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Dès le premier regard jeté sur le petit cadre de plexiglass, contenant son portrait posé sur le mur de l’amphithéâtre communautaire, c’est le sourire éclatant, plein de joie et empli de vie qui saute aux yeux. Celui d’une femme agréable, à l’allure soignée, respirant le dynamisme, épanouie dans son rôle d’édile de Sens et de présidente de la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais. Une femme en parfaite maîtrise de ses moyens, sûre de son fait mais malgré tout, figée ici pour l’éternité. Une grande dame de la politique régionale au caractère parfois bien trempé, Marie-Louise FORT. Un personnage public qui « siègera » désormais de façon intemporelle parmi les élus de la communauté…pour mieux les inspirer et les guider ?

 

SENS: Bien sûr que chacune et chacun aura ressenti sa présence en ces lieux qu’elle avait inaugurée il y a quelques années en arrière. Même éthérée et évanescente, parmi l’assistance. Il ne pouvait en être autrement, d’ailleurs vis-à-vis de ce vibrant hommage rendu à l’une des grandes absentes physiques de ce rendez-vous.

Tour à tour, les interlocuteurs se succédant au pupitre du nouvel hémicycle communautaire en feront même mention dans leurs propos chargés en émotivité. Comme si, intérieurement, ils le désiraient de tout leur cœur. Et si elle apparaissait vraiment devant eux, le sourire aux lèvres et le mot de courtoisie l’accompagnant ?

Marc BOTIN, tout d’abord, son successeur à la présidence du Grand Sénonais, avec une once de fébrilité dans la voix lors de son discours.

Puis, Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, qui pour rien au monde n’aurait voulu manquer ce déplacement capital dans la grande ville de l’Yonne septentrionale pour saluer la mémoire de celle avec qui il chicanait de temps à autre dans ce jeu politique qui n’est pas sans amitiés !

Wassim KAMEL, enfin, ce nouveau sous-préfet de l’arrondissement sénonais, dont les paroles, prononcées à chacune de ses interventions publiques, sont empreintes de sagesse, d’humanisme et de profonde sérénité. Un représentant de l’Etat à même d’être en phase directe avec les citoyens…

Une fois le voile tombé, de la stèle commémorative posée là sur le mur à hauteur de regard près de la sortie de l’amphithéâtre, on ne peut être frappé que par cette vitalité que dégageait l’aura de cette femme, totalement investie à ses missions d’élue. Marie-Louise FORT ! Comme elle portait si bien son patronyme même si elle nous a quittés trop vite, trop tôt…à cause de trop d’investissements de sa personne à vouloir résoudre les problématiques des autres, peut-être ?

 

 

 

On nomme cela l’altruisme, la solidarité, la générosité, l’implication, la rigueur, le perfectionnisme…, le sens du devoir et du service.

S’attarder un instant sur cette plaque de plexiglass où figure un joli portrait tout sourire de la disparue, permet d’y découvrir le vadémécum succinct de cette dernière, mais aussi d’y lire une petite phrase, attribuée à Madame ROLAND en 1864, qui résumerait presque, pour celles et ceux qui la connaissaient bien, ce singulier personnage de la politique régionale inoubliable et dorénavant immortelle. « Le sentiment est mon guide. Puisse-t-il me tenir lieu d’esprit et de talent !… ».

Tout est dit ou presque en ces quelques mots limpides et clairvoyants. Sans doute, Dominique, son époux, et sa fille, Mathilde, auront reconnu l’un des leitmotivs préférés de leur proche parente dont on évoquera la mémoire en ces instants.

