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Ce fut l'une des belles surprises du Michelin 2023, avec aussi la magnifique troisième étoile du couple COUILLON à Noirmoutier, que cette seconde étoile bourguignonne, obtenue par le chef Cédric BURTIN dans son restaurant « L’Amaryllis », situé à Saint-Rémy, commune voisine de Chalon-sur-Saône. Il entre ainsi dans le cercle très fermé des cent meilleures tables pneumatiques ! Avec en sus, un cadre délicieux : le moulin de Martorey, à l'apaisante nature…

 

SAINT-REMY (Saône-et-Loire) : Il est 9h20 en ce jour de semaine, lorsque la rame « TER » s'immobilise à l'heure - !!! -  en gare de Chalon-sur-Saône. Ce déplacement était prévu en juin dernier, mais ce jour-là, un malheureux troupeau de vaches égarées sur les voies, du côté de Lézinnes, contraria notre voyage vers cette Bourgogne dite du « soleil ».

Petit périple pédestre, entre grands ensembles des années 60 et zones pavillonnaires. Le quartier de Saint-Jean-des-Vignes comprend encore quelques commerces « comme avant » : boucherie, boulangerie, épicerie. Je me revois petit garçon ! A côté, ça sent bon au bistrot « Les Capucines ». Ce midi-là, une impériale tarte à l'abricot trônait sur une table. Ah ! Ce  menu affiché avec ses grenouilles en persillade, il faisait diablement envie ! 

Quant au « Café de la gare », c'est une valeur sûre, à l'accueil toujours plaisant. Voilà longtemps que Michel n'y était pas passé, la patronne est contente ! Et à ma gauche, une rasade de montagny, forcément copieuse. L'un des clients, un brin cabotin, fait rire son auditoire : ne se souvenant plus où il a stationné son véhicule la veille au soir, il fait le tour depuis....des postes de police et autres fourrières !

 

 

 

Cédric BURTIN : un natif de Saône-et-Loire, aujourd’hui doublement étoilé…

 

Comme souvent, les récits de table ont une certaine âme. Au milieu des années 80, le couple GILLOT, Jean-Pierre le cuisinier, et Pierrette la sommelière, ont un coup de cœur pour cette apaisante bâtisse, un moulin du XIXe, surplombant un cours d'eau. L'étoile Michelin arrive assez vite (1986). On s'y régalait alors de ragoût d'escargots aux pleurotes, de sandre rôti aux fines herbes, mais aussi de rognon de veau aux échalotes confites. Une étoile qui brilla sans discontinuer durant un quart de siècle,  avant que cette jolie table champêtre ne soit reprise en 2010 par le cuisinier trentenaire Cédric BURTIN.
Comme tant d'autres talents culinaires de France, Cédric est né en Saône-et-Loire. Un apprentissage à Charolles, auprès du truculent chef Daniel DOUCET, puis s'en suivront de belles et grandes maisons de la gastronomie française.  Citons Pierre ORSI à Lyon, la « Pyramide » à Vienne, sans oublier chez Monsieur Paul, le « Général de Gaulle » de la gastronomie hexagonale !

En 2005, avec Corinne son épouse,  ils transforment une pizzeria en restaurant, à Sennecey-le-Grand, au nord de Tournus. En mars 2008, le Michelin dirigé alors par l'excellent Jean-François MESPLEDE, l'étoile, tandis que son épouse accouche de leur deuxième enfant. Curieusement, ce sera à la même date que quinze ans plus tard, le Michelin doubla la mise !

Je connus sa cuisine en 2008, me souvenant de la parfaite cuisson d'un délicieux pigeonneau, un mets de roi. Et c'est donc en 2010, qu'eut lieu ce déménagement, marqueur d'une vie professionnelle. A l'époque, la cuisine de Cédric, c'était crabe royal de Norvège  en millefeuille d'avocat et mangue, sushi aux herbes et tomates confites, faux-filet de Charolais en deux cuissons : rôti au beurre demi-sel, confit à la fleur de sel, pour terminer par une trilogie autour  du chocolat !

