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De l’émotion à revendre à la pelle. Et des larmes qui illuminent ce regard bleu azur, toujours avide de curiosité comme aux premiers jours et plein de sympathie. Le souffle est court, par instant, pour assurer la prise de parole devant une centaine de personnalités issues des rangs de l’Education nationale mais aussi des milieux institutionnels et politiques de notre territoire. La directrice académique des services de l’Education nationale (DASEN) et inspectrice d’académie vient de tirer de manière définitive sa révérence avec le sens du devoir accompli. Une ultime pirouette pour cette « belle personne » qui prend désormais la clé des champs avec d’autres objectifs en tête…

AUXERRE : La sensibilité à fleur de peau qui habite Annie PARTOUCHE, nous l’avions déjà constatée et appréciée il y a quelques semaines lors d’une cérémonie très particulière : la remise de sa Légion d’honneur sous les ors de la préfecture de l’Yonne.

Ce jour-là, en présence de la famille du récipiendaire de l’insigne tant convoitée, le représentant de l’Etat, Patrice LATRON, avait tressé des couronnes en hommage à cette grande dame de l’Education nationale, au parcours si riche et si flamboyant.

Retraçant le panégyrique détaillé de cette maîtresse femme, à la poigne de fer dans un gant de velours, mais toujours ouverte au dialogue et à l’écoute des autres, qui laissera d’incontestables traces de son passage en terre de l’Yonne.

Deux mois plus tard, une toute autre manifestation était donc biffée dans l’agenda très rempli de la patronne de l’Education nationale dans le département. Son départ à la retraite, amplement méritée, après de nombreuses années faites de services loyaux et généreux au profit de l’enfance et de leur enseignement.

 

 

Que de chemin parcouru depuis les débuts vécus aux côtés des plus petits : en classe de CP ! Gravissant avec pugnacité les diverses strates de la méritocratie professionnelle, Annie PARTOUCHE marquera de son empreinte indélébile sa manière de gérer les innombrables dossiers accumulés sur son bureau. Dont l’âpre sujet se rapportant à la fermeture du collège auxerrois de Bienvenu Martin.

Les témoignages distillés par Nathalie ALBERT-MORETTI, la rectrice d’académie, du président du Département, Patrick GENDRAUD ou du préfet Patrice LATRON, lui-même en mode départ de ses fonctions territoriales, à l’adresse de la jeune retraitée furent unanimes.

 

 

Une pluie de compliments pour saluer le travail de la professionnelle…

 

Les éloges fusèrent sans qu’il n’y ait une quelconque objection à formuler. Tant le bilan de l’intéressée et son portrait suscitent respect et empathie.

Le choix de cette réception revêtait lui-aussi du symbole. Et de la profonde estime qui existe entre Annie PARTOUCHE et Capucine VIGEL, responsable du lycée des métiers Vauban, un lieu pédagogique souvent auréolé de titres de gloire.

Si Dimitri SYDOR, adjoint de la directrice de la DASEN, s’exerça avec brio, micro en main, au rôle de « fil d’Ariane » de cet évènement qui n’était nullement placé sous le sceau de la morosité, la manifestation offrit aussi son lot de surprises.

 

 

Surtout lorsque les plus proches collaboratrices et collaborateurs de la personne célébrée interprétèrent en modifiant quelque peu les paroles une ode à la gloire de leur dirigeante.

Cette sympathique parodie de la chanson que Michel BERGER composa pour sa muse, la blondinette France GALL, « Ella, elle l’a », fit sourire Annie PARTOUCHE qui en apprécia sans doute le refrain.

Ce fut le prétexte ensuite aux échanges de cadeaux dont les médailles de la préfecture et du département entre autres, avant que ne se poursuive la cérémonie en dégustant le savoureux cocktail concocté par les exégètes de l’art culinaire d’un lycée Vauban au top de sa forme.