Une Marie-Louise FORT « panthéonisée » à sa manière dans le saint des saints de ce que représente la vie politique et publique du Sénonais : ce fameux amphithéâtre, siège des assemblées communautaires, où désormais son éternel sourire de lumière éclairera les travaux…

 

Thierry BRET

 

 


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Le sentiment du devoir accompli. D’avoir réalisé les choses en son âme et conscience, dans l’intérêt et au service de tous. En particulier, cette population éloignée des soins, ces personnes précaires qui ne peuvent même plus se permettre de consulter le moindre généraliste, faute d’argent. Incontournable figure praticienne du CES (le fameux Centre d’Examens de Santé de l’Yonne, structure gérée par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie), le docteur Saïd BROUCHE tire sa révérence. Un au-revoir mais pas un adieu à la générosité, l’altruisme, la prévention…et les projets.

 

AUXERRE : Etonnamment, le responsable du Centre d’Examens de Santé de l’Yonne n’a pas revêtu sa fidèle blouse blanche, en ce vendredi matin, premier jour de l’hiver. Pourtant, fidèle au poste, il a bien débuté sa énième journée de travail en recevant dans son grand bureau, une patiente. Perfectionniste et humain jusqu’au bout des ongles, Saïd BROUCHE reste avant toute chose un médecin attentionné. Lui qui jadis a obtenu ses diplômes médicaux dans des disciplines thérapeutiques qui se complètent comme la gériatrie et la pneumologie, il demeure égal à lui-même. Un homme simple, accessible, agréable et rassurant, qui aime être utile à son prochain, respectueux du serment d’Hippocrate qu’il a prêté en 1978 en qualité de jeune médecin. Son credo : mieux vaut prévenir que guérir ! Son leitmotiv : faire le bien autour de lui en accueillant parmi ses services les défavorisés de la vie, les oubliés de l’existence, les paumés du quotidien…Même si l’ensemble de la patientèle compte énormément pour lui.

Calme, posé, détendu, silhouette de gentleman-farmer avec son pull à col roulé sombre, le docteur Saïd BROUCHE irradie la pièce où il m’accueille d’une légèreté intellectuelle très subtile. C’est un rendez-vous express, prit sur le pouce, et qu’il m’accorde malgré la journée symbolique qui se présente à lui ce vendredi 22 décembre : son départ à la retraite. On ose à peine y croire !

 

41 années dans la filière médicale : de l’expérience à revendre !

 

Lui qui incarne de par sa présence, son style de management paternaliste avec ses équipes – près de vingt-cinq personnes essentiellement féminines -, son sens relationnel aiguisé avec la patientèle qui défile par petites grappes dans les locaux avant d’entreprendre le fameux parcours de soins prévu sur une matinée, le Centre d’Examens.

41 années d’exercice dans la filière médicale, ça parle ! Dont une présence connue et reconnue au sein de ce centre d’examens, si particulier, un outil très précieux à l’estampille de la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie) où tous les assurés sociaux ont droit de visite et de découverte. Responsable de cet endroit, le docteur auxerrois a pu mettre en place bien des aventures structurées et autant de projets judicieux durant toutes ces années. De l’accompagnement de l’informatisation de ce lieu aux différentes conventions paraphées avec une cinquantaine de structures départementales partenaires, rien ne sera laissé au hasard, dans le fruit de cette stratégie.

 

 

L’une de ses plus belles réussites – il le révèle lors de la discussion – l’existence des unités mobiles facilitant la prévention et l’orientation vers les solutions thérapeutiques à distance : Avallon, Sens, Tonnerre, trois villes qui en bénéficient.

L’un de ses gros challenges qu’il aura eu à aborder : l’adaptabilité du CES à assurer la gestion de la crise sanitaire imputable à la COVID et aux différentes vagues successives de la pandémie. Une réactivité qui s’appliquera sur le terrain via les campagnes de vaccination, de dépistage, de traçabilité…

Mais, ayant ce sens de la perfection aigüe, Saïd BROUCHE reconnaît aussi avoir eu à subir des revers durant sa carrière, lui procurant des regrets.

« Nous n’avons jamais pu développer l’unité mobile du CES sur le secteur de la Puisaye-Forterre, concède-t-il, le regard un peu plus sombre. A l’instar de la mise en place d’un centre de vaccination dans la Nièvre… ».