 

 

 

Ce n’est pas tous les jours que l’on s’attable chez un deux étoiles Michelin !

 


En ce jour estival, le moulin de Martorey est baigné par un soleil lumineux. Une table sous un apaisant tilleul nous est dédiée. A côté, trois potes de longue date égrènent la Bourgogne par carte des vins interposée. La mise de table est plutôt élégante et nappée (ce qui devient rare !). Au préalable, j'allais féliciter Cédric pour cette belle distinction. Sa cuisine est rutilante. Ce fut un vrai travail de remise en cause culinaire m'expliqua-t-il, au cours de ces années passées. Le tout avec discrétion et efficacité mêlées semble-t-il...
Mais assez parlé,  attablons-nous ! Le menu « Mon univers » est à l'unisson du chef, voyageons ensemble ! Avec l'apéritif, un mini tartare bien assaisonné avec un brin de croustillance. Belle surprise gustative aussi que le jambon persillé revisité : le goût est là, puissant et sincère, de ce mets bourguignon emblématique. Puis, un cromesquis d'escargots arrive sur une délicate planche en buis. Les contenants aussi, sont variés et choisis !

Mention spéciale pour le sublime biscuit de brochet, là aussi accompagné d'une sauce délicate - l'art saucier du chef est souligné dans le Michelin 2023 - avec souvent une discrète et délicate nuance d'acidité. C'est la fête à table ! Diantre ! Ce n'est pas tous les jours que l'on s'attable dans une maison doublement étoilée au Michelin. En Bourgogne, elles ne sont que quatre ! Arrive ensuite une féra délicatement fumée, un plat aussi délicat qu'onctueux ! De très jolies assiettes qui concourent au plaisir des yeux, avant celui imparable du palais.

 

 

 

 

Tout ici n’est que délice au palais…



Le sommelier et son original insigne en forme de limonadier au revers du veston arrive alors. Comme ses collègues de salle, il a fort à faire, car hélas, la brigade est incomplète. Malgré trois jours de repos consécutifs (dont le dimanche) et cette récente distinction qui eût attiré plus d'un professionnel antan, notre courageux chef en est un peu dépité : pas une réponse à ses multiples annonces. Ce sera le seul bémol  de cet excellent déjeuner, qu'un service, un peu trop tendu pour une maison de ce niveau... Arrive ensuite un ormeau à la texture si caractéristique, c'est vraiment délicieux !

L'Yonne, mesdames, messieurs, est présente ce midi-là, au travers de la truite de la pisciculture, sise à Crisenon ! Un sublime accompagnement de courgettes (sublimer un produit simple, c'est tout un art !) complète ce plat « made un Yonne » !

 

 

Mention spéciale pour la délicate tarte à l'artichaut qui s'ensuivit : du grand art, à l'unisson de ces belles deux étoiles 2023 ! Ce plat est magnifique de goût, mais aussi de simplicité et confère une émotion certaine. Un Puligny-Montrachet premier cru accompagna l'essentiel de ce succulent repas. Un parfait pigeonneau sonna le glas de ce blanc nectar. Signalons, un joli choix de fromages dont un peu usité « Comté » de 36 mois. Un impeccable dessert à base de miel, puis un autre aux fruits rouges conclurent ce merveilleux déjeuner. 
Une cuisine d'exception qui vaut le détour. La définition des deux étoiles Michelin trouve ici une belle destination, autant qu'une très belle ambassade. Bravo au chef Cédric et surtout, gardez le moral !

 

En savoir plus :

 

Les - : Mesdames et messieurs les élus du coin, question : à quand un bus partant depuis la gare SNCF de Chalon-sur-Saône et s'arrêtant pas trop loin de ce magnifique restaurant, emblématique de votre territoire ?!