 

 

 

 


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« Ce que l'on peut être, on doit l'être. Ce besoin s'appelle la réalisation de soi » MASLOW. Devant le labyrinthe de sa vie se profilent des étapes de tourments. Aller vers ces tournants décisifs est positif. A l'instinct de la direction à prendre, vient s'ajuster au fur et à mesure la bonne orientation à poursuivre pour mieux vivre la suite...

TRIBUNE : Une immersion en 1940 où cette philosophie à s’immerger dans l'édit « réalisation » connaît un essor.  Le psychologue Abraham MASLOW a hiérarchisé les besoins dans une expression pyramidale, suite à des observations et constatations. Sa réflexion est mise en lumière dès 1943 par cette approche : « A theory of human motivation ».

Cette analyse aborde la place du plan personnel et professionnel dans la vie active. Il factorise cinq éléments communs sur ces deux sphères : les besoins psychologiques, de sécurité, d'appartenance, d'estime et d'accomplissement.

A cette période prioriser la survie matérielle était une nécessité. Elle déshumanisait le confort psychologique. Obsolète à notre époque...plus ou moins. Mais, de plus en plus d'entreprises ont cette compréhension que la valeur « humaine » se joue d'un jeu de gagnant/gagnant. Cet aller-retour est légitime d'un rapport 50/50 : « je donne et je reçois… ».

Présentement, la réalisation de soi s'accorde dans un sens à écouter d'abord ses propres besoins et attentes personnelles. Ponctuellement, fédérer et interagir à ces composantes suscitent à bien des égards une faveur à la confiance et à la prudence. La réalisation de soi n'a pas d'autres options.

Elle est plaisir et épanouissement. La primeur de se sentir à sa juste place, c'est être fier de revêtir et d'assumer dans son quotidien toutes ses tenues. C'est se faufiler à approcher des individus aux fréquences émotionnelles identiques, proches de ses attentes pour  pérenniser la suite.

C'est être valorisé et épaulé pour se diriger vers d'autres pôles de réalisation. Ces états d'âmes cohabitent et s'épousent dans la sphère professionnelle ou privée. Côtoyer des incompris, c'est risquer un parasitage certains ou la déviation de notre destination et de notre vérité.

 

Une offrande à la justesse de ses actions…

 

Imre KERTESZ, prix Nobel de littérature en 2002, le souligne avec justesse dans ces quelques mots : « La grande désobéissance, c'est de vivre sa vie… ».

Justement, l'existence dans laquelle nous cheminons se plie à déplier de vieux schémas du passé bien dépassé.

« Faire comme... » : deux « maux » qui traduisent l'impact du poids transgénérationnel et sociétal à supporter. Se réaliser demande une sacrée pugnacité. Emettre la simple idée et l'évoquer, quels challenges ! Où se placer devant cet inventaire imposé ?

Des demi-tours et des faux pas entraveront une trajectoire quelquefois. De l'illusion car cheminer est une succession de différents paliers à traverser et à surmonter au travers de multiples nuances d'expériences et de sentiments...

L’œuvre de sa vie est un échiquier. Ce jeu se déliera à l'orée d'efforts, d'actions, de décisions assumées et non imposées par un carcan familial ou amical.

La réalisation de soi est, dans l'instant ou un futur proche, une offrande à des changements opportuns, à la justesse d'actions. Entreprendre pour s'accomplir en toute conscience et constance vers ses propres objectifs.

C'est une récréation imparable qui défit tous les stratagèmes qui « cahote » l'échec pour  l’ascension de toutes nos réalisations. C'est une vision intérieure où la seule clarté est de s'écouter.

Faire-valoir de la prospérité et de l'épicurisme, se réaliser, c'est exporter toute sa force et ses possibilités sans limite. Le sillage de ses envies est le pas « sage » vers l’expansion de soi.