 

 

Un binôme 100 % féminin pour commencer 2024

 

A contrario, le visage de notre interlocuteur s’épanouit à l’évocation des innombrables campagnes de sensibilisation, mises en place par le Centre d’Examens de Santé, en direction des populations désireuses d’en connaître davantage et de se prémunir contre les risques des cancers, en particulier celui du sein et du colon, par le biais des dépistages. Des campagnes qui concernent aussi les maladies cardio-vasculaires et le diabète.

« Je suis fier de tout ce que nous avons entrepris, souligne-t-il avec humilité, et je n’oublie pas d’y associer l’ensemble de l’équipe... ».

Une équipe qui habillée pour certaines personnes avec des parures de Noël accueillait les premiers patients se rendant sur place, vendredi matin.

Membre créateur de l’association TABAGIR aux côtés d’une autre figure de la profession médicale icaunaise (le docteur Serge TCHERAKIAN), Saïd BROUCHE n’a pas encore réfléchi à la suite, souhaitant profiter pleinement de son nouveau statut de retraité, valable au 31 décembre.

Toutefois, le médecin qui veut être utile à la société possède plusieurs pistes de réflexion ; elles sont même multiples d’après lui !

« Toujours est-il, affirme-t-il, je resterai en lien avec des projets autour des personnes âgées et des personnes en précarité… ».

Et si, glissera l’une de ses collaboratrices, prénommée Mélanie, un peu émue par ce départ, le docteur Saïd BROUCHE nous revenait de temps à autre au CES pour y apporter sa bonne humeur ? Une chose s’avère évidente : c’est bel et bien le docteur Estelle HINCELIN qui prendra le gouvernail de ce vaisseau amiral de la CPAM pour naviguer sur les mers de la prévention, du dépistage, de l’orientation et du suivi des soins en 2024. La nouvelle « capitaine » sera soutenue dans cette aventure par la directrice adjointe de la CPAM, Christelle ROUTIER. Un joli binôme, 100 % féminin, pour augurer des belles perspectives 2024…

 

Thierry BRET

 


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Pas si simple de se faire entendre de cent vingt personnes, adeptes de la convivialité. Impatientes de se sustenter après un interminable apéritif, pris à l’extérieur de l’enceinte chauffée du stade, qui les accueillera pour y déguster le repas de fin d’année ! On se retrouve, on y discute, on plaisante, on se fait la bise, on en profite pour échanger quelques cartes de visite tout en s’intéressant comme il se doit à la future journée de championnat de Fédérale 2. Président du RCA, David PARIZOT a fait de ces retrouvailles partenariales annuelles un moment de liesse, tout en délivrant quelques messages forts sur le rôle des soutiens financiers…

 

AUXERRE : Le brouhaha de l’assistance persiste un long moment avant que le président du Rugby Club Auxerrois ne puisse ouvrir la bouche et prononcer les quelques mots de bienvenue usuels. Il y a foule dans l’immense pièce faisant office de salle de réception. Celle qui domine le stade où la vue sur le terrain et les panneaux des partenaires est saisissante. Les partenaires ? Justement, ces retrouvailles chaleureuses autour de ces grandes tablées à l’ambiance si animée sont synonymes de leur présence. Un rituel quasi immuable depuis que les dirigeants du club évoluant en Fédérale 2 ont démultiplié leurs tissus relationnels liens avec les réseaux des entrepreneurs locaux.

D’ailleurs, David PARIZOT, président de la structure et lui-même dirigeant d’entreprise, la société OXO 89, est formel à cette interrogation inopinée : « sans les partenaires, privés ou publics, le club ne survivrait pas ! ».

Des paroles emplies de bon sens, en vérité. Chacun le sait bien, au-delà du sportif, de l’administratif, de la logistique, un club quel que soit la discipline sportive doit pouvoir se reposer sur des soutiens financiers fiables. Ceux des sponsors, des mécènes,… des vrais partenaires en bout de course.