Les + : le cadre est sublime. Les sauces sont superbes : j'approuve le Michelin !

 

 

Contact :

Restaurant « L’Amaryllis »

Moulin  de Martorey,

Chemin de Martorez

71100 SAINT-REMY

Tel : 03.85.48.12.98.

Proche accès de l'A6. Vingt minutes en en taxi depuis  la gare TGV du Creusot.

Premier menu-déjeuner à 80 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Il gagne en épaisseur et en qualité, le Festival de jazz accueilli par le quatrième village préféré des Français ! Un plateau d’instrumentistes virtuoses au programme, des sonorités éclectiques et originales devant satisfaire tous les aficionados de la discipline musicale, un ancrage territorial, bien marqué, avec la présence de jeunes pousses de Toucy ou de Tannay qui vivront un rêve éveillé face au public sur l’esplanade du château moyenâgeux. Une édition 2023 en gamme majeure…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Un bonheur n’arrive jamais seul, chacun le sait ! A peine auréolée de sa soudaine notoriété hexagonale obtenue avec la méritoire quatrième place dans l’émission « Le Village préféré des Français », voilà que la commune surplombée par le séculaire château de Mahaut de Courtenay se distingue de nouveau, côté actualité !

Mais cette fois-ci, ce ne sont pas de vielles pierres chargées d’histoire ni les cours d’eau et les vues bucoliques offerts par la campagne alentour de la bourgade icaunaise de trois cents âmes qui vont interpeller les visiteurs – quoique ! – attendus le week-end prochain ; mais bel et bien les exquises sonorités d’un violon, d’une flûte traversière ou d’un harmonica maîtrisés par des esthètes en la matière - sans omettre les instruments impulsant la rythmique - qui serviront de point de convergence auprès des férus de jazz, interprété selon toutes ses variantes.

Pour ce troisième rendez-vous, déjà, « Lumière de Druyes », la structure associative qui porte le projet, a décidé de procéder à un léger bond en arrière sur le plan organisationnel. Normal, quand on possède dans son village un édifice aussi remarquable que cet écrin du patrimoine culturel de l’Yonne !

C’est donc au pied du célèbre château, devant la tour du Porche, cadre majestueux qui en a fait sa renommée, et à l’instar de l’édition initiale de ce rendez-vous à mettre entre toutes les oreilles concocté depuis 2021, que les artistes se produiront durant ces trois jours d’émotions intenses et vibratoires.

 

Un violoniste qui joue à décrocher la Lune !

 

Dès le 07 juillet, par chance un vendredi en soirée qui fleure bon les vacances estivales naissantes, le public que les organisateurs espèrent nombreux – les conditions météo devraient être bonnes ! – pourra applaudir un fidèle d’entre les fidèles de ces lieux envoûtants, un as du violon, Pierre VINAY qui s’exprimera aux côtés du « BUG Trio ».

On se souvient encore des envolées extraordinaires que le musicien conféra à son instrument lors des deux précédentes éditions de ce festival qui ne pouvait pas mieux débuter avec cette présence aussi virevoltante qu’experte ! Le garçon fait plaisir à voir sur scène ; le public le lui rend bien ! La relecture des standards devrait procurer de belles joies. Signalons en sus de Karim SO (contrebasse) et Nyls WILLIG (batterie et percussion) – ils forment le « BUG Trio » avec l’ami Pierre, la participation à ce trio d’un accordéoniste plutôt doué, Forent THIANT, en invité surprise !

 

 

Des saxophones en quantité, synonymes de groove…

 

Le lendemain, on remet le couvert dès 18h30 avec la venue de l’école de musique de danse et de théâtre de Puisaye-Forterre, sise à Toucy. Via sa formation spécifique qui se consacre au jazz, le « Small Band » avec l’incontournable François CANARD. Il y a aura du monde sur l’estrade ! Pas moins de quatre saxophones alto, un saxo soprano, un saxo ténor, une trompette, une clarinette ! Ils seront accompagnés de l’inéluctable triptyque : basse, clavier et batterie, autour du saxophoniste François CANARD, une pointure de cet instrument qui possède une aura dépassant largement les frontières régionales. On notera aussi la présence sur scène de musiciens de Tannay et de la région.