Paulo COELHO, auteur brésilien au succès planétaire (« L’Alchimiste »), l'exprime : « Devant moi, il y avait deux routes. J'ai choisi la route la moins fréquentée et cela a fait toute la différence… »

Lyvia ROBERT

 

 


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Un cycle d’échanges avec le public débute pour les auteurs de l’ouvrage, « Yvonne ne veut pas partir ». L’opus publié à la rentrée est devenu une référence en matière de relations intergénérationnelles. Dominique COJAN et son complice de l’expression scripturale, Jean-Eric FRAY, ont l’opportunité désormais de présenter le fruit de leur travail besogneux, la collecte de témoignages utiles et précieux recueillis auprès de personnes âgées prolixes dans leurs commentaires. Les clubs services et le monde associatif intègrent leurs priorités…

AUXERRE : Une heure durant, les deux compères à la plume mémorielle aiguisée parlent. Leur intervention est parfaitement rodée pour faire toute la lumière sur ce projet qui les a conduits à constituer une banque d’anecdotes joyeuses et euphorisantes pour que vivent à jamais les souvenirs de nos anciens.

Paru à la mi-septembre, l’ouvrage connaît depuis un succès retentissant dans le paysage régional. Soutenu par le Conseil départemental de l’Yonne qui en a assuré la promotion lors du Salon annuel des seniors en octobre.

C’est cela qui a encouragé les deux auteurs à aller plus loin : en proposant un cycle de conférences débat auprès des acteurs associatifs et institutionnels impactés par le grand âge. Là-aussi, la démarche explicative fonctionne.

Preuve que le sujet n’est nullement rébarbatif à qui veut réellement l’entendre. D’autant que ce livre représente un vibrant plaidoyer à la joie de vivre et à l’optimisme même quand les cheveux blancs fleurissent sur le crâne. Idées noires s’abstenir !

L’un des clubs service de la place, le Rotary, accueillera les conférenciers le 14 janvier prochain à son siège social au détour de l’une de ses réunions hebdomadaires. Un plateau de premier choix pour Dominique COJAN et Jean-Eric FRAY qui désirent privilégier, entre autres, les contacts avec les clubs services (Lions, Rotary, Kiwanis, Table Ronde, 41…).

Ceux-ci sont souvent positionnés dans le cadre de leurs actions solidaires et altruistes en faveur des personnes âgées.

Les écrivains poursuivent en parallèle le travail direct avec le public, décliné sous la forme d’ateliers. Avec toujours un trop-plein d’idées dans la tête !

2020 ne devrait pas leur laisser beaucoup de répit : n’était-ce pas là le but recherché pour que puisse vivre toujours la mémoire positive des seniors ?

 


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Nouvelle surprise, et de taille, dans le microcosme politique de l’Auxerrois. On la doit à la formation de centre droit, incarnée par Jean-Philippe BAILLY, président départemental du mouvement inféodé à la cause d’Hervé MORIN. L’adjoint à la Ville en charge du développement numérique et du commerce vient de réaliser une très « belle prise » en ajoutant à son escarcelle, favorable à la liste d’ouverture prônée par l’édile d’Auxerre, la conseillère municipale d’opposition (ex-UMP), Virginie DELORME. Devenue entre-temps, Mme GARERES après avoir convolé en justes noces…Un nouveau coup de boutoir porté à la droite traditionnelle ?

AUXERRE : S’il avait voulu secouer le cocotier de la sphère politique auxerroise pour en faire tomber des fruits goûteux prêts à intégrer sa besace centriste, Jean-Philippe BAILLY ne s’y serait pas pris autrement !

En présentant lors d’une conférence de presse sa « prise de guerre » réalisée au nez et à la barbe de la droite républicaine, le leader politique issu du Nouveau Centre n’a pas dissimulé une extrême jubilation. Avant que ne démarre sa prise de parole officielle. Et pour cause !