 

 

Monter en Fédérale 2 est une chose, y rester en est une autre !

 

D’autant que le RCA a évolué au niveau de son parcours compétitif cette année, en gravissant un échelon supplémentaire ; d’où l’impérieuse nécessité de gagner de nouveaux partenaires à ajouter à son escarcelle. Une vie financière scrutée en permanence par les autorités supérieures du rugby, puisque la FFR surveille à raison de deux à trois contrôles annuels l’état de santé des clubs qui évoluent en Fédérale 2, au même titre que ceux fréquentant l’élite.

L’accession en Fédérale 2 aura été très positive pour le RCA. Tant au niveau sportif avec l’apport de nouvelles recrues expérimentées qu’au niveau des partenaires, beaucoup plus nombreux cette saison.

« Nous avons la chance de proposer une vision stratégique à nos partenaires, souligne David PARIZOT, ils ont envie de soutenir un club qui joue la gagne et qui avance… ».

Depuis 2019, date de son arrivée à la présidence du club auxerrois, David PARIZOT n’a pas changé d’un iota son discours : « j’ai toujours dit que l’objectif de la Fédérale 2 n’est pas un objectif clairement écrit ; par contre, le vrai objectif était de réunir et de cocher toutes les cases dans l’environnement du fonctionnement du club pour augmenter les chances de l’accession en Fédérale 2. Y monter est une chose, y rester en est une autre ! Maintenant, l’objectif avoué, c’est le maintien. On est dans une deuxième étape en préparant le club à long terme dans ce maintien. Concrètement, la partie financière doit être solide, sur trois à cinq ans, il nous faut un fil conducteur qui soit différent de la monter et de la structuration du club… ».

Cette fête de fin d’année était attendue par ces cent vingt personnes, membres du Club 15. Une structure bien assise aujourd’hui qui se retrouve de deux à trois fois dans la saison afin de prendre le temps de faire connaissance entre partenaires, ce que ne permettent pas des rendez-vous sportifs vécus avec émotion au bord du terrain.

Un Club 15 qui offre un supplément d’âme généreux sous la forme de cohésion et de camaraderie. A l’instar d’une véritable équipe. Bref, c’est le prolongement naturel de la grande famille du RCA !

 

Thierry BRET

 

 


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Une histoire d’hommes. Voilà ce qu’est l’existence d’une coopérative – comme de toute entreprise qui se respecte - malgré les aléas de la vie économique et sociétale. Des hommes (mais aussi des femmes, il va de soi !) qui sont à la base de tout. Depuis la construction des silos ô combien capitaux dans l’essor d’un groupe aussi important que peut l’être YNOVAE ; mais aussi dans la création de projets, sur lesquels repose une stratégie. A l’aise derrière le pupitre, Laurent PONCET, président de la structure, a rendu ainsi hommage à celles et ceux qui ont fait et qui font cette coopérative, prête à relever les enjeux de demain…

 

SENS : Au bout du compte, 2023 aura-t-elle été une année de grands changements ou de simple transition ? La balance penche volontiers vers le premier item, à l’écoute du discours prononcé par le président de la coopérative agricole, un Laurent PONCET toujours prolixe et à l’aise derrière le micro. Des changements, certes, il y en aura eu ! Surtout sur le registre humain, le nerf de la guerre décisionnelle que doit mener un grand groupe ayant de réelles ambitions sur ces marchés.

Les hommes. Rouage inconditionnel de la réussite d’une politique. D’une stratégie devant mener à plus de résultats, de rentabilité, de succès, aussi. Chez YNOVAE, tout a commencé dans ce jeu de chaise musicale promotionnelle avec l’arrivée de Georges LEMINEUR. Un nouveau directeur commercial, possédant une solide expérience, des qualités de manager et la connaissance suffisante du territoire pour mener à bien les missions régaliennes qui sont les siennes. Aborder, avec les solutions appropriées, l’avenir.

