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Nouvelle surprise, et de taille, dans le microcosme politique de l’Auxerrois. On la doit à la formation de centre droit, incarnée par Jean-Philippe BAILLY, président départemental du mouvement inféodé à la cause d’Hervé MORIN. L’adjoint à la Ville en charge du développement numérique et du commerce vient de réaliser une très « belle prise » en ajoutant à son escarcelle, favorable à la liste d’ouverture prônée par l’édile d’Auxerre, la conseillère municipale d’opposition (ex-UMP), Virginie DELORME. Devenue entre-temps, Mme GARERES après avoir convolé en justes noces…Un nouveau coup de boutoir porté à la droite traditionnelle ?

AUXERRE : S’il avait voulu secouer le cocotier de la sphère politique auxerroise pour en faire tomber des fruits goûteux prêts à intégrer sa besace centriste, Jean-Philippe BAILLY ne s’y serait pas pris autrement !

En présentant lors d’une conférence de presse sa « prise de guerre » réalisée au nez et à la barbe de la droite républicaine, le leader politique issu du Nouveau Centre n’a pas dissimulé une extrême jubilation. Avant que ne démarre sa prise de parole officielle. Et pour cause !

Commerçante implantée depuis moult années dans le sérail (elle fut même la présidente des « Vitrines d’Auxerre » aux grandes heures de gloire d’une association qui est hélas aujourd’hui disparue), Virginie GARERES-DELORME jouit d’une solide notoriété dans l’espace professionnel et politique local.

Côté idéologie politique, la quadragénaire a toujours été estampillée à droite. Se portant même candidate au sein de listes clairement identifiées UMP (devenue depuis Les Républicains) aux dernières échéances municipales, face signe du sort à la liste conduite par le maire Guy FEREZ, et aux cantonales. Alors, par quel tour de passe-passe, voire de mystérieuse magie blanche, l’a retrouve-t-on désormais en accointance étroite avec un parti qui cautionne faits et causes le bilan de l’édile d’Auxerre ?

 

Le refus de la dérive droitière des Républicains…

 

Réponse de l’intéressée qui ne se dérobe nullement à la question : « Ma formation d’origine, Les Républicains, vire trop à droite et cela ne me convient absolument pas, concède-t-elle, certes, je n’ai pas encore arrêté ma décision mais je me sens plus proche des centristes de droite. Ceux représentés par le Nouveau Centre ».

Du petit lait à siroter avec une belle cuillérée de miel pour Jean-Philippe BAILLY qui n’en demandait pas tant ! Il est vrai que l’ex-secrétaire de l’UMP (c’est presque aujourd’hui de la Préhistoire !) en connaît aussi un rayon sur le besoin de changer d’aspirations pour s’aérer la tête et l’esprit.

Lui aussi s’était opposé en son temps à la dérive droitière qu’il reproche aujourd’hui sans états d’âme au parti de Christian JACOB.

Las de vivre cette situation, il avait alors quitté la droite républicaine originelle pour rallier ce centrisme qu’il affectionne tant aujourd’hui.

« Je me souviens, explique-t-il en faisant un sacré bond en arrière dans le fil de ses pensées, à l’époque, à l’UMP, j’avais enregistré parmi les nouvelles adhérentes la mille cinq centième personne à être encartée dans l’Yonne : elle se nommait Virginie DELORME… ».

Curieuse coïncidence de la vie, en effet, qui fait se retrouver autour de la même table, et rejoint par l’adjoint au maire en charge des ressources humaines, du dialogue social, des jumelages et des anciens combattants, Jean-Paul SOURY, les deux compagnons de route politiques de jadis.

Désormais, Virginie GARERES-DELORME se positionne en phase avec elle-même sur la liste d’ouverture voulue par le maire sans étiquette Guy FEREZ afin de mieux servir les intérêts des Auxerrois.