Commerçante implantée depuis moult années dans le sérail (elle fut même la présidente des « Vitrines d’Auxerre » aux grandes heures de gloire d’une association qui est hélas aujourd’hui disparue), Virginie GARERES-DELORME jouit d’une solide notoriété dans l’espace professionnel et politique local.

Côté idéologie politique, la quadragénaire a toujours été estampillée à droite. Se portant même candidate au sein de listes clairement identifiées UMP (devenue depuis Les Républicains) aux dernières échéances municipales, face signe du sort à la liste conduite par le maire Guy FEREZ, et aux cantonales. Alors, par quel tour de passe-passe, voire de mystérieuse magie blanche, l’a retrouve-t-on désormais en accointance étroite avec un parti qui cautionne faits et causes le bilan de l’édile d’Auxerre ?

 

Le refus de la dérive droitière des Républicains…

 

Réponse de l’intéressée qui ne se dérobe nullement à la question : « Ma formation d’origine, Les Républicains, vire trop à droite et cela ne me convient absolument pas, concède-t-elle, certes, je n’ai pas encore arrêté ma décision mais je me sens plus proche des centristes de droite. Ceux représentés par le Nouveau Centre ».

Du petit lait à siroter avec une belle cuillérée de miel pour Jean-Philippe BAILLY qui n’en demandait pas tant ! Il est vrai que l’ex-secrétaire de l’UMP (c’est presque aujourd’hui de la Préhistoire !) en connaît aussi un rayon sur le besoin de changer d’aspirations pour s’aérer la tête et l’esprit.

Lui aussi s’était opposé en son temps à la dérive droitière qu’il reproche aujourd’hui sans états d’âme au parti de Christian JACOB.

Las de vivre cette situation, il avait alors quitté la droite républicaine originelle pour rallier ce centrisme qu’il affectionne tant aujourd’hui.

« Je me souviens, explique-t-il en faisant un sacré bond en arrière dans le fil de ses pensées, à l’époque, à l’UMP, j’avais enregistré parmi les nouvelles adhérentes la mille cinq centième personne à être encartée dans l’Yonne : elle se nommait Virginie DELORME… ».

Curieuse coïncidence de la vie, en effet, qui fait se retrouver autour de la même table, et rejoint par l’adjoint au maire en charge des ressources humaines, du dialogue social, des jumelages et des anciens combattants, Jean-Paul SOURY, les deux compagnons de route politiques de jadis.

Désormais, Virginie GARERES-DELORME se positionne en phase avec elle-même sur la liste d’ouverture voulue par le maire sans étiquette Guy FEREZ afin de mieux servir les intérêts des Auxerrois.

« J’ai toujours œuvré en dépassant les clivages politiques, précise celle qui a assisté à toutes les commissions où elle était inscrite, ce que j’apprécie dans cette composante qui part à l’assaut de ce nouveau mandat, c’est justement le rassemblement pluriel de ses membres. Je déteste tout ce qui s’apparente à de la politique politicienne et les « gué-guerres » de parti. Cette liste ne comporte pas d’étiquette, c’est tant mieux… ».

 

L’addition des différences sur une liste commune, c’est un atout…

 

Le projet élaboré par le président de la Communauté de l’Auxerrois (c’est aussi un enjeu important dans la balance électorale) fait figure de kaléidoscope politique avec des représentations issues de LREM, du MoDem, du Parti radical, d’AGIR La Droite constructive, du Parti socialiste. Voire de représentants de la société civile qui ne possèdent aucune appartenance politique tout court.

Même s’il n’intégrait pas les accords initiaux inspirés par le modèle de « Renaissance », déjà expérimenté lors des Européennes, le Nouveau Centre de l’Yonne souhaitait intégrer en toute logique le projet symbolisé par Guy FEREZ.

Toutefois, une autre solution aurait pu convenir à la commerçante auxerroise pour y exprimer ses idées. Rejoindre la liste « Auxerre au Cœur » dont Crescent MARAULT est aujourd’hui le porte-étendard. Une liste davantage marquée au centre droit et à la droite républicaine.