 

Etienne HENRIOT raccroche les gants

 

Même le Conseil d’administration n’échappe pas à ce grand « nettoyage » de printemps, mais qui n’a rien de péjoratif, naturellement. La règle du temps qui passe est ainsi faite : les fonctions demeurent, celles et ceux qui les occupent bougent d’un mandat à l’autre ! Deux des administrateurs en ont pris conscience cette année en quittant d’ici quelques jours leurs fonctions.

Et du haut de sa tribune au décorum YNOVAE, Laurent PONCET de citer les patronymes de ceux qui quittent le navire sans l’abandonner.

« D’une part, il y a Marc GAILLOT, membre du bureau et administrateur depuis 2011 qui n’a malheureusement pas pu être avec nous aujourd’hui, précise l’orateur face au public. D’autre part, le second administrateur a quitté ses fonctions, n’est autre que Etienne HENRIOT – l’ancien président de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne - et si on l’avait écouté, il serait parti incognito ! ».

 

Question cruciale avec suspense : qui après Jean-Luc BILLARD ?

 

Mais, le clou du spectacle si l’on pouvait s’exprimer ainsi en considérant ces départs importants arriva ensuite par la bouche du président.

« Beaucoup d’entre nous ont du mal à se faire à cette idée, mais cette assemblée générale est la dernière de notre directeur général Jean-Luc BILLARD… ».

Silence profond parmi l’assistance qui retient son souffle. Légitime, en fait, car un changement majeur dans une coopérative agricole peut susciter  bien des inquiétudes.

On ne présente plus Jean-Luc BILLARD. Le garçon était reconnu pour ses compétences, ses qualités de manager et sa proximité avec ses collaborateurs, les administrateurs et les adhérents. Une question cruciale revenait en boucle dans tous les esprits mais qui pour lui succéder ?

Réponse de Laurent PONCET qui aura ménagé le suspense un court instant : « Avec mes vice-présidents et les membres du bureau nous avons pu nous appuyer sur les conseils et sa méthode de Jean-Luc BILLARD pour définir le profil de son successeur… ».

Ouf ! Nous voilà rassurés ! D’autant que l’ouverture du poste de directeur général d’YNOVAE a généré un très grand nombre de candidatures.

« C’est une grande satisfaction car cela tend à prouver que notre coopérative jouit d’une belle réputation et suscite de l’intérêt, commenta le président PONCET, mais cela nous a surtout permis d’avoir un réel choix parmi de belles compétences… ».

  

Yohann GIROD, promu à la direction générale dès le 08 janvier

  

Le nom du successeur fut communiqué ensuite. Yohann GIROD. Il n’était pas nécessaire de le chercher alentour dans la salle : le futur directeur général arrivera dans l’entreprise à la reprise du 08 janvier en qualité de directeur-adjoint et accèdera au poste de directeur général, à l’issue de la période de tuilage, prévu au départ en retraite de Jean-Luc BILLARD.

On sait faire les choses avec un certain code déontologique, dans une coopérative agricole ! Agé de 46 ans, Yohann GIROD vient de la coopérative VIVESCIA où il a gravi tous les échelons pendant plus de 22 ans jusqu’à occuper plusieurs postes de direction. Fort de son expérience et de ses compétences dans le domaine agricole, il apportera une vision nouvelle à l’entreprise. Sans omettre de s’inscrire dans la continuité de la stratégie déclinée par la coopérative.

Une autre nomination fut également annoncée par un Laurent PONCET volubile. A peine arrivé au sein du groupe, Georges LEMINEUR est déjà propulsé au poste de directeur général adjoint, sa fonction devenant plus transversale et formera un binôme avec le nouveau directeur général Yohann GIROD afin d’assurer et sécuriser le fonctionnement du groupe YNOVAE. Les hommes, clés de la réussite de la coopérative de l’Yonne : indéniablement !