 

Flûte et harmonica : la découverte d'un univers insolite…

 

Il faudra patienter ensuite jusqu’à 20h30 avant de pouvoir admirer les prouesses (et le souffle), sans oublier la technique de jeu, de l’harmoniciste Laurent MAUR. Influencé dès son plus jeune âge par Sonny Boy WILLIAMSON mais aussi le Paul BUTTERFIELD BAND et l’icône de l’harmonica Toots THIELEMANS – à ne pas confondre pour les puristes de reggae avec le groupe « TOOTS & the MAYTALS » !-, celui qui a travaillé avec Didier et Francis LOCKWOOD – que du lourd ! – proposera une immersion insolite parmi des sonorités peu coutumières du jazz, imputables à la présence de l’harmonica et de la flûte traversière !

Des moments rares et tout en subtilité, entre poésie, exotisme – le musicien a participé à bon nombre de pérégrinations musicales en Chine et en Corée du Sud, collaborant avec la fine fleur des instrumentistes asiatiques sur de moult projets – et tradition.

Pour le pousser dans ses ultimes retranchements sonores de bon aloi, la flûtiste Emilie CALME et ses partenaires (Emile SAUBOLE à la batterie, Gabriel PIERRE, à la contrebasse et Antoine THIERY au piano et claviers) formeront avec le maître harmoniciste un solide quintet dont on devrait apprécier sans modération les moindres envolées !

 

 

Un trio de guitares en guise de clôture du bal !

 

C’est en fin de matinée de la journée dominicale, à 11 heures, que se terminera ce festival de belle facture. Avec la venue de Jean-Baptiste HARDY, qui accompagné de guitaristes d’exception – Benjamin ASNAR et Rory QUINN -, viendra, en s’inspirant d’un patchwork de musique du monde, de blues et de jazz en mode pluriel clore ce qui pourrait être la quintessence de ce troisième rendez-vous annuel.

Une passe de trois qui, sur le papier, se veut très alléchante et prometteuse à souhait et qui aura mobilisé, cette année, encore pléthore de sponsors et mécènes dont le Département de l’Yonne, la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, la commune de Druyes et des partenaires privés, issus de la sphère entrepreneuriale qui croient aux vertus apaisantes de la musique dans ce monde de brutes !

« Petit festival devient de plus en plus grand » pourrait-on dire en résumé et ce n’est pas fini au vu de la programmation et de ses surprises à réserver aux mélomanes avertis comme aux béotiens…

 

 

En savoir plus :

Festival Jazz à Druyes

Organisé par l’association des « Lumières de Druyes »

Du 07 au 09 juillet 2023

Parvis du château de Druyes-les-Belles-Fontaines

Participation libre.

Quatre concerts.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il fait bon parfois quitter les grands axes pour retrouver les plus paisibles routes secondaires de notre  beau réseau routier. L'ex-RN6, désormais départementalisée, avec comme itinéraire Cravant, Sainte-Magnance, puis La Roche-en-Brénil, Saulieu et son café parisien historique, Saint-Aubin, et ses vignes, Tournus - dénommée antan capitale de la gastronomie bourguignonne (ce qui n’était pas faux !) -  et ses imposants bords de Saône. Là, on tourne à gauche, en direction de Bourg-en-Bresse, où la route est fort jolie…

 

MONTREVEL-EN-BRESSE (Ain) : Ensuite,  une volaille à l'imposante crête rougeoyante  se dresse et nous accueille, bienvenue au cœur de la Bresse bourguignonne (terroir gourmand partagé avec nos voisins franc-comtois mais aussi rhodaniens). Nous sommes à Montrevel-en-Bresse, cité qui, chaque année avant Noël, à l'instar de Louhans ou Pont-de-Vaux accueille « les Glorieuses de Bresse », bel événement aussi festif que gourmand.
Cette adresse, je la tiens d'une valeur culinaire icaunaise reconnue puisque c'est Jérôme JOUBERT, le chef du « Rive Gauche » à Joigny (splendide terrasse estivale !) qui me l'a refilé !