« J’ai toujours œuvré en dépassant les clivages politiques, précise celle qui a assisté à toutes les commissions où elle était inscrite, ce que j’apprécie dans cette composante qui part à l’assaut de ce nouveau mandat, c’est justement le rassemblement pluriel de ses membres. Je déteste tout ce qui s’apparente à de la politique politicienne et les « gué-guerres » de parti. Cette liste ne comporte pas d’étiquette, c’est tant mieux… ».

 

L’addition des différences sur une liste commune, c’est un atout…

 

Le projet élaboré par le président de la Communauté de l’Auxerrois (c’est aussi un enjeu important dans la balance électorale) fait figure de kaléidoscope politique avec des représentations issues de LREM, du MoDem, du Parti radical, d’AGIR La Droite constructive, du Parti socialiste. Voire de représentants de la société civile qui ne possèdent aucune appartenance politique tout court.

Même s’il n’intégrait pas les accords initiaux inspirés par le modèle de « Renaissance », déjà expérimenté lors des Européennes, le Nouveau Centre de l’Yonne souhaitait intégrer en toute logique le projet symbolisé par Guy FEREZ.

Toutefois, une autre solution aurait pu convenir à la commerçante auxerroise pour y exprimer ses idées. Rejoindre la liste « Auxerre au Cœur » dont Crescent MARAULT est aujourd’hui le porte-étendard. Une liste davantage marquée au centre droit et à la droite républicaine.

« Je n’ai pas trouvé sur ce projet les valeurs déontologiques qui me correspondaient, évacue-t-elle avec spontanéité, je préfère me projeter sur un projet novateur et constructif, où l’addition des différences devient un véritable atout… ».

Une arithmétique qui ne peut que trouver grâce aux oreilles de Jean-Philippe BAILLY et de Jean-Paul SOURY à l’issue de cette causerie intimiste. Les deux adjoints ont bel et bien confirmé, en guise de conclusion, leur présence sur la liste définitive que Guy FEREZ officialisera le 16 janvier prochain.

Le joker de charme Virginie GARERES-DELORME en sera également. Reste à savoir à quelle position ?

 

 


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Au détour de la troisième Journée « En bonnes compagnies », concoctée par « L'Yonne en Scène », l’élue en charge des affaires culturelles au Département, Isabelle FROMENT-MEURICE, s’est prêtée au jeu de l’interview afin de rappeler les grandes orientations de la structure dont elle assume la présidence…

VEZELAY : L’élue de Puisaye-Forterre n’est jamais avare en prise de parole lorsqu’elle est sollicitée par les médias. Elle a pu profiter de la tenue de cette journée annuelle où étaient réunies à la Cité de la Voix vingt-sept compagnies artistiques icaunaises pour répondre à nos interrogations.

Pouvez-vous nous rappeler les fondements essentiels de la structure « L'Yonne en Scène » ?

Cette entité présente depuis un quart de siècle sur le département a pour objectif le prêt de matériel aux différentes associations culturelles icaunaises, adhérentes au concept. Mais, ces prêts concernent aussi les collectivités, c’est-à-dire toutes les communes qui organisent des évènements culturels. Soutenue financièrement par le Conseil départemental, « L'Yonne en Scène » a bénéficié en 2016, et à son initiative, d’un processus de restructuration. Il a eu pour effet de donner une orientation supplémentaire à la structure et de lui permettre de devenir un outil au service des compagnies artistiques de notre territoire.

Que dire de ce concept « En bonnes compagnies » et de ce rendez-vous ?

Fort d’un postulat, celui que les compagnies ne se connaissent pas les unes des autres, l’idée est venue de proposer une journée spécifique à leur intention. C’est l’occasion de découvrir leur travail de manière collégiale qui, même s'il est différent, permet d’observer que les problématiques demeurent identiques. Ce rendez-vous annuel s’institutionnalise petit à petit. L’idée de base est d’appartenir à une véritable communauté ayant envie de mieux appréhender comment l’autre travaille et fonctionne. A ce titre, un annuaire a été créé : il regroupe les coordonnées des cinquante-cinq compagnies exerçant à l’heure actuelle sur notre territoire…

 

 

Comment envisagez-vous les phases évolutives de l’association ?

