il est fondamental de se montrer déterminé à vouloir appliquer les solutions les plus favorables à votre commune. Or, je ne ressens pas cette force chez nos élus actuels… ».

Un ultime tacle adressé à ses adversaires avant qu’il ne laisse la parole à quelques-uns de ses colistiers (pardon, « équipiers » !) devant expliciter leurs motivations profondes, justifiant ainsi leur ralliement au chef de file de la droite et du centre.

 

 


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Il aura su ménager le suspense presque jusqu’au bout en ne distillant que peu d’informations. A quarante-huit heures du terme des inscriptions officielles des listes électorales qui seront répertoriées par les services de la préfecture. Un choix tactique, dûment réfléchi. Se situant aux antipodes de ce que d’autres des prétendants au fauteuil de maire ont pu faire jusque-là. Le candidat de la droite et du centre droit n’a donc pas dérogé d’un iota la ligne de conduite qu’il s’était fixée dès le premier jour. Mais, cette fois-ci, présentation des colistiers et du programme qui l’accompagne ce mardi 25 février à 11h30…

AUXERRE : Le communiqué de presse se présente sous sa forme la plus minimaliste qu’il soit. Contenant toutefois l’essentiel des informations : à savoir le rendez-vous que donne le candidat de la droite et du centre aux élections municipales d’Auxerre aux représentants de la presse.

C’est in fine la date du mardi 25 février qui a été retenue par la coordinatrice de campagne, Ambre FANNY-MAUGERY, pour cet exercice oratoire devant se dérouler à la permanence de campagne du candidat.

Crescent MARAULT y dévoilera dans les moindres détails le programme devant être décliné lors de la prochaine mandature de six ans  à Auxerre s’il obtenait le maximum de suffrages au soir du 22 mars.

La prise de parole ne se limitera pas à la seule présentation de cette feuille de route dont on peut supposer qu’elle s’articulera autour d’axes prioritaires comme l’économie, l’environnement, la transition écologique, la sécurité, la gouvernance ou le bien-vivre ensemble.

Le chef de file du concept « Auxerre au Cœur » profitera de ce temps de rencontre médiatique pour révéler le nom et le rôle de ses partenaires politiques qui constituent l’ossature de sa liste.

 


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Un premier écueil vient d’être franchi par la candidate d’Europe Ecologie Les Verts qui rêve de se parer de l’écharpe tricolore d’édile d’Auxerre au soir du 22 mars. Sa liste est définitivement bouclée. Sans que la jeune trentenaire n’ait eu à éprouver la moindre inquiétude quant à l’issue de cette simple formalité. Il lui aura juste fallu laisser un peu de temps au temps comme le dit si bien la formule mitterrandienne. Avec ses quarante colistiers, la tête de liste « verte » décline un menu éclectique où prédominent des axes majeurs articulés autour de trente propositions. Garantes d’un renouveau pour Auxerre ?

AUXERRE : S’inspire-t-elle de l’œuvre maîtresse d’Igor STRAVINSKY, si déconcertante et tant critiquée dès sa représentation initiale en 1913, pour avancer pas-à-pas sur le chemin qui pourrait la mener vers la consécration ultime ?

Force est de constater que la chef de file EELV, Maud NAVARRE, soutenue par Génération Ecologie, n’a qu’une seule idée en tête en faisant acte de candidature dans la capitale de l’Yonne face à Guy FEREZ : la rupture profonde avec l’ancien système et son maire qui concoure au succès d’un quatrième mandat consécutif.

Une rupture à l’instar du fameux ballet musical avec lequel le compositeur russe cassa symboliquement les codes de la créativité instrumentale. Faisant pousser des cris d’orfraies à tous les puristes de l’art lyrique de l’époque !

Il n’est pas certain, par ailleurs, que les coreligionnaires de la journaliste de 34 ans, adjointe en charge des transports, de la mobilité et des déplacements doux dans l’actuelle mandature, aient envisagé avec son approbation l’appellation de sa liste (« Les Printemps pour Auxerre ») sous cet angle pour mélomanes avertis. Qu’importe !

Côté sémantique, chacun aura compris que ces « Printemps » symbolisent dans leur traduction liminaire la phase de renouvellement, de reprise d’activité, de sang neuf, d’allongement des jours meilleurs, bref : un aller simple vers le grand beau où le ciel azuréen auréolera l’ensemble des Auxerrois.