 

Thierry BRET

 

 


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Pour être atypique, il l’est le traditionnel concours, permettant de valoriser les métiers du service et des arts de la table ! On y retrouve à la fois l’esprit de compétition, inhérent à toutes ses épreuves, mais aussi de la formation, de l’échange et du partage. Accueilli au CIFA de l’Yonne, et sous la houlette de l’Association des Professeurs Techniques de Savoie Léman et les sources ALMA, il aura permis à cinq jeunes de se qualifier pour la finale hexagonale de mars 2024…

 

AUXERRE : Aurait-elle du vague à l’âme et un zeste de nostalgie à l’évocation du lycée des métiers de l’hôtellerie Vauban, madame la présidente de l’Association des Professeurs Techniques de Savoie Léman, Véronique STEFFEN ? Elle qui y a enseigné aux côtés de Serge GOULAIEFF, il y a quelques années en arrière ! D’ailleurs, c’est étrange ! Mais, toutes nos anciennes figures locales de la filière de ces métiers de bouche que sont les arts de la table et de la gastronomie se délocalisent du côté de la Région Rhône Alpes ! Que ce soit le MOF Serge GOULAIEFF, dont sa nouvelle terre de prédilection n’est autre que l’Isère ! Ou, plus prosaïquement, Véronique STEFFEN, devenue la « Dame de Haute Savoie », chère à Francis CABREL, et qui vit sur les rivages du Léman, à Thonon-les-Bains. Là-bas, notre ex-icaunaise officie en qualité de présidente de l’Association des Professeurs Techniques de Savoie Léman.

Logique qu’on la retrouve aujourd’hui dans l’Yonne aux commandes de ce trophée Thonon Châteldon des plus relevés. Un concours qui rapproche professeurs, membre du jury, et jeunes professionnels en devenir.

 

 

Un jury de MOF et de spécialistes des arts de la table

 

Pour cette nouvelle édition de la sélection de la grande région Quart Est de la France, sept candidats, au lieu des dix initialement inscrits, se présentent sur la grille de départ. Parmi les prétendants aux cinq places qualificatives pour la finale nationale qui sera disputée à Thonon-les-Bains le 26 mars prochain, on dénombre des candidats en provenance de Dijon. Mais, pour une fois – c’est plutôt rare par ailleurs point de postulants de l’Yonne – mais un petit panel venant de la France entière. Côté jury, il y a du beau monde. Des MOF, en toute évidence avec Didier GALOPIN qui a cédé son poste de président de l’association à Véronique SETFFEN, créateur de la nouvelle mouture de ce trophée qui jadis fut porté par Armand ANTONIETTI. Ou encore Serge GOULAIEFF dont la silhouette nous revient avec une régularité métronomique sur les rives de l’Yonne depuis quelques temps ! Il y a aussi Xavier THUIZAT, chef sommelier du Crillon ! 

Epreuve écrite – quatre thèmes sont proposés autour d’un sujet pour le moins insolite, les eaux minérales ! -, connaissance de la culture des métiers des services de l’hôtellerie-restauration et des arts de la table, analyse sensorielle d’eaux minérales (Cristalline, Vals, Mont-Blanc…), dégustation de celles-ci avec les commentaires adéquats, argumentation commerciale autour d’un menu servi, à titre d’exemple dans le palace parisien (Crillon) – oui, oui, là où vécut durant les dernières années de son existence l’excellent et regretté imitateur Thierry LE LURON -, épreuve de mise en carafe de vin à expliquer soit en anglais (les BTS) soit dans la langue de Molière (bachelier) composèrent le copieux menu de ce défi ayant pour vocation de valoriser les éléments liquides dont l’eau.

Etaient admis à participer les élèves des classes terminale de baccalauréat technologique STHR et de BTS, propres à la filière. Une belle épreuve pour mettre l’eau en évidence dans le pays du vin : un comble, non ?!

 

Thierry BRET

 


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