Le parc est déjà conséquent. Il devrait l’être encore plus dans les années à venir. Grâce au rapprochement et au partenariat qui devraient être conclus prochainement avec l’ARTAM, qui réalise désormais le même type d’opération en Bourgogne Franche-Comté.

Actuellement, au nombre de cinquante-cinq, les compagnies culturelles de notre département connaissent une augmentation permanente. Vingt-deux d’entre elles ont bénéficié cette saison d’un besoin concret.

A contrario, seize structures ne nous ont pas sollicités pour une demande spécifique.

Mais, certains pensent qu’il ne faut pas solliciter de l’aide parce qu’ils sont persuadés en leur for intérieur qu’ils ne l’obtiendront pas.

C’est vrai que le monde de l’art reste suggestif pour celui qui le voit, l’écoute, le lit, le saisit émotionnellement.

Pour autant, ne doit-on pas résoudre cette équation basique, posée par cette simple interrogation : que faut-il faire pour bénéficier des soutiens nécessaires et plaire afin de les obtenir ?

Propos recueillis par Maryline GANDON

 


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Mélange de chants a capella et de textes lus, illustrant le quotidien de pensionnaires des maisons de retraite, le nouveau concept de la formation artistique, « Le Petit tour, histoire d’en rire », aura été l’un des temps forts de ces rendez-vous de qualité, prétexte à de la concertation…

VEZELAY : Vingt-sept compagnies artistiques de l’Yonne étaient conviées à la Cité de la Voix pour cette nouvelle édition, baptisée « En bonnes compagnies », proposée par " L'Yonne en Scène ".

Dont « Têtes de Chien », structure articulée autour de cinq individualités au talent certain qui devait présenter en avant-première leur nouvelle réalisation conçue autour de l’évocation de souvenirs des anciens. Cela donna suite à des chansons tirées de la tradition orale des seniors.

Curieux maelstrom que celui-ci où voix a capella et textes de témoignages obtenus dans divers établissements accueillant des retraités composèrent cette prestation scénique originale. Elle servit de prétexte à un débat consacré à la collecte des informations mémorielles sur le territoire tout en découvrant les limites de ladite collecte.

Un peu plus tôt, le prologue de cette manifestation était assuré par Luc de MAESSCHALCK, coordinateur de l’ensemble. Il rappela les grandes missions de l’association (« L'Yonne en Scène »).

Ce discours de présentation qui fut étayé ensuite par les propos de l’élue départementale en charge de la culture, Isabelle FROMENT-MEURICE, présidente de l’association « L'Yonne en Scène ».

Plusieurs ateliers accueillirent également le public. Celui-ci se répartit selon les thématiques afin d’y procéder à un retour de partage d’expériences.  

L’occasion de se rencontrer autour de thèmes éclectiques aura permis d’évoquer les problématiques rencontrées par ces compagnies au quotidien. Et surtout de pouvoir piocher çà et là les bonnes idées des uns et des autres. Toujours utile et opportun !

Maryline GANDON

 


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Ultime session de l’année pour le club R.H., une structure informelle animée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Deux invités y étaient conviés pour prendre la parole autour d’une thématique importante pour le milieu entrepreneurial : la loi avenir professionnel…

AUXERRE : Opérationnel depuis plusieurs saisons, le club des Ressources humaines de la CCI de l’Yonne ponctue ces rendez-vous réguliers par des séances explicatives en ayant recours à des intervenants extérieurs, autour de l’actualité inhérente à ce poste éminemment stratégique dans la vie des entreprises.

A l’occasion de la dernière session programmée en 2019, Jean-Pierre LANTERNIER, conseiller formation au sein de la chambre consulaire, exposait à son auditoire le sujet principal de la matinée. Face à une assistance studieuse et en besoin d’informations.