Il est midi, en ce jour ensoleillé de mi-juin. C'est toujours bon signe, de voir pousser la porte de ce petit restaurant, par moult travailleurs locaux de chantier (menuiserie, travaux publics...). A ces clients-là, on ne la fait pas !

 

 

Une ballotine de volaille aussi élégante que goûteuse…

 


Le menu de vraie cuisine  aux deux choix est à 17 euros. N'arrivant pas à me décider, je commande finalement les deux entrées ! Le velouté d'asperges blanches est franc du collier, et la ballotine de volaille est aussi élégante que goûteuse. Peut-être, manque-t-elle d'une petite touche d'assaisonnement, pas grand-chose, juste histoire de la relever un peu, car elle est fort bonne, et faite dans les règles de l'art. Ah! J'allais oublier le pain qui est fort bon lui aussi. A la table voisine, cela rigole dru, et un gamin en stage se fait gentiment chambrer ! Il n'en a cure, car ce qui lui importe, c'est son assiette !

 

 

 

 

On se régale avec le plat de résistance…

 


Le plat est une épaule de porc, accompagné de risotto de petit épeautre et courgettes (légumes de saison). Un fort joli plat, une assiette dressée avec une certaine élégance,  un bon jus, une viande goûteuse : on se régale. 
Un petit fromage blanc bressan pour continuer, la réputée laiterie d'Etrez est toute proche, avant un bon dessert rafraîchissant aux fruits rouges.

Il est 13h15. Maçons et électriciens repoussent,  comme à regret leurs chaises sous la table. 17 euros de vraie cuisine. Bravo à cette belle auberge de bord de route, dépêchons-nous, car il n'en existe plus autant que cela.

 

 

De belles perspectives culinaires dans l’Yonne…


La semaine prochaine, nous demeurerons dans ce joli département de l’Ain,  à la découverte d'une autre table. Laquelle ? Surprise !

Quelques nouveautés se signalent chez nous, dans l'Yonne : la reprise du Paris-Nice à Joigny, mais aussi du Soleil d'Or de Montigny-la-Resle. Sans oublier l'Auberge du Plat d'Etain à Noyers-sur-Serein. Que de bons repas en perspective ! A ne pas oublier la proche ouverture d'un restaurant dans le joli petit village de Chitry…

 

 

En savoir plus :

 

Les - : le Morgon servi au verre était un peu tiédasse, m'a-t-il semblé. Il était cependant fort bon !


Les + : le service est aimable. Très bon rapport qualité-prix.

 

 

Contact :

Le Bouchon de Bresse

35, grande rue

01340 Montrevel-en-Bresse

Tel : 04.74.25.49.65 ?

Ouverture  du lundi au samedi

Stationnement avec un parking situé en face de l’établissement.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Venoy le voulait, Venoy l’a fait ! Sous l’impulsion de Christophe BONNEFOND et de son équipe municipale, la localité compte désormais sur son territoire la première halle de sport à énergie positive du département. Conçu pour permettre au plus grand nombre la pratique sportive à l’abri des intempéries, le complexe est équipé de panneaux solaires photovoltaïques, générant suffisamment d’énergie pour alimenter en électricité onze compteurs communaux, dont la mairie, le groupe scolaire, les salles des fêtes, la bibliothèque ou encore l’église et la future crèche.