Comment, me direz-vous ? Par la scrupuleuse application de ce pensum qui fait aujourd’hui office de feuille de route et qui vient étayer les propositions éclectiques de la jeune femme.

 

Un pentagramme d’orientations finement ciselées…

 

Alors, ce catalogue printanier qui nourrit cette jeune équipe dont la plupart de ses composantes n’a encore jamais goûté à l’âpreté d’une campagne sur le terrain ni à ses moments de folles espérance à la veille du scrutin. Quelles en sont ses lignes maîtresses ?

Cinq axes qui in fine représentent une évidence. La santé, l’économie, l’éducation, la sécurité et, le contraire aurait surpris, l’écologie.

Lors de sa récente conférence de presse, où elle était accompagnée de sa « garde prétorienne » (la douzaine de colistiers qui peuvent prétendre obtenir un poste d’adjoints en cas de succès), Maud NAVARRE s’est inspirée de l’inventaire à la Prévert pour en expliciter le contenu. Certes, pas dans ses moindres détails, mais avec suffisamment de précisions, appuyées d’exemples, pour que l’on comprenne le sens profond de sa stratégie politique.

Ainsi, le volet sanitaire s’inscrit parmi ces sujets dont il faudra tôt ou tard trouver des solutions pérennes. Créer un centre dentaire en y embauchant des praticiens salariés cohabite parmi les suggestions avancées avec l’incitation à l’accueil de nouveaux généralistes sur le territoire.

La tenue d’Etats généraux de la santé, avec les milieux publics et privés, serait l’émergence de pistes à approfondir par la suite. Quant à la préservation de la qualité de l’eau et celle de l’air : pas de doute, cela répond aux exigences de la candidate pour renforcer le bien-être de ses futurs administrés. Dans les faits, cela se traduit par l’accélération du projet de contournement de la zone Sud de la ville, l’investissement dans les transports collectifs et le développement des déplacements vertueux (cycles).

 

 

 

 

Rendre le territoire autonome : une obligation économique…

 

Pour celles et ceux qui pourraient en douter (si, si, il y en a toujours dans le microcosme !), l’économie figure en bonne et due  place dans ce copieux programme. Toutefois, elle se verdit en proposant la lutte contre les gaspillages, l’intensification des circuits courts ou la valorisation de produits Made in Yonne.

L’aide à l’installation au commerce bénéficierait, cerise biologique sur le gâteau, d’un fonds d’investissement solidaire alimenté par des subsides publics et privés.

L’un des items plutôt insolites serait la création du concept Auxerre Plage, un petit ensemble touristique destiné à accueillir des bungalows écologiques le long de l’Yonne !

L’emploi et la formation complètent ce chapitre, à ne négliger sous aucun prétexte.

Parmi les idées fortes du volet éducatif (il englobe aussi la culture et les sports), « Les Printemps pour Auxerre » priorisent l’accessibilité à tous. Sachant que la qualité d’accueil des structures ouvertes à la petite enfance, l’enfance et à la jeunesse verrait son optimisation se multiplier.

Une nouvelle crèche associative d’une capacité d’une vingtaine de places favoriserait le désengorgement et la réduction des délais d’accueil. Une vraie sinécure pour les jeunes parents qui ne savent plus à quels saints se vouer dans leur quotidien.

Les ados profiteraient dans chaque équipement de quartier d’espaces leur permettant de se distraire ; concept qui pourrait être déclinable dans les immeubles gérés par l’Office Auxerrois de l’Habitat. Autre trouvaille : la création d’un « PASS AUXERRE » faciliterait l’accès à la culture et au milieu sportif. 

 

 

 

Un credo sécuritaire : anticiper, prévenir, éviter les délits…

 

Lutter contre l’insécurité passe notamment par la restauration de liens apaisés et républicains entre la police et les citoyens. Aussi, Maud NAVARRE n’hésite pas dans son programme à augmenter les effectifs de la police municipale tout en élargissant leurs plages horaires de présence. Des sept agents déployés d’ordinaire, l’effectif augmenterait à une vingtaine d’unités.

Mais, attention, dans ce schéma, le mot répression est à proscrire. La sécurité des Auxerrois s’effectuerait dans le cadre d’une démarche humaine et pédagogue, ouvertement concrétisée par l’écoute et le dialogue.