C’est le fameux texte de loi datant de 2014, relatif à la formation professionnelle, et baptisé, on s’en souvient, Loi avenir professionnel, qui était au centre des débats ce jeudi au siège de l’organisme.

Habituée des lieux, Me Delphine LORAIN, avocate du cabinet FIDAL, avait la charge d’ouvrir les échanges en proposant un rappel applicatif de ce texte six ans après avoir été publié. Sachant que la date butoir de celui-ci est prévue le 31 mars prochain.

 

 

 

 

Puis, en seconde partie d’intervention, la collaboratrice de Frédérique NIKA (Madame VAE de l’Yonne), Sophie BAILLY enchaînait au titre du CIBC (Centre interinstitutionnels de bilans de compétences) afin de faire toute la lumière sur le concept « SOL’EN », une solution qui facilite l’entretien professionnel lors des évaluations. Elle présenta en aparté les principes du CEP, le Conseil en évolution professionnelle.

L’occasion fut aussi donnée à Jean-Pierre LANTERNIER de présenter la toute nouvelle recrue de la CCI de l’Yonne, Marie-Claire BATISTA. Cette dernière, conseillère, remplacera Cécile NOIROT, partie poursuivre sa carrière sous d’autres cieux fin novembre, sur le secteur septentrional du département.

Le prochain club CCI RH se déroulera le 06 février dans la grande salle de réunion de l’édifice rue Etienne Dodet. Ses thèmes en seront la flexibilité et les contrats courts au travail…

 

 

 


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En marge de l’assemblée plénière consacrée au budget primitif 2020 qui s’échelonne lors de ces trois prochaines journées à Dijon, la présidente de la Région a défendu avec conviction ses choix stratégiques, justifiant ainsi ses engagements prioritaires alors que son mandat entre dans son ultime ligne droite. Le plus gros investisseur public qui agit sur le territoire ne procèdera donc pas aux vingt millions d’euros d’économies exigées par l’opposition. Des économies qui porteraient atteintes forcément aux nécessaires dépenses d’intervention…

DIJON (Côte d’Or) : Ses contradicteurs lui ont expressément demandé de réduire la voilure côté dépenses à la veille de l’assemblée plénière qui doit se prononcer sur l’adoption du budget primitif pour l’exercice 2020. C’est donc une fin de non-recevoir, en bonne et due forme, que leur proposera en guise de réponse, et ce dès l’ouverture de la session la présidente de l’exécutif régional.

Durant la conférence de presse qui faisait office de préambule à ce rendez-vous qualifié d’extrême importance pour le devenir de notre contrée, mardi après-midi, l’élue de Bourgogne Franche-Comté n’a nullement tergiversé pour apporter des éclaircissements précis et détaillés sur la ligne politique qu’elle a choisie de mener au cours des douze prochains mois de son mandat.

Une année charnière à bien des égards pour la maîtresse femme de la Région qui correspond à celle d’une fin de mandat (2021). Un terme de présidence qui surviendra après six années passées à la tête de l’organe institutionnel mais qui ne signifie pas pour autant la  fin de règne dans l’absolue de l’élue franc-comtoise…

Faisant fi des rodomontades coutumières qui viseraient à ternir son action, Marie-Guite DUFAY aborde cette séance, ô demeurant capitale, avec une certaine sérénité.

« Quel que soit la famille politique qui apporte un regard sur notre travail, délivre-t-elle en guise de hors d’œuvre oratoire, on nous dit bravo pour tout ce que nous avons réalisé depuis cinq ans sur le territoire car nous sommes bien présents au rendez-vous… ».

 

 

Pas d’économies substantielles sur des postes névralgiques de la Région…

 

Alors, ce budget primitif 2020 qui se caractérise comme très ambitieux (il est d’un montant total d’1,631 milliard d’euros – hors gestion active de la dette -) semble conforme aux priorités régionales de l’équipe en place. Afin d’en connaître la substantifique moelle, nous le présenterons par ailleurs plus en détail dans une prochaine publication.