 

VENOY : Comme un clin d’œil aux prochains Jeux Olympiques de Paris, l’inauguration de « Heliosports » s’est déroulée ce vendredi 23 juin, jour de célébration de l’olympisme à travers le monde. Figurant au seul canton du département à ne disposer ni d’un collège ni d’un gymnase, Venoy se désespérait de pouvoir un jour se doter d’un espace couvert pour y accueillir à l’abri des intempéries, les associations sportives locales ou les scolaires inscrits sur son territoire.

Faute de mieux, il avait même été envisagé un temps, de construire à cet effet un hangar agricole. L’équipe aux commandes de la commune en avait fait le projet majeur du mandat en cours 2020/2026. C’était sans compter sur l’épisode COVID, puis plus tard la guerre en Ukraine, qui obligèrent de rabattre les cartes en ralentissant la recherche de financement. Une étape s’apparentant à « un véritable parcours du combattant, chacun de nos financeurs nous imposant ses propres exigences… comme l’a rappelé dans son intervention Christophe BONNEFOND. Il fut même demandé un jour, d’installer le bâtiment à l’ombre, pour un maximum de fraîcheur : « produire en même temps de l’énergie solaire, ça allait être compliqué ! ». Solution fut trouvée, en rajoutant un auvent, augmentant d’autant la surface photovoltaïque, tout en créant un espace stabilisé extérieur supplémentaire et ombragé, d’une surface équivalente à neuf terrains de pétanque.

 

 

La contribution des entreprises locales et du cabinet auxerrois ATRIA…

 

Une fois le dossier financement bouclé, s’annonçait un autre parcours du combattant, technique celui-ci, avec là encore quelques sueurs froides, comme cette fois où faute de crochets ad hoc disposant d’une certaine homologation, les panneaux solaires faillirent ne jamais être posés ! Autant d’obstacles qui n’ont pas empêché le projet d’aller à son terme et Venoy peut s’enorgueillir aujourd’hui de disposer du premier bâtiment de ce type en Bourgogne Franche-Comté, le troisième seulement dans tout l’Hexagone.

Imaginé par le cabinet d’architecture auxerrois ATRIA, le complexe « Heliosports » a vu sa construction confiée pour 90 % à des entreprises régionales. Bel exemple d’économie circulaire qu’il est bon de saluer. Un nouveau challenge se profile désormais à l’horizon : établir un planning d’utilisation de l’espace et des équipements qui satisfasse tout le monde, des cinq associations sportives de la commune aux scolaires en passant par les élèves du lycée agricole de la Brosse tout proche. Un défi à la hauteur du nouveau bâtiment venoisien : « colossal » !

 

 

 

L’Yonne déclare sa flamme aux Jeux Olympiques 2024…

 

De retour du grand amphithéâtre de la Sorbonne où était dévoilé le matin même le parcours de la flamme olympique, le maire de Pont-sur-Yonne et premier vice-président du Conseil départemental, Gregory DORTE, a révélé le nom des sept  villes icaunaises traversées par la flamme : Auxerre, Avallon, Chablis, Migennes, Saint-Fargeau, Sens, Vézelay. Si l’on ne sait rien encore de l’ordre de passage retenu pour le déroulement de la manifestation, il est d’ores et déjà confirmé que cette journée du 11 juillet 2024 se conclura à Auxerre par une grande soirée festive et populaire. Une centaine de relayeurs devraient ainsi se succéder tout au long des vingt kilomètres du parcours, répartis entre les villes retenues.

 

 

Quelques chiffres sur le financement :

Coût total : 2.600.000 euros dont 402 532 euros de fonds de compensation pour la TVA remboursée en 2024, soit :

Mairie de Venoy : 643 906 euros (financés par un emprunt à 1,67 % sur vingt ans)

Etat, au titre de la Dotation d’Equipement des Territoires Ruraux (DETR) : 715 562 euros

Région : 333 000 euros

Conseil Départemental : 400 000 euros

Agence Nationale du Sport : 105 000 euros

 

 

Caractéristiques techniques :

Surface couverte du bâtiment : 1 900 m2, comprenant trois espaces : une zone multisports intérieure de 1 200 m2 avec un terrain de handball basket et tennis, trois terrains de volley et six de badminton ; deux vestiaires et des gradins

Un terrain de sport stabilisé extérieur de 510 m2 couverts, soit l’équivalent de neuf terrains de pétanque.