Une nouvelle fois, les services de l’Office Auxerrois de l’Habitat seraient sollicités (après l’espace pour ados), charge à eux de réinstaller des concierges dans leurs loges afin de gérer les incivilités entre voisins et humaniser les quartiers.

Enfin, une maison de la tranquillité destinée à l’accueil de femmes victimes de violence ou de discrimination répondrait aux situations d’urgence en cas de maltraitance.

Reste le volet écologique (le nerf de la guerre de toute liste verte qui se respecte), l’idée majeure est d’engager le territoire vers la transition écologique qui améliore la qualité de vie des citoyens.

Qualifiée « d’humaine mais pas d’urbaine » par Maud NAVARRE elle-même, cette écologie fait abstraction de tout dogmatisme et d’aspects punitifs un peu trop usités par le passé par les gouvernements pour ne s’intéresser qu’à l’essence même du concept : le citoyen.

Identification de zones énergétiques (éolien, photovoltaïque avec projets participatifs menés auprès d’entreprises…), gestion des déchets et de leur tri, végétalisation du cœur de ville… : autant de possibilités hétéroclites qui permettraient à cette gouvernance, si elle était choisie au sortir des urnes, d’obtenir le précieux label « Cit’ergie », gage de l’engagement de la collectivité dans le développement durable.

Il ne reste plus désormais qu’au chef d’orchestre, Maud NAVARRE, munie de sa partition printanière qui pourrait accréditer son « Sacre » en cas de réussite, de la jouer avec ses quarante instrumentistes auprès du plus grand nombre.

En espérant, pour elle, que les Auxerrois perçoivent la note Bleue, celle qui est absolue, de la douce musique de l’écologie rayonnante !

 

 


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Le projet soutenu par le syndicat de l’immobilier national aurait-il du plomb dans l’aile après la décision prise par son président Jean-Marc TORROLLION de le suspendre contre toute attente ? Une réunion de travail à l’initiative de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a permis d’effectuer un point précis autour de la faisabilité de ce projet. Une étude approfondie de son impact pourrait aider à sa continuité selon le dirigeant de la FNAIM qui reste néanmoins convaincu de son opportunité…

PARIS : Est-ce un retrait définitif ? Une nette reculade ? Un renoncement mûri et réfléchi ? A la lecture du communiqué de presse transmis par la puissante fédération nationale de l’immobilier (FNAIM), rien de tout cela, en vérité.

La décision de suspendre la création du fichier des incidents de paiements locatifs qui avait provoqué quelques remous il y a peu ressemble plus à un ajournement plutôt qu’à une fin de non-recevoir nette et définitive.

L’explication de Jean-Marc TORROLLION, président de l’institution nationale, est donnée sans l’once d’une ambiguïté : « En l’état des conditions techniques actuelles, nous ne pouvons créer un fichier des impayés locatifs… ».

Du temps sera donc nécessaire. Avant que ne soit programmée la probable mise en exergue de ce système, fait avec professionnalisme et exigence selon le responsable de la FNAIM.

Il aura fallu cette rencontre avec les membres de la CNIL pour accoucher de ce choix qui aura surpris les observateurs. Toutefois, la FNAIM d’ajouter que « son intention a toujours été d’agir dans le strict respect des normes en vigueur (aucun obstacle juridique ne s’y oppose en réalité) au bénéfice d’une plus grande confiance entre propriétaires et locataires, indispensable pour améliorer la fluidité du marché locatif et lutter contre la vacance… ».

 

 

Ce fichier, décrié par les associations de défense des locataires, n’a pas pour objectif de répertorier les accidents de la vie mais de circonscrire le risque de non-solvabilité pour les propriétaires.

La FNAIM justifie sa création pour préserver les garanties des bailleurs qui n’ont cessé depuis vingt ans de voir amoindrir leurs intérêts : dépôt de garantie divisé par deux, suppression du cumul Garantie loyer impayé/cautionnement personnel, abandon de la clause pénale forfaitaire, rallongement des délais de procédure…

Jean-Marc TORROLLION conclut son message à la presse par un rectificatif, un démenti qui exclut tout engagement de la part de la FNAIM d’être liée avec une société spécialisée dans le traitement des données (ARTHEL) ni de posséder de quelconque lien capitalistique et juridique dans ce projet.

Bref : ceci étant précisé, le temps de la concertation commence à la FNAIM, ouverte à tout type de solutions permettant de rétablir la confiance entre propriétaires et locataires…

 

 

 


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