Toutefois, on peut dire que son articulation s’avère être en cohérence avec les aspirations budgétaires habituelles, mobilisant l’ensemble des politiques régionales pour répondre à l’urgence du changement climatique ainsi qu’aux enjeux de l’emploi et de la formation sur le territoire.

Mais, là où l’intervenante s’est montrée intransigeante dans ses formulations, c’est sur le refus de faire des économies substantielles applicables à des postes névralgiques dont ne peut se départir la Région.

Trois catégories de postes bénéficient précisément de ses faveurs : les lycées, les TER (pour les transports ferroviaires) et les ressources humaines.

« J’ai pu observer ce que certaines entités régionales avaient pratiqué en ponctionnant les budgets dédiés à la formation, explique-t-elle, je ne baisserai la ligne budgétaire de ce poste d’un iota : c’est fondamental à mes yeux… ».

Puis, Marie-Guite DUFAY apporte de l’eau au moulin de la justification de ses actes.

 

 

« Je ne ferai pas de coupes sombres sur les lycées. Notre territoire possède la densité la plus importante d’établissements secondaires de l’Hexagone. L’argent que nous leur versons favorise la rénovation des bâtiments, le plan d’évolution des sites, encourage le personnel. D’ailleurs, des phases de mutualisation s’exercent naturellement entre établissements, engendrant de facto des économies… ».

En est-il de même dans son raisonnement pour le transport ferroviaire à bord des TER ?

« Nous avons entrepris des négociations avec la SNCF pour aboutir à une offre de transport en augmentation de cadencements. Les tarifs ont suivi une courbe baissière. Certes, aujourd’hui, les trains ont la cote et sont bondés. Mais, c’est la rançon de notre succès et un problème de riches ! La Région est très sensible au développement des mobilités nouvelles. Je rappellerai que la première expérience unique en France de covoiturage conventionnée par la puissance publique est fonctionnelle chez nous ! ».

Reste pour clore ce tour d’horizon le troisième point de ses préférences, se rapportant aux ressources humaines.

« Si je pouvais augmenter davantage les salaires des fonctionnaires de la région qui sont loin de dormir, je le ferai ! Nous sommes d’ailleurs en flux tendu sur toutes les politiques que l’on mène ; il faudrait même recruter tellement les besoins sont importants… ».

 

 

Le pacte financier est respecté en Bourgogne Franche-Comté…

 

Donc, in fine, il n’y aura pas de réduction budgétaire sur ces postes, véritables clés de voûte de l’arborescence architecturale du Conseil régional.

« D’ailleurs, renchérit la présidente un brin goguenarde dans son propos, quand j’invite l’opposition à me citer les postes sur lesquels je devrais amenuiser les financements, je n’obtiens aucune réponse de sa part… ».

Et la présidente de conclure : « je sais que je rendrai l’exécutif au terme de ce mandat dans le bon état financier que je l’ai trouvé. Disposant à l’heure actuelle d’une situation saine, cela nous permet de nous endetter davantage… ».

Marie-Guite DUFAY profita de sa prise de parole de bon aloi pour saluer le travail de l’ancien Premier ministre, Manuel VALLS, parti depuis à la conquête de Barcelone avec plus ou moins de réussite : « il avait la fibre régionaliste et a su attribuer des recettes dynamiques afin de remplacer la dotation que verse l’Etat par un versement d’une fraction de la taxe sur la valeur ajoutée. Un mécanisme financier qui nous a considérablement aidés… ».

Observant que le pacte financier, soucieux du respect du non-dépassement des dépenses de plus de 1 %, était appliqué en Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY insista sur le fait qu’il n’y aura pas d’effet ciseau sur ces postes, fondements de la politique appliquée depuis sa prise de fonction.

Un message clair adressé à l’opposition qui, durant ces trois jours d’assemblée plénière, contestera ces décisions…

 


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