1 800 m2 de panneaux photovoltaïques pour une autoconsommation collective de 250 kVA (kilovoltampere) alimentant onze compteurs communaux : trois salles des fêtes, les vestiaires du foot et du tennis, le groupe scolaire, la mairie et les bâtiments techniques, la bibliothèque, le local des assistantes maternelles et la future crèche, ainsi que l’église.

 

En savoir plus :

Outre le préfet Pascal JAN,  étaient présents la sénatrice Dominique VERIEN, les vice-présidents départementaux Grégory DORTE et François BOUCHER, les conseillers régionaux Nathalie LABOSSE et Gilles DEMERSSEMAN représentant le vice- président Nicolas SORET excusé, et Valérie GABART de l’Agence Nationale du Sport.   

 

Dominique BERNERD

 


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Nom de baptême de l’association : INITIATIVE Bourgogne Franche-Comté. Objectif de l’entité : être au service de l’entrepreneuriat et des créateurs d’emplois. Comment ? En accompagnant et en finançant les porteurs de projets du territoire ! Expert-comptable indépendant (VISEEON), l’Icaunais Eric CHEVALLIER hérite de la présidence de cette structure régionale. Elu à l’unanimité des voix du Conseil d’administration !

CHALON-SUR-SAONE (Saône-et-Loire) : L’ancrage se veut d’extrême proximité. En privilégiant l’écoute et les échanges. Le but recherché étant de rasséréner celles et ceux qui se lancent dans l’aventure de l’entrepreneuriat, ce qui n’est pas une mince affaire comme chacun le sait. INITIATIVE Bourgogne Franche-Comté fait figure aujourd’hui d’honorable institution dans le paysage économique de notre contrée. Une structure, associative, qui est présente dans les huit départements de notre région. Dans l’Yonne, on l’a connaît sous le vocable « d’INITIACTIVE 89 »…

Et c’est précisément l’Yonne qui a fourni le nouveau responsable de l’entité. Succédant à Danièle DULMET, l’Auxerrois Eric CHEVALLIER vient d’hériter du fauteuil présidentiel au terme de l’assemblée générale qui s’est déroulée dans la sous-préfecture de Saône-et-Loire, Chalon-sur-Saône, le 15 juin.

Très investi, l’expert-comptable icaunais occupait ainsi des fonctions de trésorier depuis 2020. En parallèle, il a été élu administrateur au sein du Conseil d’administration d’INITIATIVE France en 2022. On le retrouve aussi membre de la commission Finances. 

 

 

 

Les mots justes du nouveau président envers son prédécesseur…

 

Lors de sa prise de parole à l’issue de son élection, Eric CHEVALLIER a tenu au nom du Conseil, à remercier Danièle DULMET pour tout le travail effectué depuis son arrivée à la présidence de la coordination régionale en 2019. Puis, unanimement, Vincent SCHMITT, vice-président d’INITIATIVE France, les membres du conseil et les invités ont témoigné leur reconnaissance pour avoir porté la structuration et le développement de l’association régionale.

« La générosité de votre action et votre force de conviction ont permis de donner corps au réseau régional, avec pour socle les valeurs « INITIATIVE France » partagées par tous, à savoir la combinaison de l’esprit d’entreprise et du service de l’intérêt général, devait préciser le nouveau président à son prédécesseur.

Un juste retour aux sources pour l’expert-comptable d’Auxerre qui a été accompagné par l’association « INITIACTIVE 89 » lors de la création de sa société. Il est, en effet, un ancien bénéficiaire d’un prêt d’honneur « Initiative ». C’était en 2019…

 

Thierry BRET

 

 


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