« Je n’ai pas trouvé sur ce projet les valeurs déontologiques qui me correspondaient, évacue-t-elle avec spontanéité, je préfère me projeter sur un projet novateur et constructif, où l’addition des différences devient un véritable atout… ».

Une arithmétique qui ne peut que trouver grâce aux oreilles de Jean-Philippe BAILLY et de Jean-Paul SOURY à l’issue de cette causerie intimiste. Les deux adjoints ont bel et bien confirmé, en guise de conclusion, leur présence sur la liste définitive que Guy FEREZ officialisera le 16 janvier prochain.

Le joker de charme Virginie GARERES-DELORME en sera également. Reste à savoir à quelle position ?

 

 


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Au détour de la troisième Journée « En bonnes compagnies », concoctée par « L'Yonne en Scène », l’élue en charge des affaires culturelles au Département, Isabelle FROMENT-MEURICE, s’est prêtée au jeu de l’interview afin de rappeler les grandes orientations de la structure dont elle assume la présidence…

VEZELAY : L’élue de Puisaye-Forterre n’est jamais avare en prise de parole lorsqu’elle est sollicitée par les médias. Elle a pu profiter de la tenue de cette journée annuelle où étaient réunies à la Cité de la Voix vingt-sept compagnies artistiques icaunaises pour répondre à nos interrogations.

Pouvez-vous nous rappeler les fondements essentiels de la structure « L'Yonne en Scène » ?

Cette entité présente depuis un quart de siècle sur le département a pour objectif le prêt de matériel aux différentes associations culturelles icaunaises, adhérentes au concept. Mais, ces prêts concernent aussi les collectivités, c’est-à-dire toutes les communes qui organisent des évènements culturels. Soutenue financièrement par le Conseil départemental, « L'Yonne en Scène » a bénéficié en 2016, et à son initiative, d’un processus de restructuration. Il a eu pour effet de donner une orientation supplémentaire à la structure et de lui permettre de devenir un outil au service des compagnies artistiques de notre territoire.

Que dire de ce concept « En bonnes compagnies » et de ce rendez-vous ?

Fort d’un postulat, celui que les compagnies ne se connaissent pas les unes des autres, l’idée est venue de proposer une journée spécifique à leur intention. C’est l’occasion de découvrir leur travail de manière collégiale qui, même s'il est différent, permet d’observer que les problématiques demeurent identiques. Ce rendez-vous annuel s’institutionnalise petit à petit. L’idée de base est d’appartenir à une véritable communauté ayant envie de mieux appréhender comment l’autre travaille et fonctionne. A ce titre, un annuaire a été créé : il regroupe les coordonnées des cinquante-cinq compagnies exerçant à l’heure actuelle sur notre territoire…

 

 

Comment envisagez-vous les phases évolutives de l’association ?

Le parc est déjà conséquent. Il devrait l’être encore plus dans les années à venir. Grâce au rapprochement et au partenariat qui devraient être conclus prochainement avec l’ARTAM, qui réalise désormais le même type d’opération en Bourgogne Franche-Comté.

Actuellement, au nombre de cinquante-cinq, les compagnies culturelles de notre département connaissent une augmentation permanente. Vingt-deux d’entre elles ont bénéficié cette saison d’un besoin concret.

A contrario, seize structures ne nous ont pas sollicités pour une demande spécifique.

Mais, certains pensent qu’il ne faut pas solliciter de l’aide parce qu’ils sont persuadés en leur for intérieur qu’ils ne l’obtiendront pas.

C’est vrai que le monde de l’art reste suggestif pour celui qui le voit, l’écoute, le lit, le saisit émotionnellement.

Pour autant, ne doit-on pas résoudre cette équation basique, posée par cette simple interrogation : que faut-il faire pour bénéficier des soutiens nécessaires et plaire afin de les obtenir ?

Propos recueillis par Maryline GANDON

 


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